Contrôle de tension incontrôlé !

Je pensais faire de la tension. Pour y voir plus clair, je me suis rendu à la pharmacie de mon quartier. Je connais bien la patronne, Constance. elle fera elle-même le contrôle. Se réfugiant sous des airs hautains qui pouvait paraître hautains, Constance se révélait être une femme volcanique ! Bonne lecture

Proposée le 4/01/2021 par sorggulp

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

Depuis quelques jours, je ressentais des vertiges surtout lorsque je passais de la position horizontale à celle verticale. De passage à la pharmacie du quartier, j’en profitais pour parler de mon problème à Constance, la patronne des lieux.

Nous nous connaissions depuis de nombreuses années, partageant la même responsabilité, à savoir diriger une entreprise. Elle devait avoir la cinquantaine comme moi, toujours habillée de façon très chic avec la petite touche sexy qui va avec. En l’occurrence, elle portait une jupe de coupe stricte descendant au-dessous du genou, un chemisier blanc classique toutefois suffisamment échancré pour laisser deviner une belle poitrine.

Malgré tout, j’avais remarqué depuis longtemps son grand sourire lorsqu’elle m’apercevait dans l’entrée de l’officine. D’ailleurs, elle ne se privait pas de me faire venir à sa caisse alors que d’autres employés étaient disponibles. Nous discutions alors invariablement des dernières actualités et des difficultés rencontrées dans le monde de l’entreprise. Bref, nous nous apprécions mutuellement.

Je la fixais volontairement ce à quoi elle répondait par un regard particulièrement appuyé derrière des lunettes qui la rendait encore plus séduisante.

Lui ayant fait un rapide descriptif de mes soucis, Constance me demanda de la suivre dans une petite pièce attenante à la pharmacie. Tout en lui emboitant le pas, je laissais mon regard parcourir les courbes de son corps de femme sûre de sa personne. Sa démarche était celle d’une femme connaissant parfaitement ses atouts. Je pouvais discrètement admirer le galbe parfait de ses cuisses et de ses fesses sous la jupe juste moulante pour ne pas paraitre vulgaire. La petite veste de ville cintrée à la taille soulignait parfaitement la finesse de celle-ci. Constance était coiffée de manière très classique à savoir une coupe courte laissait apparaitre un cou d’une finesse cristalline. Ses cheveux bouclés poivre et sel finissaient de lui donner cet air de femme maitrisant parfaitement son environnement.

