Le moment des grandes décisions est venu pour Cal mais l’indécision le guette, ne va-t-il pas refaire les mêmes erreurs ? Une bonne discussion avec Fabien et Agnès puis un jogging à la poursuite d’une psy va peut-être le mettre sur la bonne piste.
Proposée le 14/06/2023 par Stan23JR
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Fantasme
Xena, Apres quoi courent les hommes ?
30 octobre 2022 (sur les hauteurs de la plage d’Utah Beach)
Les six derniers mois avaient été un vrai tourbillon, Béa et Cal s’y attendaient et s’étaient préparés mais entre s’y attendre et le vivre vraiment c’est un gouffre.
L’Agent Rodrigue n’avait pas menti, il avait fallu quelques semaines pour que le dossier soit monté et là tout s’accélérait.
Il fait très chaud en ce 14 juin, la météo annonce près de 38 dégrées sur Paris, avec des orages en soirée mais, pour le groupe, le mercure est monté très vite, tôt le matin, car dès 8h30 des officiers du Parquet National Financier avait débarqué au siège, entourés d’un nombre très important de policiers.
Cal avait été prévenu la veille au soir, en même temps que Béa, par l’agent Dulay qu’il y aurait une perquisition au siège du groupe.
Les enquêteurs emportent d’innombrables serveurs, des ordinateurs portables et une quantité astronomique de documents d’archives. Cal a dû superviser la perquisition, étant à ce moment là, le plus haut gradé sur site.
Mis au courant assez vite, les camions de presse des chaînes d’info en continu et les journalistes occupent une partie du parc et du parvis, interrogeant tous ceux qui entrent et sortent.
Béa a chargé Cal de faire un discours pour rassurer les employés. Il répète la même chose devant les caméras, en exposant la position du groupe, à savoir que le groupe, à l’heure actuelle ne savait pas ce qui lui était reproché mais qu’il travaillait étroitement avec les enquêteurs afin de faire avancer l’enquête.
Pendant deux jours, les chaînes d’infos sont allées de spéculation en spéculation, divers analystes financiers, judiciaires et économiques se relaient pour donner leur éclairage.
Finalement le 16 juin, à 18h, le procureur de la République financier tient une conférence de presse au tribunal de Paris afin d’expliquer les derniers rebondissements de ce qu’on appelle désormais « l’Affaire Spittrain ».
Il explique que le PNF, en étroite collaboration avec la DCRI et la DGSE a mis au jour des éléments extrêmement graves, relevant de délits financiers mais aussi du pénal pour des faits pouvant être qualifiés d’intelligence avec un pays étranger et de financement illégal d’un conflit armé.
Dans le cadre de cette affaire, les enquêteurs se sont rendus à Maisons–Laffitte, chez Antoine Dumarais, pour le ramener au siège du PNF, où il est interrogé en ce moment. Une demande avait été fait par la France auprès de la Malaisie, où se trouvait Antonin Dumarais pour qu’il soit remis au plus vite aux autorités.
Tous les membres du conseil d’administration, dont trois autres membres de la famille Dumarais, sont aussi convoqués, de même que Simon Beschler le directeur général.
Cal savait qu’il allait également recevoir une convocation, il entend donner le change et montrer que lui, à la direction commerciale, est totalement clean.
Après cinq jours d’interrogatoires, où la tension n’est descendue, le procureur convoque la presse et annonce qu’Antoine Dumarais, son fils Antonin et le directeur général Simon Beschler étaient mis en examen pour crimes électroniques, blanchiment d’argent, recel de blanchiment, abus de marché, délit d’initié et intelligence avec une puissance étrangère.
Dans le cadre de cette enquête, des mandats d’arrêts internationaux sont aussi délivrés à l’encontre de dix citoyens russes dont Fedor Fedorov et sa fille Aleksandra, un citoyen Kazakh (Rymski) et deux citoyens chinois.
Il informe aussi que, dans le cadre de cette affaire, des poursuites étaient également lancées contre Mathias Le Garrec, actuellement incarcéré à Bangkok dans l’attente de son procès pour pédophilie, partage de contenus pédopornographiques, détournement et corruption de mineur. Des procédures sont également lancées contre lui à Rio et Dakar.
Dix minutes seulement après la fin de la conférence de presse du procureur, devant le siège du groupe et entourée du conseil d’administration, Cal étant au deuxième rang derrière, Françoise Dumarais fait une déclaration à la presse.
Le groupe prend acte des mises en examen d’Antoine et d’Antonin Dumarais ainsi que de Simon Beschler. Elle regrette ces agissements personnels qui ne reflétaient en aucune façon la politique de l’entreprise et encore moins ses méthodes.
Le groupe collaborera pleinement avec les enquêteurs et se réserve la possibilité de se porter partie civile, pour le préjudice subi, principalement en termes d’image. Elle indique, qu’au vu des actions entreprises par les mis en cause, c’est l’entreprise qui était la première victime.
Il est donc nécessaire de protéger l’intégrité du groupe et, à cette fin,, les trois mis en cause sont d’office mis à pied, à titre conservatoire.
Et donc Béa Dumarais a été élue a l’unanimité par le CA pour prendre le poste de Présidente par intérim du groupe.
Béa s’avance le visage grave mais déterminée. C’est enfin son grand moment mais malheureusement il se passe dans ces circonstances. Elle a bien préparé son intervention.
Béa réitère sa confiance en la justice, se montre très dure avec son père, son frère et Simon. Elle tente de redonner de la confiance aux employés particulièrement préoccupés, elle rappelle que le groupe est suffisamment solide pour faire face à cette secousse et que c’est ensemble qu’ils traverseront la tempête.
Divers actions seront entreprises pour restaurer la confiance du personnel : une nouvelle équipe sera nommée, avec des personnes qui ont fait leurs preuves au sein de Spittrain. Béa rappelle qu’elle s’était toujours engagée à promouvoir au mérite et non par népotisme.
Mais pour mener cette action à bien, elle avait besoin de quelqu’un en qui elle avait toute confiance et qui l’accompagne depuis plus d’une quinzaine d’année, Cal a donc été promu à cet instant Directeur Général par intérim.
