Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Dentelles et chiffons 1 : Départ en retraite.

« Dentelles et chiffons » est le nom d’une boutique de lingerie. Tous les épisodes de ce roman gravitent autour de ce magasin. Stéphane est invité au pot de départ de son responsable et ami. Il y rencontrera Angélique…

Proposée le 29/01/2016 par Marc Paul

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman


Stéphane rageait au volant de sa voiture coincée dans les embouteillages. Ce soir-là, il était invité au pot de départ de Michel, son chef et ami depuis dix ans. Michel partait retraite et Stéphane reprenait son poste de responsable « grands comptes » des ventes dans leur boite de commercialisation de matériel médical. Il ne pouvait pas ne pas participer à cette petite fête, d’abord parce que Michel était son ami mais aussi parce que celui-ci avait insisté auprès du patron pour que ce soit lui qui lui succède.
Michel était marié avec Monique qui tenait une boutique de lingerie « Au bonheur des Dames ». Ils avaient vendu la boutique et allait s’installer dans le sud-ouest, dans leur maison au bord du bassin d’Arcachon.

Depuis que le départ de Michel était connu, Stéphane faisait le tour des clients importants, grosses cliniques, hôpitaux de la capitale et de la province pour se présenter à ses futurs clients. Ce jour-là, il avait eu la mauvaise idée d’accepter un rendez-vous en banlieue, à l’opposé du lieu de la fête.
Stéphane arriva dans les derniers, la petite salle à l’arrière de la brasserie était déjà pleine de monde.
Michel se précipita pour l’accueillir. Stéphane l’avait prévenu par téléphone qu’il serait en retard. Monique les rejoignit et embrassa Stéphane sur les joues. Monique était encore très jolie, elle ne faisait pas ses presque soixante ans. Seuls ses cheveux uniformément blancs, coupés courts trahissait son âge. Sa taille était fine, ses jambes minces et bien galbées, sa poitrine généreuse. Stéphane aurait volontiers tenté de séduire Monique si elle n’avait pas été la femme de son ami. Mais pour ne pas trahir Michel, il s’était contenté de flirter avec elle en se refusant d’aller plus loin. Monique répondait à son marivaudage par des plaisanteries sous le regard amusé de son mari.
Stéphane fit le tour de la salle, serrant les mains des collègues qu’il n’avait pas eu l’occasion de croiser durant la journée. Presque tout le personnel de leur société était là, y compris le patron. Des petits groupes se formaient et se défaisaient autour du buffet.
Certains visages lui étaient inconnu, sans doute des relations de travail de Monique. Stéphane remarqua une jeune femme à la beauté lumineuse qui semblait ne connaître personne à l’exception de Dolores, la vendeuse que Monique employait. Il observa de loin la jeune femme, elle était très séduisante. Stéphane connaissait Dolores depuis quelques années. La vendeuse était habillée comme à son habitude, d’une jupe terne au-dessous du genou, de chaussures plates et d’un pull fin trop ample qui masquait ses formes. Ses cheveux noirs pendaient sur ses épaules sans aucune mise en forme et ses yeux étaient cachés par d’épais verres de myope. La jeune femme était tout le contraire de Dolores. Grande, perchée sur des talons hauts, elle la dépassait d’une tête. Une robe portefeuille qui découvrait ses genoux, elle avait une taille fine, une belle poitrine et des jambes magnifiques. Son visage ovale était encadré par une cascade de cheveux bruns ondulés qui tombaient sur ses épaules. Stéphane remarqua son maquillage soigné qui mettait ses yeux en valeur.
Stéphane, son verre à la main, manœuvra pour s’approcher de la jolie fille. Dès qu’il fut à côté d’elle, il salua Dolores qui s’éloigna aussitôt et s’adressa à la jeune femme :
Bonjour, nous ne nous connaissons pas. Je suis Stéphane un collègue et ami de Michel.
Bonjour, moi je m’appelle Angélique et c’est moi qui ai acheté le fonds de commerce de Monique.
