Comment une collaboratrice se transforme en femme fatale et me pousse tout doucement vers l'adultère et le libertinage. C'est le premier épisode de mes aventures libertines.
Proposée le 29/03/2024 par Mercury
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Bonsoir,
Après des mois d’hésitation, je me lance dans l’écriture de mes expériences libertines. Les noms et les lieux ont été volontairement changés. Mais les faits sont bien réels.
J’espère que vous serez indulgents...
Cette histoire vraie a eu lieu il y a une dizaine d’années.
Je suis un homme de 40 ans, aux cheveux châtain-clair, aux yeux bleus. Je mesurais 1m85 pour 80kg.
J’étais dirigeant d’une petite entreprise de services informatiques. En plus de l’équipe technique, je travaillais avec une assistante à temps partagé. Une femme d’une quarantaine d’années, blonde, en léger surpoids, avec une poitrine généreuse. Elle était toujours élégante, fréquemment en jupe et chemisier. Nos relations étaient strictement professionnelles. Jusqu’à ce que…
Ce jour-là j’étais invité à une inauguration par un client. Je devais me rendre dans ces locaux en fin d’après-midi. Cette inauguration ne m’emballait pas vraiment même si c’était une opportunité pour rencontrer de futurs clients. Avant de partir j’en discutais avec Caroline mon assistante.
J’étais assis à mon bureau à lire mes derniers courriels avant de fermer mon ordinateur. Caroline entre dans la pièce et ferme la porte derrière elle. Elle vient s’assoir à ma gauche sur le bord de mon bureau. Elle portait une jupe claire, des collants noirs et un chemiser blanc. Sous son chemiser je devinais un soutien-gorge blanc en dentelle fine. Le chemisier ouvert offrait un beau décolleté et une vue sur la naissance de ses seins. En s’asseyant sur le bureau, d’un geste furtif elle avait remonter sa jupe. Suffisamment pour que je vois le haut en dentelle noire de l’un de ses bas. C’était la première fois que je voyais Caroline avec un tel potentiel de séduction.
Pour que mes pensées restent professionnelles, je lui parle alors du rendez-vous de fin d’après-midi.
- Moi : Cela ne m’enchante pas d’aller à cette inauguration. Je ne vais pas connaitre grand monde. »
- Caroline : « Oui mais c’est une belle opportunité pour rencontrer des prospects.»
- Moi « Oui, je sais bien. Mais ce n’est pas le rôle dans lequel je suis le plus à l’aise. Je risque de me sentir seul. »
- Caroline : « Si tu te sens seul, tu n’auras qu’à m’envoyer des messages. Je pense que je resterai tard au bureau ce soir. Tu te sentiras moins seul. ».
Tout en se levant doucement et en repartant, elle rajoute « Je finirai tard. Et si tu le souhaites je pourrai t’attendre au bureau. » Elle termine sa phrase en sortant du bureau en me laissant sans savoir quoi répondre, ni comprendre.
Je reprends mes esprits, je ferme mon ordinateur et je me mets en route pour l’inauguration des nouveaux locaux de mon client.
Une fois sur place après un verre et quelques mains serrées, je recevais un premier texto de mon assistante :
- Caroline : « Salut, tout se passe bien ? Pas trop ennuyante comme soirée ? »
- Moi « Salut, j’ai récupéré quelques contacts, mais rien de plus. J’ai l’impression de perdre mon temps »
- Caroline : « Il n’y a pas de charmantes femmes pour égayer ta soirée ? »
- Moi « Non, je ne suis pas là pour ça. Je serai mieux au bureau pour avancer certains dossiers. »
- Caroline :« Je serais au bureau tard. Si tu veux repasser on pourra travailler sur certains dossiers ensemble. »
- Moi : « Il est presque 20h00 ! Ton mari va t’attendre ????. Tu devrais rentrer chez toi.»
