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Infidélité à Cuba

Histoire vraie de la première infidélité de ma femme sous mes yeux et malgré moi. J'ai du les laisser faire, impuissant. Ce fut épouvantable. Le pire fut évitée, elle n'est pas enceinte. Notre vie sexuelle en est définitivement transformée.

Proposée le 7/04/2023 par Larvapatte

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Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


J'ai 29 ans et mon épouse Lana (faux prénom) 27. Ma femme Lana et moi avons un charmant petit garçon de 2 ans. Avant de faire un petit second, nous avons réussi à programmer 10 jours de vacances à Cuba en le confiant à mes beaux parents.
Comme on dit, nous sommes plutôt bien de nos personnes.

Il faut aller à Cuba pour comprendre son ambiance. Dès l'arrivée à la Havane, on réalise que ce peuple qui n'a pas grand chose, trouve de vrais moments de bonheur entre la musique et les douces soirées de ce pays.
Les jolies jeunes femmes ne se cachent pas loin de là, et les regarder est un vrai plaisir . On devine aussi que les touristes ou du moins leurs femmes éprouvent le besoin de se mettre au diapason, peut être pour ne pas laisser ces jolies cubaines trop occuper l'esprit de leur compagnon.
Et dès la première soirée, nous avons acheté sur place une robe légère, à la fois plus courte et plus décolletée que ce ma femme a l'habitude de porter.

Pour notre seconde soirée à la Havane, Lana accepta de porter la petite robe ce qui me ravit.
La nuit tombant, nous marchions bras dessus bras dessous et il devient évident que nous (surtout elle) étions regardés, discrètement par les hommes murs et de façon plus pesante par les plus jeunes.

Pour mieux observer leurs regards, nous avons mis des lunettes de soleil malgré la pénombre.
Puis une idée me vint, je lui glissais à l'oreille "Prend ton smartphone et marche un peu seule devant , je reste 10m derrière ».
Faussement ingénue, elle protesta sans conviction «Pourquoi ? » mais elle s’exécuta. Hésitante, elle se mit alors à déambuler apparemment seule dans la rue .
Excité, je lui décrivais au smartphone les hommes qui la mataient et ils étaient plutôt nombreux. Cela la faisait rire, et tout en marchant, elle se caressa lascivement les cheveux dégageant un peu plus son petit décolleté. Au bout d'un moment, je lui demandait si son exhibition lui plaisait, sa réponse « c'est surtout à toi que ça plaît... »
Ce petit jeu ne dura pas plus d'un quart d'heure. Elle se retourna en m'attendant. Sous sa robe et son fin soutien gorges, on pouvait deviner ses tétons durcis. Nous n'en pouvions plus, oubliant le dîner, nous sommes allés directement à l’hôtel pour une soirée d'amour inoubliable.

Les 2 jours suivant se passèrent à Trinidad. Un petit paradis pour ceux qui la visitent. Il n'y a qu'à se promener entre les pittoresques ruelles d'époque et de plus notre Casa Familia était superbe.

Le second soir nous connaissions un peu la ville et nous nous sommes installés sur de grands escaliers où des groupes musicaux se produisent. Nous avons commandé un second mojito, ce qui ne manqua pas d’altérer notre lucidité. Peu importe, nous étions à pieds.

Le groupe le plus proche de nous était constitué de bons musiciens et de deux danseurs. La danseuse plutôt jeune, captait tous les regards, une vrai liane lascive, musclée comme il faut. Lui était plus âgé mais il ne manquait pas d'allure non plus. Ils enchaînèrent des danses de salsa des plus agréables et des plus sexy.

En contre bas, il y avait un groupe de jeunes cubains un peu agités qui consommaient comme nous .
Une idée me prit soudain : en lui parlant à l'oreille, je demandais à Lana d’écarter ses genoux, son entrejambe pouvant être vu par les jeunes plus bas. Bien sur, je pensais mon épouse incapable de cela. Elle rit en me traitant d'idiot. Puis une minute plus tard, elle serra ma main avec force et écarta ses genoux pendant quelques secondes. Cela la fit doucement rire. «Alors tu vois!» me lança t-elle avec défi!

