un film qui laisse des traces ...

ma femme a eu une grande émotion un soir en regardant un film très très chaud, l'idée de reproduire une scène ne fera qu'un tour dans mon imagination, action ....

Proposée le 20/11/2023 par THOR

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Un soir de Janvier, nous étions allongés avec ma femme dans le canapé, regardions un film ou il y eu un viol et je vis que tu ressentais un certain émoi de la scène.

Quelques mois plus tard, j'avais muri un plan pour te faire revivre cette scène en réelle. Nous étions au mois d'Aout et il faisait très chaud à Lyon, ville ou a part les touristes il n'y a plus grand monde, nous habitons dans un immeuble standing avec cinq sous sol de garage.
Comme je fais parti du syndic j'ai les clefs d'accès aux différents locaux technique, j'ai donc disjoncté une rangé sur deux les néons afin que les garages soient dans une demi pénombre.
L'emplacement de ta Mini Cooper ce situe au cinquième sous sol.
Le matin tu es partie travailler en petite jupe et spencer, bas Dim up et chemisier en soie en me précisant que tu rentrerais très tard.
Le soir venu, je me suis vêtu de noir avec une cagoule et j'attendais ma proie.
A minuit et quart j'entend le moteur de la Mini qui descend les sous sol, tu te gare, arrête le cd de eros ramazzoti et coupe le moteur. Tu sort, fait le tour de la voiture te penche en avant pour prendre ton sac et ton spencer sur le siège passager me laissant largement voir le haut de tes cuisses.
Je surgit a ce moment là et je te braque avec mon pistolet factice sur la tempe « bouge pas connasse ou je t'explose, file moi ton sac » tu pousse un cri dans la voiture ton cul plaqué contre moi, je t'attrape par le sein gauche pour te ressortir de la voiture tu te redresse pivote face a moi, tu es blême de peur, tu tremble, la pointe de tes seins dressé par la peur tende la soie du chemisier puisque tu ne porte pas de soutien gorge.
Tu me découvre cagoulé mais ne te doute de rien, « met tes mains derrière ta tête » tes seins encore plus remontés sont insolents.
Je vide le sac sur le toit de la voiture ou s'éparpille téléphone, rouge à lèvres etc ...
« prenez mon porte feuille et ma carte de crédit me dit tu »
Je sort 50€, « tu veux que je fasse quoi avec çà lui dit je » «  c'est tout ce que j'ai dit elle »
Le canon du flingue sur son ventre, je remonte le long des boutons, fait sauter celui entre ses seins et du canon caresse le mamelon dressé. Tu trembles.
« Vu ce que tu as, va falloir que je te fouille salope » je te retourne, t'ordonne de mettre les deux mains sur le toit de la voiture, je commence a te palpé par les seins qui sont de forme généreuse et ferme je descend sur les hanches te touche les fesses, je descend ma braguette, et rien qu'au bruit, tu me dit « ne me faite pas de mal je vous en supplie »
Je relève la jupe, écarte ta culotte, tu te débat, je t'attrape par les cheveux, te prend un sein que je presse fort après avoir craché sur mon gland je m'empale de toute ma longueur, « non pas çà » crie t'elle en s'agrippant au rebord du toit.
Je te saute à grand coup de boutoir, tu pleurniche, mais ton corps prend le dessus sur ton mental, la salope prend son pied je n'en reviens pas.
Après t'avoir bien défoncé et t'avoir fait crié de peur et de plaisir, je te retourne face à moi, un sein hors du chemisier, « tu vois que tu avais encore quelque chose pour moi » le rimmel a coulé, mon sperme dégouline le long de ta jambe, mais tu es toujours aussi bandante.
J'arrache ma cagoule, « alors chérie on se laisse violer sans réticence » « salaud, fumier tu m'as fait peur, pourri me cri tu en me martelant de tes poings » « oui mais t'as aimer çà mon coeur » je te prend dans mes bras, je te serre et t'embrasse à l'étouffé, tu deviens toute molle.
Je te dirige sur le capot de la voiture, te renverse en arrière, t'arrache la culotte, les cuisses sur mes avant bras, je te saute sans préambule au plus profond que je peux.
Tes mains accrochées aux essuies glaces, tu prends un pied sans commune mesure. Tu jouis bruyamment, je te retourne sans ménagement, les seins écrasés sur le capot encore chaud et je te prend par derrière après t'avoir bien lubrifié l'oeillet avec ta mouille et mon sperme mélanger.
Tu m'insulte mais accepte de te faire défoncé le cul par ton amant violeur.
Abasourdi de peur et de plaisir, nous remontons a l'appartement, je te prendrai encore sous la douche et après avoir manger, je te baiserai encore jusqu'à ce que tu t'endorme blotti dans mes bras, ta main refermé sur la queue de ton violeur d'un soir.

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Commentaires de l'histoire :

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