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Les aventures sexuelles du jeune etudiant Mahdi (5)

Maintenant notre ami Mahdi a la chance des amoureux de Terma avec lui malgré les interdits de son mentor ammi Ali qui lui a mit un surveillant. Il va encore trouver de quoi satisfaire sa Terma dans le camp isolé et retrouver les saveurs des zobs noirs qu'ils chérissait tant en ville.

Proposée le 9/03/2024 par DALIDA

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Thème: Homme soumis
Personnages: HH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Après ces aventures, ammi Ali et Said voulaient m’interdire d’aller en ville pour baiser et satisfaire les envies de ma Terma, durant leur absence pendant les semaines suivantes. Alors, ils chargèrent un contremaitre de leurs amis, pour me surveiller et me dénoncer à la Direction si j’osais quitter le campement pour aller en ville durant leur absence. Donc j’étais coincé et la semaine suivante passa comme d’habitude. Ammi Ali me donnait mes deux sodomies chaque nuit et souvent la troisième à l’aube. Et pendant la journée, Said trouvait parfois le moyen, suite à la liberté dans son boulot, de venir me voir et prenait sa part de sodomie dans ma Terma une et parfois deux fois. La première par derrière à genoux tous les deux et la seconde par devant face à face, mes jambes et cuisses haut levées et écartées pour laisser la voie à son zob vers mon anus sous mes couilles. Malgré ces multiples sodomies, ma Terma ne semblait pas satisfaite ni rassasiée. D’abord elle s’est habituée à leurs zob, à leurs dimensions moyennes et ensuite à leurs méthodes. Avec eux, ma libido est toujours faible et souvent inexistante et j’avais envie de plus de zob et plus gros. Et comme d’habitude le destin vint au secours de ma Terma.

D’abord, le gars qui devait me surveiller était amateur de Terma et très rapidement j’ai réussi à l’attirer dans le lit même de ammi Ali pour me niquer par deux fois et je lui ai promis d’autres jouissances pour plus tard. Ensuite, un chantier a été créé cette semaine, juste en face de notre campement, de l’autre coté de la route et de nouveaux ouvriers ont été recrutés et logés dans des baraques faces aux nôtres. Quatre baraquements dont trois pour des logements, chacune pour trois ouvriers et la quatrième beaucoup plus grande pour les utilités. Partagée en quatre parties, la première comprenait des petites cuisines multiples au service des ouvriers, la seconde comprenait plusieurs douches et WC aussi pour les ouvriers, la troisième, plus vaste, était une sorte de foyer et cafétéria avec une salle de jeux et la quatrième partie était un petit logement pour Jojo, le gérant responsable de l’ensemble. Jojo était un quinquagénaire avec un gros ventre mais qui était très sympathique. Jojo passe toute la journée et une partie de la nuit au camp alors que les ouvriers vont chaque jour au travail de 8h à 17h et rentrent pour se nettoyer, faire la cuisine et se délasser au foyer.

Jojo passait sa matinée à nettoyer et préparer au mieux les parties communes pour les services des ouvriers et il était libre de midi à 17h où il prenait en charge la cafétéria. Il servait aussi, pour ses bénéfices en plus de son salaire, des casse croutes, des hamburgers payants aux ouvriers. Dès le premier jour, Jojo et moi sommes devenus copains et comme moi aussi je ne travaillais que la matinée, je pouvais passer mes après midi avec lui. Il était toujours en short qui couvrait si peu son gros ventre et ses fesses. Je voyais bien qu’il pouvait servir à ma Terma affamée. Pour l’aguicher, dès le quatrième jour, à 12h, je suis allé chez lui, habillé seulement de ma gandourah qui collait à mes fesses nues et qui, provocatrice, s’incrustait visiblement dans leur sillon. Ma Terma était nettement profilée, dessinée pour le zob de Jojo et je me baissais souvent en gonflant ma croupe pour accentuer le piège .

