Si tu pouvais user encore une fois de tes charmes, pour me rendre service ? Il m’a dit que ma place dépendait de l’obtention du contra. S’il te plaît ! Après, je ferai ce que tu me demandes. — Donc pour reprendre tes termes, en deux mots comme tu dis, ce que tu me demandes, c’est de me faire baiser
Proposée le 23/06/2022 par Trixie
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Il n'y avait presque plus rien entre mon mari et moi. Sur le plan sexuel c'était le désert... Je lui avais suggéré une séparation, il avait fait la sourdre oreille.
— Trixie, me dit celui-ci, en rentrant un soir du boulot, j’aurai encore besoin de tes services, pour un contrat. Mon patron m’a donné l’affaire en me disant que tu étais très persuasive… Il s’en est rendu compte par lui-même et il a vraiment apprécié la manière dont tu as traité l’affaire avec ses clients Libanais. Je t’explique en deux mots. Une grosse boîte de lingerie sexy veut nous donner la réalisation d’une vidéo de promotion pour ses articles. Il ne veut que toi comme mannequin, pour la présentation… En tournant un clip, ou en prenant des photos. Portal m’a demandé de réaliser des photos, avec deux mannequins hommes, pour montrer au patron de la boîte de lingerie, si tu lui convenais pour la présentation. Alors si tu pouvais user encore une fois de tes charmes, pour me rendre service ? Car il m’a dit que ma place dépendait de l’obtention du contrat… S’il te plaît ! Après, je ferai ce que tu me demandes.
— Donc pour reprendre tes termes, en deux mots comme tu dis, ce que tu me demandes, c’est encore de me faire baiser… J’ai comme l’impression que ta boîte est spécialisée dans le porno ! J’ai bien voulu une fois pour ta promotion, mais moi ça ne m’a rien rapporté, et je ne suis pas ton objet. Et surtout pas ton objet sexuel… ni ta catin !
— Bon, n’en parlons plus, dit-il me coupant la parole. Je vais me retrouver sans boulot. Je voulais te proposer que l’on se sépare, car à l'évidence, il n'y a plus grand chose entre nous ! Avec un divorce à l'amiable, j'aurai pris les torts à ma charge, mais maintenant, je ne vais plus pouvoir assurer, donc pas de divorce, tant pis pour toi !
— Attends, c’est vrai ce que tu dis ? Tu es prêt à divorcer ? En me payant une pension ? C’est vraiment important ce contrat.
— Oui. Si les commanditaires sont satisfaits du clip, c’est un contrat qui rapportera gros. Mon patron m’a dit que si je l’obtenais, il m’intéresserait aux bénéfices, tu as tout à y gagner.
— Tu me mènes en bateau, là ? Mais si tu me signes un papier où tu écris de ta main noir sur blanc ce que tu viens de m’énoncer, je crois que je vais pouvoir réfléchir à ta proposition !
Il s’exécuta, nous rédigeâmes un contrat sous seing privé, il signa le document. J’acceptai donc sa proposition. A condition que la prise des photos se passe à la maison, je lui dis qu’il pouvait convoquer les acteurs du clip.
Le lendemain, un samedi, en début d’après midi, mon mari me briefa dans la chambre pour l’entrevue, il me fit mettre nue.
— J’ai récupéré de la lingerie sexy, il faut mettre tous les atouts de notre côté. Ils vont être subjugués de te voir vêtue ainsi. Nous prendrons quelques photos, pour qu’ils les montrent à leur Président. Et puis je compte sur toi, je suis sûr qu’ils vont craquer ! Allez, enfile les dessous !
Pour être sexy, ils étaient sexy, les dessous. Il y avait un bustier en tulle noir complètement transparent qui se fermait sur le devant par deux rubans noirs et qui était loin de couvrir mon nombril. Les bonnets du soutien-gorge, transparents eux aussi, englobaient tout juste mes mamelons et laissaient apparaître le brun du haut de mes aréoles. Il me fit enfiler des bas noirs qu’il fixa lui-même aux grandes lanières du porte-jarretelles qui pendaient du bustier. Un string noir diaphane lui aussi fut passé par-dessus. Il m’avait demandé de bien me raser la chatte et de ne laisser comme d’habitude qu’un petit triangle de duvet ras au-dessus de mon mont de Vénus. Ma fente et les poils se devinaient sous le mince tissu. Le body était retenu sur mes épaules par des bretelles assez lâches qui avaient tendance à tomber sur mes bras. Perchée sur des hauts talons, je me regardai dans la glace. Vraiment pas mal ! Mon époux me tendit un balai à franges.
