Clémence doit s’occuper d’une cliente particulièrement perverse. Elle n’imagine pas jusqu’où cela ira… Lire les épisodes précédents.
Proposée le 24/04/2016 par Marc Paul
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: Essayage
Type: Roman
La sonnette indiqua l’entrée d’un client dans la boutique. Angélique, délaissa la personne dont elle s’occupait pour accueillir une femme d’une quarantaine d’années, très élégante.
Bonjour, madame de Clairant, comment allez-vous ?
Bonjour, chère Angélique, je vais très bien, merci. Combien de fois devrais-je vous dire de m’appeler Béatrice plutôt que « Madame de Clairant »
Oh, c’est vrai. Excusez-moi, Béatrice. Puis-je vous confier aux bons soins de Clémence, je ne peux malheureusement pas m’occuper de vous car je suis occupée avec une autre personne.
Ce n’est pas un problème, je suis sûre que Clémence fera parfaitement l’affaire.
Très bien, je l’appelle. En attendant, je vous invite à faire un tour dans les rayons. Vous pourrez découvrir les dernières nouveautés.
Merci, je suis sûre que vous avez des petites choses exquises, comme d’habitude.
Angélique partit à la recherche de sa vendeuse en s’excusant auprès de la cliente qu’elle avait un peu délaissée. Elle trouva Clémence dans la réserve.
Clémence, peux-tu t’occuper de Madame de Clairant. Tu utiliseras un salon au premier pour les essayages.
Oui, j’y vais tout de suite.
Clémence connaissait Béatrice de Clairant, même si elle ne s’en était jamais occupée auparavant. C’était une très bonne cliente qui passait à la boutique une à deux fois par mois et dépensait sans compter à chacune de ses visites. Angélique ou Katia se chargeaient généralement de satisfaire ses désirs. Et en tant que cliente assidue, Madame de Clairant avait le privilège de profiter d’un salon d’essayage privatif. Clémence était un peu impressionnée de la servir. Elle avait peur de ne pas lui donner entière satisfaction.
Elle pénétra dans la boutique et se dirigea vers la femme qui flânait dans les rayons.
Bonjour, Madame, je suis Clémence. Que puis-je faire pour vous aider ?
Bonjour, Clémence. Je recherche quelques petites choses pour moi et j’ai vu des pièces tout à fait ravissantes.
Montrez-moi. Ensuite nous pourrons commencer l’essayage.
Madame de Clairant entraina Clémence à travers les rayons et lui indiquait ce qu’elle avait remarqué. A chaque fois Clémence notait sur un petit carnet les désirs de sa cliente. Cela dura une bonne vingtaine de minutes avant que Madame de Clairant se déclare satisfaite.
Clémence l’abandonna pour aller chercher dans la réserve tout ce qu’elle avait noté. Elle pianota sur l’ordinateur à la recherche des mensurations de sa cliente. « Taille M et 90C » nota-t-elle dans sa mémoire. Elle revint rapidement les bras chargés de cartons et entraina Madame de Clairant en direction d’un des salons d’essayage. Ces salons, au nombre de trois étaient des petites pièces d’une dizaine de mètres carrés qui se trouvaient au-dessus de la boutique. Chaque salon comportait une cabine où les clientes pouvaient se dévêtir en toute intimité et passer une culotte et un soutien-gorge à usage unique en non tissé blanc, très fin. Ceci leur permettait d’essayer les pièces de lingerie avec le maximum d’hygiène et sans avoir à garder leurs sous-vêtements. Un angle du salon était recouvert de miroirs, une console et deux fauteuils complétaient l’ameublement de chaque salon. Car parfois, certaines femmes venaient avec des amies, plus rarement avec un homme, amant ou mari légitime.