Il a sauté immédiatement sur l’occasion. Je voyais son zob qui pointait fort son short, il bandait sur ma Terma. Et sans hésiter, il m’enlaça dans ses bras et ses mains prirent pleine possession de mes fesses. Son zob piquait mon bas ventre et contre ma bite qui, d’excitation, s’était aussi bandée. Puis il se colla derrière moi, contre ma croupe, ses lèvres qui broutaient mon cou et son zob se frottait entre mes fesses à travers la fine gandourah qui ne cachait pratiquement rien. Ses mains par devant massaient mes seins et sa bouche insistait sur mon cou et il prit aussi mes lèvres dans un fort baiser que j’acceptais avec désir. Puis, voyant mon accord tacite, il m’a enlevé ma gandourah qu’il jeta par terre, puis il se débarrassa prestement de son short. Ma Terma était affamée par ce nouveau zob qui était assez court mais très large à souhait. Rapidement à genoux sur son lit, il se plaça derrière moi et en vitesse il poussa son zob qui s’enfonça rapidement dans mon cul et jusqu’aux couilles. Enfin j’avais trouvé sur place, un remplaçant des zobs de la ville, même si son gabarit était plus faible.

Dès qu’il m’a pénétré, ma Terma commençait à ruisseler de désir. Les grosses mains de Jojo, accrochées à mes hanches, il démarra une série acharnée de vas et viens dans mon cul. Il haletait derrière moi et gémissait parfois en murmurant des choses que je n’ai pas saisies. Rapidement ma Terma reprit ses démangeaisons et ses jouissances et moi aussi je commençais à gémir de plaisir et je lui criais d’y aller plus fort, de s’enfoncer encore plus dans mon cul. Hélas, si son zob était large et gros, il était court et ma Terma l’a tout de suite ressenti. Mais, comme il n’était qu’un surplus dans la journée des sodomies de ammi Ali et de Said, j’ai pensé qu’il pouvait suffire en attendant mieux. Et pendant plus d’un quart d’heure, Jojo me niqua par derrière avec rage et violence et il a réussi à faire jouir moyennement ma Terma. Et enfin il arriva à son top et déversa trois grandes et puissantes rasades de sperme dans mon cul. Puis il se retira. J’ai pensé à ammi Ali et Said comme à une vengeance et qu’on ne pouvait jamais arrêter le destin du plaisir et des jouissances sexuelles pour une Terma affamée.

Mais j’ai remarqué que son zob restait debout et assez gonflé, alors j’ai poussé Jojo à s’allonger le dos sur le lit et je suis monté sur son bas ventre, les cuisses de chaque coté. D’abord, j’ai commencé à sucer et à lécher totalement son zob et ses couilles, et voyant qu’il redevenait dur petit à petit, je me suis positionné pour l’enfoncer dans mon cul malgré le sperme. Et puis, j’ai commencé à danser du cul sur le zob, à ma guise pendant un long moment. Son zob durcissait rapidement à la chaleur de mon cul. Malgré que son sperme sortait de part et d’autre de mon cul et mes fesses, les démangeaisons de ma Terma recommencèrent à faire leurs effets agréables de jouissances. Alors je me suis acharné dans mes mouvements pour en jouir au maximum. Cela a remonté aussi le plaisir de Jojo et de ses couilles et il commença à participer à la danse de son zob dans mon cul par des chocs saccadés de son bassin et de ses reins. Et rapidement nous sommes arrivés à son plaisir et son zob projeta dans mes entrailles trois ou quatre nouvelles bordées de sperme chaud. C’était inédit pour lui m’a-t-il dit dans une voix étouffée au milieu de ses hoquets de jouissances.

Alors je me suis assis complètement sur lui et je suis resté immobile pendant ce déchargement car cela amplifiait aussi mes jouissances. Il hurlait son plaisir sans tenir compte du voisinage, qui, heureusement était vide à cette heure. Puis on s’est séparé pour aller nous nettoyer dans le lavabo de son logement. Quant on a reprit nos places sur le lit, son zob semblait nettement fatigué, en tout cas, mou et raccourci mais ma Terma me démangeait encore. Je l’ai pris en main et j’ai recommencé à le sucer et à le branler doucement puis vigoureusement. Il m’a dit qu’il ne pouvait pas aller plus et que c’était inutile de me fatiguer. Mais il ne connaissait pas mes capacités de réveiller les zob fatigués.

De plus, je me suis mis en 69 sur lui et je lui ai tendu ma croupe, mes fesses et mon anus palpitant et je lui ai demandé de me lécher le tout. Je savais que la chaleur de mon cul, le volume et la douceur de mes fesses étaient des sorciers, des aphrodisiaques sexuels pour la libido des hommes et pouvaient faire des miracles. Et cette fois encore, cela réussit. Son zob se remit à bander puis à gonfler et enfin à durcir suffisamment. Je massais aussi ses couilles et je constatais qu’elles se remplissaient et se regonflaient au fur et à mesure du gonflement de son zob. Il était donc prêt pour une troisième sodomie, dommage seulement que sa longueur n’était pas à la hauteur.