La conversation s’engagea. Angélique semblait prendre du plaisir à discuter avec Stéphane et la réciproque était vraie. Monique passa avec un plateau de petits fours. Elle s’adressa à Angélique en plaisantant :
Attention à toi, ma chère Angélique, ce garçon est un redoutable séducteur. Il va tenter de t’envoûter. Depuis que je le connais, il essaie de me charmer.
Veux-tu bien te taire, Monique. Mon pouvoir de séduction n’est pas si fort puisque, comme tu le dis toi-même, tu y résistes depuis dix ans. Répliqua Stéphane sur le même ton.
Monique s’éloigna en riant.
Stéphane et Angélique passèrent le reste de la soirée à bavarder ensemble. Peu à peu les invités prenaient congé de Michel et Monique en leur souhaitant une agréable retraite, faisant des promesses de visites que bien peu tiendraient. Angélique regarda l’heure sur son téléphone et soupira :
Bon il faut que je parte si je veux avoir un bus.
Tu veux que je te raccompagne ? Tu habites dans quel quartier ? Proposa Stéphane.
Volontiers, mais je ne voudrais pas te faire faire un détour. Pour l’instant, j’habite dans le dix-huitième. Dans quelques jours j’emménagerais dans l’appartement de Monique et Michel, quand ils auront déménagé.
Le dix-huitième ! Parfait, j’ai ma voiture tout près. On part quand tu veux.
Stéphane et Angélique prirent congé de leur hôtes, sous le regard amusé, …et attendri de Monique.
Le trajet fut rapide. A cette heure tardive, les embouteillages avaient disparus. Trop rapide au gout de Stéphane et d’Angélique. Pourtant quand Stéphane gara sa voiture, Angélique en descendit rapidement sans lui avoir proposé de finir la soirée chez elle comme il espérait. Stéphane lui tendit sa carte sur laquelle figurait son numéro de téléphone.
Stéphane plaisait beaucoup à Angélique. Il lui plaisait tellement que, contrairement à ce qu’elle faisait généralement avec les hommes qui retenait son attention, elle ne lui proposa pas de monter chez elle. Elle ne voulait pas risquer de passer pour une fille facile, une salope qui écarte les cuisses dès qu’un mec bien fichu passe à sa portée. C’est pourtant ce qu’elle faisait habituellement mais ces aventures-là ne duraient jamais longtemps. Elle avait bizarrement envie d’autre chose avec lui et elle voulait se donner le temps.
Stéphane était à peu près dans le même état d’esprit. Il était un peu déçu de ne pas avoir l’occasion de baiser cette fille superbe mais il était aussi satisfait qu’elle ne lui propose rien de plus qu’un « A bientôt » plein de promesse après lui avoir donné, elle aussi, son numéro de téléphone et avoir posé une bise sur sa joue avant de descendre de la voiture.
Quelques semaines passèrent, Stéphane attendait qu’Angélique le contacte. Et Angélique était ferment décidée à ne pas faire le premier pas. Stéphane craqua le premier. Dans la semaine avant le 14-juillet, il envoya un SMS à Angélique :
« Si tu es libre, on pourrait se voir ce WE. Cinéma ou rando ? Bises »
La réponse n’arriva que le soir. Angélique l’appela, s’excusant de n’avoir pas eu le temps de lui répondre plus tôt. Ils tombèrent d’accord pour une balade en forêt le dimanche.
Stéphane gara sa voiture en face du magasin de lingerie. Il sonna à la porte de l’appartement qui avait été celui de Monique et Michel. Angélique arriva quelques instants après. Elle portait pour la circonstance un short très court qui moulait ses fesses rondes et dévoilait ses jambes superbes. En haut un tee-shirt sous lequel Stéphane voyait le dessin du soutien-gorge qui moulait sa belle poitrine. Il regretta malgré tous les chaussures de marche qui gâchait un peu la silhouette d’Angélique.
Pendant tout le trajet, Stéphane résista au désir de poser sa main sur la peau nue et bronzée des jambes de sa passagère.
Ils commencèrent de marcher dans la forêt de Rambouillet en milieu de matinée. Stéphane avait prévu un long périple qui devait leur faire retrouver la voiture en fin d’après-midi. Ils piqueniquèrent assis face à face à califourchon sur un tronc d’arbre. Et après une petite pause, allongés sur l’herbe d’une clairière, ils reprirent leur périple.
