La boutique marche bien, la clientèle augmente. Il faut du personnel ! Lire les épisodes précédents
Proposée le 24/02/2016 par Marc Paul
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Clémence monta rapidement les escaliers de la bouche de métro. Elle tenait à la main le post-it sur lequel elle avait noté l’adresse de son rendez-vous. Elle était ravie de cette proposition d’emploi de vendeuse dans le magasin de lingerie « Dentelles et Chiffons » et ne voulait surtout pas arriver en retard pour ce premier contact. Étudiante, elle avait absolument besoin de travailler dès la rentrée et même avant si possible pour financer ses études. Elle s’était préparée avec soin, ses cheveux bruns soigneusement lissés dessinaient parfaitement l’ovale de son visage. Pour l’occasion elle avait passé sa plus belle robe, un peu courte certes mais elle avait de jolies jambes dont la finesse était accentuée par ses hauts talons. Un collier de pacotille et un maquillage discret complétait le tableau qu’elle avait mis grand soin à composer. En se regardant une dernière fois avant de quitter sa chambre, elle s’était dit qu’elle faisait plus que ses dix-neuf ans. Elle décida que c’était mieux…
La boutique de Katia et Angélique marchait vraiment bien. Les transformations que les deux jeunes femmes avaient faites, leur avaient apporté la clientèle aisée qu’elles espéraient. Depuis près d’un an, elles travaillaient comme des folles. Les deux associées et amies ainsi que Dolores leur employée ne s’ennuyaient pas une seconde. Les soldes de juillet leur avaient fait vivre un enfer et les laissaient exténuées toutes les trois le soir. C’est tout juste si Angélique trouvait la force satisfaire Stéphane. Le pauvre ne pouvait même pas compter sur Katia ou Dolores pour passer un bon moment car elles étaient dans le même état de fatigue que sa compagne. Fin juillet, Katia et Angélique avaient fait une offre d’emploi à temps partiel pour trouver une autre vendeuse.
Clémence s’arrêta devant la vitrine. Elle prit le temps de regarder un peu car elle avait quelques minutes d’avance. Elle s’imaginait déjà déambuler dans les rayons. Elle poussa enfin la porte.
Une femme d’une quarantaine d’année, très brune, pas très grande avec de petites rondeurs s’approcha d’elle :
Bonjour, mademoiselle, puis-je vous aider ?
Bonjour. Oui, merci, je viens pour l’annonce que vous avez passée pour un travail de vendeuse. On m’avait donné un rendez-vous.
Ah, très bien. Je suis au courant. Je vais prévenir de votre arrivée.
Dolores se dirigea vers la caisse, décrocha le téléphone et annonça Clémence :
Angélique, votre rendez-vous est arrivé.
Dolores raccrocha et revint vers Clémence :
Merci de patienter quelques instants, on va venir vous chercher.
Quelques instants passèrent que Clémence mit à profit pour flâner dans les rayons avant qu’une femme d’une trentaine d’année, blonde, grande, très belle ne l’aborde.
Bonjour, mademoiselle…Clémence ? c’est bien cela ?
Bonjour, Madame. C’est bien cela !
Vous êtes juste à l’heure, c’est parfait. Suivez-moi.
Katia lui indiqua une porte au fond de la boutique et la précéda dans l’escalier. Elle s’effaça devant une porte pour la laisser entrer dans un bureau où attendait une autre jeune femme, du même âge que la première, très jolie elle aussi mais aussi brune que l’autre pouvait être blonde. La brune lui tendit le bras pour une poignée de mains :
Bonjour Clémence. Je suis Angélique et voici Katia, nous sommes associées. Installons-nous dans ce coin nous serons mieux pour parler. Voulez-vous un café ou du thé ?
Du thé, je veux bien.
Je m’en occupe. Dit Katia. Et toi Ange, café ?
Oui, s’il te plait.
Angélique et Katia expliquèrent ce qu’elles attendaient de Clémence pendant une bonne heure. Clémence leur faisaient une très bonne impression. D’un regard, elles se mirent d’accord pour l’engager. Clémence commencerait mi-août, deux semaines avant la rentrée. Elles lui firent faire le tour de la boutique et de ses dépendances ainsi que la connaissance de Dolores. Elles lui expliquèrent les consignes à appliquer.