Puis je me suis mis dos sur le lit et je lui ai expliqué de me sodomiser face à face. Il comprit tout de suite et il me dit que c’est ainsi qu’il baisait sa femme. Je lui ai dit qu’il allait maintenant faire
l’expérience de baiser un homme de la même manière, mais dans son cul sous ses couilles. Il se positionna entre mes jambes que je levais haut vers ses épaules et il trouva facilement mon anus et me pénétra facilement. Puis il me niqua face à face en se permettant de faire comme avec sa femme. C'est-à-dire qu’il me caressait et massaient et embrassait aussi mes seins et mon cou puis baisait mes lèvres en me disant souvent « mon amour, je t’aime ». Il s’oubliait et se croyait en train de niquer sa femme. Mes jambes sur ses épaules, mes cuisses largement écartées, mon anus était totalement à sa merci et les coups de reins rageurs de ses vas et viens dans mon cul traduisaient qu’il aimait bien cette position de face à face. Dix ou quinze minutes après, ses couilles bien remplies, projetèrent vers son zob et vers mes entrailles de larges bordées de sperme. Dans cette seconde sodomie, il m’a autant fait jouir que les précédentes et j’ai profité de ses caresses et ses baisers sur mon corps. C’était assez acceptable quoique inférieur aux ébats des gros zobs noir de la ville mais il fallait faire le maximum avec le zob que j’ai trouvé.

Ensuite, il resta dans mon cul malgré que j’ai rabaissé mes jambes dans son dos. Il était très content de cette nouvelle expérience. Et, par curiosité et aussi par plaisir, je voulais encore l’aguicher pour voir ses possibilités. Alors, je poussais et attirais avec mes pieds et cuisses, son corps et ses reins contre mon bas ventre pour garder son zob dans mon cul. Il en profita pour m’embrasser encore plusieurs fois au cou et aux lèvres, et masser mes seins et entourer mon cou de ses bras et me répéter « ma chérie » plusieurs fois. Je l’ai ensuite poussé pour me libérer et il tomba presque groggy de plaisirs sur le lit. Son zob devenu mou s’est recroquevillé contre son bas ventre. Moi, je suis allé me nettoyer encore une fois dans le lavabo et j’ai remis ma gandourah. Il était déjà 16h passée, donc je suis passé dans la partie des utilités où j’ai pris, une plus longue douche chaude. Quant j’ai terminé, les premiers ouvriers entraient déjà dans le baraquement pour se nettoyer.

J’ai eu juste le temps de mettre ma gandourah, mais je crois qu’il y a eu au moins deux ou trois premiers ouvriers qui m’ont vu à poil et cela a réveillé mes fantasmes. Et Quant je suis sorti du baraquement pour allez vers la baraque de ammi Ali, j’ai rencontré trois ouvriers noirs et j’ai constaté que ma gandourah collait toujours à mes fesses mouillées d’une manière nette et que le profil de ma croupe était aussi bien visible, provocatrice à leurs zob. D’ailleurs, l’un d’eux m’a interpelé :
« ya zébi ! hadhi Terma wala wach ! » (mon zob ! voici une Terma ou quoi !) et un autre :
« ya ka7ba ! edawri 3ala zbouba ! hanna wajdine ! » ( putain ! si tu cherches des zob ! nous sommes là !) et le troisième s’approcha de moi en tendant sa main vers ma croupe:
« arwa7 t’chouf zebi ! m’tannane 3ala teremtek ! » ( viens voir mon zob gonflé pour ta Terma).
Ils m’ont excité car j’ai souvenir des zobs noirs de mes amants de la ville et qui étaient gros, longs et jouissifs et remplissaient bien ma Terma.