Comme prévu, il s’avance et se positionne aux côtés de Béa : ils s’engagent ensemble à remettre le navire sur les flots et à le faire repartir.
Les semaines suivantes sont très agitées, pas un secteur n’est épargnés, Béa qui bénéficie de l’appui du CA, n’attend pas de savoir si son père et son frère seraient jugés, elle entame, avec l’aide de Cal, tous les changements qu’elle imagine depuis des années.
Exit déjà tous les cadres et employés condamnés ou mis en examen pour diverses raisons (corruption, fraude ou encore violence conjugale), de nombreux anciens collaborateurs et collaboratrices de l’ancienne direction, jugé incompétents, sont eux aussi débarqué.
Tout ne se fait pas sans difficulté et beaucoup contestent la légalité de ces processus, le service juridique tourne à plein régime mais pendant ce temps, Béa restructure l’entreprise à son image.
Les deux vice- présidents ont été remplacés et, comme promis par Béa, le mérite a primé même si ce sont des fidèles qui ont été nommés, La Japonaise Ayumi Harazawa est nommée à la tête de l’indopacifique : elle fait partie des effectifs depuis 18 ans et cela fait vingt ans pour son homologue de la division Atlantique, le Sénégalais Cheikh Traoré, qui succède à Béa.
Le 3 Septembre, les Antonin père et fils ainsi que leurs anciens DG sont officiellement mis en accusation, rendant officielle leur éviction de l’entreprise, malgré tous les recours de leurs avocats. Deux jours plus tard, les promotions de Béa et Cal deviennent définitives après un vote du CA.
Un peu plus d’un mois plus tard, aux alentours du 24 octobre, alors qu’ils se câlinent après avoir fait l’amour dans la maison de Cal, Béa lui rappelle qu’elle part en tournée dans deux jours en Asie du Sud - Est et en Océanie, elle lui dit qu’elle veut qu’il prenne quelques jours de vacances, il a énormément donné cet année et notamment sur ces derniers mois. Elle voit que son DG a besoin de se reposer un peu.
Après lui avoir caressé le visage et l’avoir embrassé, il lui rappelle ce qu’il lui a dit au tout début de leur histoire lors de la danse qui avait tout déclenché (Épisode Béa) : il ira jusqu’au bout du monde pour elle, il l’aime et que cela valait bien quelques sacrifices.
Après avoir essuyé une petite larme, elle lui dit qu’elle a déjà tout prévue et qu’elle a demandé à Fabien et Agnès de l’accueillir dans leur maison de vacance en Normandie à Bénerville - sur – Mer, à proximité de l’Hippodrome de Clairefontaine.
C’était leur semaine de vacances et ils étaient enchantés de permettre à Cal de se reposer et de passer du temps avec leurs amis.
Néanmoins, elle tient aussi à passer du temps en famille loin des médias notamment. Elle avait passé un coup de fil à Manon pour lui demander s’il pourrait avoir Max en vacances début novembre quand Brittany aussi serait en vacances.
Cal est vraiment « sur le cul » : apparemment sa compagne actuelle et son ex s’entendent bien et échangent même souvent selon les dires de Béa : sans surprise donc ils auraient Max, d’autant que Manon avait besoin de repos, elle était enceinte de 6 mois de leur premier enfant avec Alex.
Cal voyant bien que sa charmante compagne a tout prévu, lui demande qu’elle serait la suite du programme.
Elle voulait qu’il la rejoigne avec les deux enfants (il récupérerait Brittany à Berlin ou son père avait été muté récemment) sur l’île de Phu Quoc au large des côtes cambodgiennes et vietnamiennes, elle avait décelé ce lieu lors de ces repérages pour sa tournée.
Ils y seraient tranquilles et en particulier loin de la presse à sensation.
Finalement il n’y voyait pas d’objection et le lendemain, après avoir déposé Béa au siège, elle lui assura que la nouvelle Directrice Opérationnelle et le nouveau directeur de l’agence de Paris sauraient faire l’intérim en leurs absences. Il prit la route de la Normandie.
Sur le chemin, il fit un petit inventaire de tous les biens immobiliers de ses amis : Salma et Clément possédaient donc leur maison en région parisienne mais aussi un appartement à Brest qu’ils louaient ainsi qu’une maison à Ouarzazate au Maroc.
Franck possédait déjà un appartement sur quasiment chaque continent et pas mal de commerces en Afrique et notamment au Ghana. I lpossédait avec Astrid depuis leurs mariage une maison dans la banlieue lyonnaise, sans parler de la boîte de nuit qu’il possédait en commun avec Cal notamment (Épisode Keisha).
Stella avait acheté, il y a déjà quelques années, un appartement à Milan et, suivant les conseils d’une amie mannequin, elle s’était offert une villa dans les Îles Vierges britanniques, du côté de Salt City.
Robbie n’en parlons pas : sa famille était dans l’immobilier, donc il possédait déjà par héritage nombre de biens, notamment à Arras, Liévin mais aussi de l’autre côté de la manche à Portsmouth et a Southampton. En commun avec Diana ils avaient la maison de Bois d’Arcy.
Pour ce qui est de Fabien et Agnès, la propriété du restaurant a Arcueil, la copropriété de celui du Japon, un troisième était en discussion, soutenu financièrement par des amis de Béa pour une ouverture à New-York. Ils possédaient eux aussi une maison familiale non loin d’Arcueil ainsi que la fameuse villa de Benerville - sur - Mer.
Sa chère Béa possédait son penthouse sur Manhattan, la maison a Edison, une autre maison de vacances à Orange County en Californie et depuis leur voyage dans les Alpes Suisses avec Cal, ils avaient acquis ensemble un immense chalet à Crans-Montana avec balcon panoramique (encore un).
Cal avait commencé à investir dès sa sortie de l’école et il avait aujourd’hui 4 appartements qu’il louait : 2 en Alsace, 1 en Moselle et 1 autre dans le Loiret.
Il avait aussi la maison au Pecq et le chalet en Suisse.
Ces réflexions lui occupèrent bien l’esprit pendant le trajet si bien qu’il ne vit pas passer les 3h40 de route.
McQueen et Agnès avait cette belle propriété un peu à l’écart de la ville avec piscine, c’était une maison fabriquée avec beaucoup de matériaux locaux, respectueuse de l’environnement.