J’étais stupéfait, elle l'avait fait ! «Recommence pour voir!», et elle recommença! Elle devait être comme moi, sérieusement alcoolisée.

Quelques secondes après, je lui glissais « il faudrait que tu enlèves ta culotte... » Elle ne répondit pas et sembla se refermer, mécontente.
Plusieurs minutes passèrent puis Lana se leva et parti vers le restaurant probablement pour un besoin naturel. Elle revint deux minutes après avec un drôle d'air, en me disant « sois discret », elle me tendis une boule de tissu serrée dans sa main, sa culotte ! Culotte que je me pressais de cacher dans la poche de mon short .

Ce fut un choc, c'en était trop, il m'a fallu du temps pour comprendre que ma femme était prête à s’exhiber même si la probabilité d’être vue était faible. Cette fois ci, je me gardais bien de la relancer.
Puis toujours en riant elle chercha à m'embrasser. En faisant cela, elle déplaça le haut de son corps et pour garder ses appuis, elle écarta franchement ses jambes. C’était évidemment volontaire, elle pouvait être vue « alors ça te plaît toujours ce que fais ta petite femme ?» Elle était vraiment bourrée  et moi pas beaucoup mieux! Cette fois ci, elle ne recommença pas.

Puis le groupe arrêta de jouer et commença sa quête. Au bout de quelques instants, le danseur vint vers nous et c'est alors que me croyant spirituel, en même tant qu'un peu d'argent, je luis remis la culotte de Lana avec ce commentaire «a gift of my wife !» : il pris le tout et interdit, il recula et disparut dans le public.
Mais aussitôt, je senti les ongles de Lana qui s’enfonçaient avec toute sa force dans mon bras. Me retournant, je découvris son visage d'une dureté incroyable, sa lèvre inférieure tremblante ; je n'oublierai jamais son expression.
« Ça te plaît de m'humilier pauvre con, pour qui tu te prends ...» Puis elle continua à voix basse ses propos haineux, elle était folle de rage, je ne savais plus quoi dire pour essayer de la calmer et je nous sentais observés. Cette scène insoutenable qui dura, me paru une éternité.

Puis d'un coup, son expression changea, elle regardait par dessus mon épaule avec un sourire forcé. C’était le danseur qui était revenu et qui en quelque sorte me sauvait. Mais cela ne se passa pas du tout comme je l'espérais.

Me lâchant, elle fit un petit bon et lui parla directement. Elle le félicita pour sa prestation et lui demanda avec son mauvais anglais, si il proposait des cours de salsa... Avant qu'il ne réponde, elle en rajouta, en s'approchant encore de lui, elle voulait un cours de salsa tout de suite dans notre Casa Familia ! Sa demande ou plutôt ses intentions étaient explicites, il hésita, me regarda, mais choqué, humilié, j’étais incapable de réagir et de soutenir leurs regards.

Aussitôt, elle l’entraîna dans les escaliers en sautant de marche en marche comme une gamine. Elle se retourna et me rappela «Et n'oublie pas de régler!»

Cela me pris un temps fou, trouver de l'argent, aller payer avec une petite queue, tout çà sous le regards de certains qui devaient se poser pas mal de questions...

Enfin, je me lançais à leur poursuite avec pas mal de retard. Je prenais le chemin de la Casa Familia. Première rue, personne ! Seconde rue toujours personne alors que je courais ! Et s'il avaient décidé d'aller ailleurs ou chez lui ? Je finis par les trouver dans la dernière rue, ils se tenaient comme deux amoureux. Pathétique, haletant, je les rattrapais un peu avant l'entrée. Ils m'ignorèrent.
Lana ne marqua un arrêt devant la porte, et se sépara de lui au cas où la propriétaire nous ouvrirait la porte. Mais elle était absente et nous sommes rentrés discrètement dans la maison puis dans notre chambre.
Lana s'assit sur le lit et une sorte de gêne nous gagna tous. Quelques secondes de silence, et je me mis à espérer que Lana commençait à retrouver ses esprits.
De façon anodine, elle se dirigea et entra dans la salle de bain. Rien d'alarmant, sauf qu'elle appela d'un signe du doigt Arturo puisqu'il s'appelait ainsi. Et lui aussi il entra rapidement dans la salle de bain et avant que je ne fasses quoi que ce soit, la porte fut verrouillée !