- Caroline : « Je préfère t’attendre… En plus des dossiers nous pourrions discuter de ton rendez-vous… »
- Moi : « Cela peut attendre demain. Tu as d’autres sujets à voir avec moi ? »
- Caroline :« Oui c’est bien possible. Mais cela va dépendre aussi de toi. J’ai envie de te parler de notre collaboration. »
- Moi « Cela ne peut pas attendre demain ? »
- Caroline: « Pour ce genre de discussion, il vaut mieux être en toute intimité. J’aimerais te dévoiler bien plus que ce que tu as entrevu avant de partir ? »
Je commence à sentir monter en moi une certaine excitation. Mais je ne veux pas mal interpréter ses propos.
- Caroline: « Et tu n’as pas encore vue l’étendue de mes savoir-faire. Tu devrais faire un détour au bureau je t’y attends. Tu es fatigué, J’ai très envie de prendre soin de toi. Que tu te détendes. Il parait que je suis doué pour cela.»
- Moi : « Je n’ose comprendre. »
- Caroline : « Viens me rejoindre. J’ai très envie de jouer à la secrétaire docile.»
Je sens alors comme une chaleur montée en moi et une envie de sexe.
- Moi : « Une secrétaire docile ? Jusqu’où ? »
- Caroline : « Tu verras bien si tu passes au bureau. »
Je regarde ma montre. Il est l’heure de partir. Je vais saluer mon hôte et prends congés de lui. Sur la route, la raison revient. Je pense que c’est risqué de s’orienter sur ce genre de relation avec ma collaboratrice. Mais il y a la raison et l’envie. J’ai le choix de continuer tout droit pour rentrer chez-moi ou de prendre à droite pour faire un crochet au bureau.
J’hésite, puis j’appelle ma femme pour lui dire que je rentrerai tard, car l’inauguration traine. Oui j’ai tourné à droite.
Quelques minutes plus tard, j’arrive sur le parking du bureau. Tous les bureaux sont éteints sauf un, celui de Caroline. Les rideaux sont tirés de telle façon que de l’extérieur on ne distingue pas l’intérieur de la pièce.
Je sors de la voiture, je me trouve devant la porte d’entrée du bâtiment. En cherchant les clés, je suis à la fois fiévreux et inquiet. Ce sera ma première infidélité ! J’ouvre la porte et me dirige vers mon bureau. Pour cela, je passe devant le sien. La porte est ouverte. Je ralentis en approchant. Ma respiration s’accélère.
Elle est assise sur le bord de son bureau faisant face à la porte. Ses cheveux châtain mi long sont tirés en arrière et remontés laissant la nuque libre. Trois boutons du chemiser sont maintenant ouverts. Le décolleté laisse maintenant apparaitre la dentelle du soutien-gorge. Ses jambes sont croisées. Sa jupe est de nouveau remontée. Elle laisse apparaitre le début de la dentelle de ses bas noirs.
Elle me regarde en souriant.
- Caroline :« Tu es venu ! Tu n’es donc pas insensible à mes charmes. »
Sur ces mots, elle décroise lentement ses jambes. Suffisamment pour que je constate que ce n’est pas un collant qu’elle porte mais bien des bas. Elle se redresse et avance vers moi lentement d’un as chaloupé, un brin provocateur. Ses chaussures à talon galbent ses mollets. Son regard ne fait aucun doute sur ses intentions. Je suis sa proie.
- Caroline : « Tu ne vas pas le regretter. Je vais te faire oublier la première partie de ta soirée. »
J’essaye de reprendre mes esprits. Je dépose alors ma sacoche à l’entré de son bureau et fais un pas en avant pour ne pas rester dans le couloir. Le jeu de la secrétaire docile m’excite. N’est-ce pas un fantasme répandu ?
- Moi : « C’est vrai que ton décolleté et le haut de tes cuisses sont un appel. J’ai bien besoin d’un remontant. »
Elle se retrouve à quelques centimètres de moi. Elle plonge son regard dans le mien. Elle approche son visage et vient déposer un baiser humide sur mes lèvres. Elle mordille alors ma lèvre inférieure.
Je sens sa main droite se poser sur ma cuisse gauche. Je commence à me sentir à l’étroit dans mon pantalon de costume. Sa main est chaude. Nos langues commencent un balai lent plein de sensualité.
Sa main remonte doucement de mi-cuisse vers mon entrejambe. Elle vient se poser sur mon sexe prisonnier qui commence à durcir.