Ils furent donc tous heureux de le retrouver, le petit Arthur qui venait d’avoir 2 ans savait désormais marcher, il se fit donc une fierté de le montrer à tonton Calvin qui le récompensa avec une voiture de course bien rouge comme les aime son papa.
Le séjour fut très plaisant, très reposant aussi car Benerville était très calme, tous les matins il allait courir sur la plage, cela le changeait considérablement de la capitale.
Au cinquième jour de son séjour, une discussion sérieuse s’engagea avec ses deux amis. , Tout partit d’une petite boutade d’Agnès entre le fromage et le dessert :
- Alors c’est quand que nous serons invités chez monsieur et madame Liénard et que vous nous ferez goûter de nouveau vos plats en commun ?
Après avoir un peu bafouillé, Cal finit par répondre :
- Je ne sais pas sincèrement, on n’en a pas encore discuté, j’imagine que cela viendra…
- Non ! Le coupa Fabien, ça ne viendra pas ou dans très longtemps tu le sais très bien, j’ai encore du mal à me dire qu’il vous a fallu près de 15 ans pour vous mettre ensemble alors que cela crevait les yeux que vous étiez fait pour être ensemble dés l’école de commerce.
- Je ne sais pas quoi te dire, j’imagine qu’on a voulu préserver notre amitié ou l’occasion ne s’est jamais présentée.
- Dis moi tu essaie de nous persuader ou c’est toi que tu tentes de persuader, reprit son ami.
Devant l’absence de réponse de Cal, Fabien reprit :
- Tu sais pourquoi aucune de tes relations sérieuses à HEC n’a marché ? La plupart de tes ex se sont confiés à Salma ou Stella.
Selon elle, être comparé à Béa était trop dur, tu vois pour toi c’était totalement normal mais tu parlais sans cesse de Béa, j’imagine que tu as du te calmer après ton mariage mais même si cela n’excuse pas ce qu’elle a fait, je pense que, quelque part, elle aussi s’est résignée.
Cal encaissait ces informations mais McQueen décida de pousser son avantage :
- Puis il y a eu Bali : sincèrement tu sais que je t’aime mais moi perso j’aurai attendu le lendemain pour prendre un vol pour l’Indonésie, Béa a tout laisser tomber, elle a pris un vol dans l’heure pour te rejoindre et là je pense aussi que cela a eu une incidence sur mon mariage avec Brad, comment vous avez fait pour ne pas vous mettre ensemble après que tu l’as rejoint à New-York ?
- Elle était très mal, lui répondit enfin Cal, quel genre de gars j’aurai été à vouloir profiter de la situation ?
- Il n’a pas tort dis Agnès à son époux, t’imagine la scène : « Tu sais ton mari c’était un connard de t’avoir trompée, moi je ne suis pas comme ça et si je te montrais mon sexe pour te changer les idées » dans une excellente imitation de l’Alsacien.
- Soit mais l’opportunité aurait pu et aurait dû se concrétiser bien avant et aujourd’hui j’ai peur qu’ils fassent la même chose avec leur politique de l’autruche.
Combien de temps, il vous a fallu pour officialiser votre relation ? demanda- t- il de façon rhétorique car il répondit lui même à la question.
- 2 ans et demi ! Cal, II vous a fallu 30 mois avant d’officialiser une relation qui était un secret de polichinelle, vous n’êtes pas du genre discret je dirais.
Je sais car je te connais que tu as envie plus que tout de donner un petit frère ou une petite sœur à Max.
Mais à l’allure où vous allez, Max aura 15 ans quand cela arrivera.
Là tu dois te dire que vous venez d’accéder à la tête de l’entreprise et il y a beaucoup à faire mais crois moi à force de repousser, cela ne fera que vous menez dans une impasse car le bon moment n’arrive que si on le provoque.
- Je suis si transparent ? dit Cal tout en regardant ses deux amis
- Oui !!! Lui dirent-ils en cœur.
- Dis moi, tu m’as l’air d’en connaître un rayon sur les regrets et les occasions manqués, j’ai raté un truc sur vous deux ?
Après s’être regardé et souris, c’est Agnès qui lui répondit :
- Ce que mon cher et tendre veut dire c’est qu’il est passé à deux doigts de passé à côté de la plus belle histoire de sa vie à cause d’une histoire de principe.
Quand je suis arrivé au restaurant, poursuivit- elle, il m’a tout de suite fait craquer dès l’entretien, j’ai su en un regard que je voulais travailler pour lui et que je le voulais plus aussi.
Du coup, j’ai essayé de le séduire de façon très subtile : une petite allusion, un décolleté plus prolongé, quelques frôlements, des gestes un peu plus tendres que ce que permet la déontologie.
Si au départ, il ne remarquait rien, j’ai vu bien vite qu’il avait remarqué et qu’il essayait autant que possible de paraître pro.
- Je ne voulais pas mélanger plaisir et vie professionnelle, je pensais que cela pouvait détruire tout ce que je bâtissais, reprit Fabien, alors j’ai tout fait pour la dégoûter de moi, je me montrais odieux et infecte, je râlais pour un rien, jamais content, ce n’était pas assez parfait.
En fait, j’étais frustré à cause de mes principes alors j’ai reporté ma frustration et ma colère sur elle et j’ai failli tout perdre.
- Un soir, après un service particulièrement compliqué où, là encore, il avait dépassé les bornes, je lui ais dis que je n’en pouvais plus, que j’en avais marre de ses principes stupides et que je voulais être avec lui mais comme il s’obstinait à refuser, je ne pouvais plus travailler avec lui et je lui ais rendu mon tablier.
- Là, à cet instant, j’ai pris un uppercut, enchaîna Fabien et j’ai fais la seule chose sensé qui m’est passée par la tête enfin j’aurai aussi pu me prendre un procès pour cela.
Cal compris la teneur de ce qui s’est passé à leurs sourires quasi béat.
- Il s’est jeté sur moi, m’a embrassée comme jamais on m’avait embrassée et l’instant d’après on faisait l’amour comme des fous sur le plan de travail qui avait servi toute la soirée pour le service.