Vers quinze heures, le ciel se chargea de gros nuages noirs et la chaleur devint étouffante. Le tonnerre gronda et des grosses gouttes de pluie commencèrent à s’écraser sur le sol. Stéphane et Angélique pressèrent le pas en direction d’une vieille bâtisse qu’ils apercevaient à quelques centaines de mètres. Ils se mirent à courir quand l’averse se déchaina mais c’était peine perdue car ils étaient trempés comme des soupes en atteignant ce qui était une maison abandonnée. Ils entrèrent par la porte délabrée qui céda sans résistance sous le coup de pied que Stéphane lui donna.
La vieille maison devait être abandonnée depuis longtemps, une partie de la toiture était tombée. Heureusement, Angélique et Stéphane trouvèrent un endroit au sec dans la pièce principale.
A l’aide d’un bâton, Stéphane enleva les toiles d’araignée qui pendaient du plafond. Angélique frissonna. Stéphane sortit de son sac une couverture de survie et enveloppa Angélique dans la toile dorée. Lui non plus n’avait pas très chaud. Son tee-shirt mouillé collait à sa peau et il s’en débarrassa.
En voyant Angélique transie de froid, il chercha un moyen de la réchauffer. Il alla vers la vieille cheminée, en se penchant en dessous il aperçut le ciel. Il proposa :
Tu as froid, je peux essayer de faire du feu.
Tu crois ? Il ne faudrait pas que l’on fasse cramer cette vieille baraque.
On verra bien…Et puis si la maison brule, on sera vite sortit.
Stéphane se mit à la recherche de choses susceptibles de faire un feu. Il trouva des morceaux de bois en cassant deux chaises et se servit de leur paillage pour allumer le tout. Rapidement le feu crépita et ils en ressentirent immédiatement la chaleur. Stéphane mit son tee-shirt à sécher. Il continua de chercher du bois, visita le reste de la maison, revenant les bras chargés du bois vermoulu des meubles qu’il avait cassé. Stéphane faillit laisser tomber son chargement en découvrant Angélique, qui offrait sa nudité à la chaleur du foyer. Il resta quelques secondes, admirant le spectacle de ce corps parfait sur lequel le feu ronflant projetait des lueurs rougeoyantes. Angélique lui dit en souriant et en continuant d’offrir son corps à la chaleur :
J’ai fait comme toi. Je n’arrivais pas à me réchauffer avec mes vêtements mouillés. Tu devrais poser ton jean, toi aussi.
Stéphane posa les morceaux de bois près de la cheminée et s’exécuta. Il marqua un temps d’arrêt avant de quitter son boxer puis se dit qu’après tout, Angélique ne risquait pas d’être choquée de le voir nu, elle qui offrait sa nudité à la chaleur du feu mais aussi à son regard. Dès que Stéphane fut nu, Angélique remarqua sa queue qui gonflait à vue d’œil. En la lui montrant d’un coup de menton, elle lui dit en souriant :
C’est moi qui te fais de l’effet comme ça ?
Ben, oui. Désolé de te montrer de façon aussi crue que je te trouve plutôt à mon gout. Mais tu es terriblement jolie et excitante.
Angélique s’accroupit devant Stéphane et sans hésiter, elle prit son dard dans sa main. Elle le branla un peu, faisant coulisser sa main sur la hampe. Elle posa ensuite ses lèvres sur le gland décalotté, avala le gros fruit rose violacé avant de faire courir sa langue sur la collerette. Angélique suça Stéphane comme un de ses premiers amants le lui avait appris. Elle tenait la hampe du bout de ses doigts immobiles, et de la pointe de sa langue ou du bout des lèvres, elle agaçait le gland sans jamais le prendre dans sa bouche. L’orage se calmait, les gros nuages noirs allaient déverser la pluie sur d’autres contrées. Le feu dans la cheminée perdait de son intensité, faute de gros morceaux de bois pour le maintenir.