Mais je me suis rapidement éloigné pour rejoindre notre baraque avant que l’un d’eux ne prenne la décision de m’attraper et de me violer le cul bien apparent à leurs yeux et à leurs zob. Arrivé sain et sauf chez moi, j’ai décidé de faire attention à l’heure la prochaine fois, en quittant Jojo et les douches. Mais, je vais être franc. Leurs paroles et le fait de me savoir nu sous ma gandourah, donc disponible pour ces gros zobs noirs, tout cela m’a excité et ma Terma continue même après à me démanger. Je les imaginais dans ma tête, trois énormes zobs noirs, avec leurs grosses veines gonflées et qui savaient me fouiller les entrailles avec plaisir et jouissances. Mais j’avais été surpris et j’avais un peu peur en public, sinon j’aurais foncé, ma Terma vibrait encore d’envies.

La suite de la journée et de la nuit ne furent pas normales, car ammi Ali décida, d’aller jouer avec les ouvriers dans la baraque des jeux. J’ai fait d’abord le diner pour nous deux puis je suis allé jeté un coup d’œil dans cette fameuse baraque des jeux malgré l’interdit de ammi Ali. Elle était presque totalement pleine. Les ouvriers jouaient par groupes et criaient et hurlaient durant leurs jeux. Ils ne firent pas d’abord attention à moi et je circulais d’un groupe à l’autre sans problème. Soudain, une main se colla à ma croupe et la caressa durement, volontairement. Je me suis retourné et j’ai vu que c’était l’un des ouvriers noirs qui, cet après midi, avait remarqué ma gandoura collé à ma croupe et m’a parlé de son zob qui bandait pour ma Terma. On s’est regardé et il m’a chuchoté :
« Zébi edawar ichouf wi miss teremtak ! » (Mon zob voudrait voir et toucher ta Terma). Je n’ai pas répondu mais les termes m’ont ébranlé un peu. Il m’a poussé doucement vers la partie du fond de la baraque et qui était vide et assez sombre et m’a encore chuchoté :
« erou7ou al baraqua n’ta3ak bah ennikou ya 7abiba ! bah enikou ! zebi rah tanane idawar iétardag ! » ( allons dans ta baraque pour niker, ma chérie ! mon zob gonflé va éclater !) et il me prit la main pour la mettre sur sa braguette et sur son zob que j’ai machinalement saisi.

Il semblait puissant et gonflé comme je l’ai deviné et j’étais heureux que c’était pour ma Terma. Tout de suite j’en avais envie, la au milieu des dizaines d’ouvriers. Alors, j’ai continué à saisir et serrer son zob et je l’ai attiré ou plutôt je l’ai tiré par son zob dans l’autre partie du baraquement où se trouve le logement de Jojo. Je savais que Jojo tenait le bar à ce moment et était occupé au-delà de minuit et que ammi Ali allait s’attarder idem aux jeux. Alors j’ai poussé la porte de Jojo et nous avons pénétré son logement. Tout de suite, j’ai tiré son zob du pantalon et j’ai été satisfait, très satisfait de sa longueur, de son épaisseur et de sa puissance. Ma Terma sera enfin servie ce soir. Il se débarrassa vite de son pantalon et slip et moi aussi de mon jogging seul vêtement qui couvrait ma nudité. Son zob était semblable à ceux de mes amants noirs de la ville et je savais que je pouvais compter sur lui pour satisfaire ma Terma. Nus de la ceinture aux pieds nous sommes montés sur le lit. J’ai commencé à sucer son zob de haut en bas et le branler avec l’aide de ma salive et il durcit encore et semblait ajouter de longueur. Puis, agenouillé, je lui ai tourné le dos et offert ma croupe qu’il désirait tant et mon cul. Rapidement il trouva le chemin de mon anus et d’une main bien guidée il enfonça son zob dans mon cul jusqu’aux couilles en poussant un hoquet et en gémissant « Ahhhh » de jouissances.

Moi aussi, vu les dimensions de ce zob, ma Terma a vibré et couiné de plaisir et j’ai lancé aussi un long hurlement de jouissance, sans tenir compte du voisinage heureusement trop bruyant des ouvriers, car cet enfoncement du gros zob a été puissant, agréable et jouissif. Ma Terma attendait cela depuis hier. Et accroché à mes hanches, l’homme me niqua pendant un très long moment et avec violence, par des vas et viens puissants de son zob dans mes entrailles. Enfin j’avais ce qu’il faut dans mon cul en grosseur et puissance. J’ai eu confiance à son zob et il me donna beaucoup de plaisir et de jouissances, nettement plus que les sodomies avec Jojo ou avec ammi Ali et Said dont les zob étaient plus petits et moins forts . Il a satisfait ma Terma de plaisir et de jouissances, mon cul suait de désir, pendant plus de dix minutes, et sur le lit de mon ami Jojo, avant d’arriver à son plaisir par trois abondantes éjaculations de sperme chaud dans mes entrailles. Nous avons hurlé ensemble de ce plaisir si jouissif. Puis il semblait pressé car il sortit rapidement son zob de mon cul, aussi vite qu’il était entré en moi tout à l’heure, comme un voleur. Je ne savais pas pourquoi il était pressé. Moi, j’avais peur de salir les draps de mon ami Jojo, alors j’ai couru rapidement au lavabo pour me nettoyer.