Sur le pas de la porte de la boutique Katia et Angélique prenait congé de Clémence, ravie qui les remercia et qui ajouta :
Merci pour tout et à bientôt. J’espère que maintenant je vais pouvoir trouver une chambre pas trop loin d’ici et de la fac. Vous ne connaitriez pas, par hasard, une chambre de bonne disponible dans le quartier.
Katia et Angélique se regardèrent et virent qu’elles pensaient la même chose. Katia l’arrêta :
Tu cherches un logement ?
Oui, tu en connais un ?
Si tu as quelques minutes, nous pouvons te montrer quelque chose.
Dans l’escalier qui les menait au troisième étage, sous les combles, Angélique expliqua à Clémence qu’elles avaient fait aménager des appartements dans le grenier. L’un d’eux, le plus vaste, était réservé pour Dolores, un studio serait utilisé en tant que chambre d’amis et un deuxième studio était libre.
Katia ouvrit la porte en disant :
Voilà, il ne reste plus qu’à le meubler. Sauf si tu as tes propres meubles.
Non, je n’ai pas de meubles. Je souhaite garder ma chambre chez mes parents. Mais vous la louez combien ?
Rien. Dit Angélique qui devança Katia. Disons que cela fait partie des avantages en nature.
C’est vraiment inespéré. Je le prends.
Bon, nous achèterons quelques meubles. Juste un lit, un bureau et des sièges.
Stéphane fut chargé d’acheter le mobilier. Quand les livreurs apportèrent tout cela, il passa un samedi à assembler les meubles et quand il eut terminé, il appela les filles pour leur montrer.
Katia et Angélique trouvèrent ça parfait mais Angélique fit une remarque :
C’est très bien mais pourquoi as-tu pris un lit de deux personnes, ça prend beaucoup de place.
C’est plus confortable qu’un lit de 90 et puis on ne sait jamais… tu m’as bien dit que Clémence était très jolie.
Quel salaud, ce mec ! Tu me sautes quand tu veux. Tu baises aussi Katia et Dolores de temps en temps et ça ne te suffit pas !
Vu le mois de juillet que vous avez passé, j’ai fait abstinence, moi.
Pov’ chéri. Réduit à s’astiquer tout seul dans son coin. Si c’est pas malheureux, ça. Se moqua Angélique. Elle continua sur un ton badin en faisant une œillade en direction de Katia, morte de rire. Après tout, tu n’as pas tort, c’est vrai qu’elle est mignonne, cette petite Clémence, je ne détesterais pas lui brouter le minou, pas toi Katia ?
La conversation s’arrêta là dans un éclat de rire général.
Clémence donna tout de suite entière satisfaction à ses employeurs. La jeune fille était à l’aise avec les clientes, toujours de bonne humeur, et ses conseils étaient toujours appréciés. De plus comme elle logeait dans le même immeuble, elle n’hésitait pas à venir donner un coup de mains si son emploi du temps le lui permettait.
Le travail plaisait beaucoup à Clémence. Elle adorait cet univers typiquement féminin, et prenait un réel plaisir à conseiller les clientes sur la lingerie qu’elle leur vendait. Ce boulot lui laissait pas mal de temps pour travailler ses cours et du temps libre également. De plus, le logement que ses patronnes avaient mis à sa disposition gratuitement lui permettait de ne pas avoir de difficultés financières. En discutant avec ses amies étudiantes, elle se disait qu’elle avait une chance inouïe quand elle les entendait se plaindre de devoir avoir plusieurs jobs pour subvenir à leurs besoins.
Dès les premiers jours, Clémence remarqua un étrange manège qui l’intrigua. Elle avait noté que des personnes montaient au troisième étage et entraient dans le studio inoccupé voisin du sien. Elle avait fait ce constat en entendant leurs pas dans l’escalier. En revanche, l’isolation phonique était telle qu’elle n’en savait pas plus. Ce qui la surprit, c’est que ce studio était fait pour être une chambre pour les amis d’Angélique ou de Katia. Elle prit l’habitude de laisser sa porte entrebâillée pour pouvoir satisfaire sa curiosité. Dès qu’elle entendait grincer l’escalier, elle se postait derrière sa porte pour voir qui montait et qui entrait dans cette pièce. Elle vit passer d’abord Dolores et Stéphane qui y séjournèrent pendant un bon moment. Elle n’était pas dupe de ce qui pouvait se passer dans l’intimité du studio. Elle se dit que c’était quand même très imprudent pour Stéphane de tromper sa femme avec Dolores alors qu’Angélique était tout près. Elle vit ensuite Stéphane et Katia, et se fit la même réflexion. Puis, au gré des jours et des moments de la journée, elle eut la surprise de constater que Angélique et Dolores, ou bien Katia et Dolores, ou encore Angélique et Katia utilisait le studio.
