L'apprentissage sexuel d'Emma - 2

Comment la sodomie m'a transformée en femme fontaine. Après avoir perdu ma virginité avec Christian, l'ami de mon père. Je passe une semaine de luxure chez lui où il va me faire découvrir la jouissance et me transformer en femme fontaine...

Proposée le 17/01/2024 par Emma_la_coquine

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Je connais le rituel, c’est le cinquième jour déjà et tous les soirs c’est pareil. À 18h30, Christian pousse la porte de chez lui, je dois l’attendre agenouillée sur une chaise, appuyée sur le dossier, les fesses invitantes comme il dit. Parfois, je suis complètement nue, parfois je choisis des dessous excitants. Je ne dois rien dire, je dois attendre que Christian se déshabille et qu’il me prenne comme bon lui semble. Parfois il me fait sucer son sexe et d’autres il me pénètre immédiatement. Je n’ai pas le droit de me retourner, je n’ai pas le droit de parler avant qu’il ait joui. Quand je reçois son foutre où il lui plait de jouir ce jour-là, alors notre soirée peut commencer.

Ce soir, je me dépêche d’enfiler un string blanc tout en dentelle, je sais que Christian trouve qu’il met en valeur mes petites fesses rondes, ainsi que le soutien-gorge assorti. Je tire la chaise dans l’entrée et ai tout juste le temps de me pencher sur le dossier que j’entends déjà la porte s’ouvrir. Je l’imagine poser sa veste, peut-être quitter sa chemise, il s’approche, je sens son souffle dans mon dos, ses lèvres effleurent mes épaules, sa main glisse en bas de mon dos, sur mes fesses et finalement passe entre mes jambes. Il tire mon string pour faire rentrer le tissu dans ma fente, il frôle mon clitoris à travers le tissu, ça m’excite. Puis, il baisse mon string juste en dessous de mes fesses, je pense qu’il va me pénétrer comme il le fait souvent, mais je sens quelque chose de froid ouvrir mes lèvres et les vibrations se posent directement sur mon clitoris. Il me caresse avec un petit vibrateur, pas plus gros que mon petit doigt, des grands soupirs m’échappent, je me cambre au maximum pour lui faciliter l’accès, il bouge lentement le vibrateur de gauche à droite, je crois que je vais jouir, mais il le retire pour le faire entrer dans mon vagin. Il murmure dans mon oreille :
- C’est bien mouillé tout ça.
Quelques va-et-vient finissent de me faire mouiller, il l’éteint et je pense entendre le bruit d’un préservatif qu’on ouvre. Je sais que je ne dois pas me retourner mais je suis intriguée.

Je n’ai pas le temps de réfléchir longtemps, des bras noirs m’entourent et les mains se posent sur le dossier de la chaise, entourant les miennes. Je sens un pénis dans mon dos, je le sens entre mes fesses, il bouge son bassin pour trouver l’entrée de mon vagin. Ses doigts serrent forts le dossier de la chaise, la verge écarte maintenant les lèvres de ma chatte et je sais que c’est une question de secondes avant qu’il me pénètre. Qui est cet homme ? Je ne sais pas quoi faire, je n’ai jamais couché avec un autre homme que Christian, est-ce que je vais me laisser pénétrer par un homme dont je n’ai même pas vu le visage ? Ses bras me serrent, je ne peux pas bouger et déjà je sens le gland à l’entrée de mon vagin, la verge se frait un chemin en moi, mais ce pénis est énorme, je sens que je suis très mouillée mais l’homme à beau pousser pour faire entrer sa bite démesurée, il peine à entrer. Je l’entends qui s’essouffle, il continue de pousser, j’essaie d’écarter les cuisses pensant créer plus de place pour que l’engin puisse cheminer avec plus d’aise. Mais il me fait mal, je gémis, il me tient fermement et je sens ce pénis toucher le fond de mon vagin. J’entends les halètements de l’homme comme il commence à aller et venir difficilement en moi. Moi aussi je m’époumone, chacun de ses coups de reins me transperce, ma chatte est en feu et pourtant c’est délicieux. Il attrape mes seins dans ses mains, il serre fort mes petits seins, j’adore ça. Christian vient se placer en face de moi, il plante ses yeux dans les miens, je le fixe puis il se penche et il m’embrasse, l’homme redouble d’intensité, j’ai peur que la chaise casse, je suis secouée à chaque à-coup. Il ralentit finalement et ressort. Je reprends mon souffle mais ne bouge toujours pas de ma chaise. Christian me prend la main :
- Viens ma petite coquine.
