Au service de Monsieur

Employé comme domestique par un monsieur, il m'a bien fallu être entièrement à ses ordres. Et il m'a bien fallu lui offrir mon cul. Il m'avait choyé, c'était donnait donnant

Proposée le 7/05/2024 par Sacha

Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Oui, j'étais dans la dèche, je survivais grâce à un CDD de serveur dans un restaurant de Bordeaux.

Un soir, un client solitaire me proposa de venir prendre un verre chez lui après mon service.

C'était visiblement un monsieur assez fortuné, vu qu'il habitait, seul, un hôtel particulier proche de la rue Sainte-Catherine.

Donc je m'y rendis.

Lors de la dégustation d'un grand cru dans son petit salon, il me dit qu'il cherchait un domestique, que ce domestique n'aurait pas à se plaindre de ses gages, à condition d'être entièrement à ses ordres. Si je pouvais faire l'affaire, on verrait bien. Dans la situation oú j'étais, je ne pouvais qu'accepter une proposition aussi alléchante.

Il commença par m'offrir nombre de vêtements mieux assortis à ma nouvelle condition. Mais durant mes heures de service chez lui je devais m'accommoder du seul uniforme qui lui restait, celui d'une ancienne soubrette. Donc j'eus droit à bien des attentions qui chamgèrent considérablement ma vie.

Monsieur aimait parfois recevoir des amis, des hommes de préférence, et me voulait alors à son service pour ces réceptions. Mais cela se passait alors dans le grand salon, dont les murs étaient ornés de gravures licencieuses. L'une d'elles s'intitulait "Homme s'accouplant avec un jeune garçon", une autre "Les charmes de la pédérastie"

Donc Monsieur recevait, et je servais ces messieurs. La seule originalité du service était que he devais servir ces messieurs dans mon uniforme de soubrette, sans rien dessous, conformément aux ordres de Monsieur. Donc fesses nues.

Il est arrivé qu'en fin de repas l'un des convives s'aventurât jusqu'à me palper les fesses lorsque je le servais, me félicitant d'être cul à l'air, et en profitant bien. Ça me faisait bander. Une fois, même, un invité a empoigné ma queue. Il semblait excité de constater quelle belle érection de mon sexe il avait provoqué en me mettant la main au cul.

Un jour, Monsieur me convoque dans ses appartements. Il n'avait pas à se plaindre de mes services, me dit-il, tout en ajoutant que tant de bontés de sa part à mon égard méritiaient bien une petite récompense. Ne lui avais-je pas promis d'obéir toujours à ses ordres?

- Oui, Monsieur.

J'étais alors dans mon uniforme de soubrette. Il me demanda de m'allonger sur le ventre, et tout nu.

-Tu sais que tu vas devoir y passer?
- Oui, Monsieur.

Mes fesses visiblement l'attiraient. Longuement et voluptueusenent ils les caressa. Il s'attarda sur ma raie. Puis sur ma rondelle, toute émoustillée.

- Après tout ce que je t'ai donné, à ton tour de m'offrir ton cul.
- Oui, Monsieur.

Mon petit trou était béant pour l'accueillir. J'ai d'abord senti son gland, puis il est entré, sa queue a fini par venir tout entière en moi, honorant mon cul, puis giclant. J'ai joui pendant qu'il m'enculait tout en empoignant ma bite. C'est que j'aimais bien ces allées et venues, ce coït du sexe de Monsieur en moi, entre mes fesses en chaleur.

- Vous serez de service après-demain.
- Oui, Monsieur.
Pourvu que sa bite veuille bien encore me labourer le cul !

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