En habituée du magasin, Madame de Clairant se dirigea vers le salon n°1 dont la porte était ouverte. Clémence la suivit, verrouilla la porte et posa son chargement sur la console et le disposa correctement. Elle prit, ensuite dans le tiroir, deux sachets en plastique qui contenaient la culotte et le soutien-gorge d’essayage et se retourna pour les donner à sa cliente.
Oups, excusez-moi. Lui dit-elle, génée.
Car Béatrice de Clairant n’avait pas pris la peine d’entrer dans la cabine et avait déjà posé sa robe. Elle était en train de dégrafer son soutien-gorge et répondit en souriant :
Ne soyez pas gênée, ma petite, nous sommes entre filles, voyons ! Et puis, je n’aime pas ces cabines qui sont trop exiguës. Je préfère me déshabiller ici.
Et elle continua, imperturbable, en faisant glisser sa culotte sur ses cuisses fuselées.
Clémence lui tendit la culotte et le soutien-gorge d’essayage. Elle put alors observer Béatrice de Clairant. Elle était très bien faite, grandie par ses chaussures à hauts talons, elle avait de longues et belles jambes, des hanches rondes pas trop larges et une taille fine. Sa poitrine se tenait bien malgré son volume, sans soutien elle ne s’affaissait que de façon imperceptible. Avant qu’elle ne se couvre, Clémence avait eu le temps de remarquer que Béatrice de Clairant n’était pas réellement blonde. Un triangle parfaitement dessiné de poils foncés taillés courts couvrait son pubis.
La séance d’essayage dura une bonne demi-heure. Béatrice de Clairant retint trois parures parmi les cinq de son choix initial. Elle prit aussi une guêpière et un serre-taille. A tout cela, elle ajouta également les porte-jarretelles coordonnés aux parures et quatre paires de bas. Elle marqua la fin de la séance en retirant le soutien-gorge et la culotte d’essayage et en les jetant dans la poubelle.
Clémence s’occupait à ranger les achats de sa cliente dans un grand sac en papier. Madame de Clairant lui demanda, d’un air songeur :
Clémence, dites-moi, pouvez-vous me dire quelle taille de vêtements vous prenez ? Et en soutien-gorge également ?
Devant le visage étonné de Clémence, elle continua :
Pendant que je suis ici, je me suis dit que je pourrais en profiter pour faire un cadeau à ma nièce. Elle doit être à peu près de votre âge et vous ressemble beaucoup physiquement. Donc si vous prenez des choses à votre taille, elles devraient lui aller.
Je comprends, Madame. Je fais du S et 85B. Et puis si cela ne lui convenait pas, il suffit qu’elle vienne à la boutique. Nous pourrions alors faire l’échange sans aucun problème.
Je sais tout cela. Mais ma nièce n’habite pas Paris et ça risque d’être compliqué. L’idéal serait que vous fassiez l’essayage sur vous et je suis certaine que ça lui ira parfaitement.
Les clients ont parfois des demandes extravagantes et celle-ci ne faisait pas partie des pires. Clémence sourit et lui répondit :
Je comprends, Madame. Il faudrait me dire ce que vous souhaitez lui offrir. Nous avons ici un catalogue, si vous voulez bien choisir…
Je cherche quelque chose de sexy, d’un peu coquin même…mais pas vulgaire. Ma nièce n’a que dix-neuf ans, vous voyez.
Je vois parfaitement. Tenez, ce modèle de parure est très joli, ou encore celui-ci. Lui dit Clémence en tournant les pages du catalogue.
Béatrice de Clairant, qui n’avait pas pris la peine de se rhabiller feuilleta le catalogue et choisit deux des propositions que lui avait faite Clémence. Elle choisit également une guêpière avec des balconnets très peu couvrants. Clémence pensa que pour ce qui est d’être coquine, cette guêpière était vraiment très, très coquine. Elle n’avait pas osé la proposer à sa cliente même si, personnellement, elle l’a trouvait très à son gout. Clémence descendit chercher tout cela et remonta les bras chargés. Elle retrouva Madame de Clairant assise sur l’accoudoir d’un fauteuil, toujours nue, qui pianotait sur son téléphone.