— C’est pour la photo, pour faire semblant de nettoyer. Il faut subjuguer les ménagères ! Et je compte, comme tu as fait avec les Libanais, sur ton pouvoir de persuasion, me dit-il en souriant.
Je me doutai d’un traquenard… Je n’avais jamais cru à l’histoire de la ménagère. Comme lors de mon entrevue avec son patron, cela allait virer à la vidéo hard, enfin je verrais bien. Normalement pour une pub les deux mecs devraient être genre apollon, ce qui n’était pas pour me déplaire.
On sonna. Ce devait être eux. Je fus émoustillée. C’est sûr, ils allaient bander et j’aimais ça, que des hommes me désirent ! Une voluptueuse sensation de chaleur envahit mon bas-ventre, tu tombes de plus en plus dans la luxure pensais-je.
— Reste là, tu ne viendras que lorsque que je t’appellerai, on sera dans la salle de billard.
Son dernier dada : il avait acheté un billard américain et disputait avec ses copains des parties acharnées où bien souvent l’enjeu, lors de soirées bien arrosées, était de faire l’amour avec la femme du perdant.
Il sortit laissant la porte ouverte. J’entendis qu’il les faisait entrer, dans la pièce, les installait au bar, leur offrait à boire et sortait les feuilles du scénario.
— Vous allez avoir un aperçu des modèles que la boutique de lingerie veut présenter. Il faut que ce soit très érotique, mais on a déjà dû vous le dire. On a dû bien vous préciser votre rôle. C’est moi qui suis chargé de prendre les photos. Trixie, veux tu venir, s’il te plaît ?
J’entrai dans la pièce d’une démarche sexy, les rideaux étaient grands ouverts et comme si ça ne suffisait pas toutes les lumières étaient allumées, on ne pouvait rien rater de mon anatomie mise en valeur par la lingerie. Ils émirent un long sifflement, je pense qu’ils admiraient plus le contenant que le contenu.
Ils étaient deux, un d’environ un mètre soixante-cinq et laid comme un acarien, âgé d'environ soixante ans, corpulent, avec un embonpoint vraiment conséquent, les cheveux courts, pas rasé, des bajoues, un double menton, un nez assez épaté. Il était légèrement plus petit que moi. Sa chemise ouverte dévoilait un torse velu, il sentait me semblait-il la transpiration. On pouvait le qualifier de répugnant. Le patron de mon mari avait dû le choisir pour mettre ma beauté en valeur ! Ça excitait les hommes de voir une jolie blonde tripotée par ce genre de primate. Il n’y avait plus de doute, j’en était sure maintenant, le tournage allait être chaud, et même porno !
L’autre au contraire était beau comme un apollon. Châtain, des yeux bleus, un mètre quatre-vingt, un corps d’athlète dans un costume bien coupé.
Mes yeux se fixèrent sous leurs ceintures, mon cœur fit un bond dans ma poitrine… Deux énormes bosses commençaient à prendre forme le long de leurs cuisses. Ils devaient être nus sous leurs pantalons. La pensée de leurs sexes en érection me chauffa le bas-ventre, je commençai à mouiller en pensant à ce qui allait sûrement suivre. Les pointes de mes seins s’étirèrent, ma chatte devint légèrement moite… En fin de compte, bien que l'un des deux ressemblait a un singe, je crois que j’avais bien fait de dire oui ! Je fis taire ma conscience qui me traitait de dévergondée. Je maîtrisai mes émotions en m’approchant pour leur serrer la main.
— Vous…vous êtes splendide, Madame, me dit le petit gros.
— Mais on peut se tutoyer… Appelle-moi Trixie minaudai-je.
— Moi c’est Fred et lui Bob.
— Voici le produit pour lequel il faut faire la promotion, dit mon mari en riant.
— Il est superbement mis en valeur, dit le grand blond me faisant tournoyer sur moi-même…
— N’est-ce pas ? Trixie, grimpe sur le billard, nous allons faire quelques photos de toi seule pour l’instant.
