Pierre, grand ami de Bernard et Sylvie, vient de divorcer. En attendant son logement retardé, il est hébergé par ses amis qui vont se montrer très accueillants.
Proposée le 7/08/2023 par esperluette
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Pierre est un grand ami de Bernard et Sylvie, ils se connaissent depuis la fac et travaillent dans la même société tous les trois et ont de nombreuses occasions de se rencontrer.
Mais il s’est passé un évènement qui bouleverse leur quotidien. Pierre se retrouve seul après son divorce avec Martine, il fallait que ça arrive, la mésentente devenait trop criante.
Alors Pierre et Martine ont dû revendre leur maison et Pierre s’est trouvé un appartement. Le problème c’est que la maison s’est vendue aussitôt, avant que l’appartement ne soit disponible.
Quand il en parle à Bernard et à Sylvie, ils lui proposent aussitôt de venir habiter chez eux en attendant.
- Ça m’ennuie de venir vous encombrer, je vais bien trouver une solution.
- Allons, Pierre, nous sommes amis depuis si longtemps, et nous avons de la place, alors c’est entendu, tu viens.
Alors Pierre prend possession de la chambre d’amis et le trio s’organise. Pierre ne rechigne pas à participer aux travaux ménagers.
Cependant Pierre est très affecté par son divorce, il est souvent triste bien que Sylvie et Bernard essaient de lui changer les idées.
Un soir, tout le monde est couché, Sylvie commence à se coller à Bernard, ils commencent à se caresser, bientôt la nuisette de Sylvie se retrouve remontée au dessus de ses seins et le boxer de Bernard est au fond du lit. Elle l’attire sur elle et il la pénètre doucement tandis qu’ils s’embrassent avec passion.
Il commence à faire coulisser son sexe lentement, puis il accélère progressivement.
- Mmmmm ! C’est bon, continue, chéri ! Oui, j’aime !
Bernard amplifie ses va et vient, le lit commence à couiner tandis que Sylvie gémit.
- Pas trop fort, chéri, Pierre risque de nous entendre, le pauvre, il doit être en manque.
C’est curieux, quand Sylvie parle de Pierre, elle sent la bite de son mari qui grossit encore dans son vagin. Il la baise plus fort.
- Oui, je le plains, il n’a plus de femme et je sais qu’il a de gros besoins.
- Ah, oui ? Il faudrait lui en trouver une.
- Ben, je pensais, ce serait bien si tu t’occupais de lui, c’est normal pour un ami.
- Sérieux ? Tu le penses vraiment ?
- Oui, j’y pense. Ça me ferait plaisir.
- Si tu y tiens vraiment. Laisse moi réfléchir un peu.
Mais elle sent qu’il est de plus en plus excité, sa queue cogne au fond de sa chatte, elle jouit sous l’assaut tandis qu’il grogne et lui remplit le vagin de plusieurs giclées de sperme épais.
Ils restent un moment accouplés en s’embrassant puis Bernard se retire et se couche à son côté. Sylvie reste allongée, pensive, puis elle se lève pour aller aux toilettes pour un pipi tandis que Bernard s’endort.
Quand elle ressort elle voit que la lumière de la chambre de Pierre est allumée et que sa porte est entrouverte. Elle frappe doucement à la porte et elle la pousse. Pierre est en train de lire un bouquin.
- Tu ne dors pas, Pierre ? Je peux entrer ?
- Entre, Sylvie. Non, j’ai du mal à dormir en ce moment, et pourtant je suis bien couché. Viens t’asseoir.
Elle s’assied en serrant bien ses cuisses pour ne pas qu’il voie qu’elle n’a pas de culotte sous sa nuisette. Mais la nuisette laisse voir ses seins par transparence, ce que remarque Pierre. Ses yeux vont involontairement de ses seins à ses cuisses, cela fait sourire Sylvie.
- Tu t’ennuies, Pierre ? Je peux te tenir compagnie un peu, si tu veux.