Stéphane n’en pouvait plus de se faire sucer de la sorte. Jamais une fille ne lui avait fait une gâterie de cette façon. Il releva Angélique et l’enlaça. Ils s’embrassèrent longuement. Angélique serrée contre lui, comprimait sa queue entre leurs ventres et elle ondulait doucement lui procurant un délicieux massage. Stéphane entraina Angélique vers une vieille table. Et il l’assit dessus. Heureusement la table était encore solide et elle résista en grinçant sous la charge. Angélique bascula sur le dos quand Stéphane lui prit les jambes et les leva en les écartant.
Il découvrit la chatte gonflée de la jeune femme, posa ses lèvres sur les lèvres intimes d’Angélique qui s’ouvrirent dès que sa langue s’introduisit dans la vallée inondée de mouille à l’odeur musquée. Angélique gémit de plaisir. Elle adorait se faire sucer.
Stéphane la suça minutieusement, faisant glisser sa langue dans sa fente inondée, agaçant son clitoris, allant même jusqu’à effleurer de la pointe de sa langue sa rosette. Ce qui ne manqua pas d’arracher un gémissement de la gorge d’Angélique.
Au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement, Angélique était au bord de l’orgasme. Son corps était pris de tremblements, elle gémissait, râlait de plaisir. Elle commença à se caresser la poitrine, prenait ses seins à pleine mains, les pétrissait, tordait les tétons. Comme Stéphane ne semblait pas pressé de lui donner le plaisir que son corps réclamait, elle fit glisser une de ses mains vers son pubis et se masturba.
Stéphane se releva, cessant ses caresses. Angélique, surprise par cette réaction inattendue, sentit son excitation retomber un peu. Mais Stéphane l’encouragea à se donner du plaisir toute seule. Angélique lui sourit, elle savait que beaucoup d’hommes appréciaient de regarder une fille en train de se masturber, elle reprit donc ses caresses sur son sexe. Son excitation remonta très vite et elle se fit jouir en titillant son clitoris pour accompagner les deux doigts qu’elle enfonçait dans son con inondé.
Stéphane ne laissa pas le temps au flot de jouissance de se tarir. Il écarta prestement les mains d’Angélique et la pénétra d’un coup de reins violent. L’orgasme d’Angélique reprit de la vigueur et elle s’entendit crier de plaisir pendant que Stéphane la défonçait. Son plaisir retomba. Elle serra ses jambes autour de la taille de son amant et se laissa aller au plaisir de sentir son dard coulisser dans son ventre. Elle était comblée, remplie. Elle gémissait à chacun des coups de reins puissants de Stéphane. Elle attendait que sa semence jaillisse dans son con. Elle en guettait le moindre signe annonciateur. Les gonflements spasmodiques du membre qui la perforait, la violence des coups de reins, les grimaces qui parfois tordaient le visage de Stéphane. Tout lui montrait que c’était imminent. Elle lança ses mains vers les tétons de son amant, elle les tordit. Il cria, un cri rauque, le brâme du cerf en rut, un cri de mâle et il se déversa dans son ventre chaud et accueillant.
Stéphane s’appuya des deux mains sur la table, le bassin toujours bloqué par les jambes d’Angélique, le souffle court, le visage en sueur. Il se pencha vers elle et l’embrassa tendrement. Angélique le libéra.
Ils firent un brin de toilette, utilisant tout un paquet de kleenex avant de repartir vers la voiture. Silencieux, mais se tenant par la main, ils marchèrent encore une heure avant d’atteindre la fin de leur randonnée.
Quand Stéphane arrêta sa voiture devant la boutique qui était maintenant celle d’Angélique. Elle se retourna vers lui et elle lui dit enfin ce qu’il attendait. Elle murmura simplement :
Viens.