Sa curiosité la poussa jusqu’à aller visiter le fameux studio, un dimanche après-midi, car elle se savait seule dans l’immeuble. Elle pénétra dans la pièce sans difficulté car celle-ci n’était pas verrouillée. Le studio était identique à celui qu’elle occupait. La salle de bains eut la primeur de sa visite, un WC, une douche et un lavabo. Elle remarqua qu’il y avait des produits de toilette - du gel douche – et que le meuble sous le lavabo était rempli de serviettes. Elle découvrit également des serviettes dans le panier pour le linge sale. Elle continua sa visite par la pièce principale. La cuisine était en tout point identique à la sienne, mais vide à part un peu de vaisselle. Le grand placard fermé par des portes pliantes à clairevoie était vide également. Le lit était juste recouvert d’un drap et d’une couette. Clémence tourna sur elle-même et remarqua une commode dont elle ouvrit les tiroirs. Ce qu’elle y trouva ne lui laissa plus aucun doute sur l’utilisation qui était faite du studio par ses patronnes, leur employée et Stéphane.
Dans les tiroirs, elle trouva une belle collection de vibromasseurs, quatre en tout, chacun d’un modèle différent, un gode double et trois godes avec ceinture de toutes les tailles. Le plus gros l’impressionna par son diamètre. Elle trouva également un flacon de gel lubrifiant.
Elle attrapa un des vibromasseurs, le huma, fit glisser la pulpe de ses doigts sur les petites protubérances, manipula les boutons jusqu’à en comprendre le fonctionnement. Elle en prit un autre, refit son manège puis les examina tous de la même manière. Si Clémence connaissait l’existence de ce genre de jouets, elle n’avait jamais eu l’occasion d’en essayer. Une de ses copines de lycée lui avait prêté un gode mais elle était curieuse de connaître les sensations que pouvait procurer les vibrations de ces engins. Poussée par sa curiosité, elle décida d’essayer. Elle les examina longuement debout devant le tiroir ouvert avant d’opter pour le modèle le plus simple, parce qu’il était le moins gros.
Clémence s’allongea sur le lit, ouvrit son jean et le fit glisser sur ses jambes. Elle commença par faire glisser le long cylindre lisse et doré sur sa fente à travers sa petite culotte. Les vibrations taquinaient sa chatte, mais Clémence trouva cela agréable. Rapidement, sa culotte devint humide et sa chatte gonflée de plaisir. Clémence arrêta le vibromasseur et le glissa dans sa culotte. Le contact froid de l’objet sur sa fente la fit d’abord frissonner mais il se réchauffa à la chaleur de sa chatte. Elle se caressa comme cela pendant un long moment jusqu’à ce qu’elle repousse sa culotte sur ses chevilles. Elle enfonça doucement la tige dans son con bien lubrifié et le fit coulisser en se branlant le clitoris. Puis elle le ressortit et le mis en marche. Les douces vibrations sur son petit bouton lui arrachèrent un cri de plaisir. Elle enfonça le vibromasseur dans son fourreau et se laissa envahir par les douces sensations qui prirent possession de son ventre. Si, au début, elle se contenta de maintenir le jouet enfoncé pour éviter que les contractions de son con ne l’expulse, elle se mit bientôt à le faire coulisser et à en faire glisser la pointe dans sa fente jusqu’à venir agacer son clitoris. Clémence gémissait du plaisir qu’elle se donnait. Ses hanches ondulaient, ses reins se creusaient, ses cuisses s’ouvraient largement. La première vague de plaisir lui arracha un long râle et ses mains se crispèrent sur le drap, lâchant le jouet que les contractions de son fourreau expulsèrent. Elle reprit vite ses esprits, frustrée, son ventre en feu réclamait son dû. Elle enfonça violemment le vibromasseur dans son con palpitant et le maintint fermement, retrouvant immédiatement les sensations qui la conduisirent instantanément au plaisir. Cambrée à l’extrême, le corps de Clémence, agité par les convulsions de l’orgasme, ne reposait sur le lit que par sa tête rejetée en arrière et par ses talons. Elle cria de plaisir, un cri rauque, venu du fond de sa poitrine, sortit de sa bouche entrouverte, les ongles de sa main libre s’enfoncèrent dans la peau de sa cuisse, y laissant des marques qui mirent une semaine à disparaître. Elle retomba assouvie, des petits spasmes continuaient de secouer son corps. Elle retira cet objet diabolique de son con et se reposa. Elle récupéra un instant, puis se releva le corps un peu moulu, réajusta ses vêtements et alla ensuite laver le vibromasseur avant de rejoindre son appartement, les jambes un peu flageolantes. Jamais elle n’avait eu de plaisir aussi intense que ce soit avec un mec ou bien en se caressant. Elle se promit de recommencer dès que possible.