Je m’agenouillai sur la feutrine. Un flash crépita. Mon mari me prenait de dos. Les deux hommes se tenaient derrière lui. Il écarta mes fesses pour bien faire entrer la ficelle du string et ajusta les lanières de mes bas. Un second flash.
— Trixie, assieds-toi s’il te plaît.
Pendant l’opération la bretelle de mon bustier tomba sur mon bras. Fred, le petit gros dans mon dos approcha son nez et renifla le long de ma colonne vertébrale.
— Tu as un parfum sublime, me dit-il en relevant doucement la bretelle.
Une troisième photo fut prise.
— Vous devriez vous mettre torse nu, ainsi on mettrait en valeur le modèle, ordonna mon époux.
Fred ne se le fit pas dire deux fois ! Rapidement il se défit de sa chemise, déboucla sa ceinture et l’on pu ainsi admirer ses pectoraux poilus qui pendaient flasques, les triples bourrelets de son ventre, la touffe de poils noirs, rêches et fournis qui partaient de son sexe et s’étalaient sur les replis graisseux de son abdomen. Même ses épaules étaient recouvertes de pilosité noire. Je le regardai ébahie, comment pouvait-on faire la promo d’un produit avec un modèle aussi laid ? Plus de doute, j’en étais sûre, il y avait autre chose, c’était pour appâter les clients avec des photos osées, où un mec ressemblant à un primate baise une jolie blonde.
Bob, avec calme, dévoila son torse glabre est musclé. Ils se positionnèrent de part et d’autre de moi. Mes mamelons tendus transparaissaient sous le tulle noir, les yeux de Bob et surtout ceux de son copain Fred, étaient rivés dessus. Ils semblaient étonnés de la longueur qu’ils avaient atteint.
— Approchez, serrez-vous…
Plusieurs flash scintillèrent.
— Voilà, on aura un bon aperçu.
— On pourrait peut-être en faire une autre comme ça ?
Fred baissa la bretelle, il passa son doigt dans le bonnet du bustier et dévoila mon mamelon et mon aréole. Je frissonnai. Son copain, ne voulant pas être en reste, ôta la seconde bretelle tira sur le bord du bustier et fit jaillir mon autre téton. Un autre flash.
Fred saisit entre ses dents le dard brun, le mordilla et l’aspira. Bob me caressa l’autre sein et me lécha le cou, approchant ses lèvres de mon oreille. Il murmura :
— Dis-donc, Trixie, tu n’es pas farouche ! Regarde les pointes de tes seins ! Et je suis sûr que tu mouilles.
— Eh, nous n’avons pas fini les photos… Ce n’est pas ce qui était convenu ! Pesta mon mari ! Il nous faut le balai. Trixie, rajuste-toi et prends le balai.
Je frottai le sol avec des poses suggestives, entourée des deux hommes, tandis que mon mari nous mitraillait.
— C’est bon, il y en a assez.
— Non, dit Fred. Nous allons en faire quelques-unes pour que l’équipe du tournage du clip ait de bons repères, le patron nous l’a demandé, ce n'est pas assez érotique, le patron exige plus hard !
Il quitta les bretelles du bustier, mit mes deux seins dehors, titilla bien les bouts pour qu’ils soient bien tendus.
— Fait semblant de frotter le sol… oui… ainsi… photo !
Il se mit à me peloter les fesses, tirant sur la ficelle du string comme s’il voulait me l’ôter.
— Bon, si nous obtenons satisfaction, et tu devines de quoi il est question, n’est ce pas, Trixie ? Et se tournant vers mon époux, il ne devrait pas y avoir d’obstacle, si tu veux obtenir le contrat, nous allons tourner le clip maintenant... Notre Président nous a donné l'accord si le modèle était canon.
Il déballa une camera dernier cri, et la tendit à mon mari, voilà tu vas pouvoir filmer...
— Tu peux commencer
— Mais , je... protesta mon époux
— Tu veux le contrat oui ou non ? Alors enclenche la camera !
Sans un mot, il capitula et se mit à filmer. Je me tournai vers la camera :
— Tu veux toujours avoir ton contrat ? Pour moi, il n’y a pas de problème, je peux faire comme avec les Libanais.
Je n’avais pas fini de dire cela à mon époux que Fred tira prestement sur le string qui se déchira. Son copain qui jouait avec une boule de billard la fit tomber sur le sol, elle roula derrière moi, je me tournai et me penchai pour la ramasser, offrant aux trois hommes une vue parfaite sur ma vulve.
