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Les grandes premières (3)

Chloé n'a pas finit de découvrir de nouveaux plaisirs. Et quel plaisir! Elle progresse dans sa soumission et elle fait tout pour se montrer à la hauteur de ce que son Maître lui offre comme découvertes.

Proposée le 21/01/2018 par Maitreetsoumise

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Elle sentait sa queue bien raide contre son ventre. Il l'embrassait, elle était allongée sur son lit, les mains attachées dans le dos, nue. Elle essayait de reprendre ses esprits après ces orgasmes démentiels. Le fait de sentir ses mains qui jouaient avec ces deux gros seins, les caressaient, les malaxaient, ne l'aidait pas.

Elle eut presque un soupir de soulagement quand il lâcha son baiser et laissa ses seins tranquilles. Elle en voulait encore plus mais elle avait besoin de quelques secondes pour se reprendre. Quand il l'attrapa par les épaules pour la retourner violemment sur le ventre elle fut très surprise. Elle ne savait pas comment interpréter ça.

Elle était à plat ventre, ses deux seins écrasés contre la matelas, ses mains dans son dos. Elle le vit attraper un oreiller et il souleva ses hanches comme on soulève une plume pour lui placer sous le bassin. Son petit cul était gentiment surélevé. Il allait la prendre comme ça, elle en était sure. Et elle n'attendait que ça. La sensation de sa grosse queue prenant sa petite chatte, la baisant, la faisant jouir encore et encore.

Il vint se placer à cheval au dessus de son petit cul et elle sentit sa queue raide, dure comme du béton, sur ses fesses. Elle attendait en fermant les yeux qu'il place son gland contre sa chatte qu'elle savait trempée et qu'il la perfore d'un coup de rein.

Aussi fut elle très surprise quand elle le sentit écarter ses petites fesses à pleine main et les ouvrir. Elle ne comprit vraiment pas jusqu'au moment où elle sentit une petite fraîcheur sur son anus. Il venait d'y déposer une noix de gel lubrifiant et elle le comprit. Elle réalisa alors qu'à la place de sa chatte, il allait prendre son cul.

Il allait dépuceler son anus ! Dépuceler son cul avec sa queue énorme ! Elle essayait de digérer cette information tout en sentant son doigt étaler le lubrifiant et sa première phalange entrer en elle. Cette préparation ne dura que peu de temps et elle sentit son gland contre son anus serré très vite.

Elle ne dit rien. Elle ne savait pas quoi dire. Elle lui avait concédé ce droit et elle le savait. Elle appréhendait une douleur qu'elle savait certaine mais une certaine partie d'elle avait juste envie de lui crier « vas y défonce moi le cul ! ». Elle se contenta de fermer les yeux et de serrer les dents. Elle allait le laisser faire et quoi qu'il arrive elle ne fera rien pour l'arrêter.

Elle essayait de se motiver pour tenir le choc quand son gland commença a pousser contre son anus serré et vierge. Il poussait sans a coups mais de manière ferme et puissante. Elle sentit son anus s'élargir. Elle ne put retenir un petit cri. Mais quoi qu'il arrive, elle se jura de ne pas lui demander d'arrêter. Il continua sa poussée et son gland finit par glisser en elle.

Elle échappa un autre cri mais elle eut aussi une sensation de soulagement quand son anus se referma juste derrière son gland très épais. Il resta un petit moment comme ça, sans aller plus loin, se contentant de micro mouvement. Elle sentait qu'elle commençait à s'habituer. Puis il repris sa poussée. Il avança doucement mais sûrement en elle.

Cette sensation de l'entrée en elle, par cet orifice si serré, cette impression qu'il l'ouvrait en deux, tout en sachant que ce n'était pas le cas, était d'une puissance folle. Elle se sentait soumise, vraiment soumise. Là elle était une chienne plus aucun doute. Il poussa jusqu'à un point qu'elle ignorait. Elle ne savait pas si il était entier en elle. Ça faisait déjà plusieurs centimètres qu'elle était persuadé qu'il était au bout.

En fait, il y était à peine plus qu'à la moitié. Il décida de ne pas aller plus loin aujourd'hui. Il était très fier d'elle. Il savait que c'était dur pour elle, il la voyait se crisper, il l'entendait échapper plus de gémissements qu'elle n'en était consciente. Mais elle tenait, elle ne disait rien. Elle le laissait faire. Il était temps de lui apprendre le plaisir spécifique de la sodomie.