Clémence retourna dans le fameux studio dès qu’elle fut seule dans l’immeuble. Puis au fil des semaines, elle y retournait la nuit de plus en plus souvent, prenant le risque d’y être surprise.
Elle expérimenta tous les vibromasseurs. Elle essaya même un gode ceinture en se regardant dans le miroir de la salle de bains affublée de cette prothèse. Elle fit sauter dans sa main le gros chibre de silicone, souple et rigide à la fois, elle fit mine de le branler comme un homme caresse son dard.
Pourtant, la curiosité de Clémence n’était pas totalement satisfaite. Elle savait maintenant ce que les couples qui s’enfermaient dans le studio allaient y faire. Elle s’imaginait bien que Stéphane venait là avec Katia ou Dolores pour baiser. Probablement avec la bénédiction de sa compagne qui ne se privait pas non plus de venir passer des moments agréables avec Katia ou Dolores. Maintenant qu’elle savait que tous les habitants de cet immeuble venaient prendre du plaisir dans cette pièce, elle avait une envie folle de venir, elle aussi, dans le studio en compagnie de Stéphane ou pourquoi pas en compagnie d’une des trois femmes. Elle avait toujours été tentée par les amours saphiques mais n’avait jamais eu l’occasion de franchir le pas. Cette opportunité s’offrait à elle maintenant, elle était fermement décidée à la saisir. Clémence chercha le moyen de parvenir à ses fins.
Depuis que Clémence avait été engagée, Dolores l’avait prise sous son aile. Elle lui avait enseigné comment se comporter avec les clientes, quels conseils leur donner. Au fil des semaines la jeune fille et son mentor étaient devenues très complices. Elles se retrouvaient même de temps en temps après le travail pour passer la soirée ensemble. Elles se retrouvaient chez l’une ou l’autre pour regarder la télé quelquefois mais le plus souvent elles bavardaient jusqu’à tard dans la nuit.
Clémence décida de questionner Dolores à l’occasion d’une de leurs « Soirées pyjama ». Elle décida de le faire comme une parfaite ingénue, comme si elle n’avait pas vraiment compris ce qui se passait dans le studio voisin. Elle laissa même à Dolores le soin de provoquer cette soirée.
Clémence attendait Dolores de pied ferme. Pour l’occasion, elle avait passé une petite nuisette qui lui arrivait à mi-cuisses. Dolores arriva en pyjama de satin vert. Elles s’installèrent sur le lit de Clémence et bavardèrent un long moment en grignotant du chocolat. À un moment, Clémence lui demanda :
Je voulais te demander quelque chose. Est-ce que tu sais ce qu’il y a dans le studio à coté ?
Angélique m’a dit qu’elle réservait ce studio en tant que chambre d’amis et elle a même proposé que je puisse l’utiliser si j’avais des invités. Pourquoi ? Tu en aurais besoin ?
Non, ce n’est pas ça. Mais j’ai remarqué que parfois dans la journée des personnes y entraient et y restait un long moment. Je voulais juste savoir, c’est tout.
Dolores se troubla.
Tu as vu qui occupait le studio ?
Une fois, j’ai vu par hasard entrer Stéphane et Katia…Ils y sont bien restés une bonne heure…Tu vois, je me demande si Stéphane et Katia ne couchent pas ensemble … Je voudrais être sûre pour ne pas faire un impair, tu comprends !
Dolores eut un petit sourire.
Bon, il était assez prévisible que tu te rendrais compte de quelque chose. Alors, après tout, autant que tu saches…
J’avais donc bien deviné. Stéphane trompe Angélique avec Katia… Ils sont gonflés de faire ça ici…Avec Angélique à deux pas
« Tromper » n’est pas le mot exact car Angélique est totalement au courant. Le studio nous sert à prendre du bon temps.