Ah, Clémence, vous voilà. Nous allons maintenant inverser les rôles. Vous allez faire la cliente et moi, je ferais la vendeuse. Ce sera très amusant.
Clémence sourit de la puérilité de cette remarque, d’autant plus que jamais elle n’avait vu de vendeuse totalement nue. Elle prit les sous-vêtements d’essayage et s’enferma dans la cabine pour se dévêtir. Elle prit soin d’ajuster le string en faisant passer le fin élastique de la ceinture au-dessus de ses hanches et de bien positionner le troisième entre les globes de ses fesses. Elle couvrit sa jolie poitrine avec les deux petits triangles du soutien-gorge.
Quand elle sortit, elle s’attira les compliments de Madame de Clairant :
Vous êtes vraiment ravissante, Clémence.
Merci, Madame…
En revanche, vous devriez remettre vos chaussures. Les talons vous feront une silhouette parfaite.
Après avoir essayé les sous-vêtements choisit par Béatrice de Clairant et que celle-ci ait fixé son choix, Clémence vit partir Béatrice de Clairant avec un certain soulagement. Si elle était restée encore plus longtemps, Clémence n’aurait pas pu se retenir de poser ses mains sur ce corps exhibé en totale impudeur. Et qui sait qu’elle aurait été la réaction de sa cliente ? Cette femme était-elle totalement inconsciente de l’effet qu’elle avait produit sur la jeune vendeuse ?
Clémence quitta le petit string qui couvrait son pubis imberbe. Au moment de la jeter dans la poubelle, elle aperçut, au fond de celle-ci, celui qu’avait porté sa cliente. Elle le prit et le porta à son visage. Il sentait bon. Un mélange de parfum et d’odeur de chatte, un parfum musqué, entêtant, excitant. Clémence se rhabilla, fit un peu de rangement dans le salon et descendit ranger les boites que Béatrice de Clairant n’avait pas achetées.
Quand elle revint dans la boutique, son excitation était retombée. Angélique dès qu’elle l’aperçut se dirigea vers elle.
Clémence, Béatrice de Clairant m’a dit qu’elle était très satisfaite de toi. Elle était ravie. D’ailleurs elle tient à ce que tu livres toi-même ses achats à son domicile, ce soir après la fermeture. Je lui ai proposé de lui faire porter par coursier mais elle a insisté. Voici son adresse et elle a laissé 100 euros pour que tu payes le taxi.
100 euros ! Mais c’est beaucoup trop !
Je sais. C’est ce que je lui ai dit mais elle n’a rien voulu savoir.
Cette nouvelle fit remonter l’excitation de Clémence. Pendant les heures qui suivirent, elle oscilla entre des fantasmes où elle se voyait succomber au plaisir dans les bras de la belle et perverse Béatrice de Clairant et des moments pendant lesquels elle tentait de se convaincre qu’elle se faisait du cinéma et que la conclusion de cela serait uniquement un pourboire conséquent d’une femme riche et généreuse.
Pourtant les pensées érotiques étaient les plus présentes. Un peu plus tard, alors que la boutique était vide, Clémence remonta dans son studio et se caressa rapidement pour se soulager. Pendant que ses doigts couraient sur sa chatte gonflée, elle s’imaginait que c’était ceux de Béatrice qui lui faisait du bien. Elle se mordit les lèvres pour ne pas crier de plaisir. Au lieu de la soulager cet orgasme rapide ne fit que l’exciter encore plus et Clémence dut se résoudre à quitter sa culotte détrempée. Elle remonta rapidement se changer dans son studio mais quelques minutes plus tard sa culotte était de nouveau dans le même état.
A dix-neuf heures, son excitation était à son comble. Elle avait appelé un taxi et s’engouffra dedans avec le sac qu’elle avait gardé derrière la caisse.