Elle me demandait de prendre place sur une des deux chaises disponibles dans la pièce. Tandis qu’elle cherchait un tensiomètre sur une étagère située sur le mur en face, je pouvais une nouvelle fois apprécier le galbe parfait de ses seins prisonniers d’un soutien-gorge de dentelle bleu ciel sous le chemisier involontairement tendu par le mouvement de son bras.
Ayant trouvé l’appareil, elle prit place à mes côtés sur la chaise libre. Je remarquais à cette occasion ses jambes gainées de soie noire. Mon genou gauche frôlait le sien régulièrement du fait de notre position pour effectuer les mesures. Elle me demanda de retirer mon pull afin de libérer mon avant-bras gauche. Elle prit ma main pour m’indiquer la hauteur à laquelle je devais maintenir mon bras. Au contact de ses doigts, je sentis un frisson me parcourir tout le corps. Nous continuions à discuter de tout et de rien tandis qu’elle faisait coulisser l’appareil autour de mon poignet. Mes doigts se trouvaient à quelques centimètres de sa poitrine. Il aurait suffi que je tende les doigts pour effleurer le tissus de son chemisier. Evidemment, la situation m’émoustillait de plus en plus d’autant plus que Constance semblait parfaitement ignorer la présence de ma main. Tout en parlant, je regardais Constance dans les yeux. Je la trouvais encore plus séduisante que jamais. Peu était-ce dû au fait que nous étions seuls dans cette pièce silencieuse ?
L’appareil comprimait mon poignet puis émit un bip aigu.
« Zut ! cela n’a pas bien fonctionné, je serais étonnée que vous ayez 35 de tension ! » dit Constance en regardant les chiffres inscrits sur l’écran de l’appareil.
« C’est votre présence qui me perturbe » répondis-je en la regardant de nouveau droit dans les yeux ?
« Cela fait bien longtemps que je ne fais plus autant d’effet aux hommes » me répondit Constance tandis qu’elle replaçait l’appareil.
Son chemiser était légèrement entrouvert me laissant de nouveau apercevoir sa poitrine.
Constance recommença l’opération tenant ma main dans la sienne pour être certaine que je reste à la bonne hauteur. La chaleur de sa main se répandait dans la mienne me troublant de plus en plus.
Alors que l’appareil me comprimait de nouveau le poignet, la sonnerie d’un téléphone portable se fit entendre. Sortant l’appareil de sa veste, Constance décrocha.
Semblant ignorer son geste , elle accompagna ma main pour la poser sur son genou gauche. Je restais ainsi immobile quelques secondes tandis que Constance répondait à son interlocuteur.
La douceur troublante de la soie me tétanisait la main. J’osais pourtant déplacer légèrement les doigts. Constance me laissait faire, semblant ignorer la présence de mes doigts.
J’ accentuais les mouvements de façon plus prononcée. Pas de réaction.
La douceur de ses bas me donnait rapidement envie d’aller plus loin. Mes doigts remontaient progressivement sur l’intérieur de sa cuisse gauche pour se retrouver rapidement à l’orée de la jupe sombre.
C’est alors que Constance m’encouragea silencieusement en écartant imperceptiblement les cuisses sans pour autant cesser sa conversation téléphonique. J’avais parfaitement compris le message. Plaquant complètement ma main sur l’intérieur de sa cuisse, je remontais sur celle-ci. Mes doigts arrivèrent sur le rebord du bas puis sur la partie dénudée de sa cuisse. Elle était d’une douceur incroyable,.
Ma main avait involontairement remonté sa jupe m’offrant une vue parfaite sur le porte-jarretelle et le string de dentelle bleu clair.
Mes doigts parcouraient le petit triangle de tissus puis glissaient sur la fente formée par les grosses lèvres gorgées d’excitation.
Je croisais son regard lisant dans celui-ci une impatience évidente.
Mes doigts se glissèrent sous le string pour plonger entre les lèvres trempées de nectar . Je la pénétrais alors lentement avec deux doigts. Constance ferma les yeux en avançant le bassin sur la chaise. Retirant les doigts de sa chatte, je les portais à ma bouche.
Constance m’observait d’un air regard fiévreux, écartant fréquemment son téléphone du visage afin de dissimuler sa respiration.
Tout accéléra d’un seul coup. Je me plaçais a quatre pattes entre ses cuisses et plongeait mon visage entre celles-ci.
Ecartant sur le côté le string, je découvrais son pubis recouvert d’un fin duvet de poils bruns dissimulant à peine les grosses lèvres boursoufflées d’excitation; Ecartant délicatement des doigts celles-ci, je léchais la fente dégoulinante d’excitation sur toute la longueur. Je m’arrêtais sur le haut de celles-ci pour mordiller le clito dressé. L’odeur de sa chatte me rendait fou. J’arrachais presque son string en le tirant vers ses chevilles pour le faire disparaitre dans ma poche de chemise.
Constance mit alors précipitamment fin à la conversation juste avant de jouir dans ma bouche. Elle se mordit la main en poussant un long cri afin de ne pas éveiller les soupçons derrière la porte fermée.
Elle me fit relever, baissa mon pantalon et engloutit ma queue toute heureuse de se sortir de sa prion de tissus trop exiguë.
Les cheveux en bataille, la jupe remontée sur ses cuisses gainées de bas et sa chatte béante m’excitait au plus haut point. Je pilonnais sa bouche à coup de bite sans faire attention à son rouge à lèvres qui maquillait ma queue.
Constance se redressa et se plaça dos à moi en s’appuyant sur le rebord de la table. Elle releva sa jupe et me présenta sa croupe.
Je posais le gland à l’entrée de sa grotte brulante puis la pénétrais d’un seul coup jusqu’à la garde lui arrachant un petit cri de surprise.
Glissant les mains sous son chemisier, je libérais ses seins de leur prison. Ils se balançaient librement à chaque mouvement de pénétration. Ma queue glissait comme dans un fourreau de soie dans sa chatte. Constance glissa une main entre ses cuisses pour me caresser les couilles.
Le point de non-retour fut rapidement atteint. Je déversais toute ma semence au plus profond de sa matrice.
« Quelle garce ! » pensais-je en fermant les yeux sous la violence de la jouissance.
Je n’étais pas encore au bout de mes surprises lorsque je vis Constance me faire face pour ensuite lécher consciencieusement ma queue afin de recueillir les dernières gouttes de semence perlant au bout de celle-ci.
Nous reprîmes rapidement nos esprits tout en remettant de l’ordre dans nos tenues.
Le "contrôle" n'avait pas duré plus de 10 minutes.
« Je trouve que vous avez un peu trop de tension. Je vais vous prescrire un traitement puis vous reviendrez me voir la semaine prochaine pour un autre contrôle » me dit-elle en ouvrant la porte du local.
De retour dans la pharmacie, elle me salua de façon très formelle.
Seule sa coiffure était peut-être légèrement moins maitrisée que d’habitude.
Je sortais de la pharmacie en malaxant la petite boule de tissu enfouie au fond de ma poche.

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