Mon mari obéissant filmait, Bob se mit à côté de moi, déboutonna sa braguette et sortit sa verge. J’y jetai un coup d’œil. Elle était moins longue et moins grosse que celle de Gérald, mais de bonne taille. Son prépuce légèrement rétracté dévoilait un bout de gland brun très foncé. Il prit ma main et la posa dessus. Je décalottai le gland et le masturbai doucement. Sa bouche aspira un de mes mamelons.
— Putain, les tétons qu’elle a ! Je crois que je n’en ai jamais vu d’aussi long ! Filme bien s’il te plaît !
— Hé, les gars, ce n’était pas prévu, dit mon conjoint, les yeux fixés sur le sexe sortant de la braguette.
— C’est rien, attend de voir celle de Fred. Lorsqu’il bande il atteint les vingt-six centimètres !
Celui-ci était passé de l’autre côté. Il dégrafa sa ceinture et son pantalon tomba. Il était nu dessous. Son pénis me fascinait. Il était en érection, il devait mesurer largement plus vingt-cinq centimètres. Son gland décalotté mauve foncé était assez pointu puis s’évasait en une large corolle d’au moins cinq centimètres de long jusqu’à la couronne bien marquée et très saillante, ce qui devait procurer des sensations exquises sur les parois vaginales. Bob s’était remis à me mordiller le téton gauche…
— Oooooohhhh, putaiiiiinn ! fit mon époux en regardant l’énorme sexe de Fred qui se dressait fièrement vers le plafond
— Suce-nous, me dit Fred. Et vous, continuez à filmer !
Je regardai mon mari. Il ne disait rien et avait un léger sourire.
Je les suçai et les léchai à tour de rôle, masturbant celui qui n’avait pas droit à ma bouche. Ils se mirent entièrement nus, me firent des compliments sur ma façon de téter leurs phallus. Ils essayèrent de me les mettre toutes les deux dans la bouche, mais elles étaient trop volumineuses.
— Assieds-toi sur le billard, écarte bien les jambes et caresse-toi… Oui, c’est ça, enfonce tes doigts… Putain, ce que tu mouilles, tu taches le tapis… n'arrête surtout pas la camera, toi ! Zoome sur sa chatte quelle bonne idée elle a eu de la raser.
Fred s’avança, me repoussa sur le dos et positionna son gland à l’entrée de ma vulve. Il était tellement imposant qu’il semblait faire le double de mon orifice vaginal. Il titilla mes lèvres pour les écarter…
— Bob, prends-lui la cheville et écarte lui bien la jambe, que Monsieur puisse faire un joli zoom de ma pénétration… Tu vas voir, ça va entrer tout seul, malgré la grosseur, dit-il en me faisant un clin d’œil.
Il poussa. L’énorme phallus disparu lentement et entièrement dans mes entrailles. Il le ressortit luisant de mon foutre et l’enfila à nouveau avec de petites saccades rapides. Il regarda d’un air de défi mon mari qui, subjugué, qui avait sorti sa bite tendue en arc de cercle et avait l’œil rivé à sa caméra.
— Merde, dit Bob, tu lui as tout mis ! Vu la grosseur et la longueur de ta queue, je ne croyais pas que c’était possible, tout au moins du premier coup ! Elle est super votre Nana m’sieur !
— Putain oui, la salope, la salope, répétait mon mari.
Bob me présenta son phallus à sucer. Il s’était mis à genoux sur le plateau, me demandant de lui aspirer les couilles…
— On change de place si tu veux, dit Fred.
Au bout d’un long moment, il me fit descendre, me retourna et me courba sur le billard. Bob me mit le coussin d’un fauteuil sous le ventre pour bien surélever mes fesses et me fit poser un genou sur le bord. Il avait ainsi un accès aisé à ma vulve. Il enfonça lui aussi son pieu dans l’orifice béant et trempé. Fred avait pris la place de son copain et s’était assis devant moi jambes ouvertes, sexe tendu. Ma bouche l’enveloppa. Mon mari, pris au jeu, faisait des zooms en gros plan du phallus qui me pourfendait. Il s'adressa à moi d'un air dédaigneux.
— Salope, tu as vraiment l’air d’aimer ça, dit-il. Sa queue dégouline de ton foutre.