Nous ! Tu veux dire que toi aussi tu couches avec Stéphane.
Ben, oui. Il est beau gosse et il baise bien. Alors quand il est là, en fin d’après-midi…
C’est vrai qu’il est beau…mais j’ai parfois entendu des gens entrer en début d’après-midi, Stéphane est au boulot à cette heure-là.
Quand Stéphane n’est pas là…on se fait des petits plaisirs entre filles…voila…tu sais tout.
Entre filles…c’est dingue…alors tu aimes aussi les filles…
Oui, j’aime bien aussi même si je préfère les mecs.
Dolores compléta le récit qu’elle avait fait à Clémence quelques semaines plus tôt. A l’époque, elle lui avait raconté sa vie avec son mari, sa crainte des hommes mais que c’était du passé. Que tout cela était oublié depuis qu’Angélique et Katia l’avait aidé. Elle n’en avait pas dit plus. Maintenant elle expliquait à la jeune fille comment ses deux patronnes avec l’aide de Stéphane lui avaient redonné le gout du sexe et du plaisir.
Clémence avait écouté Dolores tournée vers son amie. Quand Dolores termina son récit, Clémence s’allongea quasiment sur elle en lui disant :
Je n’ai connu que des mecs jusqu’à maintenant mais j’ai toujours eu envie de gouter aux plaisirs entre filles. Dolores, j’ai très envie que tu me baises.
Dis donc, toi. Tu es une sacrée coquine…
En disant cela, Dolores fit rouler Clémence sur le dos, les lèvres de la jeune fille se trouvèrent à portée de la langue de Dolores. Dolores fit glisser la pointe de sa langue sur les lèvres de Clémence qui ouvrit un peu sa bouche et sa langue pointa entre ses lèvres, cherchant celle de Dolores, s’enroulant autour pour un long baiser parfumé de chocolat.
La main de Dolores se posa sur le genou de Clémence qui instinctivement lui ouvrit le passage. Les doigts de la vendeuse coururent sur l’intérieur de la cuisse ferme, effleurant la peau douce et fine, remontant plus haut, atteignant la lisière de la culotte de la jeune fille. Dolores fit courir ses doigts sur la culotte de Clémence, légèrement, frôlant le tissu de satin. Elle continua par des caresses plus appuyées, massant le mont-de-vénus avec des mouvements circulaires. Bâillonnée par les lèvres de Dolores, Clémence laissait échapper de temps en temps des soupirs étouffés.
Dolores glissa sa main dans la culotte de Clémence, ses doigts se frayèrent un chemin dans la toison de la jeune fille. Elle sentit l’abricot gonflé, juteux. Elle trouva entre les petites lèvres boursouflées, l’ouverture du con et y enfonça délicatement un doigt. Elle lui imprima un mouvement circulaire, comme pour élargir le fourreau gluant. Clémence se cambrait, écartait les cuisses et donnait de petits coups de reins pour enfoncer encore plus profond le doigt de Dolores. Un autre doigt vint rejoindre le premier et Clémence libéra sa bouche de l’emprise de Dolores pour gémir à son aise. Avec ses deux doigts plantés dans le con de la jeune fille, Dolores la branlait de plus en plus fort. Clémence était au bord de l’orgasme, elle avait chaud. Elle se débarrassa de sa nuisette pour offrir son corps, ses petits seins ronds à la bouche de Dolores.
Dolores arrêta de branler Clémence. Elle retira doucement ses doigts de son con et commença à les faire glisser dans la fente ouverte. Clémence était tendue, attentive à cette caresse qui, inexorablement, se dirigeait vers son clitoris dardé. Son ventre se contractait à mesure que les doigts de Dolores parcouraient sa fente avec une lenteur calculée. Elle sentit comme une décharge électrique qui partit de son petit bouton et irradia son ventre. Elle se cambra, ouvrit encore plus ses cuisses avant de les resserrer fortement, emprisonnant la main de Dolores quand l’orgasme prit possession d’elle. Elle ne les ré-ouvrit dans un long soupir de bien-être que quand elle reprit ses esprits.