Il m’entraine vers le salon, l’homme nous suit, je ne l’ai toujours pas vu.
Dans le salon, il pose ses grandes mains sur mes hanches, il me retourne et je me retrouve en face d’un homme magnifique, il doit bien faire 1m90 de muscle, mes yeux se baissent sur son corps et je découvre alors cette queue qui me pilonnait il y a quelques secondes, elle est extraordinaire. Il m’enlace délicatement et m’embrasse tout aussi doucement, il dégrafe mon soutien-gorge, prend mes seins tour à tour dans sa bouche. Ses mouvements délicats contraste avec sa taille. Il se recule d’un pas pour me regarder. Je suis un peu gênée et je baisse les yeux. Christian m’entraine alors sur le canapé, il me fait allonger, enlève mon string et écarte mes jambes.
- Mmmm ta petite chatte est trempée, ma chérie.
Christian adore regarder ma chatte. Il la fixe un moment avant de venir poser ses lèvres sur les miennes, sa langue fouille et trouve mon clitoris, il me titille et tient mes cuisses très écartées.
- J’ai envie de voir ta petite chatte écartelée.
L’homme et sa grosse bite s’approchent, Christian s’assoit sur le canapé à côté de moi, il tient mes jambes remontées, l’homme pose son gland sur ma chatte, il me caresse le clitoris, puis il se recule et d’un grand coup de reins me pénètre, je hurle autant de douleur que de plaisir.
- Oh oui vas-y ma coquine, prends ton pied, tu aimes te faire labourer hein.
Puis s’adressant à l’homme qui est en train de me pénétrer :
- Bourre la bien, elle aime être malmenée.
L’homme envoie sa bite au fond de mon vagin à grands coups de reins, il ne me ménage pas. Christian m’embrasse, je suis essoufflée contre ses lèvres, sa langue fouille ma bouche, l’homme continue son travail et je sens les doigts de Christian sur mon clitoris, son majeur me masturbe de plus en plus vite et je crois que cette fois je rugis de plaisir, je jouis comme jamais, je vois la bite géante luisante de ma mouille comme elle entre et sort de mon vagin, il ne peut même pas rentrer la moitié de son engin en moi tant il est gros. Il a beau pousser autant qu’il peut, mon vagin ne peut tout accueillir.
L’homme m’aide à me relever, puis me fait mettre à quatre pattes entre la table basse et le canapé. Il ne perd pas de temps et replonge en moi, ses mains sur mes hanches me font aller et venir sur lui, je me laisse faire, c’est bon. Je vois que Christian est nu, il se branle en nous regardant puis il s’agenouille devant moi, je le suce, j’avale sa bite comme l’homme me pousse en avant, embrochée par ces 2 hommes, par ces 2 bites, je me dis que je suis vraiment la petite salope de Christian, je ferais tout ce qu’il veut, j’aime bien être sa chose, je m’oublie dans sa façon de me traiter.
Je sens maintenant l’homme mettre son doigt dans mon cul, j’aime cette sensation. Je me laisse aller, je suis proche du second orgasme, son doigt et sa bite en cadence dans tous mes trous, la queue de Christian dans la bouche, vont me faire jouir encore une fois. Malheureusement l’homme retire son doigt et sa bite et je sens son gland sur mon anus.
- Non, non, non.
J’essaie de me dégager mais il me tient fermement. Christian m’a sodomisé un fois auparavant, mais je n’ai pas du tout envie de prendre cette bite monstrueuse dans le cul. Je panique.