Béatrice de Clairant était rentrée chez elle immédiatement après avoir quitté la boutique de lingerie. La jeune vendeuse qui l’avait servi lui avait tout de suite plu. D’abord parce qu’elle était jeune et surtout très jolie. Son esprit pervers avait imaginé ce prétexte de l’essayage de lingerie pour une nièce fictive pour pouvoir contempler ce corps juvénile dans sa plénitude. Elle n’avait pas été déçue même si Clémence avait pris soin de se dissimuler dans la cabine pour passer les sous-vêtements d’essayage. Cette petite vendeuse était vraiment très jolie avec ses hanches étroites, sa taille fine et ses petits seins ronds et haut perchés. Son visage d’ange encadré de cheveux noirs et lisses complétait ce tableau parfait. Enfin, elle ne s’était pas vraiment dérobée sous les attouchements qu’elle lui avait fait subir, il lui semblait même que Clémence en avait été plutôt excitée. Un moment, elle avait même eu envie de baiser cette jeune fille dans le salon d’essayage mais elle s’était ravisée et avait demandé à ce que Clémence lui livre ses achats.
Quelques minutes avant dix-neuf heures trente, le taxi de Clémence s’arrêta devant l’immeuble des De Clairant dans le XVIème. Clémence sonna et la porte se déverrouilla avec un petit grésillement suivi d’un claquement sourd. Clémence prit l’escalier en direction du premier étage, les jambes un peu flageolantes.
Béatrice de Clairant ouvrit la porte de son appartement alors que Clémence atteignait le palier.
Chère Clémence, merci d’avoir bien voulu faire vous-même cette livraison. Entrez.
Béatrice s’effaça pour laisser entrer Clémence. Elle referma la porte et lui prit le sac qui contenait ses achats. Elle entraina Clémence à travers l’appartement en lui tenant le bras. Elle la fit entrer dans sa chambre, referma la porte. Clémence ne savait pas trop qu’elle attitude adopter, elle se tenait immobile, les bras le long du corps et regardait silencieusement Béatrice de Clairant, ne sachant pas trop ce que celle-ci lui réservait. Béatrice de Clairant s’adressa à Clémence avec un grand sourire :
Ma chère Clémence, puis-je vous demander un service ?
Bien sûr, Madame, si je peux vous aider, ce sera avec plaisir.
Je veux essayer à nouveau ces jolis colifichets que vous venez d’apporter. Commençons par serre-taille. Cherchez le dans le sac et prenez des bas aussi.
Et sans attendre de réponse, en femme habituée à donner des ordres, Béatrice de Clairant se déshabilla. Clémence trouva ce qu’elle cherchait et ne sachant quels bas Madame de Clairant voulaient mettre, elle disposa les quatre paires sur le lit.
Béatrice de Clairant se tenait immobile et Clémence compris qu’elle attendait d’elle qu’elle lui passe le serre-taille. Elle fit passer ses bras autour de la taille et ajusta le vêtement. Elle agrafa ensuite les petits crochets un à un. Béatrice de Clairant serra fortement le lacet pour affiner sa taille. Elle demanda ensuite à Clémence de lui passer une paire de bas, les gris foncés à couture. Elle s’assit sur le lit et tendant les jambes, elle attendit que Clémence lui gaine ses superbes jambes. Elle se releva en remettant ses escarpins et déambula dans la chambre. Cette séance d’essayage avait remis le feu dans le ventre de Clémence, surtout l’enfilage des bas. Elle s’était appliquée à bien lisser le nylon sur les cuisses de sa cliente et pendant le contact de ses mains le contact avec la peau fine et douce, elle avait dû se retenir pour ne pas laisser ses mains s’égarer au-delà de la lisière des bas, vers ce triangle noir qui l’attirait comme un aimant.
Alors, chère Clémence, que pensez-vous de ce serre-taille ?
Il vous va très bien, je trouve. Il met votre silhouette en valeur.