Aussitôt, on entendit comme 2 rires étouffés ; hors de tout contrôle, ils étaient seuls, livrés l'un à l'autre. Mon état de choc monta encore d'un cran, la situation m'était insupportable et je collais mon oreille sur la porte pour épier. Deviner ce qui devait s'y passer n’était pas évident et surtout mon imagination prenait le dessus sur toutes mes capacités. Il y eu des moments de silence, des chuchotements, et puis la douche fonctionna longtemps couvrant la plupart des bruits.
N'en pouvant plus, j'ai libéré mon sexe contraint dans mon short depuis les exhibitions de mon épouse. Je ne voulais qu'une chose, me masturber pour me soulager un peu. Je pris une serviette dans la valise et je me fis plaisir une première fois tout en écoutant à la porte de la salle de bains. Et même après mon éjaculation, mon sexe se reraidit et je continuais à me caresser ...

Tout d'un coup, les bruits d’eau s’arrêtèrent. Puis, on aurait dit des bruits de corps et des voix très étouffées et même des petits gémissements. Cela dura une éternité. Soudain, comme des efforts plus importants et le verrou qui commence à être actionné ! Je me jette en arrière sur un fauteuil, refermant mon short au plus vite.

La porte s'ouvre, ils sortent, elle est empalée sur lui, accrochée à son cou, ses jambes autour de ses hanches, lui la tenant puissamment par les fesses et effectuant de légers mouvement verticaux ! Elle étouffe son rire et remuant, elle essaie sans doute d’améliorer leur position.
Arturo est tout en muscle. Je vois son sexe, sans capote ! Il est luisant sur une bonne longueur et il semble bien épais avec sa couleur marron.
Mais la position doit être fatigante , ils butent sur le mur puis rapidement, Arturo la dépose sur le lit. Tout ceci sans que Lana ne me regarde une seule fois.

Quand à moi, mon état est indescriptible, le feu dévore tout mon bas ventre, j'en ai mal à la tête et je me trouve sans force. N'y pouvant plus, je rebaisse mon short pour me caresser avec frénésie bien que la peau de mon sexe commence à me brûler. Malgré la serviette, ils peuvent deviner.

Chaque moment est gravé dans ma mémoire, chaque position, chaque attitude. Parfois ils font l'amour avec tendresse, ce qui me fait souffrir, ces doux baisés, parfois ils baisent presque avec bestialité. Lui derrière, la pilonnant profondément et elle ne pensant plus qu'au plaisir !
Leur coït avec tous les changements de position dura une bonne demi heure. Elle se mit même a califourchon sur lui prenant son sexe en entier.

Puis, j’eus le sentiment qu'il allait exploser et déposer son sperme en elle. Je pris peur, et si elle avait mal pris ses pilules? C’était très peu probable mais cette éventualité m'apparut insoutenable sur le moment.
Je me levais pour intervenir, mais mes jambes ne me portaient plus. Je recommençais une seconde fois et parvint près du couple. D'une petite voix, je dis à Arturo qui était sur elle : « Arturo, Lana is not under birth control!» . Mais dans son élan il entendit mal; je répétais plus fort « Arturo, Lana is not under birth control, stop it ! » Il s’arrêta aussitôt interloqué. Mais au bout de quelques secondes Lana réagit : »C'est quoi ces conneries ... » . C'est elle qui le relança avec de puissants mouvements de bassin. Et au bout de quelques secondes, lui aussi redémarra.