Clémence s’occupa ensuite de donner du plaisir à son amante. Elle tira sur un des brins de la ceinture du pyjama de Dolores et écarta les deux côtés de la veste. La grosse paire de melons apparus avec leurs aréoles foncées, larges et ovales. Au centre se dressaient des tétons très gros, longs et durs, Clémence les compara à son petit doigt. Elle en prit un entre ses dents, le mordilla légèrement, avant de le téter en en agaçant le bout de la pointe de sa langue. Elle malaxait l’autre sein d’une main, s’étonnant de la fermeté de mamelles aussi grosses. En bonne professionnelle de la lingerie qu’elle était devenue, elle se prit à penser que Dolores devait prendre des bonnets de taille D. Elle fit glisser ensuite sa main sur le ventre de Dolores, buta sur la ceinture du pantalon, l’évita en glissant ses doigts par dessous. Elle fit glisser le bas du pyjama sur les hanches larges, puis sur les jambes de Dolores. Sa bouche délaissa le téton qu’elle aspirait pour parcourir le ventre rond de son amante. Elle découvrit la toison pubienne de Dolores, un petit triangle taillé court, juste au-dessus de sa fente et dont la pointe inférieure lui donnait comme l’indication du lieu du plaisir de Dolores. Elle fit glisser sa langue sur les petites lèvres violacées, gonflées de désir, brillantes d’une mouille abondante à la saveur salée. La fleur de Dolores s’ouvrit sous les agacements de la langue de Clémence.
La jeune fille enfonça deux doigts dans le con inondé de Dolores et fit un mouvement de piston. Elle concentra les caresses de sa langue sur le clitoris saillant. Dolores gémit et murmura :
Que es muy buena, guapa, me lamer otra vez ... otra vez
Quand Dolores se mettait à parler dans sa langue natale, elle n’était pas très loin de partir. Elle roulait ses gros tétons entre ses doigts. Elle les pinça fortement quand la bombe de plaisir explosa dans son ventre. Elle partit d’un long gémissement aigu, son corps tout entier s’agitât sous l’emprise de l’orgasme.
Clémence la suça encore un peu jusqu’à ce que Dolores se calme. Elle se glissa entre ses cuisses, remonta jusqu’à la bouche entrouverte de Dolores et l’embrassa longuement.
Les deux filles récupérèrent un peu en discutant. Clémence questionna Dolores :
Qu’est-ce que je peux faire pour avoir l’occasion de baiser avec les autres.
Tu veux que je leur en parle ?
Pourquoi pas ! Tu vas leur dire quoi ?
La vérité, que tu as découvert ce qui ce passe dans le studio, que tu m’en as parlé, que nous avons baisé ensemble et que tu aimerais bien faire l’amour avec eux. Voilà !
Et après ?
Ne t’inquiète pas. Je suis sure que les choses se feront naturellement.
En fin de compte Dolores avait raison et Clémence n’eut que quelques jours à attendre avant que cela ne se concrétise. Une fin d’après-midi, Angélique et Dolores s’occupaient des dernières clientes et la boutique se vidait. Clémence aidait Katia à réapprovisionner un présentoir. Quand elles eurent terminé, Katia lui dit :
Voilà une bonne chose de faite. Nous allons fermer bientôt. Je pense qu’on peut se détendre un peu.
C’est vrai que la journée a été rude. Autant profiter de ce moment de calme.
On pourrait passer un moment ensemble, qu’en penses-tu ?
Volontiers.
Alors, viens avec moi.
Clémence emboîtât le pas à Katia en faisant un petit signe de la main à Dolores. Celle-ci lui répondit de la même façon avec un large sourire.
Katia entraina Clémence dans le studio sous les combles. Sans dire un mot, une fois la porte refermée, elle l’enlaça et en la regardant droit dans les yeux, Katia lui demanda :
C’est bien ce que tu veux ?
Oui. J’en ai très envie. Répondit Clémence.
Katia l’embrassa sur la bouche et Clémence lui rendit son baiser en glissant rapidement sa langue dans sa bouche. Katia fit glisser le zip de la robe de Clémence, et la lui posa. Clémence lui répondit en lui déboutonnant son chemisier, puis elle s’attaqua au pantalon qui glissa sur les cuisses de la jeune femme. Katia s’en débarrassa et le repoussa du bout du pied. Après quoi, toujours en jouant avec la langue de Clémence, elle lui dégrafa son soutien-gorge.