Clémence se sentait empruntée, gauche. Elle aura voulu dire à Béatrice qu’elle la trouvait désirable mais elle ne pouvait évidemment pas le faire. Alors elle avait sorti cette réponse banale, fade. Sa chatte était gonflée et elle devait avoir le feu aux joues. La culotte qu’elle avait passée juste avant de venir, la troisième de la journée, était redevenue aussi humide que les deux précédentes. Béatrice de Clairant continua :
Bien, maintenant c’est à vous de passer la guêpière.
Mais, madame, c’est pour votre nièce et je n’ai pas apporté un kit d’essayage.
Peu importe. Allez la chercher et prenez des bas aussi, j’avais pris des blancs, ils devraient aller parfaitement.
Clémence obéit et sortit ce que Béatrice avait acheté pour sa nièce. Elle posa sa jupe, son chemisier et son soutien-gorge. Elle garda sa culotte en espérant que madame de Clairant ne remarquerait pas l’humidité à l’entre-jambe. Béatrice de Clairant lui passa le sous-vêtement, en laissant ses doigts frôler la peau mate de la jeune fille. Elle alla jusqu’à glisser ses index dans les bonnets pour les lui ajuster sur les seins, titillant les tétons de la jeune fille au passage. Elle la fit asseoir sur le lit pour lui passer les bas comme Clémence l’avait fait pour elle. Béatrice de Clairant avait parfaitement remarqué la tâche plus sombre sur le blanc de la culotte. Avant de continuer, elle tira sur sa culotte en disant :
Votre culotte est très jolie mais elle gêne pour les jarretelles et de plus elle ne va pas du tout avec cette jolie guêpière. Maintenant levez-vous que je vous voie bien et remettez vos chaussures.
Clémence obéit.
Marchez un peu. Continua Béatrice.
Clémence fit quelques pas et se retourna. Béatrice s’approcha d’elle, et resserra fortement le lacet qui galbait la taille. Clémence crut étouffer. Béatrice parut satisfaite :
C’est mieux comme ça. Vous êtes très jolie, cette lingerie est faite pour vous. Mettez vos mains dans votre dos.
Clémence obéit encore et mit ses mains dans son dos, docile. Béatrice la saisit par le menton et posa ses lèvres sur les siennes. Clémence crut défaillir tellement elle attendait ce moment. La langue de Béatrice força ses lèvres mais elle n’eut pas à forcer beaucoup car la langue de Clémence jaillit dans la bouche de Béatrice. Leurs langues s’enroulèrent l’une autour de l’autre dans une sorte de danse frénétique. Béatrice attira Clémence vers elle et elles basculèrent toutes les deux sur le lit. Béatrice guida la bouche de Clémence vers ses seins et la jeune fille la téta avec application. Sa cuisse était entre celles de Béatrice et elle percevait la chatte gonflée et humide sous la toison drue.
Après s’être laissé téter, Béatrice la poussa vers sa chatte. Les lèvres de Clémence se trouvaient juste sous la limite du corset qui enserrait le haut des hanches. Elle les approcha lentement de ce triangle noir de poils courts qui l’attirait. Une odeur de musc et de parfum s’en dégageait. Elle fit glisser sa langue entre les lèvres gonflées. Quand sa langue atteignit le clitoris dardé, Béatrice gémit. Clémence concentra ses suçons sur cette partie précise de l’intimité de Mme de Clairant.
Puis Clémence prit l’initiative de glisser son index entre les lèvres gonflées de son amante. Dans un gémissement, Béatrice lui ordonna de mettre un autre doigt et le majeur de la jeune vendeuse rejoint son index dans la grotte soyeuse et grasse.
Béatrice gémissait de plus en plus fort, la langue de Clémence infligeait une douce torture à son bouton d’amour, ses deux doigts pistonnait son con inondé. Elle en voulait plus et le réclama d’une voix rauque.