- Christian, non, s’il te plait, ne le laisse pas me prendre par le cul, non s’il te plait.
À mon grand soulagement, Christian dit :
- Arrête, pas son cul.
L’homme se relève, je suce Christian de plus belle, jusqu’à ce qu’il s’assoie sur le canapé et je l’enjambe pour m’empaler sur lui, il me tient fermement par les fesses l’homme s’approche, je le suce à son tour, je goute ma cyprine sur son gland qui me remplit la bouche. Je le branle des deux mains, je suis impressionnée d’avoir pu prendre un pénis d’une telle taille. Je regarde, j’inspecte ce sexe sous toutes ces coutures, je le lèche, je prends les couilles dans mes mains, je les tête, je me concentre sur ma tâche pendant que Christian me fait rebondir sur lui, il prend mes tétons dans sa bouche, les mordille légèrement, il sait que j’adore quand il fait ça. Il me bascule ensuite sur le canapé, il se retrouve sur moi, il accélère la cadence. Ma tête sur l’accoudoir est légèrement renversée vers l’arrière et l’homme en profite pour venir planter son pénis dans ma bouche, il commence doucement, puis il l’enfonce jusqu’à me provoquer un haut-le-cœur, il recommence plusieurs fois, je l’entends souffler de plus en plus fort et j’ai peur qu’il jouisse dans ma bouche. Je relève la tête, je regarde Christian, il dit :
- J’ai envie de t’entendre jouir, tu vas jouir pour moi Emma ?
Je réponds dans un souffle :
- Oui, continue.
Mais il ne continue pas, il se glisse derrière moi, il me reprend, en cuillère, une main sur mon sein et l’autre sur mon clitoris, il me besogne tout en titillant mon clitoris du bout du doigt.
- Je vais jouir, Christian continue.
Il continue. C’est trop bon, ses coups sont vifs, lents mais puissants, j’adore sentir ses couilles contre ma chatte, j’adore quand il recule pour mieux s’enfoncer en moi. Le bout de son doit effleure mon clitoris, je vois l’homme en face de moi, il retire son préservatif et se branle en nous regardant.
J’explose dans un orgasme qui fait trembler mes jambes, j’ai des spasmes dans le ventre, je sens mon vagin se contracter sur Christian, qui m’encourage :
- Oh ma coquine, oui je te sens bien serrer ma queue, moi aussi je vais jouir, je vais te jouir sur les seins ma coquine, je vais t’en foutre de partout.
Quand les contractions de mon vagin s’arrêtent, Christian se retire, il me fait agenouiller devant le canapé, il tient son sexe dans sa main et il éclate à son tour, je reçois son sperme sur la poitrine, sitôt suivit de l’autre homme, j’en ai plein les seins et j’étale leur 2 semences mêlées sur moi.
Ils me regardent pendant un moment. L’homme s’adresse à Christian :
- Tu as raison, elle est bien serrée, j’ai cru pendant un moment ne pas pouvoir la prendre, mais elle mouille bien la coquine.
- Oui et elle aime la bite, tu as vu ça. Elle était vierge il n’y a que quelques semaines.
- Waouh, quelle petite salope !
Il continue leur conversation. J’apprécie leurs remarques, ils parlent de mon corps, de ma soumission comme si je n’étais pas là. Puis l’homme va prendre une douche, Christian m’intime de rester à genoux, ce que je fais. Il revient habillé, il me tend la main pour que je me relève, je cherche l’accord de Christian du regard. Il hoche la tête. L’homme me sert dans ces bras et m’embrasse.
- Je m’appelle Fabien,
- Emma.
- C’était un plaisir Emma la coquine. – dit-il en me claquant les fesses avec sa grande main.
Un bisou et il s’en va. Ce sont toutes les paroles que nous avons échangées.
Christian m’autorise à me laver à mon tour, mais pas à m’habiller. Nous dinons en tête à tête, nous regardons la télé et je suis nue alors qu’il est habillé. C’est rabaissant et je trouve ça excitant.
