Agnès et Sylvain (3) Notre ami privilégié

Notre lointain neveu va terminer son service militaire près de chez nous et retourner chez ses parents. Agnès et moi, aimons cette relation à trois et envisageons de combler ce vide que va créer ce départ.

Proposée le 9/06/2023 par Sylvain

Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Ma sœur habite une grande et belle maison, avec jardin entièrement clôturé de haies au milieu duquel se trouve un grande piscine. Chaque été, en août, elle et son mari se rendent à Quiberon dans un petit appartement qu'ils ont en bordure de mer et y retrouvent leurs amis tout en profitant de la plage, de la côte sauvage et des fruits de mer. Vu que pendant ce mois-ci c'est moi qui entretien la piscine et surveille la maison, nous en profitons, ma femme et moi, pour inviter des amis à des barbecues et baignades.

Je dis « nous » et je ne vous ai pas encore présenté ma femme. Personnellement je la trouve sublime,( nos amis aussi ). De figure elle a des traits fins, une chevelure brune et toujours son air rieur, malicieux surtout quand elle plisse ses yeux en souriant. Son corps est mince et souple, dégage une sensualité certaine, elle pourrait rivaliser, elle qui a 42 ans, avec beaucoup de jeunettes de 20 ans. Du point de vue social, elle est très ouverte, discute de tout et avec tout le monde.

Elle aime pratiquer le naturisme et le bronzage intégral, même devant nos amis. D'ailleurs quelques uns et quelques unes nous imitent quand ils viennent nous rejoindre à la piscine.

Nous sommes donc tous les deux, allongés nus sur nos serviettes, nous faisant dorer au soleil.

Arrive Hubert, qui nous demande la permission de se joindre à nous. Naturellement nous acceptons et il se met à l'aise en se déshabillant et se couchant sur sa serviette. Nous parlons de tout et de rien,de nos enfants, de sa vie de célibataire, du beau temps etc,,,Puis nous nous sommes tu, chacun se prélassant sous les rayons du soleil,,,

- » Sylvain,( c'est moi ) tu veux bien me remettre de l'huile sur le dos ?
«  C'était Agnès (ma femme) qui vient de parler. J'adore faire cela, surtout la caresser sur tout le corps, masser ses seins et ses fesses, sans oublier la raie de son petit cul. Naturellement, sa chatte y a également droit ( C'est normal ! )

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Nous savions que Jean serait bientôt libéré de l'armée et qu'il retournerait alors chez ses parents. (lire ''Notre petit militaire '' ). Pour ceux qui ne le savent pas, Jean, un arrière petit neveu d'Agnès, il a 25 ans, neveu par alliance et militaire à 30 km de chez nous.

Il passait pratiquement tout ses week-end avec nous, et même ,avec mon consentement, partageait le corps de ma femme avec moi. Naturellement, personne, ni Hubert, ni aucun de nos autres amis ne soupçonnaient cela. Officiellement, Jean avait sa chambre chez nous.

La démobilisation prochaine de Jean va laisser un grand vide dans notre vie car on appréciait bien ce ménage à trois. Par contre Hubert (qui lorgnait vainement sur Agnès depuis quelques mois ), était bien pressenti pour lui succéder.


- »Oui, je viens,,,,,,,,,Mais je dors à moitié, tu ne veux pas demander à Hubert ? »

- »OK je viens, Où est la crème ? » s'est empressé de répondre Hubert. Et s'agenouillant à coté de Agnès, couchée sur le ventre, et il se met à lui huiler le dos, puis les aisselles puis les fesses et enfin les mollets et les cuisses.
Je trouvais qu'il s'attardait bien longtemps sur les cuisses et qu'il remontait bien souvent jusqu'aux fesses. Je voyais Agnès réagir à ces caresses en remuant son bassin au rythme des frôlements. Eh-oui !!! Je les surveille.
Hubert, quant-à-lui s'appliquait à sa tâche surtout sur les cuisses où ses mains restaient souvent immobiles devant l'entrée de la chatte comme s'il avait peur de pénétrer. Je voyais aussi son sexe qui commençait à se dresser. Je relevais un peu ma tête et je lui esquissais un sourire de connivence,


Hubert ne laissa pas passer cette chance. Depuis qu'il convoitait Agnès, c'était la première fois qu'il avait la possibilité de toucher ce corps si tentant et envié. Ses doigts pénétraient alors le minou de Agnès, montaient frôler les petites fesses, pénétraient la raie du cul pour titiller le petit orifice.
J'admirais les déhanchements de mon épouse tout en entendant sa respiration se saccader.
Hubert entreprit alors de retourner Agnès. La voilà étendue sur le dos, les yeux clos, offrant son ventre plat, son sexe et ses seins à son masseur.
Je m'approchais d'eux, pris la main de ma chérie et la posais sur le sexe tendu de Hubert. Agnès entrouvrit les yeux, m'attira vers elle et m'embrassa sauvagement.

A nous deux, nous nous employions à caresser ma chérie, à la faire monter au septième ciel, à la faire jouir jusqu'à l'orgasme, suivi d'un autre encore plus intense.