Après quelques instants pour se remémorer ces beaux souvenirs, McQueen reprit :
- Ce que je veux dire c’est, qu’à force de trop repousser, tu auras des regrets, fais ce dont tu rêves avant qu’il ne soit trop tard, parce que quand il s’agit d’écouter votre corps vous êtes plutôt rapide.
Assez interloqué par cette phrase, Cal demanda des précisions :
- Tu me prends pour un perdreau de l’année lui répondit son ami, tu crois que je ne sais pas que tous mes amis ont une vie sexuelle plus qu’épanouie et bien souvent pluriel. Je sais comment vous étiez à l’école, Rob m’a parlé du Baisothon, de Dubrovnik, de l’Oktoberfest, je te parle du Lac de Côme ?
- Bon ça va Salma et Clément m’ont déjà dit qu’on n’avait pas été très discret dans la Bibliothèque, mais bon ce n’est pas moi qui est fait une partie à 4 avec Rob et Diana non plus, alors on dit quoi les dépravés ? Rebondit Cal avec une pointe de mauvaise foi.
Franchement amusé par cette partie de Ping-pong verbale, Mac enchaîna :
- Moi le dépravé ? C’est qui se fait les sœurs et les cousines des membres de son entourage, voyons voir Quinn, Vera et Pauline, heureusement que j’ai deux frères sinon je me poserai des questions, tiens tu ne veux pas que je vous organise un rendez- vous ?
- Quoi ? Comment t’es au courant de ces histoires, lui répondit un Cal franchement interloqué.
Pour tes frères, désolé je ne mange pas de ce pain là par contre s’ils sont montés comme des poneys, cela pourrait intéresser Béa.
Agnès et Fabien éclatèrent de rire à cette dernière réplique puis c’est la femme de son ami qui lui répondit :
- Pour Quinn, disons que Clément vous a vu en pleine action, encore une bibliothèque ? Pour Vera, vous avez vraiment cru que votre excuse bidon allait faire long feu et puis on avait envoyé Stella en éclaireuse, je peux te dire qu’elle s’est retenue de participer, elle était vraiment « on fire » quand elle nous l’a raconté.
Enfin pour ton ex belle-sœur disons que l’on a quelques amis un peu particuliers en commun.
- Tiens, en parlant de cela enchaîna McQueen, si je te dis que ce soir nous allons faire de l’échangisme tu me réponds quoi ?
- Oh yeaahh ! On y va quand dit-il avec un enthousiasme certain.
- On attend que maman arrive pour garder Arthur, lui dit Agnès, elle a l’habitude de venir garder le petit bonhomme quand nous sortons tard le soir, c’est aussi pour cela qu’on a acheté ici notre maison de vacances, il y a peu de kilomètres avec la maison de Maman a Deauville.
Et puis cela lui fait du bien depuis la mort de Papa, d’avoir son petit - fils assez souvent.
- Par contre je te préviens Cal lui dit avec sérieux Fabien, je pense pouvoir compter sur toi pour faire preuve de la plus grande discrétion sur les gens que tu verras ainsi que les situations dans lesquelles ils seront, la plupart des membres du cercle sont connus dans leurs domaines et ils apprécient la discrétion.
Comme pour le club BDSM de Salma et Clément, on n’y entre que sur acceptation et dossier.
J’ai soumis ta candidature il y a des semaines et tu n’as été accepté qu’hier.
Par contre, connaissant vos mœurs à toi et Béa, tu dois toujours avoir un test HIV négatif sur toi daté de moins d’une semaine je pense.
Cal répondit par l’affirmative, du coup Agnès enchaîna :
- Ce soir, nous allons à Saint-Côme en Fresné, l’un des membres du cercle a un manoir a l’extérieur du village et le thème de la soirée c’est « Vertugadin et Rhingrave » finit-elle avec une certaine excitation dans la voix.
- Époque Louis XIV ? Lui répondit Cal, intéressant et j’imagine que vous avez déjà tout ici et que je n’aurai pas à essayer divers costumes dans une boutique de Caen ?
- Tout juste mon ami, je connais ta taille et les couleurs que tu aimes, donc je me suis permis de t’acheter un costume que tu vas adorer j’en suis sûr.
Une demi-heure plus tard, Cal n’aurait pas juré en tant que courtisan à la cour de Louis XIV : justaucorps, pourpoint, chapeau de plume, rhingrave et soulier de perle, à côté Fabien était habillé de la même façon sauf que Cal était dans les tons bordeaux et Fabien vert bouteille.
Ils attendaient qu’Agnès ait finit, elle se faisait un peu désirée la madame mais elle finit par les rejoindre et le baise main de Fabien plié en deux était un peu trop prolongé et ses yeux se perdaient un peu trop dans le décolleté de sa femme.
Cal lui aussi était plié en deux mais de rire alors que la mère d’Agnès sonnait à la porte.
Il ouvrit a madame Kermorgant à la façon Mousquetaire notamment en retirant son chapeau et en se courbant légèrement.
Agnès et Fabien, un peu rouge, finit par les rejoindre et après un dernier café avec Vivianne, un dernier bisou à Arthur.
Ils sortirent sur le perron, ils optèrent plutôt pour la Porsche Cayenne d’Agnès mais c’est McQueen qui conduisit car elle était un peu gênée par sa robe.
Il y avait 1h20 de route pour se rendre à Saint Come de Fresné qui se trouvait au nord de Bayeux, le trajet fut très convivial car ils continuaient à se tanner sur différents sujets.
Cal ne vit qu’au dernier moment qu’il avait quitté la route principale pour emprunter une route communale assez étroite qui les conduisait vers un domaine assez important en arrière du village.
Ils passèrent un portail en fer forgé et s’engagèrent dans une cour au bout de laquelle les attendaient des répliques de Louis XVI et de Marie-Antoinette, en les voyants, Agnès sembla se rappeler de quelque chose et fouilla dans un sac pour en sortir trois masques.
- Tiens Cal, j’ai oublié c’est un bal masqué un peu comme le bal des Ifs sous Louis XV lui expliqua- t- elle, tout en lui tendant son masque blanc argenté avec les bords bordeaux pour être raccord avec son costume.
Quand tout le monde fut prêt, ils descendirent de la voiture et rejoignirent leurs hôtes qui les conduisirent à l’intérieur.