Nues, les deux filles s’embrassèrent longuement en se caressant, en se frottant peau contre peau. Elles basculèrent enfin sur le lit et Katia poussa la tête de Clémence vers son ventre. La jeune fille comprit immédiatement ce que sa patronne attendait d’elle. Elle déposa de petits bisous sur le ventre, dans les plis de l’aine, à l’intérieur des cuisses de Katia. Elle prit soin dans un premier temps d’éviter de poser ses lèvres sur la chatte de Katia. Pourtant ce bel abricot soigneusement épilé, ces petites lèvres brunes, la mouille qui commençait à en sourdre et qui déployait son odeur musquée attirait Clémence. Petit à petit, elle s’approcha de cette fente qui l’ensorcelait. Par de petit mouvement de sa langue, elle effleura la fine dentelle qui s’ouvrit sur une jolie fente rose tendre. Elle dirigea ensuite la langue vers le con béant et suintant de mouille. Elle lapât un peu de liqueur, enfonça deux doigts dans le fourreau gluant et remonta en direction du petit bouton de plaisir qui pointait à l’extrémité de la vallée. Katia gémissait de plaisir en se caressant les seins. Clémence suçait bien et la jeune femme se sentait proche de l’orgasme.
Dolores entra sans bruit dans le studio, elle se dévêtit silencieusement et s’allongea à côté de Katia. Elle l’embrassa et lui tordit les tétons. Il n’en fallu pas plus pour déclencher l’orgasme de la jeune femme. Katia appuya fortement sur la tête de Clémence en écartant largement ses cuisses. Une longue plainte s’échappa de sa gorge pendant que son corps se faisait envahir par des ondes de plaisir.
Sans laisser le temps à Clémence de reprendre son souffle, Dolores l’attira entre ses cuisses à elle. Clémence reprit ses caresses sur la chatte brune de Dolores. Contrairement à Katia, Clémence connaissait bien Dolores pour avoir baisé avec elle plusieurs fois. Elle savait les caresses que son amante appréciait, connaissait ses endroits les plus sensibles. Dolores se mit rapidement à murmurer en espagnol.
Angélique et Stéphane arrivèrent à leur tour. Angélique avait fermé la boutique et Stéphane revenait du travail. Ils se déshabillèrent. Angélique alla câliner Katia pendant que Stéphane bâillonna Dolores en lui mettant sa queue dans sa bouche, interrompant le flot de paroles.
Dès que les gémissements étouffés de Dolores prirent fin, Angélique attira Clémence sur elle pour se faire sucer à son tour. Dolores reprenait ses esprits et Katia poursuivait ses caresses à Angélique tout en suçant Stéphane. Clémence était à la fois excitée de sucer ces trois chattes toutes plus appétissantes les unes que les autres, mais aussi terriblement frustrée de ne pas avoir joui. Quand elle était venue avec Katia dans le studio, elle avait espéré que celle-ci lui donne du plaisir. Puis Dolores les avait rejoint mais ne l’avait même pas caressée. Enfin l’arrivée de Stéphane lui avait fait espérer prendre un bon coup de queue dans sa chatte mais rien. Il ne semblait même pas avoir envie de la baiser. Stéphane ne semblait vouloir que se faire pomper le dard. Clémence avait le ventre en feu. Elle sentait sa mouille couler sur l’intérieur de ses cuisses. Malgré sa frustration, elle s’appliquait à donner du plaisir à Angélique et celle-ci poussa rapidement un cri rauque, bref avant de pousser de longs gémissements quand l’orgasme la submergea.
Clémence se releva, un peu engourdie d’avoir gardé la même position et s’assit sur ses talons. Son visage était barbouillé de la mouille gluante des trois filles qu’elle venait de sucer. Enfin le moment qu’elle attendait arriva. Stéphane s’approcha d’elle. Sa belle queue était gonflée, tendue vers le plafond. Il posa ses mains sur les épaules de Camile, descendit sur ses bras, prit possession de ses seins puis continua l’exploration du corps de la jeune fille en laissant glisser ses mains sur la taille fine et les hanches étroites. Stéphane poussa Clémence à se mettre à quatre pattes sur le lit, il appuya du plat de sa main sur ses reins pour qu’elle se cambre et fasse pointer son petit cul rond. Il passa un doigt entre ses fesses, effleura son macaron détrempé. Il enfila ensuite la jeunette d’une seule poussée. Clémence sentit avec délice le dard s’enfoncer dans son con. Elle soupira de plaisir. Stéphane la prit par les hanches et la fit coulisser sur son chibre. Les trois filles vinrent s’occuper de Clémence, Dolores et Katia pelotaient ses petits seins, pendant qu’Angélique lui caressait la chatte et lui donnait de temps en temps une petite claque sur ses fesses rebondies. Clémence atteignit l’extase sous les caresses conjuguées des trois filles et les coulissements du chibre de Stéphane dans son petit con serré. Stéphane, fermement agrippé aux hanches de Clémence, continua de la défoncer sans lui laisser une minute répit. Les trois filles ne s’arrêtèrent pas non plus de la caresser sur l’ensemble de son corps. Stéphane arrivait à la limite de sa résistance. Ses coups de reins devenaient plus violents, plus brutaux et rien que cela suffit à faire jouir Clémence de nouveau. Stéphane explosa dans le con contracté de Clémence et les jets de semence qui jaillirent de sa queue augmentèrent encore la jouissance de la jeune fille. Clémence s’écroula sur la couette, détruite par ses deux orgasmes consécutifs.