Clémence se demandait bien jusqu’où irait la demande de Béatrice. Voulait-elle qu’elle fourre son poing entier dans son con ? Elle avait déjà vu, sur des vidéos porno, des femmes recevoir un fist-fucking, elle avait lu une histoire érotique dans laquelle la narratrice décrivait le plaisir qu’elle avait eu en se faisant fourrer de la sorte et surtout l’orgasme intense que lui avait procuré son partenaire en retirant brutalement son poing de son con. Clémence enfonça ses quatre doigts et Béatrice rugit. Croyant l’avoir blessée, elle se retira prestement mais Béatrice cria « Non, non, encore, continue » et cette fois-ci, Clémence enfonça toute sa main dans le vagin offert, le pouce plaqué contre sa paume.
Elle donna à son bras un lent mouvement de piston, sa main enfoncée jusqu’au poignet dans le fourreau inondé de mouille.
Béatrice de Clairant était au bord de l’orgasme. Cette jeune fille, cette petite garce lui donnait un plaisir insoutenable en la baisant de la sorte. Une boule de chaleur grossissait dans son ventre, elle savait que quand cette boule exploserait, l’orgasme la submergerait. Sa dernière pensée cohérente fut pour se féliciter d’avoir attiré cette fille chez elle.
Béatrice se cambra encore plus, souleva son bassin en prenant appui sur ses talons. La boule de plaisir allait l’envahir, quand à ce moment-là, à cet instant précis, Clémence cessa le mouvement de piston de son bras pour retirer brutalement son poing du con gluant. Béatrice hurla de plaisir, son orgasme dura longtemps car Clémence ne la branlait plus, la suçait à peine, maintenant le plaisir de son amante plus que provoquant un assouvissement immédiat.
Le corps tendu comme un arc, la tête renversée, les yeux révulsés, les membres prit de violentes convulsions, Béatrice de Clairant jouit en criant avant de retomber sur sa couche, inerte, anéantie par le plaisir, le corps encore secoué de spasmes qui s’atténuaient. Elle mit de longues minutes avant de revenir sur terre, gémissant parfois entre de longs soupirs d’aise. Elle attira Clémence sur elle, l’embrassa à pleine bouche :
Tu m’as donné un plaisir extrême, ma jolie poupée. Ce n’est pas souvent qu’une fille m’a fait jouir autant. Et un homme encore moins. Attends que je récupère un peu et je vais te baiser à mon tour.
Béatrice se leva et alla fouiller dans un placard. Elle en sortit un gode ceinture qu’elle ajusta autour de sa taille. Le long cylindre de silicone reproduisait une verge d’homme. Tout y était, le gland violacé, la hampe couleur chair parcourue de veines à la couleur plus bleutée. Le jouet était énorme, plus gros que la bite de Martin, le compagnon de Katia, plus gros que le plus gros des godemiché qu’elle utilisait avec Angélique, Katia ou Dolores, il pendait un peu entre les cuisses de Béatrice.
Béatrice écarta les cuisses de Clémence et lui fit attraper ses chevilles. Totalement ouverte, ses genoux touchant ses épaules, Clémence vit le chibre monstrueux s’approcher de sa chatte offerte.
Béatrice s’allongea sur elle, en appui sur un coude, l’autre main guidant sa prothèse. Clémence prit une grande respiration quand elle sentit la pointe du gode trouver l’entrée de sa grotte. Le gland écarta les chairs de la jeune fille, son con accueillait sans trop de peine le gros chibre de plastique. Béatrice enfonçait le gode d’un lent mouvement de bassin puis arrivant en butée, elle commença à besogner la jeune vendeuse.
Clémence se sentait rempli par cet objet froid qui se réchauffait lentement. Chaque pénétration du gode dans son con renforçait cette impression délicieuse et chaque retrait lui laissait comme un sentiment de vide, de manque qu’il fallait combler au plus vite. Elle noua ses chevilles sur les reins de Béatrice, l’éperonna comme on éperonne un étalon, l’incitant à enfoncer sa queue factice au plus profond de son fourreau brulant.