La salle de bal était en tout point semblable à ce qu’il voyait dans ces livres d’Histoire et justement leurs hôtes leurs expliquèrent qu’ils s’étaient attachés les services d’un Historien pour la décoration et la disposition de la salle.
L’orchestre jouait déjà des airs de menuet, c’était une sacré immersion, une demi - heure plus tard tout le monde dansait à la mode de Versailles.
Cal tenta de capter le regard de quelques femmes car comme elle portait toutes des perruques et un masque il était difficile de discerner quoi que ce soit autrement que par le regard.
Justement l’une d’elle n’avait de cesse de le fixer et de le suivre du regard, il observa au loin ses prunelles d’un beau vert émeraude, elle l’envoûtait presque que par le regard.
Il s’installa à sa table en la suivant encore un peu puis se plongea dans une conversation avec ces amies avant qu’un couple ne les interrompe, le mari s’adressa à Fabien.
- Monsieur le Gentilhomme, me permettrait vous de vous emprunter votre épouse commença- t- il
- Mais très certainement monsieur le marquis ! Si madame le désire bien sûr! Quand dites- moi, ma belle, cela vous plaît- il ?
- Très certainement, lui répondit avec enthousiasme Agnès, tout en lorgnant allègrement le décolleté de l’épouse qui devait bien faire du 100 à vue d’œil.
Elle se leva et les suivit tandis que Fabien continuait sa discussion avec Cal comme si de rien n’était.
Mais quelques minutes plus tard c’est lui qui s’éclipsa justement en compagnie de « madame yeux verts » et de l’homme qui l’accompagnait : un grand black bien carré.
Cal resta encore un peu dans la salle de bal puis, poussé par sa curiosité, il se dirigea dans les étages, McQueen lui avait expliqué que les propriétaires avaient mis chaque chambre de chaque étage à disposition à l’exception du dernier qui était leurs appartements privés.
Il y avait deux règles à respecter en plus du consentement, du respect et de l’utilisation de préservatif, c’était pas d’appareil photo ou de téléphone et laisser la porte ouverte.
Il vit vraiment de tout dans les étages : trois hommes assis sur des canapés Louis XV en train d’être sucer par trois femmes à genou devant chacun d’eux pendant qu’ils dégustaient leurs cigarettes à la mode dandy, deux femmes totalement nues en train de se goder, deux hommes à demi-nus se caressant sensuellement.
Le manoir avait trois étages dont deux à dispositions des invités et les couloirs étaient très longs. Il eut encore le temps de regarder deux coïts avant de retrouver ses amis : c’est Agnès qu’il retrouva la première.
Elle avait les seins à l’air et était en train de lécher les gros obus de la blonde en face d’elle pendant que l’époux de celle-ci (s’il en croyait, leurs alliances en tout point similaire) était en train de s’employer entre les fesses de la femme du chef cuisinier.
Sa robe était retroussée et on voyait ses bas blanc avec un ruban vert façon siècle des lumières, le type s’employait comme si ils montaient une jument en lui mettant de temps à autres des claques sur les fesses.
La blonde, elle, se faisait lécher les seins mais ne restait pas passive, sa main droite était enfoncée dans la chatte de son amie.
Cal observa encore un peu mais il avait l’envie obsédante de retrouver la femme aux yeux verts et c’est deux portes plus loin qu’ils les retrouvèrent (donc Fabien avait du voir sa femme en action en passant).
La demoiselle aux yeux verts était à genoux au sol, le haut de la robe descendu et chacun des hommes avait sa main sur un sein et le triturait en tout sens, pendant qu’elle s’employait à leur faire reluire dans sa bouche la bite à tour de rôle.
Celle de son gars semblait dans une bonne moyenne pour une personne de couleur noire tandis que celle de Fabien était moins longue mais plus épaisse.
Elle leurs titillait le méat tout en le regardant dans les yeux à travers son masque, elle emboucha à fond celle de Fabien lui faisant pousser un soupir de plaisir pendant qu’elle branlait à fond de la main droite celle de son mec.
Tout le long de la fellation, elle ne cessa de le regarder et les gars avaient bien compris ce jeu de regard et donc ils l’installèrent de face quand elle s’embrocha sur la queue de Fabien pendant qu’Alban (il l’apprendrait après), lui défonçait la mâchoire a coup de pine.
Ils se relayèrent dans ses différents trous à tour de rôle et terminèrent en double, elle sur le vit d’Alban en Amazone alors que McQueen se faisait son passage dans son anus, elle avait la tête à hauteur de l’entrejambe de Cal et aurait pu prendre sa bite en bouche mais cela semblait être dans le jeu, Cal était spectateur de cette baise et il ne voulait pas perturber l’harmonie de cette baise.
Ils terminèrent en ejac faciale, elle se retrouva avec du sperme partout du visage à la poitrine, les gars sortirent finalement, Alban lui serra la main comme si de rien n’était et Fabien lui fit une accolade en sortant.
Ils ne furent plus que tous les deux, elle prit une des serviettes mis à disposition pour se nettoyer mais ne remonta pas sa robe, au contraire elle s’en débarrassa totalement et se retrouva devant lui quasiment nue à l’exception de sa perruque, son masque et ses bas blancs avec un motif turquoise.
Cal tourna autour d’elle en marchant, elle le suivait du regard et s’adressa à lui :
- Alors ce qu’a vu monsieur le Duc lui a- t- il plu ? Monsieur aime observer et prendre son temps.
- Monsieur a beaucoup apprécié le spectacle offert, il a surtout aimé ce jeu de regard et il aime beaucoup vos yeux qu’ils trouvent très expressifs.
- Merci mon cher duc, vos compliments m’émeuvent mais je remarque que vous m’avez l’air soucieux, vous êtes indécis on dirait.
- Vous m’impressionnez, vous ne serez pas une sorte de madame Irma au moins ?
- Non, juste une déformation professionnelle, désolée c’est l’habitude.
- Déformation professionnelle ? Vous êtes psy ou kiné ?
- En quelque sorte, nous n’avons pas le droit de révéler nos identités surtout aux nouveaux membres, question de sécurité, ce n’est pas contre vous mon cher duc.