Tout en faisant de petits mouvants, elle me murmure « Je vois que monsieur est tendu ce soir. J’ai peut-être un remède pour ça. »
- Moi « Je suis tendu en effet. Je compte sur toi pour me détendre. »
- Caroline« Monsieur ne va pas être déçu. » Sa langue repart à la recherche de la mienne dans une farandole humide. Sa main droite caresse mon sexe à travers le tissu. Elle me pousse alors contre le mur à gauche de sa porte.
Je décide alors d’être un peu plus actif et pose mes mains sur ses fesses.
Tout en se dégageant un peu, elle me dit « Non, pas ce soir Monsieur. Ce soir vous vous détendez. »
Je sens sa main gauche rejoindre la droite. Elle s’attaque à ma ceinture qui ne résiste pas longtemps. Tout en plongeant son regard dans le mien, ma fermeture éclair n’offre pas plus de résistance. En passant ses mains sur mes fesses elle fait glisser mon pantalon sur le sol. Pendant que sa main gauche retourne sur ma fesse, sa main droite reviens sur mon sexe en érection. Elle plonge un regard sur ma bite qui sort du boxer. Avec un sourire de satisfaction elle la prend dans sa main droite et commence à la caresser en douceur. Sans que je m’en rende compte mon caleçon glisse au sol. Ma bite se dresse alors fière et raide. Je n’ai qu’une envie c’est qu’elle me branle, me suce et que je la prenne sur le bureau.
Elle « Monsieur a une jolie bite. »
D’une main elle commence à me branler et glisse l’autre sous mes couilles. Elle commence à les caresser doucement avec les doigts puis avec la paume de la main. Ses doigts effleurent alors mon anus.
Tout en me caressant et me branlant elle s’accroupit, pied nu. Je n’avais même pas remarqué qu’elle avait enlevé ses talons. Ma bite est maintenant à la hauteur de son visage. J’ai une vue imprenable sur son décolleté et ses seins.
Tout en me regardant dans les yeux, Elle décalotte le gland et passe sa langue autour. Elle lèche mon sexe des bourses vers mon gland et redescend. Elle ne me quitte pas du regard. Une vraie salope !!!
Je sens sa main gauche caresser mes couilles et venir titiller mon anus en douceur. Sa langue glisse encore un fois, puis mon gland disparait dans sa bouche. C’est divin !!! Ses lèvres glissent le long de ma verge. Je ne peux me retenir de lâcher un râle de satisfaction. Ses yeux brillent.
Elle commence alors un va et vient de plus en plus rapide sur ma bite. Sa main gauche toujours sur moi, elle remonta sa jupe de la droite et écarte un peu plus les jambes. Je vois qu’elle ne porte une culotte en dentelle blanche assortie au soutien-gorge. Tout en me suçant elle commence à se caresser. Je n’en peu plus, je suis au comble de l’excitation.
Je prends sa tête et je commence à accompagner ses mouvements le long de ma bite. Elle attaque une gorge profonde, mais n’y arrive pas complètement. Elle reprend alors sa bouche me suce divinement bien. Après quelques minutes de se traitement je sens que je ne peux plus tenir. Je l’avertis que je vais jouir. Elle accélère alors les mouvements de sa bouche tout en me branlant fermement et me caressant les couilles. Je ne peux plus me retenir et décharge mon sperme dans sa bouche. Elle a un réflexe de recule mais continue à sucer ma verge.
Elle se recule un peu pour me laisser souffler. Mons sexe commençant à mollir, elle entreprend de le nettoyer à coups de langues.
Une fois propre elle se relève, me roule une pelle au gout de sperme.
- Caroline :« Monsieur semble plus détendu. Vous devriez rentrer chez vous, votre femme vous attend. »
Elle fait alors demi-tour en direction de sa chaise pour prendre ses affaires.
- Caroline « Et mon mari m’attend pour manger. ». Elle se dirige alors vers la sortie sans me laisser le temps de retrouver mes esprits et me lance « Demain nous continuerons peut-être là où nous en sommes restés ce soir. »
Je me retrouve alors seul dans le bureau le boxer sur les chevilles.
Nos relations ne seront plus les mêmes.
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