Clémence partit en jouissance, cria de plaisir, planta ses ongles dans les omoplates de Mme de Clairant, s’agrippa à elle, envoya des coups de bassin violent pour se faire prendre complètement, profondément.
Les deux femmes restèrent l’une sur l’autre de longues minutes, Clémence toujours embrochée par le godemiché reprenait ses esprits après cet orgasme libérateur de longues heures d’excitation contenue.
Elle entendit le léger claquement de la porte d’entrée. Elle demanda à Béatrice :
Je viens d’entendre la porte. Vous attendez quelqu’un ?
Ce n’est rien. C’est probablement mon mari. Ce n’est pas un problème. A propos, tu es bisexuelle.
Oui, j’aime aussi les hommes.
Parfais, je vais chercher Isidore. Même si ce n’est pas complètement un homme.
Béatrice se leva et disparu dans le couloir, sans même prendre la peine de se défaire de son gode ceinture, laissant seule Clémence perplexe de la dernière phrase de Mme de Clairant. Elle était également surprise de se voir proposer de baiser avec son mari. Mais de cela, elle avait maintenant l’habitude avec Angélique, Stéphane, Katia et Martin.
Béatrice de Clairant réapparu bientôt en poussant devant elle un homme d’une cinquantaine, le crâne rasé pour masquer une calvitie bien avancée. Isidore de Clairant portait des lunettes de myope aux verres épais, son visage rond était un peu rougeau. Il était vêtu d’un costume noir, cravate noire sur une chemise blanche. Le genre « Homme d’affaire » habitué à donner des ordres et à vouloir être entendu. Mais, en présence de sa femme, il semblait timide, emprunté, gauche. Comme si, en dehors de son bureau, il était soumis à son épouse.
Mon cher Isidore, je vous présente Clémence. C’est une petite vendeuse qui travaille dans le magasin de lingerie dans lequel je dépense une partie de l’argent que vous gagnez. Je l’ai attirée ici pour baiser avec elle et cette petite garce s’est révélée être une baiseuse exceptionnelle. Elle m’a fait jouir comme j’avais vous ne m’avez fait jouir.
Clémence, je te présente Isidore, mon mari. Isidore ! Quel prénom ridicule, vous ne trouvez pas ? Moi, je ne m’y ferai jamais ! Isidore, mon ami, ne restez pas planté-là. Déshabillez-vous car cette charmante jeune fille va finir par penser que vous la trouvez repoussante.
Cette tirade dite sur un ton mondain qui contrastait avec la vulgarité de certains mots employés par Béatrice ainsi que la phrase sur le ridicule du prénom de M. de Clairant confirma les premiers doutes de Clémence : Mme de Clairant adorait humilier son mari !
Isidore de Clairant avait fini de se dévêtir. Il ne lui restait que son boxer blanc et ses chaussettes noires. Clémence se retint pour ne pas pouffer devant le spectacle ridicule qu’offrait le mari de Béatrice. Et pour compléter son humiliation, Béatrice baissa le boxer de son mari, et signala à l’attention de Clémence :
Regarde, ma chérie, tu vois de quelle bite ridicule cet homme est affublé. Comment voulez-vous qu’il puisse me faire jouir avec ce minuscule phallus. Il a quand même réussi à m’engrosser, et deux fois s’il vous plait. Mais je dois avouer que quand il me baise, je ne sens strictement rien.
Clémence ne pouvait pas manquer de voir qu’effectivement la nature n’avait pas été généreuse avec Isidore de Clairant. Sa verge ne faisait pas dix centimètres de long et à peine deux de diamètre. Un tout petit zizi d’un enfant de dix ans et pourtant il semblait en érection car cette petite bite pointait fièrement vers le plafond.