- Ta compagnie est un vrai plaisir pour moi, mais aussi un supplice, ô combien délicieux ! Mais je ne saurais gâcher votre hospitalité par des gestes inconsidérés.
- Ne crains rien et laisse toi aller, je m’occupe de toi comme doit le faire une hôtesse attentionnée.
Sylvie se penche vers lui, elle lui prend la main et la pose sur sa cuisse.
- Et Bernard ? Je ne peux pas, Sylvie !
- Bernard est d’accord, c’est lui qui me l’a demandé. Embrasse moi, maintenant.
- Tu l’auras voulu !
Il l’attire contre lui et ils s’embrassent avec passion, les langues s’échangent et s’emmêlent. Il lui enlève fébrilement sa nuisette et commence à la caresser partout tandis qu’elle vient aussitôt lui saisir la bite qui est déjà dure comme du bois.
Il descend sur ses seins qu’il embrasse et suce goulûment, puis sur son ventre et son pubis. Elle se tourne pour se retrouver tête bêche sous son amant dont elle gobe la queue. Il pose sa bouche sur sa vulve et promène sa langue entre les lèvres gonflées de désir.
- Mmmmm ! Je vois que Bernard t’a bien servie !
- Oui, c’est à ce moment qu’il m’a dit de m’occuper de toi.
Il replonge et il lui lape le mélange de cyprine et de sperme qui suinte de la fente. Sylvie gémit quand il lui prend le clitoris entre les lèvres et l’aspire, en jouissant, elle pousse des petits cris étouffés par la queue qu’elle pompe en passant sa langue autour.
Puis Pierre se relève et vient se placer entre ses cuisses, il frotte son gland le long de la fente qui dégouline de cyprine puis il la pénètre d’un coup, faisant crier encore Sylvie.
Il commence à aller et venir, elle l’accompagne et verrouille ses jambes autour de son amant, elle noue ses bras autour de son cou, ils s’embrassent de nouveau, fondus en un seul corps.
Sylvie est emportée par la jouissance, son vagin laminé par la bite de Pierre, nettement plus grosse que celle de Bernard. Pierre va de plus en plus vite, il cogne au fond de son utérus, elle crie quand soudain il se bloque au fond de son vagin et il la remplit de plusieurs giclées de sperme.
Ils se détendent tous les deux mais ils restent accouplés, le sexe de Pierre ne semblant pas se dégonfler. Il l’embrasse doucement partout sur son visage.
- Tu sais, Sylvie, il y a longtemps que je te désirais mais je ne voulais pas faire de peine à Bernard.
- J’ai souvent pensé à toi aussi et j’étais parfois jalouse de Martine, et après ton divorce, bien que j’aime toujours Bernard, j’ai fantasmé beaucoup sur toi.
- Et maintenant, ce n’est plus un fantasme et tu ne peux savoir comme je vous aime tous les deux.
Sylvie sent la bite de son amant redurcir comme jamais.
- J’ai encore envie de toi.
- Oui, baise moi bien, mmmmm ! J’adore ta queue en moi !
Il recommence à la besogner, sa queue coulisse toute seule, noyée dans le sperme, Sylvie contracte son vagin, ce qui fait grogner son amant qui la besogne plus durement, elle gémit de plus en plus fort, elle jouit à chaque coup de reins un peu plus fort que Pierre lui inflige.
- Ouiiiii ! Vas y fort ! Que c’est boooonnn !
Il la pilonne encore en grognant avant de l’inonder de nouvelles décharges nombreuses, elle jouit au point de de perdre presque connaissance.
Ils finissent par se séparer, couverts de sueur qui vient se mélanger aux odeurs de sexe. Elle se relève, les jambes flageolantes, après un baiser final, elle va faire un tour dans la salle de bains pour essuyer tout ce qui lui coule le long des cuisses, enfin,toujours nue, elle rejoint le lit conjugal.
- Eh bien, quand tu baises ça s’entend ! Tu m’as empêché de dormir et je me suis branlé en vous entendant ! C’était bien ?
- Mmmmm ! Je te raconterai mais maintenant je suis crevée, je vais dormir.
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