- Je le comprend tout à fait lui répondit-il tout en s’approchant d’elle, il récupéra un peu de foutre qu’il restait sur sa joue et lui tendit ces doigts, je crois qu’il en reste là lui dit - il
Elle lui lapa les doigts, elle fit tourner sa langue tout autour toujours en le regardant dans les yeux.
- Effectivement mais je crois qu’il en reste ici tout en massant la bosse bien présente dans son pantalon.
Ni une, ni deux elle le repoussa contre l’orgue qui se trouvait derrière Cal, elle lui sortit son membre et le prit dans la bouche tout en le fixant, elle ne semblait rien faire de l’extérieur mais à l’intérieur sa langue s’employait à vitesse grand v.
Elle savait y faire et toujours ce regard d’un vert profond qui le fixait, il se laissa faire et savoura sa pipe, par contre les notes qu’il jouait par inadvertance sur l’orgue allait finir par alerter tout le village de la soirée en cours.
Il commençait à y avoir des spectateurs à la porte, dont Fabien qui avait retrouvé sa moitié, les deux semblaient dans un grand état jubilatoire.
Lui aussi n’était pas bien loin de l’état jubilatoire mais il voulait se retenir, il voulait la baiser tout en la regardant dans les yeux mais elle semblait avoir d’autres projets alors au bout d’un moment et suite au traitement de choc qu’elle imposait avec sa bouche et sa langue à son pénis, il ne put se retenir plus longtemps.
Les yeux plongés dans ces iris verts, il se répandit dans sa bouche en plusieurs longues saccades, elle but sa liqueur d’amour jusqu’à la dernière goutte en ne laissant rien filtrer de ses lèvres.
Elle le nettoya entièrement et se releva, au passage elle lui glissa à l’oreille d’aller faire un jogging demain près de la plage d’Utah Beach, cela lui ferait du bien, elle connaissait un très bon parcours dans ce secteur.
Elle se recula, récupéra ses affaires et sortit de la chambre sous les applaudissements de l’assistance.
Cal lui était un peu sonné, il finit par rejoindre ses amis, ils profitèrent encore un peu du bar puis reprirent la route.
Dans la voiture, les commentaires allaient bon train sur la soirée, Cal comprenait le silence de ses ami(e)s sur l’identité des participants et surtout sur celle de cette femme mais Cal se dit qu’un petit jogging allait l’aider à y voir plus clair.
Il y réfléchit dans sa chambre après être rentré, il alla donc sur un site qui donnait des conseils sur les différents endroits où l’on pouvait faire son jogging en Normandie et justement l’un des parcours faisait le tour de la plage d’Utah Beach.
L’un des parcours le faisait partir de Saint - Martin - de - Varreville, le faisait passer devant le Hameau Mottet mais aussi devant le monument Leclerc en hommage au Général de la 2ème DB puis le faisait revenir vers la ville de départ.
Il regarda Google Maps, même son GPS lui disait qu’il était complètement fou : 130 km et 1h50 en voiture pour aller faire un jogging et retrouvé peut-être la fille d’hier soir mais quand il avait une obsession en tête, il ne l’avait pas ailleurs.
Une bonne nuit de sommeil, un bon petit déjeuner puis il expliqua à ces hôtes de ne pas l’attendre car il avait besoin d’aller courir et il avait repérer un bon secteur de courses, ces ami(e)s pouffèrent de rire quand il leur dit qu’il partait du cotée de Saint-Martin.
Ils étaient très amusés, se regardèrent puis lui souhaitèrent une très bonne journée avec de large sourire.
Il était déjà en tenue de sport quand il monta dans l’Aston Martin, le temps était étonnamment encore très clément pour cette fin de mois d’Octobre.
Il abusa un peu sur la route avec quelques pointes sur l’autoroute à 140 voir 150 km, si bien qu’il parcourut la distance en 1h30 et arriva aux alentours de 10h du matin.
Il se dit que même si il ne la croisait pas, il profiterait d’un super temps, d’un beau panorama pour faire son sport.
Effectivement la vue était vraiment belle avec les reflets du soleil qui se reflétaient sur l’eau quand il aborda la partie plage, il tenta de rester discret mais il scruta toutes les femmes qu’il croisa dans l’espoir de la voir.
Et tandis qu’il remontait le secteur de Ravenoville juste après le camping, une jeune femme brune avec les cheveux frisés déboucha de sa droite et continua vers le musée de la seconde guerre mondiale, il cala donc ces pas sur les siens tout en restant à bonne distance.
Elle ne resta pas sur la route principale en direction de Quineville, rien pourtant ne lui disait que c’était elle mais son instinct lui disait que c’était ce qu’il fallait faire, elle continua vers le bourg de Lestré en direction du nord.
Au bout d’à peu près 1 km, elle tourna légèrement la tête de 3/4 et la il aperçu les fameux yeux verts et cet expression qu’il avait vu.
Elle lui sourit et continua sa route jusque dans le village, ils remontèrent la route de la cour et au détour d’un virage à droite, elle parti dans le domaine privatif qui était ouvert en face.
C’était l’instant de vérité, soit il tournait à droite et il passait à autre chose soit il la suivait et il verrait jusqu’où elle comptait l’emmenait, il choisit en une demi - seconde la seconde option.
Ils parcoururent encore environ 600 mètres jusqu’à hauteur d’un chêne légèrement surélevé en face d’un grand plan d’eau au centre duquel se trouvait un petit îlot.
Elle s’arrêta pour récupérer et faire des étirements, il en fit de même, c’est le piaffements des oiseaux qui ponctua leurs silences, aucun n’osait troublait la quiétude du lieu.
Mais finalement c’est elle qui engagea la discussion :
- Alors monsieur le duc, ce jogging vous a fait du bien ? Vous avez apprécié la vue ?
- Oui cher comtesse, vous aviez raison, rien ne vaux un jogging pour vous remette les idées à l’endroit et effectivement la vue était magnifique sur la plage mais j’ai encore plus aimé la vue que j’avais depuis environ 3 km et encore plus celle que j’ai maintenant répondit-il alors qu’il l’observait de dos faire ses étirements.
