Je descends le long de ton corps en y promenant mes doigts, je défais les liens de tes pieds. Brusquement tu donnes un coup de reins qui me déséquilibre et tu me fais choir sur le lit, je suis surpris par ta vitesse d'exécution et me retrouve sans que j'aie eu le temps de dire ouf en position couché
Proposée le 24/05/2023 par Rackham
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
J'ôte le bandeau de tes yeux, ils brillent d'excitation.
Je descends le long de ton corps en y promenant mes doigts, je défais les liens de tes pieds.
Je reviens à califourchon sur ton torse déposant mon glaive entre tes seins. Comme tu as gardé sagement les mains attachées, tu ne peux toi-même lui prodiguer cette cravate de notaire avec ta plantureuse poitrine.
J'empoigne fermement tes volumineux seins et me branle la tige avec, tu essayes d'attraper le bout qui luit devant toi, mais tu ne sais qu'y déposer que de bref coup de langue.
Je détache les liens de tes poignets et reprend ma masturbation mammaire, tes mains ainsi libérée, tu saisis mes fesses fermement et tu me tire à toi, ce qui amène mon gland à portée de ta bouche tu t'en empare et l'aspire avidement.
J'ai la sensation que je vais me retourner par l'intérieur.
Brusquement tu donnes un coup de reins qui me déséquilibre et tu me fais choir sur le lit, je suis surpris par ta vitesse d'exécution et me retrouve sans que j'aie eu le temps de dire ouf en position couché sur le dos et toi en Walkyrie chevauchante.
"Ne bouge pas", m'intimes-tu, "Tu vas payer ce que tu m'as fait subir", ajoutes-tu en me serrant les poignets le plus fort que tu peux et je dois dire que la pression y est ainsi que le ton de ta voix.
Je n'en croyais pas mes yeux ni mes oreilles, t'aurais-je blessée en te faisant endurer le traitement qui me semblait doux, je n'avais pas serré les liens et tu aurais pu si tu l'avais voulu te débarrasser de tes entraves seulement en faisant tourner tes poignets, je ne comprenais pas très bien ce qu'il se passait.
Ha!!! Tu m'as privée de la vue, tu m'as empêché de te rendre tes caresses, tu m'as fait jouir sans que je puisse te rendre en retour.
Et bien pour tous cela tu vas payer, je vais te faire rendre gorge, c'est maintenant ton tour de souffrir et de demander grâce et pitié. Tes yeux brillent de colère et de plaisir, mais pas de celui qui parcours le corps lors de la jouissance, non un regard un peu sadique, un regard froid qui glace le sang.
Tes mains enserrent mes poignets et tes cuisses pressent mes côtes comme pour les briser.
La situation est ambiguë, car d'autre part ton bassin est agité d'une houle qui garde mon sexe en érection malgré l'incongruité de la situation.
Tes hanches roule, mon pénis bien droit contre celle-ci, mon esprit est balancé entre ce que je ressens, ce que je lis dans tes yeux et ce que ta voix m'intime.
Soudain ton regard s'adoucit, il redevient rieur, un sourire sur tes lèvres et ta voix qui redevient douce et chantante, "Je vais te faire jouir, quand bon me semblera, tu es à ma merci" et tu plonges sur mon visage, m'embrasse goulûment, nos langues s'emmêlent dans un tourbillon caressant.
Tu soulèves ton bassin et emprisonne ma tige entre nos deux corps. Tu effectues un mouvement de bas en haut, tes lèvres s'écartent de part et d'autre de ma hampe, ton clitoris doit être en contact permanent avec mon sexe, mais tu te redresse afin de supprimer la pression sur ton petit bouton qui n'aurait probablement pas résister au traitement bien longtemps.
Par contre la pression que tu exerces sur mon sexe m'arrache des soupirs : "Hummpfff", cette caresse est tellement douce tout en étant forte.
Ta mains droite file vers ton dos et descends pour cajoler mes bourses dont la peau est, par l'excitation, toute resserrée, de l'ongle de ton index tu griffe légèrement cette partie juste en arrière de mes testicules, ce qui a pour effet immédiat d'envoyer des fourmillements tout au long de ma colonne jusqu’à mon cerveau où il explose en étincelant.
"Tu aimes?" me questionnes-tu, "Oh ouiiiii!!!" te répondis-je.
"Tu en veux encore?" insistes-tu, "Bien sûr, j'aime ça"
Ma queue est luisante du désir qui coule de ta grotte d'amour.
Tu décolle le fruit tant convoiter en te relevant et devant ma moue de désapprobation tu souris et tu dis : "Qu'y a-t-il?", "Continue" t'avouais-je.
"Non, inutile, c'est moi qui dirige" me dis-tu sur un ton sec et sans appel.
En même temps ta main dit le contraire par le lent mouvement de bas en haut qu'elle applique à la peau de mon sexe.
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