Béatrice se débarrassa de son gode ceinture et le tendit à Clémence :
Tiens, ma chérie, mets cela. Tu vas sodomiser mon mari pendant qu’il me sucera. Il ne me suce jamais aussi bien que quand qu’il se fait enculer simultanément.
Sans attendre de réponse et pendant que Clémence attachait le gode autour de ses reins, Béatrice s’installa au milieu du lit, assise, le dos appuyé sur la tête de lit, prête à accueillir son mari entre ses jambes écartées. Elle tendit à Clémence le flacon de gel lubrifiant pendant qu’Isidore s’installait entre les cuisses de sa femme.
Clémence enduit copieusement le gode de lubrifiant, écarte les fesses poilues d’Isidore pour lubrifier aussi sa rosette. Puis elle dirige le gode vers l’anus d’Isidore, elle l’appuie dessus et pousse un peu, se cramponnant aux hanches grasses de l’homme qui suce sa femme. A sa grande surprise, le gode s’enfonce presque facilement ; Isidore de Clairant a l’habitude de se faire sodomiser et c’est tout juste si il grogne quand la moitié du gode a disparu dans son cul. Clémence entreprend un lent mouvement de reins. Elle regarde Béatrice qui lui sourit, complice. Isidore se laisse empaler sans résister, bougeant même lui aussi à la rencontre de ce pieu qui lui laboure le ventre. Clémence glisse sa main sous son ventre rond, cherche, fouille et trouve sa petite queue. Celle-ci est dure, tendue. Elle la branle. Isidore grogne de plaisir sans arrêter de sucer sa femme qui montre les signes d’un orgasme imminent.
Béatrice gémit de plaisir. La langue d’Isidore qui parcourt sa fente, qui titille son clitoris, ses doigts qui fouillent son con la rendent folle de plaisir. Ses mains sont crispées sur les volutes en fer forgé de la tête de lit. Béatrice renverse sa tête en arrière, ses yeux sont révulsés. Elle jouit en criant pendant que Clémence continue de sodomiser son homme.
Béatrice ne se laisse pas de répit. Elle glisse sous le ventre de son mari, attrape la petite bite dans sa bouche, écartant la main de Clémence et elle le suce avec avidité. Isidore se lâche, éructe. Il fait des grands mouvements, s’empalant lui-même sur le gode. Il jouit lui aussi et déverse son flot de semence dans la bouche de Béatrice avant de se libérer du gode qui le perforait et de rouler sur le côté, inerte.
Béatrice s’approche de Clémence restée à genou sur le lit, le gode reposant sur ses cuisses. Elle prend le visage de la jeune femme entre ses deux mains, pose ses lèvres sur les siennes et déverse dans sa bouche la liqueur grasse de son mari qu’elle avait conservé dans sa bouche.
En rentrant dans son studio, Clémence croisa Angélique sur le palier du deuxième étage.
Alors Clémence, ça s’est bien passé chez Mme de Clairant ?
Clémence raconta tout à sa patronne. Angélique semblait un peu ennuyée par la fin du récit :
Je suis vraiment désolée que ça se soit terminé comme ça. Mme de Clairant est une très bonne cliente et je savais qu’elle aimait les filles. Il nous est arrivé parfois, Katia ou moi, de baiser avec elle dans le salon d’essayage. Mais j’ignorais totalement que son mari ne la satisfaisait pas et qu’elle en profitait pour l’humilier.
Ne te fait pas de soucis, je n’en garde pas un mauvais souvenir. J’ai pris du plaisir avec elle et je crois en avoir donné à son mari, donc tout va bien.
Tant mieux, c’est bien que tu le prennes comme ça. Alors c’est vrai que M. de Clairant à une toute petite bite ?
Absolument, à peine plus grosse que mon index et pas plus longue…
Les deux femmes éclatèrent d’un rire peu charitable et se souhaitèrent une bonne soirée.
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