Je plonge dans la piscine et laisse les deux amants batifoler , je les vois s'enlacer furieusement, Hubert est entrain de déshonorer Agnès. Moi je dirais plutôt de l’honorer,

Depuis cet après-midi, nous invitons de temps en temps Hubert seul chez nous en dehors des visites de Jean. Surtout le soir où il reste une bonne partie de la nuit à baiser Agnès, d'autant plus que je les abandonne au bout d'un moment.
La chambre d'ami a repris du service. Naturellement aucun de nos autres amis n'est au courant de cette liaison mais les rapports sexuels, entre Agnès et moi, se sont bien améliorés et intensifiés.

Qu'elle est belle et désirable ma Chérie, surtout quand elle baise et qu'elle jouit!!!

Hubert venait nous rendre visite très souvent, il nous prévenait toujours de sa venue, Agnès se hâtait alors, avant son arrivée, pour se changer. Nous nous dépêchions de prendre une douche. Elle choisissait ensuite son vêtement. Sur son corps nu, ce sera une fois son boubou, une autre fois une de mes chemises qui la couvre jusqu’à hauteur de la chatte, une autre fois encore un déshabillé légèrement transparent, ou encore en tenue d'Eve, c'est à dire, carrément rien du tout. C'est ainsi qu'elle accueillait son amant. Moi, je revêtais mon peignoir. Nous savions que cette soirée allait être torride et sexuelle.

Quand il sonnait à la porte, en général c'est moi qui ouvrais. Puis arrivait ma chérie qui se jetait à son cou, l'embrassait longuement en se laissant caresser sur tout le corps. Puis, les effusions passées, nous nous installions sur le canapé où je nous servais à boire et à grignoter. Pendant que je faisais le service, les deux tourtereaux s'embrassaient, se caressaient et rigolaient. Agnès en profitait aussi pour déshabiller notre hôte.
A peine le temps de finir nos verres, que débutait une partie de jambes en l'air. Voici ma chérie entreprise par son amant et moi.
- »Et ce serait plus pratique si on allait dans la chambre « 
Ma femme nous précède et nous guide en nous tenant par nos sexes déjà bien raides. Elle s'allonge sur le lit, et nous regardant dit : » Allez, venez me montrer ce dont vous êtes capables. J'attends !! « . Elle est prête pour un départ vers plusieurs orgasmes.

Nous nous couchons à coté d'elle, chacun d'un coté. Je commence par l'embrasser, tandis que Hubert lui suce les seins.
Je rencontre les mains de Hubert sur le pubis de Agnès. Ses doigts disparaissent dans le sexe de mon épouse.
Je me retourne pour être tête-bêche avec elle. Elle se met à quatre-pattes pour me faire une fellation endiablée. Hubert lui, s'est attaqué au petit cul tendu vers le plafond, léchant ses fesses, son petit orifice, et en redescendant, les lèvres de sa vulve. Le petit clitoris a droit lui aussi à nos langues.

Au bout d'un moment, je sens un sursaut de Agnès. C'est Hubert qui vient d'enfoncer sa bite dans la chatte de ma femme. Elle gémit. Les coups de butoir de son amant l’empêchent de garder ma verge en bouche.

Goulûment elle reprend mon sexe dans sa bouche.
On respire fort. De nos corps agglutinés s'échappe un odeur de sueur.
Je sens Agnès près de l'orgasme. Hubert, lui, n'en est pas loin, lui non plus. Moi, ça va pour le moment.

Ça y est !! Presque à l'unisson les deux amants ont joui, et Agnès a lâché mon mandrin.

Hubert s'est retiré de ma femme qui s'est mise à nettoyer la bite de son amant avec sa langue.
- »C'est dommage de gâcher ça ! «  dit-elle en rigolant. Puis se tournant vers moi : «  Chéri, pendant que je nettoie mon amant, tu veux bien nettoyer ta femme ? « . Ce que je m'empresse de faire.
J'aime lécher le sexe de mon épouse, même lorsqu'il suinte encore d'un mélange de sperme de son amant et de sa cyprine. Je m’applique à tout avaler, allant même jusqu'à aspirer ce qui restait à l'intérieur.
Lorsque tout est propre, nous sommes allé nous rasseoir sur le canapé, Je remplis à nouveau les verres, et tout en parlant de tout et de rien, nous caressons Agnès.
- »Eh, Sylvain, tu n'as pas bien tout nettoyé ! Je sens que ça coule ! Hubert du veux t'en occuper ? « . Ce qu'il fit prestement.

- » Quelle heure est-il ? Oh il faut que je rentre ! « 

Voila ! C'était par exemple une des soirée passée avec ma femme, son amant et moi. Seuls, dans notre lit, nous avons remis le couvert avant de nous endormir enlacés.

Agnès avait donc son petit harem de mâles : ses deux amants ( Jean et Hubert ) et moi.
Le domaine de la bagatelle et du plaisir dont Agnès raffole insatiablement sont pour son harem. Elle jouissait de vider nos couilles. Elle jouissait de jouir. Elle nous offrait tout son corps.
Mais moi seul ai le monopole de l'Amour avec un grand '' A ''.
Nous avons gardé Hubert environ deux ans. Puis mon insatiable épouse et moi lui avons trouvé un remplaçant.
L'amour avec un petit '' a '' est comme un bon repas en compagnie de personnes agréables, gentilles et câlines, tandis qu'avec un grand '' A '', c'est un diner aux chandelles dans un palace agrémenté de feux d'artifices  !!!

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Commentaires de l'histoire :

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