Sa tenue de sport la mettrait très en valeur, elle avait un legging de sport Anita Active de chez Anita de couleur noir avec des points blanc, il était très seyant surtout au niveau des fesses et en haut elle avait un Zbra silver fabriqué par Z Sport.
Un modèle très intéressant avec une tirette sur la face avant, une tirette qui le tentait terriblement depuis quelques instants alors il s’approcha d’elle par derrière.
Il passa sa main droite vers l’avant et prit le bout de tirette et tira vers le bas, les deux pans glissèrent sur le côté et libèrent ses seins qui n’étaient pas les plus gros qu’il ait touchés certes mais il elle avait une peau si douce presque comme de la peau de bébé.
Il lui massa des deux mains sa poitrine tout en l’embrassant dans le cou, la demoiselle ne restait pas sans rien faire non plus car elle frottait ostensiblement ces fesses contre son entrejambe.
Mais bientôt, il lui fallait plus, il avait besoin de goûter à nouveau à sa bouche, il la tourna alors et la plaça à genou devant lui.
Sous ses yeux, il sortit son phallus qu’elle observa quelques secondes, pour ensuite le reprendre en bouche pour la seconde fois en deux jours.
Son jeu de regard le rendait dingue bien plus encore que sa technique qui le rendait dingue, son pénis était léché avec sa langue partout, c’était le pied.
La situation était des plus érotiques, elle sur ses chevilles, sa bite dans la bouche pendant que sa main gauche lui triturait les seins avec force, le tout contre le tronc d’arbre.
Il décida d’y aller un peu plus franco, il ressortit plusieurs fois et se replongea à chaque fois avec plus de force, il jouait avec sa pine dans sa bouche, la poussant à fond pour atteindre sa glotte.
Elle faillit vomir plusieurs fois mais à chaque fois en redemandait toujours plus de la gorge profonde, sa salive coulait abondamment sur ces seins et il l’utilisait pour huiler ces seins.
Elle était aussi très douée pour lui lécher les boules qu’il posait au dessus de ses lèvres, il la bifla également.
Mais, comme hier, avec un tel traitement il ne résista pas et lui envoya une bonne quantité de foutre sur son visage qu’il étala bien avec sa queue avant de lui faire nettoyer chaque recoin de sa bite jusqu’à ce qu’elle soit propre.
Cette fois-ci il ne comptait pas la laisser s’envoler, il la colla contre l’arbre abaissa violemment son legging ainsi que son short de sport et entra tout de suite trois doigts dans une charte totalement humide, il joua de ses doigts à l’intérieur jusqu’à atteindre son bouton d’amour qu’il massa entre deux doigts.
Cela la fit mouiller encore plus, il pu donc faire entrer un quatrième doigt. C’es comme s’il la tenait par la chatte, pendant qu’il l’embrassait à pleine bouche.
Elle eut un premier orgasme quand ses parois se contractèrent violemment sur ses doigts, son cri de jouissance mourut entre ces lèvres.
Il se mit à genou et se mit à la boire à la source, il en profita pour lui retirer complètement son legging et son boxer en lycra.
Il lui mit ses deux jambes sur ses épaules et la leva en la maintenant sous les fesses, il entama alors un cunnilingus très acrobatique qui semblait beaucoup lui plaire s’il en croyait à ces ongles qu’elle plantait dans son dos.
Il lui titilla l’intérieur de son antre chaud, il trouva de sa langue le cercle de son plaisir qu’il lécha de haut en bas la faisant crier de plaisir.
Il espérait que le propriétaire n’allait pas débarquer avec un fusil de chasse ou un 22 long rifle pour lui faire la peau au vue des cris de plus en plus fort que sa partenaire poussait d’autant qu’un doigt de chacune de ses mains étaient maintenant plongés dans son con la faisant haleter toujours plus fort.
Un dernier coup de langue bien placé lui fit rendre les armes pour la seconde fois en peu de temps.
Il la reposa sur le sol et après s’être posé contre le tronc d’arbre, elle s’exclama :
- Whouahh ! Vous ne manquez pas de talent, monsieur…?
- Calvin, mais appelez moi Cal, par contre la je peux vous demandez votre prénom, c’est autorisé je pense ?
- Oui ! Là nous sommes en dehors du cadre des soirées, je m’appelle Xena, oui je sais comme Xena la guerrière.
- Et cela n’a aucun rapport, la coupa Cal, qui s’y connaissait un peu sur le sujet.
- Effectivement, c’est un hommage à ma grand-mère maternelle, ma famille est originaire du Pirée en Grèce, nous sommes justement sur le domaine de mes parents.
- Ah ! Votre père risque donc de sortir avec un 22 long rifle vue les cris que j’ai fais pousser à sa fille.
- Non ! Aucun risque, mes parents sont en croisière en Mer de Chine, je passe de temps à autre surveillait la maison familiale mais je travaille et vis sur Caen, quand au fait de me faire crier, je compte bien crier encore plus fort aujourd’hui dit - elle alors qu’elle s’écartait les petites lèvres et commençait à se doigter.
Pendant ce temps la, Cal se branlait, quand il jugea qu’il était suffisamment dure, il récupéra une capote dans sa tenue de sport et le déroula autour de sa bite.
Elle se releva, se pencha en avant et s’appuya sur l’arbre tout en relevant la jambe gauche.
Cal se saisit alors de cette jambe et le fit passer à hauteur de sa taille avant de s’enfoncer dans ses chairs si accueillante, il entama tout de suite un rythme puissant et exigeant.
Ces cris montaient déjà crescendo tandis qu’il prenait toujours plus d’amplitude dans ses coups de bassin, elle lui criait d’aller plus fort et de lui mettre des claques sur les fesses, ce qu’il ne se gêna pas de faire.
Il lui rabaissa les jambes et la saisit à hauteur de ses hanches pour pousser toujours plus fort, il fit d’abord le travail puis la laissa ensuite s’enfoncer d’elle - même sur sa pine.
La vue était magnifique, elle s’enfonçât d’elle même sur son vit dans ce décor si inspirant, son étoile lui faisait de l’œil alors et après avoir humidifié son doigt, il l’enfonça phalange par phalange dans son trou du cul.
Elle s’agitait encore plus fort sur son manche mais commençait un peu à fatiguer alors il reprit l’initiative.