Lui aussi voulait se laver mais je me suis chargé de le faire avec ma langue sur son zob et ses couilles. Rapidement cela a eu un effet positif sur son zob qui s’est rapidement regonflé. Alors, moi je voulais immédiatement une seconde sodomie car ma Terma était toujours insatiable mais il a refusé et m’a dit de rester sur place, nu sur le lit. Et il m'a expliqué que son copain, un ami intime, qui avait aussi fait une remarque sur ma Terma et la gandoura qui collait dessus, ce copain serait heureux de me niquer aussi et qu'il allait le chercher si je voulais. discrètement. J’ai demandé si c’était son ami noir que j'avais vu,et à sa réponse positive, j'ai accepté avec joie, un nouveau gros zob noir serait le bienvenu, et je l’ai laissé partir.

Trois minutes plus tard, son copain entra dans le logement. J’étais nu de la ceinture aux pieds et couché sur le ventre sur le lit, offrant ainsi ma large et savoureuse croupe blanche gonflée au nouvel arrivant. En vitesse il enleva son pantalon et son slip en disant :
« zébi ! zébi lemtanane ! hahi leik Tarma li 7lamate 3liha albara7 » (zébi ! zébi gonflé ! voila à toi la Terma qui t’a fait réver cette nuit !) et il m’offrit l’image d’un gros zob noir affamé, aussi gros et long que celui de son copain, exactement comme ceux qui me faisaient plaisir dans le logement en ville. Ainsi les zobs noirs m’ont rejoint ici dans de camp isolé et que ammi Ali croyait m’éviter, le pauvre. Il était inutile de lutter contre le destin sexuel des Terma affamées.

Rapidement le gars me sauta dessus et couché sur mon dos il frotta son zob contre ma croupe et le long de mes fesses et sur leur chaud sillon. Ses mains passèrent dessous mon corps pour aller me caresser et masser mes seins. Les deux copains ont les mêmes habitudes. Rapidement je me suis mis à genoux pour offrir mon anus au gars qui se mit derrière moi et plongea son zob, sans préparation, dans ma Terma. Il s’enfonça jusqu’aux couilles pour fouiller mon fond de Terma comme son copain et mieux, et commença à danser ses vas et viens rapides et violentes. Mon cul, déjà ouvert par son ami, s’offrait totalement et agréablement à la danse de son gros zob et il glissait si bien dans mes entrailles qu’il affola ma Terma de ses jouissances. Ses ondes de plaisir inondaient tout mon corps de leurs vibrations agréables. Son gros zob frottait mes chairs sensibles intérieures et à chacun de son enfoncement il écartait agréablement la chair de mon cul pour me pénétrer au fin fond. Avec ce gabarit, ma Terma était vraiment satisfaite et étourdie de jouissances.

Il niquait mieux que son copain, son zob tournait bien à droite et à gauche et quant il s’enfonçait, j’avais l’impression qu’il grossissait. Ce fut une sodomie spéciale, inédite, et ma Terma en fut rassasiée beaucoup plus qu’avec son copain. De même, sa sodomie dura encore plus longtemps que celle de son copain parce qu’il semblait maitriser l’arrivée de ses éjaculations. Et quant, bien rassasié et presque étourdi de plaisir, je lui ai dit d’y aller, il lâcha ses couilles qui inondèrent mes entrailles de plus de quatre bordées puissantes de sperme.

