Le voisin d'en face

Petit fantasme entre une jeune femme et son voisin...

Proposée le 1/05/2016 par sarahlou

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Aujourd’hui, le temps est plutôt frais. Un léger vent fouette les vitres des fenêtres et les nuages laissent couler de temps à autre quelques gouttes sur les trottoirs. Ce matin, en me rapprochant de la fenêtre, j’ai remarqué quelque chose d’inhabituel. Les volets habituellement fermés du voisin étaient ouverts. Celui-ci était bien matinal ! J’ai alors reposé mon bol dans l’évier, j’ai enfilé un chemisier et dénoué mes cheveux. J’ai ouvert ma fenêtre et je me suis assise sur la bordure, la main discrètement glissée sous ma culotte.

Au bout d’une heure et dix minutes, j’ai entendu du mouvement en face. Des pas sur le parquet, un aspirateur reprendre se place. C’est là qu’il est apparu. En passant devant la fenêtre convoitée, il n’a d’abord rien remarqué. Mais en quittant sa salle de bain et en traversant sa chambre, il a cette fois jeté un coup d’œil vers le mouvement de mon bras. Son regard s’est arrêté une fraction de seconde de plus sur mon entre-jambe. Avait-il deviné ce que je faisais ?
Je l’ai entendue s’arrêter dans la pièce. Hors de ma vue, mais bien accessible par l’ouïe. J’ai alors échappé un petit soupir. Un pied timide est de nouveau apparu dans mon champ de vision. Il s’est alors retourné et s’est approché de l’ouverture. Le visage à la fois timide mais audacieux, légèrement rougissant à cet instant.
Il s’est alors immobilisé devant moi et m’a regardée. Il n’a rien dit mais son visage a exprimé de l’envie. Nous avons échangé un long regard, disons plusieurs minutes. Mon cœur battit un peu plus fort, mon sexe devint humide et un courant chaud traversa mon corps. Un léger soubresaut m’anima. Il le décela dans les mouvements de mon corps. Je lui ai alors murmuré :
-Viens…
J’avais envie de lui, depuis le premier jour où je le vis, lorsque j’emménageai dans le quartier. De temps en temps, nous nous disions bonjour. Et à chaque fois, je ressentais un mélange d’excitation et d’interdit. Lui avait l’air attiré, mais je ne savais pas si c’était juste mon imagination qui me jouait des tours ou s’il l’était vraiment. Je ne l’ai encore jamais vu avec une fille. Juste quelque fois croisé avec des amis. Etait-il célibataire ? Ce serait sans doute une chance !
Il ne m’a rien dit. Il est parti, a quitté la pièce, et ma sonnette a alors retentit.
Mon rythme cardiaque s’est accéléré. Une moiteur m’a gagnée, et je me suis sentie fébrile, presque faible. Mais qu’est-ce que je fais ?! Est-ce bien raisonnable ? Un immense frisson m’a parcourue, m’achevant presque dans l’entrée. Mon corps tremblait quand j’actionna la poignée de l’entrée.
Il était plus grand que ce que j’imaginais ! Etait-ce l’excitation, la peur qui me firent cet effet ?
Il rentra et referma la porte derrière lui. Il prit ma tête doucement entre ses mains et la bascula en arrière. Je sentis ses lèvres se déposer le long de ma nuque. Sa délicatesse m’enveloppa quelques secondes. Il me prit alors dans ses bras, et me porta tout contre lui. Il alla alors dans le salon et me reposa sans bruit dans le canapé. Incapable de bouger, je le laissai faire. Il promena sa bouche le long de mon corps, découvrit ma poitrine en dégageant quelques boutons et sentis mon odeur en libérant de quelques centimètres ma culotte.
Je voulus alors poser mes mains sur ses hanches mais il les saisit et les plaqua contre le canapé. Incapable de bouger, je lui dis « J’ai envie de toi… ». L’une de ses mains abandonna mon bras pour se plaquer contre ma bouche. J’étais à lui, à son fantasme, à ses désirs. Il se plaqua contre moi et je sentis alors son membre à travers son pantalon. D’une main, il ôta rapidement celui-ci et arracha presque mon dessous. Vigoureux. Sans prévenir, il rentra en moi, et échappa un gémissement. J’étais toute trempée, et ne pouvais pas résister. Ses va-et-vient étaient puissants, libérant chaque seconde un peu plus de plaisir. Je le sentais en moi, revenir et repartir. Mon vagin se resserrait toujours un peu plus autour de lui, lui offrant de douces pressions excitantes. On se regarda intensément. Il se laissa aller dans ce plaisir, et me donna quelques secondes de jouissance. Brulante, je me dégageai de son étreinte, et le renversai sur le dos. Je baissai ma tête et promenai ma langue autour de son gland. Il ferma les yeux et me laissa faire. Une furieuse envie de le dévorer m’anima. Je le suçais, le happais avec autant de plaisir qu’il m’en avait donné. Je l’emprisonnai entre mes lèvres, et l’aspirai avec ma langue. La laissant tournoyer autour de son pénis, j’accrochai mes mains autour de ses hanches. J’avais tellement envie de lui, de le sentir en moi, de me sentir en lui, que je l’habitai d’une manière presque vorace et ostentatoire. Je vis son corps se raidir et je sentis la douce effusion de son sperme dans ma bouche, doux et tiède. J’avalai tout, ne voulant en laisser aucune goutte. Puis je le délivrai, et m’allongeai contre lui. Exténué, il me prit contre lui et me serra. Il respira l’odeur de ma peau et me dis doucement « merci pour ce moment ». La fatigue me gagna et je m’assoupis.
En me réveillant, il n’était plus là. Je me rapprochai de la fenêtre et regardai la sienne. Il passa devant, s’arrêta. Tout doucement, il esquissa un sourire.

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