Il commença ses doux vas et vient. Il allait et venait dans son cul doucement. Ses gémissements furent rapidement remplacé par des halètements. Il entendit même un peu de plaisir.
Elle sentait sa queue remplir son cul et coulisser à l'intérieur. Elle avait mal, elle ne pouvait pas le nier. Mais il n'y avait pas que ça. Elle sentait qu'il la prenait. Elle était prise, possédée. Ni plus ni moins. Et cette idée lui procurait un plaisir certains, qu'elle ne pouvait pas nier. Elle aimait ça mais ce plaisir se trouvait plus dans sa tête que dans son corps.

Quand il l'agrippa par les cheveux et lui tira la tête en arrière, ce fut encore pire. Elle était une traînée là elle le savait. Et elle aimait ça. Elle l'entendit le traiter de petite chienne, de salope, de petite pute. Il lui demanda si elle aimait ça et elle lui répondit oui dans un souffle entre deux gémissements. Il l'obligea à le répéter plus fort, ce qu'elle fit.

Il lui défonçait littéralement le cul maintenant. Elle le sentait animal, bestial. Il la baisait par le cul et elle adorait le sentir dans cet état. Savoir qu'elle était sa chienne, savoir qu'il avait le droit de lui faire ce qu'il voulait et qu'en plus de ça elle aimait ça.
Elle se faisait limer depuis plusieurs minutes comme une vulgaire traînée quand cet orgasme si spécial, cet orgasme qui n'était que dans sa tête, la surprit. Elle cria comme une vraie salope et il le vit, ce qui ne fit que redoubler son excitation et la force de ses coups de reins. Elle venait juste de finir de jouir quand il sortit de son cul.

Il la retourna violemment sur le dos et se branla sur son visage quelques instants avant de lui gicler en pleine face et de la recouvrir de sperme du menton au front en plusieurs jets puissants. Elle le regardait quand il gicla et elle adora voir son plaisir sur son visage, lire la bestialité dans ses yeux. Elle voyait qu'à cet instant là elle n'était qu'une pute, une chienne, une soumise, SA soumise à cet instant. Et voir qu'elle était la seule responsable de son état maintint son excitation.

Après l'avoir bien barbouillé de sperme il se laissa tomber à côté d'elle. Ils restèrent silencieux tout les deux, reprenant leur souffle et leurs esprits. Puis il l'attrapa par les cheveux et la releva de force. Elle était debout et il passa dans son dos. Il lui retira ses menottes et revint devant elle.

« C'est tout pour aujourd'hui Chloé ». Il lui retira ensuite son collier.
Elle était à la fois satisfaite de cette partie de baise intense et bestiale et déçue que ça s'arrête aussi tôt. Elle ne dit rien quand il lui tendit ses vêtements. Avant qu'elle n'enfile sa robe, il ramassa le sperme sur son visage avec ses doigts et les lui fit lécher. Ce qu'elle fit avec délectation, espérant avoir du rab si elle le chauffait à nouveau. En vain.

« Tu fais quoi demain ? »
« J'ai cours toute la matinée et ensuite jusqu'à 15 heures Monsieur »
« Parfait. Tu seras donc ici pour 15h15 »
Elle calcula dans sa tête que c'était jouable mais qu'elle ne devrait pas traîner.
« Tu viendras dans la même robe qu'aujourd'hui. Mais sans rien en dessous, ni soutif, ni string »

Elle réalisa qu'elle n'avait pas le temps de rentrer chez elle à midi donc elle allait devoir passer la journée dans cette tenue, aller en cours comme ça et tout et tout. Elle faillit paniquer mais se reprit et lui dit juste
« Bien Monsieur ».

Après un baiser passionné elle sortit de chez lui, encore toute émoustillée et toute chaude, pleine de sensation contradictoire et d'envie d'être au lendemain...

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Commentaires de l'histoire :

Victor
Il n'y a que dans le rectum qu'une femme est vraiment prise et soumise. Fière d'avoir mal au cul et que son mâle se soit bien vidé.
Posté le 21/12/2018

Anna
Grande adepte de sodomie, je partage pleinement le plaisir de la petite Chloé.
Posté le 7/02/2018


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