C’est notre dernière soirée ensemble chez lui, demain matin mon père revient me chercher. Au moment d’aller nous coucher, Christian m’entraine dans sa chambre :
- Ce soir tu dors avec moi.

Je suis encore à moitié endormie lorsque je sens qu’on m’écarte les fesses avec un objet froid, suivi d’une pression sur mon anus. J’essaie de me retourner mais Christian me tient couchée sur le côté.
- Ne bouge pas. Laisse-toi faire ma coquine.
Que fait-il ? Ce n’est pas son pénis qu’il essaie d’introduire dans mon petit trou.
- Qu’est-ce que tu fais ?
- C’est un tout petit plug anal, il est presque dedans, ton petit cul n’attendait que ça !
Une poussée plus forte, je crie, le plug a trouvé sa place en moi. Quel réveil !
C’est une sensation très étrange d’avoir cet objet dans mon fondement, je sens que peu à peu les muscles se détendent et la pression devient moins douloureuse. Cependant je n’ose pas bouger. Christian s’est levé mais je suis toujours dans la même position en chien de fusil dans le lit. Je l’entends qui s’affaire dans la piscine et il m’appelle enfin :
- Emma, petit déjeuner ! Nue !
Je me lève, il est assis en pyjama à la table de la cuisine, mon café m’attend, j’hésite toutefois à m’assoir, j’ai peur de me faire mal et effectivement la position assise accentue la poussée sur mon anus. J’essaie de me relaxer, bois une gorgée de café et Christian me demande d’aller cherche la confiture. Lorsque j’ouvre le frigo, je m’aperçois qu’il a posé le pot tout en bas, je comprends le message et me penche en avant pour dévoiler le plug toujours vissé entre mes fesses.
- Voilà, Christian.
Il sourit, le spectacle lui plait !
- Tu as oublié le 2ème pot !
J’y retourne, me repenche et me rassois à table. J’ai à peine le temps d’avaler une gorgée de café que Christian s’énerve :
- Je ne vais pas pouvoir déjeuner tranquille putain !
Je ne comprends pas.
- Viens ici !
Il dégage un espace sur la table devant lui où je m’assois, il m’embrasse à pleine bouche et je m’allonge sur la table alors que Christian se rassoit sa tasse de café à la main.
- Caresse-toi.
Mon majeur écarte mes lèvres, directement sur mon clitoris que je caresse de gauche à droite. Il me fixe en buvant son café, je remonte les jambes très haut afin d’exposer le plug et je me masturbe de plus belle.
- Tu es mouillée ?
- Oui Christian.
- Fais bien mouiller ta petite chatte pour m’accueillir.
Il écarte mes lèvres et crache son café sur ma chatte puis il le lèche directement sur moi, mélangé à ma cyprine, il recommence le café coule, il le lape, enfonce sa langue dans ma chatte, mes sensations sont décuplées par le plug dans mon cul, dès que je contracte un muscle, une douleur me rappelle sa position. Christian a maintenant sorti sa queue de son pantalon, il se branle, j’adore le voir se branler, je pourrais regarder sa main sur son sexe pendant des heures, puis il se lève pour me pénétrer très lentement. Le plug aidant, j’ai l’impression qu’il y a moins de place dans ma chatte et il doit forcer pour entrer. C’est trop bon, je ne vais pas pouvoir tenir longtemps avant d’avoir un orgasme et j’appréhende un peu les contractions sur le plug.
- Tu aimes être prise par tous les trous ma chérie ?
Christian répète qu’il adore être en moi, qu’il est fou de ma chatte, que je suis tellement serrée, que ma chatte l’obsède et qu’il pense à moi jour et nuit.
- Maintenant je vais prendre ton petit cul ma coquine, tu as envie ? Tu as envie de me sentir dans ton cul.
- Oh oui Christian, vas-y.
- Tu es ma petite chienne, n’est-ce pas ?