Et donc elle jouit, avant lui, elle fit tout pour étouffer ses gémissements mais son orgasme fut incroyablement profond, puissant et long. Il lui secoua tout le corps. Cet orgasme provoqua presque aussitôt celui d'Arturo . Lana qui sortait à peine de son orgasme le regarda jouir, captivée et pleine de reconnaissance. Et scène incroyable, à la fin de son orgasme, le va et vient d'Arturo devient lent mais très profond comme si il cherchait à pousser sa semence au plus profond des entrailles de Lana.

C'en était trop, à ce moment, je tombais dans un espèce de trou noir, sans force, nauséeux, saturé en émotions ultimes et en souffrances psychologiques . Si je me souviens très bien des événements jusqu'alors, la suite de leurs ébats est presque entièrement effacée de ma mémoire à part quelques flashs.
Car le couple après une courte récupération, recommença, cela dura beaucoup plus longtemps et il fallut des masturbations, des cunnilingus et même des fellations pour que le second orgasme de mon épouse arrive. Ils arrêtèrent rincés.

Lana alla se doucher directement et une conversation commença avec Arturo comme si de rien n’était.
Il eu la « courtoisie » de me remercier pour Lana . Apparemment, la possibilité d'engrosser la femme d'un autre n'avait pas l'air de beaucoup le gêner !! Puis il pensa à me demander quand nous allions quitter Trinidad . Heureusement, c'était le lendemain en matinée.
A part cela, je fis un peu sa connaissance, il était effectivement professeur de danse dans un institut municipal . Il avait 49 ans mais en faisait beaucoup moins. J'obtins sans difficulté son numéro de téléphone et celui de son institut sans donner le mien.

Lana sortie, il se doucha à son tour et pendant ce temps, Lana et moi, nous étions incapables d’échanger le moindre mot. Arturo partit sobrement non sans avoir échangé un long baiser avec Lana.

Elle se coucha et probablement épuisée et s'endormit immédiatement. Quant à moi, hyper stressé, j'en profitais pour vérifier sa prise de contraceptif. Je mis bien du temps pour trouver sa plaquette. Angoissé, après moultes vérifications, ouf ! tout semblait normal. A mon tour, je pouvais me coucher.

Le lendemain, et les jours qui suivirent, nous fîmes comme ci rien ne s’était passé.

Cela est arrivé il y a maintenant un peu plus de 6 mois mais j'y pense continuellement et elle aussi sûrement.

Au bout de deux mois d'abstinence, nous avons repris nos relations en douceur, moi essayant de lui faire plaisir en me plaçant sous elle, elle sur le dos, en la pénétrant légèrement, je la caresse jusqu'à son orgasme et parfois nous arrivons même à nous synchroniser. Nous utilisons cette position car je n'arrive plus à la faire jouir autrement.
Pendant nos petits jeux, je l'oblige à me répondre pendant que je la caresse. Si elle ne répond pas, je m’arrête et donc elle fini par répondre.
Et « Il » est revenu dans nos échanges intimes, on l'appelle comme ça maintenant Arturo « Il ». Et évidemment, ça lui plaît. Une nuit, je lui ai avoué que j'avais noté son numéro sur un papier mais que j'avais du mal à le retrouver. Ça l'a rendue folle.
Maintenant, dans ses phantasmes, elle me demande ce numéro sinon ...elle parle de prendre un amant  qui lui ressemblerait.
Mais en vérité , je la tiens vraiment avec ce numéro. Il y a quelques nuits, je lui ai dit que j'aimerais la punir à ma façon, à savoir qu'un soir, elle devra s'offrir à un homme que je choisirai pour qu'il n'y ait pas qu'Arturo. Après seulement elle aura le téléphone d'Arturo. Cette nuit là, nous avons rapidement joui ensemble comme jamais.

En vérité, je pense de plus en plus que nous allons retourner à Cuba cet été. Elle ne le sait pas encore.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Excellent recit!!! Une petite description de lana aurait été mieux.
Posté le 9/04/2023


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