Suite de notre première entrevue dans cet hôtel où je découvris que Samia, mon élève de droit beurette de 18 ans, était une escorte pour payer ses études, sur laquelle j'avais fantasmée des mois avant d'en découvrir le corps de putain ce jour-là, à ma plus grande et merveilleuse surprise....
Proposée le 1/03/2023 par professeur-gasperic
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Elle était donc là, à ma portée, agenouillée à mes pieds, le visage dégoulinant de mon foutre. Comme un rêve, presque trop fou pour y croire. Elle ne bougea pas à mon injonction, comme prise d’une stupeur qui l’avait paralysée, celle d’avoir été dépucelée de cette forme-là.
« Tu seras ma pute maintenant », lançai-je dans un râle pendant que j’égouttais les dernières gouttes de sperme sur son magnifique minois.
Elle n’enleva pas son voile comme je venais de lui ordonner, mais se leva, comme une automate, et s’assit sur le rebord du lit, le dos tourné à moi. Je pouvais voir le profil de ses tétons parfaits. Je venais de gicler sur son visage et elle ne s’essuyait pas. Tout mon corps me criait d’y retourner. De punir de nouveau cette femelle conçue pour le plaisir.
Je m’allongea sur le lit et décida que je souhaitais en profiter davantage. J’avais rêvé pendant si longtemps de voir son corps, de la toucher, la posséder.
« Essuie toi le visage. Tu vas me sucer avant que je rentre chez moi. Au boulot », lui ordonnai-je. « Et tu m’enlèves ton voile, je veux te voir plus pute que jamais, en pleine action de ce pourquoi tu sers ».
Elle tourna sa tête, et sans un mot, enleva son voile, laissant apparaître un chignon qu’elle dénoua, et qui devint une cascade de cheveux qui lui arrivait aux reins.
Toujours en silence, elle s’approcha de moi sur le lit.
« Je veux tes mamelons dans ma bouche d’abord », lui dis-je avant qu’elle ne commence quoique ce soit.
Silencieuse, obéissante, docile, elle s’assit sur moi, et, tenant son sein droit avec sa main gauche, me le mit en bouche, qui s’en saisit brutalement pour commencer à le sucer. C’était un délice. Téter ma putain arabe. Mon esclave sexuelle. Une beauté de 18 ans.
Je tétai jusqu’à laisser une marque de suçon sur son mamelon, avant de la prendre par les cheveux, et approcher son visage du mien. Elle était la perfection absolue. Une peau sans un seul défaut, des lèvres charnues de putain, un petit nez retroussé, des dents blanches et alignées. Je pouvais lire sur son visage qu’elle était intimidée, alors que je la contrôlais par la chevelure. Je l’embrassai sans qu’elle ne semble me rendre la même fougue, ce qui m’énerva. Je redoublai de langue dans sa bouche.
« Suce-moi, salope ».
Alors elle descendit, tout doucement, jusqu’à ma bite, et ses lèvres délicieuses se posèrent sur mon gland. Etrangement, elle me regardait fixement, déterminée, comme résignée à la soumission que je lui imposais. J’enfonçai avec mes mains sa tête pour qu’elle prenne tout mon sexe en bouche, et lui coupa la respiration par le nez, quelques secondes, de quoi la soumettre. Les va-et-viens auxquels elle s’adonna me rendirent fou très vite, et je sentis très vite que j’allais jouir de nouveau.
« Prépare toi, salope. Je vais tout te faire avaler. N’en perds pas une goutte. Sale kharba ! Dis oui à ton maître !
- Oui Monsieur Gaspéric…
- Oui quoi ?
- Oui… Je vais avaler tout votre sperme chaud… »
A ces mots je lui enfonçai mon sexe au fond de sa gorge et lâchai mes dernières gorgées de jus, voulant l’étouffer avec. Je me vidai avec une intensité que je n’avais jamais vécu. En sortant mon sexe de sa bouche, je vis ses larmes couler sur ses petites joues. Je la relevai, giflai une fois, cracha sur son visage et suça une dernière fois ses tétons.
« Voilà. Tu es ma pute adoubée maintenant. Tu auras des bonnes notes si tu continues à être sage. »
Je me rhabillai sans dire mot, et sortis de la chambre pour regagner mon domicile, la laissant seule avec sa puterie.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Petasse bonne a sucer
Posté le 30/08/2023
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email