- Oui, oui Christian, je suis ta petite chienne.
Il se retire, envoie une bonne dose de lubrifiant sur son sexe, il tire le plug de mon cul et le remplace par son sexe qui coulisse en moi beaucoup plus facilement que la première fois.
- Je te fais mal ?
- Oui.
- Tu aimes quand je te fais mal ?
- J’adore ça.
Il claque fort sa main sur mes fesses et commence quelques va-et-vient lents, c’est douloureux, mais je n’ai pas menti, j’adore quand il me fait mal.
Il ressort sa bite et me reprend plus rapidement. Je hurle. Je sers mes cuisses remontées sur ma poitrine, je m’habitue à cette présence inhabituelle et quand mon anus est assez dilaté pour recevoir confortablement son sexe, quand il glisse dans mon cul sans gêne, Christian accélère la cadence, il fait claquer ses couilles fort contre mes fesses. J’adore le sentir coulisser aussi bien dans mon cul, je veux en profiter pleinement et me laisse totalement aller, il n’y a plus que ces sensations qui comptent, je me détends complètement, sentir mon petit trou s’ouvrir sur lui me rend folle. Il écarte mes cuisses et caresse mon clitoris avec son pouce, il ne faut pas une minute pour que j’annonce :
- Aaaaah Christian oui je vais jouir, je vais jouir…
Mes jambes tremblent et j’explose dans un orgasme intense, un orgasme inédit, tellement fort que j’ai l’impression que mon vagin va éclater et c’est alors que plusieurs longs jets en sortent comme une fontaine. Je suis abasourdie. Christian est trempé mais il ne s’arrête pas pour autant il continue de me ramoner le cul et quelques minutes suffisent pour que le phénomène se reproduise, les spasmes dans mon ventre sont si violents que je me plie en deux, les cris sortent de ma gorge sans que je puisse les contrôler, je crois perdre la tête. Christian éjacule dans mon cul dans un grand râle.
- Aaaah… ma petite femme fontaine.
Je peine à comprendre ce qui vient de se produire, je suis ébahie par cette manifestation du plaisir mais la jouissance était la plus puissante que j’ai connue dans ma courte expérience des relations sexuelles.
Christian a toujours sa bite dans mon cul, il semble ne plus vouloir en sortir. Son pyjama est trempé de ma mouille qui a littéralement giclé de mon vagin, pourtant cela n’a pas l’air de le déranger le moins du monde. Il va-et-vient encore en moi lentement.
- J’ai tout lâché dans ton cul, je ne pouvais plus me retenir.
- Désolée, j’ai tout trempé.
Il m’embrasse le ventre, les seins, le cou.
- J’ai envie de rester en toi toute la journée, ton petit cul est bien ouvert maintenant.
Il pousse sa bite au maximum, je suis encore excitée mais il ressort finalement dans un bruit de schplock, s’assoit et regarde mon cul mouillé et dilaté.
- Ma petite coquine, ma femme fontaine, c’était bien ? Tu as aimé ?
- Oui, je crois, c’était vraiment l’orgasme le plus intense que j’ai eu.
- Tu crois que c’est la sodomie qui t’a transformé en femme fontaine ?
- Je ne sais pas… c’est normal tu crois ?
- Oui, ça arrive à certaines femmes, je n’avais jamais fait cette expérience non plus, tu vois. Mais c’était tellement bon ! Oui tu as tout trempé regarde ça, c’est génial !
Christian est vraiment enthousiaste.
- C’est dommage, ton père va bientôt arriver, j’ai encore envie de toi. Je sens ma bite reprendre de la vigueur, file dans la douche avant qu’elle ne revienne se planter dans ton petit cul.
Je me relève à contre-cœur car j’ai moi aussi envie que Christian me sodomise de nouveau. Mon cul ouvert n’attend que ses assauts. Quand je sors de la salle de bains, la cuisine est propre et Christian est changé, il est en train de boire un café avec mon père sur la table même où il vient de me sodomiser.
- Bonjour papa…

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