Ensuite, il resta collé à ma croupe et en prenant par-dessous mes seins qu’il massait avec violence surtout leurs bouts. Il s’y connaissait et me faisait jouir de tous les cotés, par devant et par derrière, un niqueur complet, ce qu’il fallait pour ma Terma et mon corps affamés de sexe, de zob. Même ses lèvres continuaient à m’embrasser réellement sur la bouche sur le coté. Il me dit alors :
« 3a’ndak Terma s’mina wa 7’louwa ! tahabbal ezeb ! itannane gheir ichoufha ! » (tu as une Terma large et délicieuse ! affolante pour le zob dès qu’il la voit !) et il ajouta :
« nik'ha leil kamla ! 3achar marate ! ma nachba3ach minha ! » (je la nikerais toute la nuit ! dix fois ! et sans être rassasié d’elle !). Voila ma Terma qui retrouve ses amateurs, ses amoureux, dotés de zob comme il faut, des promesses pour elle, à l’avenir dans ce camp.

Puis il sortit de mon cul et se coucha le dos sur le lit. Son zob semblait encore debout. Je l’ai touché de la main et sucé un moment et il restait dur comme du fer mais si doux au gout et excitant, désirable et j’en avais encore une envie terrible pour ma Terma. J’ai couru me nettoyer et je suis vite revenu m’assoir sur son zob et le pousser verticalement dans mon cul. Il me dit avec un large sourire de satisfaction :
« sa7eiti Terma la7louwa ! zebi ma yousbourach 3alik ! aya enikou thani bezzaf » (bravo délicieuse Terma ! mon zob est impatient de toi ! viens on va encore niker fort !).
Moi aussi j’en voulais encore de ce gros zob si jouissif. Il semblait si long qu’il touchait le fin fond de mes entrailles et j’ai commencé à danser dessus. Il gémissait et parfois donnait un coup de reins puissant quant l’excitation du plaisir s’amplifiait dans son zob. Je le sentait qu’il frétillait et gonflait encore plus et ajoutait à mes jouissances follement agréables. Et pendant encore un quart d’heure ou plus, nous avons baisé, niqué ainsi avec des moments de jouissances qu’il maitrisait si bien et s’amplifiaient par la suite. Ensemble nos « Ahhhh » de jouissances remplissaient le logis de Jojo et heureusement couverts par les bruits du voisinage.

Puis quant le plaisir s’est accentué dans son corps, il m’a poussé à me remettre à genoux et placé derrière moi il a fini la sodomie par quelques vas et viens accélérés et violents et d’une jouissance continue telle que nous hurlions de plaisir ensemble et que j’ai pratiquement perdu conscience de plaisir. Je n’ai repris conscience qu’au moment où les rafales puissantes des jets de sperme bombardaient mes fondements. Je n’arrivais pas à les compter mais je n’ai pas reçu d’aussi jouissantes sensations depuis longtemps malgré les multiples sodomies que ma Terma a obtenues. Puis il s’est détaché pour aller se nettoyer. Il était 22h30 passées mais je voulais encore une sodomie car je ne voulais pas me séparer de ce merveilleux zob. Mais comme le foyer allait se vider et il y a risque que Jojo vienne, pour une raison ou une autre, jeter un coup d’œil dans son logement.

Alors on a repris nos tenues et on est sorti pour faire quelques pas ensemble dans l’espace vide entre les baraquements. C’était une zone pratiquement sombre et déserte. La zone occupée et bruyante était de l’autre coté. Par tendresse du plaisir qu’il a donné à ma Terma, j’ai entouré sa taille de mon bras comme un ami cher, un amoureux ou un amant et lui a mis son bras autour de mes épaules. J’étais encore sous les vibrations du plaisir et des jouissances et le contact seul du corps de ce gars et la présence de son gros zob, large et long continuaient à exciter ma Terma. J’avais encore une folle envie de lui, même s’il doit me violer, là dehors, en public. Alors, dans l’obscurité, il m’attira contre lui, ventre contre ventre et ses mains accrochèrent complètement mes fesses et ma croupe, c’était agréable, même délicieux et je fondais d’envies. Un éclair de désir passa à travers ma Terma et mon corps et j’ai collé mon bas ventre contre son zob que je ressentais gonflé et dur.