Plus tard, les cris de jouissance d’Angélique envahirent son appartement. Elle criait de plaisir, à quatre pattes sur son lit, Stéphane lui défonçant le cul. Juste avant de sombrer dans le sommeil, dans les bras de son amant, elle se fit la réflexion suivante qui la fit s’endormir avec le sourire :
C’est le premier que tu laisses te sodomiser dès la première rencontre. Tu es en train de tomber amoureuse, ma chère.Stéphane rageait au volant de sa voiture coincée dans les embouteillages. Ce soir-là, il était invité au pot de départ de Michel, son chef et ami depuis dix ans. Michel partait retraite et Stéphane reprenait son poste de responsable « grands comptes » des ventes dans leur boite de commercialisation de matériel médical. Il ne pouvait pas ne pas participer à cette petite fête, d’abord parce que Michel était son ami mais aussi parce que celui-ci avait insisté auprès du patron pour que ce soit lui qui lui succède.
Michel était marié avec Monique qui tenait une boutique de lingerie « Au bonheur des Dames ». Ils avaient vendu la boutique et allait s’installer dans le sud-ouest, dans leur maison au bord du bassin d’Arcachon.
Depuis que le départ de Michel était connu, Stéphane faisait le tour des clients importants, grosses cliniques, hôpitaux de la capitale et de la province pour se présenter à ses futurs clients. Ce jour-là, il avait eu la mauvaise idée d’accepter un rendez-vous en banlieue, à l’opposé du lieu de la fête.
Stéphane arriva dans les derniers, la petite salle à l’arrière de la brasserie était déjà pleine de monde.
Michel se précipita pour l’accueillir. Stéphane l’avait prévenu par téléphone qu’il serait en retard. Monique les rejoignit et embrassa Stéphane sur les joues. Monique était encore très jolie, elle ne faisait pas ses presque soixante ans. Seuls ses cheveux uniformément blancs, coupés courts trahissait son âge. Sa taille était fine, ses jambes minces et bien galbées, sa poitrine généreuse. Stéphane aurait volontiers tenté de séduire Monique si elle n’avait pas été la femme de son ami. Mais pour ne pas trahir Michel, il s’était contenté de flirter avec elle en se refusant d’aller plus loin. Monique répondait à son marivaudage par des plaisanteries sous le regard amusé de son mari.
Stéphane fit le tour de la salle, serrant les mains des collègues qu’il n’avait pas eu l’occasion de croiser durant la journée. Presque tout le personnel de leur société était là, y compris le patron. Des petits groupes se formaient et se défaisaient autour du buffet.
Certains visages lui étaient inconnu, sans doute des relations de travail de Monique. Stéphane remarqua une jeune femme à la beauté lumineuse qui semblait ne connaître personne à l’exception de Dolores, la vendeuse que Monique employait. Il observa de loin la jeune femme, elle était très séduisante. Stéphane connaissait Dolores depuis quelques années. La vendeuse était habillée comme à son habitude, d’une jupe terne au-dessous du genou, de chaussures plates et d’un pull fin trop ample qui masquait ses formes. Ses cheveux noirs pendaient sur ses épaules sans aucune mise en forme et ses yeux étaient cachés par d’épais verres de myope. La jeune femme était tout le contraire de Dolores. Grande, perchée sur des talons hauts, elle la dépassait d’une tête. Une robe portefeuille qui découvrait ses genoux, elle avait une taille fine, une belle poitrine et des jambes magnifiques. Son visage ovale était encadré par une cascade de cheveux bruns ondulés qui tombaient sur ses épaules. Stéphane remarqua son maquillage soigné qui mettait ses yeux en valeur.
Stéphane, son verre à la main, manœuvra pour s’approcher de la jolie fille. Dès qu’il fut à côté d’elle, il salua Dolores qui s’éloigna aussitôt et s’adressa à la jeune femme :
Bonjour, nous ne nous connaissons pas. Je suis Stéphane un collègue et ami de Michel.
Bonjour, moi je m’appelle Angélique et c’est moi qui ai acheté le fonds de commerce de Monique.
La conversation s’engagea. Angélique semblait prendre du plaisir à discuter avec Stéphane et la réciproque était vraie. Monique passa avec un plateau de petits fours. Elle s’adressa à Angélique en plaisantant :
Attention à toi, ma chère Angélique, ce garçon est un redoutable séducteur. Il va tenter de t’envoûter. Depuis que je le connais, il essaie de me charmer.
Veux-tu bien te taire, Monique. Mon pouvoir de séduction n’est pas si fort puisque, comme tu le dis toi-même, tu y résistes depuis dix ans. Répliqua Stéphane sur le même ton.