Mais, alors qu’elle se laissait aller dans les brumes de son plaisir qui retombait, elle se vit soulevée par le bassin et défoncée à nouveau. La fraicheur de ce qui la pénétrait ne lui laissa aucun doute. Une des filles, Angélique, venait de la prendre avec le gode ceinture. Et de nouveau, son petit con remplit de sperme se retrouva dilaté. Les deux autres filles continuèrent de la branler et Stéphane lui donnait sa queue flasque et souillée de sperme à sucer. Clémence jouit à nouveau, ses cris étouffés par la queue de Stéphane qui reprenait une belle taille. Elle n’eut pas le loisir de se laisser aller sur le lit car dès qu’Angélique retira sa prothèse de silicone, Katia prit sa place, elle aussi munie d’un gode ceinture. Elle fit jouir une nouvelle fois Clémence avant d’être remplacée par Dolores. Clémence était à moitié inconsciente. Elle n’était qu’une boule de plaisir qui grossissait rapidement, explosait dans son ventre avant de se reformer. Enfin, cette folie prit fin après que Dolores l’aie fait jouir. Clémence retomba sur le lit, dans un brouillard cotonneux, poussant encore de petits cris quand son con se contractait encore sous les dernières ondes de plaisirs.
Dans sa demi-inconscience, elle perçut des doigts dans sa raie culière, c’était frais, glissant. Aussitôt, les mains puissantes de Stéphane lui reprirent les hanches et la repositionnèrent en levrette. Clémence cria quand le dard de Stéphane perfora l’œillet. Elle ne s’était jamais fait sodomiser, ayant toujours refusé son petit trou à ses amants. Elle n’eut pas vraiment mal, son cri était plus un cri de surprise que de douleur. Si peu mal que, dans sa lucidité partiellement retrouvée, elle se mit à apprécier de se faire enculer. Il faut dire que les trois filles avaient recommencé de la caresser et que la boule de plaisir se reformait rapidement dans son ventre. Elle eut plusieurs orgasmes avant que Stéphane ne se vide en grognant dans son cul. Et les filles, toujours munies de leur gode ceinture, l’enculèrent chacune leur tour. Stéphane lui donna sa queue à sucer, elle y trouva l’odeur forte de son cul.
Clémence venait de vivre son premier gang-bang. Son cul était douloureux de s’être fait dilater de la sorte, son corps repu de jouissance était sans forces. Elle réagit à peine quand Stéphane la tira au bord du lit, lui renversa la tête et lui baisa la bouche. Elle se contenta de recevoir le pieu de chair dans sa bouche, de serrer ses lèvres autour de la tige qui coulissait jusqu’au fond de sa gorge. Les giclées de sperme remplirent sa bouche de sperme gras et chaud. Elle avala tout jusqu’à la dernière goutte.
Clémence se réveilla dans son lit. Elle ne se rappelait pas être revenue dans son studio. En fait, elle apprit plus tard que Stéphane l’avait porté, inconsciente, dans ses bras jusqu’à sa chambre et l’avait couché dans son lit avec l’aide des trois filles.
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Commentaires de l'histoire :
jule
Une très belle histoire beaucoup de sensualité , cela est bien détaillé sur l écriture merci pour ce bon moment
Posté le 14/12/2017
DERECK
Histoire plein de sensualité et d'érotisme, mais impeux à la va vite à la fin. plus de detail anatomyque ajouterai plus d'érotisme...... vivement la suite.
Posté le 21/04/2016
Anonyme
Toujours aussi bien écrit, plein d'érotisme et de sensualité. Vivement la suite
Posté le 8/04/2016
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