Il la retourna face à lui, l’embrassa puis la souleva à la force de ses bras pour la coller de nouveau contre l’arbre pour cette fois ci la baiser de face,
Il la voyait perdre pied peu à peu à mesure qu’il entrait et ressortait à une vitesse vertigineuse de son chatte.
Puis il le vit le plaisir, alors que ses yeux se révulsaient et que son cri partit loin sur le domaine, il la laissa crier tout son saoul comme elle voulait alors que lui continuait à la marteler de coups.
Elle voulut redescendre alors il la reposa, elle profita de son inattention pour le pousser en arrière, il s’assit et finit par se coucher à un mètre du bord du lac.
Elle vint s’empaler sur son phallus et imposa de suite un rythme effréné mais au bout de deux minutes, elle re-souleva son bassin et même si il n’y voyait pas la scène car se trouvant à l’envers, il le devina puisque quelques secondes plus tard sa tête chercheuse pénétrait un trou plus serré.
Xena faisait un peu la grimace mais ses traits commencèrent à changer rapidement à mesure que la pine de Cal lui dilatait ses sphincters, son souffle devint plus profond et ces cris venait de plus loin.
Cal avait juste laissé ces deux mains sous ces fesses et la laissé s’enfiler elle-même avec sa queue, il admira ces deux globes laiteux en forme de poire par l’échancrure de son wonderbra totalement ouvert.
Elle rebondissait en cadence pour son plus grand plaisir, si bien que Cal passa carrément en mode pacha, il croisa ces deux mains sous son crâne et se laissa faire.
Elle était vraiment belle à prendre son plaisir ainsi mais sa sauce n’allait pas tarder à monter et il voulait finir de façon très acrobatique.
Il lui fit comprendre que le moment était venu, ils se relevèrent, il l’attrapa de biais et la retourna tête vers le bas pendant qu’il lui maintenait les deux jambes au dessus de sa tête.
Le 69 acrobatique eut l’air de lui plaire car elle se jeta comme une mort de faim sur sa queue qu’elle aspira littéralement, pendant que lui s’employait à lui faire avoir orgasme en lui léchant alternativement les deux trous.
Il partit le premier en explosant dans sa bouche, il lui envoya la sauce directement dans son estomac mais son éjaculation déclencha son orgasme à elle car il avait enfoncé sa langue très loin dans son cul, lui faisant voir trente six chandelles.
Ils se remirent à l’endroit dans l’herbe, où elle vint se blottir contre son torse, c’était encore très enivrant de sentir ses seins contre son torse.
Ils discutèrent un peu puis elle lui proposa de remettre de l’ordre dans leurs affaires puis d’aller déjeuner dans la maison de ses parents où il pourrait lui parler, il en avait besoin elle le sentait.
Pour parler, ils parlèrent longtemps enfin bien plus lui, souvent elle lui demandait d’exprimer plus clairement son ressenti, ces opinions par rapport à tel ou tel situation.
Puis elle lui proposa de le ramener à Saint - Martin - de - Varreville où était sa voiture et sur la route elle lui donnerait son impression.
Elle visa extrêmement juste, Fabien et Agnès avaient raison mais ils n’avaient pas totalement cerné le cœur du problème, tout d’abord la peur de Cal de perdre ce côté insouciant, sans lendemain de sa relation avec Béa, il avait bien appliqué l’adage « Pour vivre heureux, vivons caché ».
Mais elle le rassura, ce n’est pas parce qu’ils vivaient ensemble ou se mariaient que forcément ils allaient tourner dans une sorte de routine mortifère, ils étaient tous les deux très indépendants, de plus leurs rythmes de vie libertin apporte ce côté pimenté qui manque à beaucoup de couples, ils avaient une confiance l’un dans l’autre profonde, inconditionnel et absolu.
Elle avait aussi cerné le moment où cette situation était vraiment conflictuelle dans la tête de Cal, jusque là il s’accrochait au fait que leurs travail sur deux continents ne permettait pas de vivre une relation suivie, sans parler de leur volonté très louable de ne pas déraciner leurs enfants mais les importants changements chez Spittrain avait déjà bien précipité les choses, le coup de grâce a finalement a été la mutation de Brad à Berlin entraînant de fait le départ de Brittany vers l’Europe (ces deux tuteurs légaux vivant de fait de ce côté de l’Atlantique).
Il n’avait plus de raison recevable pour repousser une échéance qui arriverait à terme et elle en était sûre Béa n’attendait que cela.
Elle ne l’a connaissait que de nom et de vue mais pour elle, la rousse semblait être une femme moderne, très décidée, qui savait exactement ce qu’elle voulait et comment l’obtenir.
Là elle était convaincue, Béa aurait pu lui demander sa main mais elle respectait ses doutes, liées notamment à l’échec de son premier mariage, il ne voulait pas tout détruire alors qu’il n’avait jamais été si heureux depuis 3 ans et demi.
Mais un mariage dépend des deux mariés, ce n’est pas le mot mariage qui détruit tout, c’est la routine, l’ennui, les frustrations, le manque de communication et les incompréhensions mais cela ne semblait pas leurs correspondre.
Pour la première fois depuis bien longtemps il eut les idées bien plus claires grâce à Xena, il savait enfin ce qu’il devait faire exactement mais il ne pouvait pas attendre, il allait mener dès ce soir la première étape vers la réalisation du projet qu’il avait rêvé pour la première fois sur une plage néerlandaise il y a un peu plus de 7 mois.
Ils remirent le couvert sur un chemin de terre dans sa voiture au nord du Hameau Vigier à proximité du Mémorial « Le camp de prisonniers Allemand » où il l’encula notamment pendant qu’elle se baisait avec son levier de vitesse.
Il ne revint qu’en fin de journée chez Fabien et Agnès, ils leurs racontèrent sa journée et lui dit qu’il avait pris sa décision mais qu’il devait partir dès ce soir tant que ces idées était totalement claires.
Ils mangèrent donc en famille avec Arthur, un denier bisou en le mettant au lit puis il remercia chaleureusement ses amis pour tout car c’était grâce à eux aussi qu’il avait pu prendre sa décision.
Il prit la route à bord de sa Vanquish, prochaine étape : l’Alsace.
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