Monique s’éloigna en riant.
Stéphane et Angélique passèrent le reste de la soirée à bavarder ensemble. Peu à peu les invités prenaient congé de Michel et Monique en leur souhaitant une agréable retraite, faisant des promesses de visites que bien peu tiendraient. Angélique regarda l’heure sur son téléphone et soupira :
Bon il faut que je parte si je veux avoir un bus.
Tu veux que je te raccompagne ? Tu habites dans quel quartier ? Proposa Stéphane.
Volontiers, mais je ne voudrais pas te faire faire un détour. Pour l’instant, j’habite dans le dix-huitième. Dans quelques jours j’emménagerais dans l’appartement de Monique et Michel, quand ils auront déménagé.
Le dix-huitième ! Parfait, j’ai ma voiture tout près. On part quand tu veux.
Stéphane et Angélique prirent congé de leur hôtes, sous le regard amusé, …et attendri de Monique.
Le trajet fut rapide. A cette heure tardive, les embouteillages avaient disparus. Trop rapide au gout de Stéphane et d’Angélique. Pourtant quand Stéphane gara sa voiture, Angélique en descendit rapidement sans lui avoir proposé de finir la soirée chez elle comme il espérait. Stéphane lui tendit sa carte sur laquelle figurait son numéro de téléphone.
Stéphane plaisait beaucoup à Angélique. Il lui plaisait tellement que, contrairement à ce qu’elle faisait généralement avec les hommes qui retenait son attention, elle ne lui proposa pas de monter chez elle. Elle ne voulait pas risquer de passer pour une fille facile, une salope qui écarte les cuisses dès qu’un mec bien fichu passe à sa portée. C’est pourtant ce qu’elle faisait habituellement mais ces aventures-là ne duraient jamais longtemps. Elle avait bizarrement envie d’autre chose avec lui et elle voulait se donner le temps.
Stéphane était à peu près dans le même état d’esprit. Il était un peu déçu de ne pas avoir l’occasion de baiser cette fille superbe mais il était aussi satisfait qu’elle ne lui propose rien de plus qu’un « A bientôt » plein de promesse après lui avoir donné, elle aussi, son numéro de téléphone et avoir posé une bise sur sa joue avant de descendre de la voiture.
Quelques semaines passèrent, Stéphane attendait qu’Angélique le contacte. Et Angélique était ferment décidée à ne pas faire le premier pas. Stéphane craqua le premier. Dans la semaine avant le 14-juillet, il envoya un SMS à Angélique :
« Si tu es libre, on pourrait se voir ce WE. Cinéma ou rando ? Bises »
La réponse n’arriva que le soir. Angélique l’appela, s’excusant de n’avoir pas eu le temps de lui répondre plus tôt. Ils tombèrent d’accord pour une balade en forêt le dimanche.
Stéphane gara sa voiture en face du magasin de lingerie. Il sonna à la porte de l’appartement qui avait été celui de Monique et Michel. Angélique arriva quelques instants après. Elle portait pour la circonstance un short très court qui moulait ses fesses rondes et dévoilait ses jambes superbes. En haut un tee-shirt sous lequel Stéphane voyait le dessin du soutien-gorge qui moulait sa belle poitrine. Il regretta malgré tous les chaussures de marche qui gâchait un peu la silhouette d’Angélique.
Pendant tout le trajet, Stéphane résista au désir de poser sa main sur la peau nue et bronzée des jambes de sa passagère.
Ils commencèrent de marcher dans la forêt de Rambouillet en milieu de matinée. Stéphane avait prévu un long périple qui devait leur faire retrouver la voiture en fin d’après-midi. Ils piqueniquèrent assis face à face à califourchon sur un tronc d’arbre. Et après une petite pause, allongés sur l’herbe d’une clairière, ils reprirent leur périple.
