Une engueulade nous mène Camille et moi à une baise plutôt sauvage. Voici le récit d'une belle façon de transformer une tension en sexe sans retenue...
Proposée le 20/04/2023 par dmaury
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
*Mes récits sont authentiques et racontent mes expériences avec une de mes toutes premières copines alors que j'étais jeune adulte, ils seront parfois court, parfois long. J'aime beaucoup me rappeler ces moments de découverte et expérimentation du sexe et souhaite vous les faire partager. Les histoires se déroulent à proximité de Nantes, dans une ville balnéaire, calme l'hiver et où, l'été, il est difficile de se cacher pour les ébats en plein air. J’espère que vous apprécierez et qu’ils vous rappelleront également des souvenirs ! (Que vous pouvez raconter en commentaire)*
Cette fois ci le récit se passe en privé chez Camille alors que nous étions seuls et raconte la transformation d'un moment de tension, en baise sans retenue.
La mère de Camille était en déplacement depuis quelques jours et nous avions la maison juste pour nous. Nous ne sortions pas beaucoup durant la semaine et nous avions donc déjà bien profité de cette tranquillité, j’avais donc prévu de passer un peu de temps avec des amis le samedi après-midi. Pour moi c’est important de voir tout le monde, copine, amis, famille et de ne pas s’enfermer dans une sorte de relation trop exclusive qui peut vite devenir toxique. Mais à ce moment-là Camille ne le voyait pas du même œil et avait plutôt en tête de passer un week-end à deux, à regarder des films, cuisiner ensemble, trainer à ne rien faire ou profiter de la piscine. De mon côté je ne voulais pas lâcher et j’irai voir mes amis, j’avais aussi besoin de sortir un peu et voir du monde, même si passer du temps avec Camille était génial.
À partir de ce moment la situation est devenu tendu, le ton a commencé à s’élever des deux côtés, chacun ayant ses arguments et ne voulant pas reculer. Camille se sert un verre d’eau, elle doit avoir soif à force de me crier dessus, j’ai l’impression qu’à tout moment je vais le prendre dans la figure. Mais je ne veux toujours pas lâcher, pour moi c’est important. Cette situation m’énerve car je n’aime pas ce genre de discussion stérile que rien ne peut faire avancer.
Après plusieurs dizaines de minutes à se crier dessus dans le salon la tension est à son maximum, quand à un moment on se rends compte tous les deux que la situation est ridicule. À ce moment nous avons la même réaction, on se saute dessus et d’un seul coup cette tension se transforme en folle envie de sexe. On s’embrasse comme si on ne s’était pas vu depuis des semaines, les mains de Camille passe sous mon t-shirt et elle commence à me caresser le dos en me serrant fort contre elle. Je la repousse un peu, je glisse une de mes mains entre nous deux et je défais sa ceinture et les boutons de son jeans tout en continuant de l’embrasser. Après quelques difficultés j’arrive enfin à baisser un peu son pantalon et glisser ma main dans la culotte.
Mes doigts glissent le long de sa petite toison, parfaitement rasé et en forme de trait fin qui descends de son pubis jusqu’à son clitoris. Ma main est maintenant entièrement dans sa culotte, mes doigts caressent son clitoris, redescendent le long de son sexe et passent entre ses lèvres. Je sens qu’elle commence à être bien humide, elle se laisse faire et mets la tête dans mon cou pour y déposer des baisers et parfois me mordre doucement. De mon côté je bande comme un fou, ce qui fait que je suis complètement à l’étroit dans mon pantalon mais la priorité est à Camille et je continue de la masturber en alternant entre ses lèvres, l’entrée de son vagin et son clitoris. Étant gêné par le bout de tissu qui sert maintenant de torchon à mouille, je le baisse pour me libérer de l’espace et pouvoir continuer mes caresses.
Camille est au milieu du salon, pantalon et culotte sur les genoux, les jambes légèrement écartées et la chatte trempée. Je remonte alors ma main le long de ses cuisses et je glisse d’un coup mon index dans son sexe. Dans un petit sursaut de plaisir ou de surprise Camille me mords le cou un peu plus fort et ne lâche pas sa mâchoire en la resserrant et desserrant à chaque fois que mon doigt entre et sort de son entre-jambe. Puis j’accélère la cadence et glisse un deuxième doigt, elle mouille encore et encore et gémit à moitié à poil au milieu du salon. À un moment elle tend ses fesses vers l’arrière, comme pour se libérer de mes doigts qui sont en train de lui transpercer l’entre-jambe. Elle est prête et veut se faire prendre…
J’amène alors Camille vers le canapé et la pousse dessus, elle est face à moi mais je lui dis de se retourner. Elle est maintenant à 4 pattes, la tête sur le dossier du canapé, toujours habillée avec seulement son jeans et sa culotte baissé, le cul bien en arrière. Pour moi c’est la libération, je peux enfin retirer ma ceinture, déboutonner mon pantalon et je sortir mon sexe dur comme de la pierre. Je m’approche de Camille et place mes jambes de part et d’autre des siennes qui sont maintenu collées par son jeans et j’enfonce lentement ma queue dans sa petite chatte brulante. Elle gémit et je pousse un râle de plaisir, ça fait vraiment un bien fou de me sentir bien profonds en elle. Je commence alors mes vas et vient, d’abord tranquillement puis j’accélère petit à petit en admirant les mouvements de cul qu’elle essaye de faire pour venir s’empaler elle-même sur mon sexe. Elle me rend fou et je ne peux pas tenir longtemps dans ces conditions, après quelques allers-retours rapides et deux ou trois fessées bien méritées je jouis en elle. Mais vu l’état dans lequel elle m’a mis mon érection n’est pas prête de s’arrêter, je continue alors de la baiser, de lui donner des coups de reins qui la font buter contre le dossier du canapé et de claquer son petit cul jusqu’à ce qu’il rougisse. Je profite à fonds de ce spectacle, j’écarte ses fesses pour mater son anus, je regarde ses seins se balancer au rythme des coups de queue et j’admire mon sperme qui s’échappe de sa petite chatte et s’étale partout sur son entre-jambe. Elle est complètement souillée et n’en peut plus, je donne un dernier coup de reins et je reste en elle bien profonds, les deux mains qui tirent ses hanches vers moi. Je relâche enfin mon étreinte et me retire, un flot de nos sécrétions se déverse alors sur le bord du canapé, merde…
Camille avait gagné cette manche car nous sommes finalement restés tout le week-end chez elle, mais quelle baise… Pour la prochaine fois, vous en saurez peut-être un peu plus après un autre coup de sang de Camille, en attendant j’espère que vous voir raconter des souvenirs similaire en commentaire !
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