— Ohhhhh ouuuuiiiii, sa bite est merveilleuse.
Bob avait glissé ses mains sous les lanières de mon porte-jarretelles et tenait fermement le devant de mes cuisses. A chaque coup de boutoir il me tirait le bassin vers lui, pour enfoncer son sexe le plus profondément possible. Il voulait sûrement m’entendre gémir comme je l’avais fait lors de la pénétration de la monstrueuse queue de Fred. Mon mari avait raison, j’aimais vraiment ça… Surtout le phallus du petit gros, bien qu’il soit atrocement laid…
Fred me donnait des baisers effrénés en me malaxant les seins, pinçant, tirant, griffant mes mamelons. Je leur demandai de ne pas s’arrêter.
— Tu vois, dit Fred, regarde ton mari comme il bande. Il aime te voir te faire prendre par deux inconnus…
Effectivement, il avait sorti son sexe et tenant la camera d’une main, il se masturbait ardemment. Bob accéléra la cadence de ses pénétrations… Il regarda mon mari avec un petit air narquois.
— Tu l’aimes hein, ma bite, hein ? Putain que ta chatte est bonne… Tu…tu… tu vas me faire… jouir… ouiiiiiii….. tiens prend mon sperme…. Ouiiiiiii…..!!!
Il avait enfoncé sa verge entièrement en moi et je sentis les tressautements du cylindre déversant le sperme chaud et visqueux entre mes parois vaginales. Il m’avait saisi les seins à pleines mains pour bien me plaquer contre lui.
Émoustillé, Fred sans me laisser un instant de répit, me fit tourner, coucher sur le dos les fesses au bord du billard.
— Ouvre-toi bien… dit-il en se positionnant entre mes cuisses et en masturbant son immense phallus dressé.
Je savais ce qu’il voulait. Avec deux doigts, je récupérai dans mon vagin du sperme de Bob mêlé à mon foutre et en badigeonnai mon orifice anal, Fred me souriait en se caressant, me laissant bien lubrifier mon trou rugueux.
— Oh nonnnn ! Garce ! Il ne va pas te sodomiser avec sa bite monstrueuse ! hurla presque mon conjoint. Tu ne vas pas le laisser faire !
— Ben si, mon chéri… Et puis je vais te faire un aveu, puisque ça te plaît de me voir me faire baiser par deux hommes ; vois-tu ce n’est pas la première fois.
— Et oui, confirma Fred. Et si tu ne t’en es pas encore aperçu, elle adore ma grosse queue ! Et n’oublie pas de filmer…
Il poussa son mandrin d’une main bataillant un peu pour retourner mon ampoule rectale qui n’avait pas connu une telle insertion depuis pas mal de temps. Mais son gland disparut puis, par petits coups, il enfila toute la longueur… je hoquetai de plaisir… je me mordis les lèvres… Je voulais que mon mari crève de jalousie en voyant ce gros bedonnant m'avilir complètement, et surtout que je prenais du plaisir bien qu'il soit répugnant à tous les égards.
— Allez, Trixie, avoue à ton mari que tu aimes ce que je fais, que tu es dingue de ma grosse bite qui t'encule et que je vais te faire te faire jouir. Allez, dis-le lui, avoue le à la caméra…
— Ouuuuiiiiii, ouiiiiii, tu as raison… ton sexe est extraordinaire… continue, continue ! Défonce moi, j'aime ça !
Bob s’était rapproché pour mater la scène.
— Elle me fait bander à nouveau cette garce… Elle a vraiment un corps superbe… Tiens tu vas à nouveau sucer ma queue… oui, c’est bien ça ! Mordille mon gland…
Entre deux gémissements de plaisir, je hoquetai :
— Fred, Fred… on ne pourrait pas essayer une double pénétration vaginale ?
— Ce n’est pas vrai ?! Tu le veux vraiment ? Tu es vraiment une petite Salope ! OK, on va le faire, Bob bande bien maintenant.
Il interrompit à regret sa sodomie et commença à me lécher la vulve à grands coups de langue bien baveuse. Avec un, puis deux, trois et ensuite quatre doigts, il étira mes parois vaginales…
— C’est bon, c’est souple, dit-il en regardant Bob, je vois que tu es de nouveau en forme…
— Eh ! Vous allez lui faire quoi ? s’inquiéta mon mari…
— Ce qu’elle a demandé !