Nous sommes restés quelques instants ainsi et je sentais son zob qui se gonflait encore plus contre mon bas ventre. J’étais affolé de désir, mon cul palpitait et s’ouvrait d’envie de son zob. Lui aussi fut frappé par cette onde de désir qui a traversé ma Terma et son zob qui se regonflait. Et nous n’avons pas hésité à l’appel de l’amour, nos sexes désiraient cela ardemment. Je l’ai poussé à me laisser lui tourner le dos et j’ai abaissé mon jogging au dessous de mes cuisses et j’étais nus par-dessous. Il m’a compris et a sorti son gros zob qu’il poussa contre ma croupe. Je l’ai saisi et poussé d’une main experte dans mon anus et avec mon autre main, j’écartais au maximum mes fesses pour faciliter le passage au zob. Et il trouva le chemin pour me pénétrer d’abord doucement et lentement avec des sensations affolantes de jouissances. Je me suis penché encore légèrement mettant mes mains sur les genoux et ma position a facilité à son zob pour s’enfoncer totalement, d’un seul coup de reins violent dans mon cul, jusqu’aux couilles. Un choc sexuel et une onde de jouissance et de plaisir dans tout mon corps et je hurlais « Ahhhh » dans la nuit sombre et heureusement vide à cet endroit.

Il avait aussi crié mais moins fort, dans son enfoncement victorieux de mâle viril, contre ma Terma soumise et heureuse. Et tenait mes hanches comme auparavant, debout et le corps arqué pour pousser en avant son gros zob contre ma croupe, il se lança dans une série de vas et viens, lentes et savoureuses par de langoureux glissements du zob à l’intérieur des chairs sensibles de mes entrailles. Ce furent des instants d'enchantement pour nous deux. Ma Terma recommença de suer son jus de plaisir et d’excitation, ce qui facilita les glissements du gros zob gonflé et amplifia nos jouissances et notre plaisir. Puis, le désir montant, il accéléra ses vas et viens et me niqua en violence , là dehors presque en public, face à la zone où les ouvriers et ammi Ali jouaient aux cartes et au chech bach.

Cette sensation amplifia mon excitation, mes fantasmes et mon plaisir de donner ainsi ma Terma à la barbe de ammi Ali et de Said et en public, comme une putain au gros zob qui la niquait en force. Ainsi il me sodomisa de cette manière accélérée et violente pendant plus de cinq minutes et, preuve de sa puissance de mâle viril et dominateur, il arriva à éjaculer encore et encore dans mes entrailles, plusieurs fois et, là en pleine rue. Et ma Terma avala le tout en couinant de plaisir et moi en hurlant un long et rauque « Ahhhh » de jouissances.

Quant il sortit de ma Terma, je me suis accroupi au sol pour me vider de son sperme pendant qu’il restait debout face à moi, et son son zob pointait tout seul, presque vertical vers le ciel. Une image merveilleuse dans cette obscurité complice pendant que ma Terma, nue, se vidait de son sperme. Alors j’ai repris dans mes mains, son gros zob noir qui brillait de son sperme et du jus de ma Terma et je le léchais de tout le long de ses grosses veines gonflées qui le rendaient comme un monstre mais si attirant et si désirable par sa puissance érotique, sexuelle. Je le suçais de tout son long ainsi que ses grosses couilles encore gonflées, non seulement pour le nettoyer à fond mais pas désir et excitation. Il restait encore suffisamment gros et bandé pour une autre sodomie, je savais qu’il en était capable et cela me fit vibrer de désir continu, mais je savais aussi que c’était impossible dans cet endroit et à cette heure tardive de la nuit.

Et puis, je dois aussi laisser un peu de place de plaisir au zob de ammi Ali tout à l’heure, après le diner avant de nous coucher. Je savais que je n’aurais plus autant de plaisir et de jouissances à comparer avec ceux que j’ai eu avec ces deux ouvriers noirs, inconnus. On s’est séparé et je suis retourné chez nous malgré que j’avais encore un peu de sperme encore accroché à mes entrailles. J’espère que ammi Ali ne remarquera pas cela.

Et effectivement, la nuit, ammi Ali m’a niqué par deux fois et à l’aube aussi il m’a sodomisé la troisième fois, comme d’habitude. Il m’a conseillé de ne pas m’approcher des ouvriers et de leurs baraques. J’étais certain qu’il avait peur et me soupçonnait d’aller piocher quelques zob parmi eux pour satisfaire ma Terma toujours insatiable. Mais, je l’ai rassuré en lui affirmant que la journée, les ouvriers étaient au travail et le camp vide. Alors il s’endormit serein de sa suffisance et de son zob. Le pauvre il ne savait pas que ma Terma a déjà gouté au petit zob de Jojo puis aux gros et puissants zobs des ouvriers noirs et que l’avenir sera encore plus productif.

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