Déniaisé par l'amant de mon cousin

La sève monte quand on a dix-sept ans. Mon cousin m'avait présenté à son petit ami, vietnamien, lors d'un déjeuner dans un restaurant parisien où j'ai découvert les rouleaux de printemps.. Puis nous nous sommes retrouvés chez lui, et ce qui devait arriver arriva.

Proposée le 29/09/2023 par Sacha

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Après le déjeuner mon cousin partit dans la cuisine faire la vaisselle. Je me retrouvais donc seul avec son amant, sur le canapé du salon. Ho était très prévenant avec moi. Il avait vingt-cinq ans et se flattait d'avoir connu charnellement bien des garçons.

Il ajoutait qu'il espérait que moi aussi je m'étais frotté à des garçons, et qu'on s'était bien fait jouir, car pourquoi s'en priver? Et d'ajouter: "C'est bien triste si ça n'a pas encore été le cas pour toi".

J'avoue que la tournure de la conversation me mettait mal à l'aise, en même temps qu'elle m'excitait au plus haut point. Car en réalité je n'avais alors connu ni fille ni garçon, sauf quelques attouchements entre garçons, lors d'un camp scout, une autre fois dans un dortoir. En même temps cela m'excitait carj j'avais toujours éprouvé, disons une certaine attirance pour les garçons, que je ne m'avouais pas encore comme une attirance certaine.

Ho prit mes doigts qu'il porta à sa bouche, puis titilla et embrassa longuement, les faisant coulisser. Très vite l'effet de ses caresses buccales se fit sentir au niveau de mon entre-jambes. Et il dut sentir qu'il me faisait bander, rien qu'à voir la bosse de mon pantalon.

C'est alors qu'il me dit "Viens, on sera plus à l'aise dans la chambre". Aussitôt dit, aussitôt fait. Ho voulait sans doute me soulager, ne pas me laisser en proie à une belle érection dont il connaissait parfaitement l'issue secourable et ô combien jouissive.

Une fois allongés sur le lit, il se dénuda et je ne me fis pas prier pour faire de même. Je bandais à mort, comme lui du reste. Il prit son sexe dans sa main et commença à me masturber, lentement, très lentement, et très sensuellement. Il prenait son temps, en même temps que son plaisir à déniaiser un ado. Un garçon consentant s'offrait à ses caresses. Et son érection en disait long sur l'état de folle excitation dans lequel le mettaient facilement les garçons avec lesquels il savait si bien s'y prendre.

Je dois dire que sa queue m'excitait beaucoup. On aurait dit un rouleau de printemps. Ce rouleau de printemps, il n'a pas eu besoin de me demander de me le mettre en bouche. J'ai ais pris seul l'initiative de m'en régaler. J'ai n'ai donc pas résisté longtemps à la folle envie de le sucer. Comme mon sexe l'appelait, on s'est vite retrouvé naturellement en 69 à se faire des gâteries adorables. Son sexe délicieux n'était pas très long mais très ferme et trapu, on aurait dit à la fois une liane et un morceau de bambou, à la fois souple et bien ferme, un régal.

C'est sur ces entrefaites que mon cousin est arrivé, nous surprenant dans cette position. Mais sans rien trouver à y redire, bien au contraire. Mon cousin se joignant bien volontiers à nos ébats, nous formions dès lors un trio de mâles en rut.

Ils firent l'amour tous les deux, n'oubliant pas de me masturber de temps â autre, jusqu'à la magnifique gerbe finale d'une jouissance partagée. Ho m'avait bien poli le bambou.

J'ai revu Ho une fois par la suite. Son rouleau de printemps me hantait. On n'était que tous les deux. Mon fantasme, c'était de le faire bander et de le sucer. Ma fellation ne semble pas lui avoir déplu, bien au contraire. Et sur son ventre j'ai giclé à mon tour.

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