— Vous allez la pénétrer ensemble avec vos grosses bites ?
— Ben oui Chéri et au même endroit ! rétorquais-je.
— Putain c’est pas vrai ? Tu as déjà fait ça ? me demanda-t-il, abasourdi.
— Oui, avec Gérald. Tu sais, le Noir avec qui je travaille me sodomisait pendant que ses copains noirs eux aussi, me prenaient ensembles avec leurs deux grosses bites dans mon vagin…
— Ses copains ? Des noirs aussi ? Tu es une vraie garce ! Une vraie Salope !
— Tu n’aurais pas un tube de vaseline des fois ? lui demanda Fred…
Ce dernier pendant la conversation avait demandé à Bob de se coucher sur le billard, celui-ci maintenait le sexe en érection en se masturbant doucement.
— Alors, ce tube ?
— Voilà, dit mon époux à regret.
Il sortit la pommade d’un tiroir du bar. Elle servait parfois pour faciliter les sodomies des compagnes des perdants lors des parties de billard.
— Tiens, Trixie, à toi de jouer, me dit-il en me tendant le tube.
J’en enduisis soigneusement le phallus de Bob, qui sachant ce qui allait se passer bandait plus fort qu’avant. Puis je me tournai vers Fred et en le regardant langoureusement dans les yeux et étalai le lubrifiant sur son immense sexe, le massant doucement, lui caressant amoureusement les testicules. Il se pencha, m’embrassa fougueusement, me souleva et me mit jambes écartées au-dessus de Bob.
— Tu peux commencer à filmer, si tu veux… Avec de telles images, mon président devrait être prêt à signer tous les contrats que tu lui présenteras… Ta femme met vraiment en valeur la lingerie ! Vas-y Trixie, enfourne sa grosse bite.
Je fléchis sur mes talons, le sexe bien lubrifié glissât doucement, une fois bien en place, Fred me coucha sur le ventre de Bob, je sentis son gland forcer pour écarter mes petites lèvres, il poussait régulièrement… Je regardai mon mari, qui les yeux écarquillés filmait machinalement la scène en se branlant avec force.
— Salope, salope ! répétait-il comme une litanie. Salope, tu m’excites, je vais jouir !
Bob me caressait les seins sans trop bouger, laissant l’énorme phallus de son copain envahir mon vagin. Il jaillit plusieurs fois hors de mon conduit vaginal pourtant bien dilaté et Fred enfilait à nouveau son sexe monstrueux en riant. Il attrapa mes chevilles et écarta plus largement mes jambes. Il gagna plusieurs centimètres. Il ne pouvait pas entrer toute la longueur… Il commença ses vas-et-viens, qui me firent hurler de plaisir. Son pouce frottait doucement mon clitoris… chaque pénétration lui faisait gagner des centimètres.
— Tu as vu ? dit Fred en s’adressant à mon époux, elle aime ça, les grosses bites ! Ça la fait grimper au septième ciel ! Tu l’as déjà contentée comme ça ? Regarde comment en prend son pied !
L’orgasme me tomba dessus telle la foudre sur un paratonnerre. Je me cambrai, tétanisée, hurlant mon plaisir. Les contractions de mon vagin expulsèrent le sexe de Bob et le chemin ainsi dégagé permit à Fred d’un puissant coup de reins d’entrer jusqu’à la garde son monstrueux phallus. Mes parois étaient si distendues que c’est tout juste si je sentis les puissants allers et retour de son colosse de six centimètres de diamètre et son drôle de gland me frotter les parois vaginales. Il se coucha sur moi. Ses lèvres lippues aspirèrent le téton de mon sein droit dur comme du bois, puis mon aréole boursouflée et gorgée de sang. Il me sembla que l’on me plantait une aiguille rougie sur le bout de mon sein ; il venait de mordre le mamelon et cette douleur décupla mon plaisir. Je hurlai à nouveau, j’attrapai sa tête entre mes deux mains, ma bouche se plaqua sur la sienne, ma langue envahit profondément sa cavité buccale. Il me tenait fermement aux hanches, comme pour m’empêcher de lui faire perdre un centimètre de sa colossale pénétration. Il explosa à son tour, éjaculant sa semence à grands coups de rein. Son phallus semblait doué d’une vie propre dans ma vulve. Ce grand boa avait trouvé son repaire, le nid chaud douillet et humide qu’il semblait ne plus vouloir quitter et qu’il remplissait du nectar de la vie…
Fred, me caressait les cheveux et me bécotait le visage tendrement :
— Es-tu heureuse que j’ai éjaculé en toi ? Et vous, vous avez filmé sa jouissance ? C'était vraiment super.