Vers quinze heures, le ciel se chargea de gros nuages noirs et la chaleur devint étouffante. Le tonnerre gronda et des grosses gouttes de pluie commencèrent à s’écraser sur le sol. Stéphane et Angélique pressèrent le pas en direction d’une vieille bâtisse qu’ils apercevaient à quelques centaines de mètres. Ils se mirent à courir quand l’averse se déchaina mais c’était peine perdue car ils étaient trempés comme des soupes en atteignant ce qui était une maison abandonnée. Ils entrèrent par la porte délabrée qui céda sans résistance sous le coup de pied que Stéphane lui donna.
La vieille maison devait être abandonnée depuis longtemps, une partie de la toiture était tombée. Heureusement, Angélique et Stéphane trouvèrent un endroit au sec dans la pièce principale.
A l’aide d’un bâton, Stéphane enleva les toiles d’araignée qui pendaient du plafond. Angélique frissonna. Stéphane sortit de son sac une couverture de survie et enveloppa Angélique dans la toile dorée. Lui non plus n’avait pas très chaud. Son tee-shirt mouillé collait à sa peau et il s’en débarrassa.
En voyant Angélique transie de froid, il chercha un moyen de la réchauffer. Il alla vers la vieille cheminée, en se penchant en dessous il aperçut le ciel. Il proposa :
Tu as froid, je peux essayer de faire du feu.
Tu crois ? Il ne faudrait pas que l’on fasse cramer cette vieille baraque.
On verra bien…Et puis si la maison brule, on sera vite sortit.
Stéphane se mit à la recherche de choses susceptibles de faire un feu. Il trouva des morceaux de bois en cassant deux chaises et se servit de leur paillage pour allumer le tout. Rapidement le feu crépita et ils en ressentirent immédiatement la chaleur. Stéphane mit son tee-shirt à sécher. Il continua de chercher du bois, visita le reste de la maison, revenant les bras chargés du bois vermoulu des meubles qu’il avait cassé. Stéphane faillit laisser tomber son chargement en découvrant Angélique, qui offrait sa nudité à la chaleur du foyer. Il resta quelques secondes, admirant le spectacle de ce corps parfait sur lequel le feu ronflant projetait des lueurs rougeoyantes. Angélique lui dit en souriant et en continuant d’offrir son corps à la chaleur :
J’ai fait comme toi. Je n’arrivais pas à me réchauffer avec mes vêtements mouillés. Tu devrais poser ton jean, toi aussi.
Stéphane posa les morceaux de bois près de la cheminée et s’exécuta. Il marqua un temps d’arrêt avant de quitter son boxer puis se dit qu’après tout, Angélique ne risquait pas d’être choquée de le voir nu, elle qui offrait sa nudité à la chaleur du feu mais aussi à son regard. Dès que Stéphane fut nu, Angélique remarqua sa queue qui gonflait à vue d’œil. En la lui montrant d’un coup de menton, elle lui dit en souriant :
C’est moi qui te fais de l’effet comme ça ?
Ben, oui. Désolé de te montrer de façon aussi crue que je te trouve plutôt à mon gout. Mais tu es terriblement jolie et excitante.
Angélique s’accroupit devant Stéphane et sans hésiter, elle prit son dard dans sa main. Elle le branla un peu, faisant coulisser sa main sur la hampe. Elle posa ensuite ses lèvres sur le gland décalotté, avala le gros fruit rose violacé avant de faire courir sa langue sur la collerette. Angélique suça Stéphane comme un de ses premiers amants le lui avait appris. Elle tenait la hampe du bout de ses doigts immobiles, et de la pointe de sa langue ou du bout des lèvres, elle agaçait le gland sans jamais le prendre dans sa bouche. L’orage se calmait, les gros nuages noirs allaient déverser la pluie sur d’autres contrées. Le feu dans la cheminée perdait de son intensité, faute de gros morceaux de bois pour le maintenir.
Stéphane n’en pouvait plus de se faire sucer de la sorte. Jamais une fille ne lui avait fait une gâterie de cette façon. Il releva Angélique et l’enlaça. Ils s’embrassèrent longuement. Angélique serrée contre lui, comprimait sa queue entre leurs ventres et elle ondulait doucement lui procurant un délicieux massage. Stéphane entraina Angélique vers une vieille table. Et il l’assit dessus. Heureusement la table était encore solide et elle résista en grinçant sous la charge. Angélique bascula sur le dos quand Stéphane lui prit les jambes et les leva en les écartant.
