De soubrette a vide couilles. 2 et fin.

Claire après m'avoir féminiser m'entraîne dans une vie de plus en plus débridée. Jesuis son jouet sexuel et profitons de la liberté sexuelle des années 80.

Proposée le 3/04/2023 par Sucette

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Thème: Homme soumis
Personnages: Groupes
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Après les expériences des cinémas pornos, nous avons découvert les joies du minitel rose. Je passe sur les expériences malheureuses, fantasmeurs, lapins et autres ratages.
Il faut dire que notre recherche était précise : Nous voulions des couples où madame aime les femmes masculines et qu'elle apprécie que son homme soit viril et bisexuel.
Au fil des mois, habitant toujours la région parisienne, nous nous sommes constitués un bon réseau libertin sortant en boîte échangiste et en sorties privées. Nous recevions aussi quelquefois.
Dans ce cas là, j'étais habillé en soubrette, ma verge encag?e libre sous ma jupette, le torse nu ou simplement vêtue d'une simple résille ce qui excitait mes seins. Je servais les apéritifs et les mises en bouche puis je restais en retrait agenouill? sur mon coussin.
Parfois on me donnait un toast à manger et je devais lécher les doigts, parfois je devais lécher un toast tombé au sol avec ma langue et mes doigts sous les commentaires grivois des invités. : "tu as bien dressé ta petite chienne, elle lèche bien ta petite salope, il suce bien, on va se régaler "...
Cela m'?moustillait et ma verge était à l'étroit ce qui me faisait souffrir. Ensuite je devais servir et débarrasser mais aussi répondre aux besoins des invités. Claire adorait que je lui masse les pieds puis que je les embrasse et les lèche.
La soirée continuait par des jeux sexuels style stip poker hard ou action vérité pour adultes consentants. Ou bien encore backroom musical. J'étais à la disposition de tous, stimulant, léchant ou recevant leur jouissance.
Claire adorait de me voir être sodomisé virilement pendant que ma bouche s'activait sur son sexe pendant qu'elle même gamahuchait son invité.
Nous fréquentations aussi le Cap mais elle aimait surtout m'exhiber.
Nous allions sur un parking fréquenté par les échangistes où elle laissait les veilleuses et le plafonnier allumés, moi en nuisette, la portière ouverte, elle en homme en retrait. Des hommes approchaient, certains restaient interdits devant ma cage, d'autres au contraire devenaient plus brutaux s' enfonçant dans ma gorge, me labourant les mâchoires, me retournant comme une crêpe pour me sodomiser sans préparation. Claire intervenait pour imposer le préservatif.
J'adorais ces saillies.
Elle aimait aussi me promener dans les bois.
Elle s'asseyait sur un souche et je devais la lécher avec application à genoux, les reins cambrés, mon anus bien visible prêt à la saillie, les hommes approchaient, se masturbant, elle leur montrait un préservatif et sur un écriteau, elle avait marqué : garage à bites. Quand elle avait jouit, on levait le camp. Une fois elle etait accroupie sur mon visage et me tenais les jambes offrant mon anus. Elle m'a alors uriné dessus.

Nous pratiquions aussi le nudisme ce qui m'obligeait à porter un string pour cacher ma cage comme si j'étais indispos? avec une serviette, ma poitrine faisant illusion.

Mais tout cela a une fin et en approchant la quarantaine, Claire s'est lassée.

Elle voulait passer â autre chose et nous avons divorcé.

Elle ma cédé à un viel industriel homosexuel. Je suis devenu son majordome, son confident et son amant. Mon avenir était assuré et Claire a disparu de ma vie.

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