Il n’avait pas sorti de ma chatte son énorme phallus, qui désenflait doucement et continuait un léger pompage dans mon vagin. Je sentis que l’on me mettait une bite dans la main. Ce ne pouvait que mon mari.
— Salope, je vais jouir, je vais jouir, branle-moi ! Vite, vite !
Il éjacula dans ma main.
— Lèche son sperme, m’ordonna Fred.
Je lui obéis et suçai mes doigts poisseux.
— Hé, les enfants, j’ai une grosse envie de sodomie, dit Bob, que nous avions oublié dans la bataille.
Je fis la moue… Je commençai à saturer.
— Allez, fait lui plaisir, il n’avait jamais baisé avec aussi jolie blonde avant aujourd’hui ! Attends, tu vas voir. Je vais le lui mettre son petit trou en forme.
— Salope ! Tu vas remettre ça ? s’outragea mon mari.
Fred faisant fi de sa remarque, cracha dans mon anus et pénétra mon trou intime à petits coups de langue de plus en plus profonds, s’égarant parfois dans mon vagin et titillant mon clitoris, mais revenant invariablement fouiller mon anus. Lorsqu’il vit que je recommençai à être émoustillée, il me fit mettre accroupie au-dessus de Bob et lui guida le sexe à l’intérieur. Bob se débrouilla très bien ensuite tout seul. Je sentis ses poils rêches me picoter les fesses. Fred, lui, me malaxait les seins et à force qu’il tire dessus mes mamelons redevenaient durs comme du bois. Il me donnait de longs et humides baisers dans le cou et me mordillait le lobe des oreilles.
Mon mari avait l’air désespéré et son phallus pendait flasque. Il filmait toujours d'un air résigné et me regardait, incrédule, sidéré par les aveux que je venais de lui faire. Fred avait l’air de s’amuser de cette situation. Je lui avais avoué pendant qu’il me possédait qu’avec mon époux, ce n’était pas le top au niveau sexuel. Il devait s’en souvenir et voulait attiser sa jalousie.
— Allez, Trixie, avoue à ton mari que t’es éclatée avec nos grosses bites et que tu as adoré qu’on éjacule au plus profond de toi ! Dis-lui, que tu vas jouir une nouvelle fois avec Bob… Allez, petite salope, dis le lui !
— Ouuuiiiii ! Ouiiiiiii ! J’ai adoré baiser avec toi ! Ta queue et ton sperme ! Ohhhh putain que c’est bon de se faire sodomiser ! Ouiiiiiii ! Je vais jouir ! Putain qu’elle est bonne ta grosse queue !
Je sentis que Bob allait éjaculer.
— Attends, attends ! lui dis-je.
— Continue, continue le film ! tonna Fred.
Je serrai fortement le sexe de Bob et descendis de la table. J’eus juste le temps de prendre son gland dans ma bouche lorsqu’il éjacula ! Je récupérai sur ma langue sa semence. Lorsque les soubresauts de sa verge cessèrent j’ouvris la bouche en grand et, regardant mon mari, je déglutis le sperme visqueux par petites saccades en me léchant les babines pour lui monter que j’appréciai le sperme ingurgité.
— Bon, dit Fred, tout est bien qui finit bien ! Il nous manque juste la carte numérique pour la faire visionner à notre Président. Je pense qu’avec une telle démonstration, il ne devrait pas faire de difficultés pour signer !
— C’est que… c’est que… dit mon mari. Oui, mais… je ne sais pas…
— Pour te répondre, Fred, dis-je, ça me parait évident. Il pense que c’est juste une envie de bestialité de ma part. Mais ça l’excite de me voir me faire prendre par d’autres hommes que lui, bien que son ego en prenne un coup. Et surtout, que cela puisse se savoir…
Je ricanai doucement en le regardant dans les yeux.
— Tu as signé un papier, ai-je poursuivis. J’ai rempli ma part du marché. À toi de tenir ta parole, maintenant. On va pouvoir se séparer.
Il hésitait, puis la cupidité l’emporta et il tendit la puce électronique à Fred.
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