Il découvrit la chatte gonflée de la jeune femme, posa ses lèvres sur les lèvres intimes d’Angélique qui s’ouvrirent dès que sa langue s’introduisit dans la vallée inondée de mouille à l’odeur musquée. Angélique gémit de plaisir. Elle adorait se faire sucer.
Stéphane la suça minutieusement, faisant glisser sa langue dans sa fente inondée, agaçant son clitoris, allant même jusqu’à effleurer de la pointe de sa langue sa rosette. Ce qui ne manqua pas d’arracher un gémissement de la gorge d’Angélique.
Au bout d’une dizaine de minutes de ce traitement, Angélique était au bord de l’orgasme. Son corps était pris de tremblements, elle gémissait, râlait de plaisir. Elle commença à se caresser la poitrine, prenait ses seins à pleine mains, les pétrissait, tordait les tétons. Comme Stéphane ne semblait pas pressé de lui donner le plaisir que son corps réclamait, elle fit glisser une de ses mains vers son pubis et se masturba.
Stéphane se releva, cessant ses caresses. Angélique, surprise par cette réaction inattendue, sentit son excitation retomber un peu. Mais Stéphane l’encouragea à se donner du plaisir toute seule. Angélique lui sourit, elle savait que beaucoup d’hommes appréciaient de regarder une fille en train de se masturber, elle reprit donc ses caresses sur son sexe. Son excitation remonta très vite et elle se fit jouir en titillant son clitoris pour accompagner les deux doigts qu’elle enfonçait dans son con inondé.
Stéphane ne laissa pas le temps au flot de jouissance de se tarir. Il écarta prestement les mains d’Angélique et la pénétra d’un coup de reins violent. L’orgasme d’Angélique reprit de la vigueur et elle s’entendit crier de plaisir pendant que Stéphane la défonçait. Son plaisir retomba. Elle serra ses jambes autour de la taille de son amant et se laissa aller au plaisir de sentir son dard coulisser dans son ventre. Elle était comblée, remplie. Elle gémissait à chacun des coups de reins puissants de Stéphane. Elle attendait que sa semence jaillisse dans son con. Elle en guettait le moindre signe annonciateur. Les gonflements spasmodiques du membre qui la perforait, la violence des coups de reins, les grimaces qui parfois tordaient le visage de Stéphane. Tout lui montrait que c’était imminent. Elle lança ses mains vers les tétons de son amant, elle les tordit. Il cria, un cri rauque, le brâme du cerf en rut, un cri de mâle et il se déversa dans son ventre chaud et accueillant.
Stéphane s’appuya des deux mains sur la table, le bassin toujours bloqué par les jambes d’Angélique, le souffle court, le visage en sueur. Il se pencha vers elle et l’embrassa tendrement. Angélique le libéra.
Ils firent un brin de toilette, utilisant tout un paquet de kleenex avant de repartir vers la voiture. Silencieux, mais se tenant par la main, ils marchèrent encore une heure avant d’atteindre la fin de leur randonnée.
Quand Stéphane arrêta sa voiture devant la boutique qui était maintenant celle d’Angélique. Elle se retourna vers lui et elle lui dit enfin ce qu’il attendait. Elle murmura simplement :
Viens.
Plus tard, les cris de jouissance d’Angélique envahirent son appartement. Elle criait de plaisir, à quatre pattes sur son lit, Stéphane lui défonçant le cul. Juste avant de sombrer dans le sommeil, dans les bras de son amant, elle se fit la réflexion suivante qui la fit s’endormir avec le sourire :
C’est le premier que tu laisses te sodomiser dès la première rencontre. Tu es en train de tomber amoureuse, ma chère.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Un début très prometteur J'attends la suite
Posté le 19/02/2016


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Dentelles et Chiffons 2 : Retrouvailles
Dentelles et chiffons 6 : L’avocat.
Dentelles et chiffons 3 : La transformation de Dolores
Dentelles et chiffons 4 : Une nouvelle vendeuse
Dentelles et chiffons 5 : Vacances au Cap-Ferret