Claire est une soumise maintenant. Difficile de le nier quand on est tenue en laisse par un homme. Il est temps d'apprendre ce que ça implique. Par la douleur. Et surtout par le plaisir
Proposée le 3/03/2023 par Dominancy540
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
La bestialité qu'elle lut dans son regard une fois le collier attaché à son cou aurait du lui faire peur. Mais ce fut l'inverse qui se produisit à sa plus grande surprise. Dans sa tête ne flottait qu'une seule pensée « Baise moi comme une pute.... »
« Ne bouges pas » l'entendit elle dire. Puis il fit demi tour et se rendit dans sa chambre. Il revint avec une laisse.
« Plus de doutes, je suis une chienne maintenant » se dit elle.
Il accrocha la laisse et tira dessus pour la faire avancer. Sans hésiter, elle se mit à 4 pattes et elle suivit le mouvement. Jusqu'à sa chambre à lui.
Elle découvrit une pièce assez grande, joliment meublée. Et un grand, un immense lit, qui tronait au milieu de la pièce. Il a regarda, tira sur la laisse pour la redresser à genoux et prit la parole.
« Tant que tu as ce collier, ton avis ne m'intéresse pas. Quand tu ne le portes pas, tu es une femme et tu seras traitée comme une femme doit l'être par un homme bien éduqué. Mais quand tu le portes, tu n'es qu'une chienne, un morceaux de viande. Avec ce collier tu es ma soumise et rien d'autre. Tu obéis quoi que je demande. Et jamais, absolument jamais, tu ne dis « non ». C'est compris ? »
« Oui »
La gifle qui suivit la surprit totalement. Elle ne l'avait pas vu venir et bien qu'il ne lui ai pas décroché la tête, il n'avait pas fait semblant non plus.
« Oui qui ? »
Elle hésita avant de répondre « Oui Monsieur »
« Voilà. C'est mieux »
Il avança de nouveau et alla s'assoir sur le lit. Puis il tira sur la laisse de manière à ce qu'elle vienne s'allonger à plat ventre en travers de ses cuisses, ses fesses bien mise en évidence. Elle savait ce qui l'attendait : une fessée. Ca ne lui faisait pas peur là encore. Elle en avait déjà reçue et elle s'était toujours demandée ce que ça donnerait avec un male dominant.Elle s'appuya sur les coudes pour cambrer son dos et lui offrir la plus belle vue et la plus belle cible possible.
Puis il commença, claquant ses fesses à pleines mains, alternant une fesse puis l'autre. Là encore, il ne faisait pas semblant mais ça n'était pas purement violent non plus. Rapidement, elle sentit ses fesses chauffer. Elle ne pouvait pas les voir mais elle se doutait qu'elles étaient bien rouges. Il ne s'arrêta pas pour autant et il finit par lui arracher quelques cris.
Cela sembla lui suffir. Il s'arrêta à ses quelques gémissements de douleurs. Une larme était venue au coin de son œil. Elle distingua sa main fouillant dans la table de chevet et elle le vit sortir quelque chose. Un pot.
Rapidement, elle le sentit étaler ce qui devait être une crème sur sa peau meurtrie. Et la douleur s'estompa immédiatement, laissant place à une vague de fraicheur très agréable. Une fois la crème étalée et avalée par sa peau il lui dit :
« Allez à genoux maintenant. Et rappelle moi que tu es une bonne suceuse »
Elle ne se fit pas prier et en quelques secondes, elle fut à genoux entre ses jambes et elle sortit sa queue. Sa belle grosse queue qui lui faisait envie.
Elle ne perdit pas de temps à jouer. Quelques coups de langue et elle l'enfourna dans sa bouche. Mon dieu, qu'est ce que cette grosse bite lui plaisait et l'excitait. Elle la sentait dure, tressaillant sous ses lèvres. Elle allait et venait dessus, empalant sa bouche aussi profondément qu'elle le pouvait.
Elle sentit sa main venir attraper ses cheveux derrière sa nuque comme pour une queue de cheval. Cette sensation, cette main la fit frémir. Inutile de vérifier, elle était déjà trempée, la douleur de ses fesses était oubliée. Elle voulait sentir cette queue en elle et savoir que ce male la baisait.
Il soupirait de plaisir sous la langue puis il dit :
« On t'as déjà enculé ? »
« Aïe » se dit elle... « va falloir y passer ». Elle le regarda et répondit « Non Monsieur »
Elle le vit sourire avant de replonger son sexe dans sa bouche.
« Bon, je m'occuperai d'ouvrir ton cul plus tard alors.... » puis il tira sur ses cheveux et la força à reculer sa tête. Et en la tenant comme ça, il la jeta sur le lit.
« Ouvres les cuisses petite chienne »
Elle obéit sans cacher son sourire pendant qu'il finissait de se déshabiller.
Rapidement, il fut entre ses cuisses ouvertes. Il la regarda dans les yeux, agrippa ses cuisses et du plus violent coup de rein qu'elle n'eut jamais connu, il plongea sa queue dans son ventre. Elle était trempée donc il glissa tout seul. Mais ça avait été tellement violent qu'il serait rentré même si ça n'avait pas été le cas.
Elle hurla autant de plaisir que de douleurs sous ce coup de bite. Il sourit, mis une main sur sa gorge et l'autre sur un de ses seins et il commença à la limer.
« T'es vraiment une pute.... MA pute »
Elle lui sourit en répondant « Oui Monsieur »
« On t'as déjà giclé dans la chatte ? »
« Non Monsieur » lacha t'elle entre deux gémissements. Il la baisait tellement bestialement qu'elle avait du mal à se concentrer. Son plaisir et les sensations physiques qu'elle ressentait prenaient le dessus sur tout.
« Tant mieux alors.... »
Et à peine deux minutes après être entré en elle, il se vida dans sa chatte. Un gros flot de sperme vint remplir son ventre. Ce qui déclencha son orgasme à elle. Cette sensation de jus la remplissant lui fit exploser les entrailles et elle hurla son plaisir en même temps que lui.
Il finit de se vider en elle dans des coups de reins désordonnés. Puis il sortit et s'écroula à côté d'elle. Il prit quelques instants pour reprendre son souffle et il l'attrapa par sa laisse.
« Suces moi et nettoye ma bite »
Elle mit quelques secondes à se mettre en action tellement son orgasme avait retourné son cerveau mais elle finit par enfourner sa bite encore bien dure entre ses lèvres. Le goût de sa bite mêlé au goût du sperme, au goût de sa chatte... tout ça était nouveau pour elle. Et assez agréable. Le goût du plaisir bestial se dit elle.
« A partir de maintenant, quel le l'endroit où j'ai giclé, tu viendras me sucer après chaque giclée pour me nettoyer la bite. Cette régle n'a aucune exception. Tu as compris ? »
Elle mit en pause son nettoyage pour lui répondre « Oui Monsieur » et elle y retourna. Sa bite ne semblait pas vouloir ramollir et elle le dégustait avec plaisir, comme une glace lors d'une journée d'été caniculaire.
Il la fit arrêter peu après et elle vint s'allonger à côté de lui. Et elle fut surprise de le voir s'approcher d'elle. Et encore plus quand il l'embrassa tendrement....
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