Samia, ma pute arabe PARTIE 1

Professeur de fac de droit à la retraite, je raconte ici comment Samia, la beurette de 18 ans voilée en première année de droit, est devenue une obsession pour moi à un moment de ma vie. Une vraie beauté maghrébine qui s'est avéré être une vraie salope...

Proposée le 19/06/2022 par professeur-gasperic

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Tous les élements de cette histoire sont vrais et advenus il y a quelques mois à peine au moment de l'écriture de ce texte. Samia ce n'est pas seulement la grosse pute dont j'ai toujours rêvé, elle a surtout incarné mon fantasme le plus interdit. Elle m'a offert l'impensable. Une beurette de 18 ans voilée, à peine sortie du lycée, soumise, et suceuse née. Le rêve de tout homme. Samia, ma beauté... Ma pute arabe...

Samia était mon élève en première année de droit. J'entamais ma dernière année de carrière universitaire de professeur, à l'âge de 63 ans. J'étais un professeur à la carrière de recherche intéressante, qui donnait plusieurs cours dans diverses facultés. J'avais Samia inscrite à mon cours sur le droit des femmes. Elle, tout juste 18 ans, venait de sortir du lycée à notre rencontre. Je l'ai tout de suite remarquée à son arrivée dans l'amphi, car elle était voilée, et elle s'est mise au premier rang le jour de la rentrée. J'ai été stupéfait par la beauté de son visage, qui était assez frappante: une face de poupée, avec des lèvres pulpeuses et sensuelles, qui n'invitaient qu'à se faire utiliser, des pommettes comme des petites pommes, une peau caramel sublime, un petit nez retroussé, des yeux entre le vert et l'ambre sublimés par un petit trait d'eye liner qui lui donnait une allure de chat. La plus belle beurette que je n'avais vue de ma vie. Ce jour là elle portait une ayaba qui me fit bondir silencieusement. Comment était-il possible de cacher autant de beauté au monde? Je voulais soudain tout voir de cette fille, son cou, sa poitrine, son cul de salope du Maghreb... J'étais frustré, soudain en colère, qu'elle me dissimule tout cela en s'asseyant au premier rang de mon cours. C'était si frustrant...

Très vite, Samia s'est révélée être une élève brillante. La meilleure, d'ailleurs. Elle était en plus très charismatique, une lumière irradiait d'elle, et quand elle parlait toute la classe la regardait comme hypnotisée. Sa beauté subjuguait. J'imaginais qu'elle devait être le fantasme interdit de tous les garçons de sa promo. L'inaccessible beauté. On avait envie de lui arracher ce voile et d'admirer cette dite beauté dans son entièreté. Plus le temps passait, plus j'avais envie de cette fille. J'essayais de me raisonner en me disant qu'elle avait 45 ans de moins que moi, qu'elle était musulmane et voilée et très certainement vierge, que j'étais son professeur, mais rien n'y faisait: je rêvais de Samia tous les soirs, j'avais envie qu'elle soit à moi, de la soumettre, de la réduire à néant avec mon sexe dans sa gorge, de la faire jouir comme aucun autre homme ne lui ferait jamais l'amour, de savoir quel goût avaient ces seins qu'elle cachait derrière des torchons. A la maison avec ma femme c'était compliqué: j'aurais tout donné pour qu'elle soit Samia rien qu'un soir. Sa beauté insolente m'inspirait un désir si fort qu'il était proche de la haine. Je voulais l'attacher, l'entendre pleurer pendant que je la pénètre. Mon cerveau me portait loin...

Le temps passait et j'avais de plus en plus envie d'elle. Dans le passé, j'avais déjà eu des obsessions avec des petites minettes de 18 ans de première année comme la petite Juliette, il y a six ans, 18 ans, petite blonde dont les petits seins juteux en poire me faisaient bander en plein cours, mais rien de comparable avec Samia. Samia était au dessus de toutes.

Ma femme ayant mon âge, il était difficile de fermer les yeux en malaxant ses seins et imaginer les mamelles de Samia que j'imaginais fermes et doux.. Je décidai donc pour assouvir ma frustration de me tourner vers Internet et un site proposant des annonces d'escorting. Je suis alors tombée sur une annonce qui m'a semblé être un signe du destin tant elle était parfaite:
"Salope musulmane voilée propose expérience inoubliable: dominez une femme voilée experte en fellation nature. 1 h fell nature + sodomie + finition buccale ou sur mon hijab : 200 euros".

J'écrivis tout de suite au numéro. J'explique dans mes messages que je suis plutôt dominant et que j'aimerais assouvir un fantasme qui m'obsède, celui de dominer une femme voilée. La pute qui me répond est adorable, et nous convenons d'un rendez-vous. La gamine est très jeune, elle me dit qu'elle a moins de 20 ans mais m'assure qu'elle est majeure. Tant mieux.

Pour sublimer mon fantasme de soumission de beurette, je book un hôtel premier prix, un Formule 1 à l'entrée de l'autoroute. Je veux que mon expérience soit totale. La souiller dans un hôtel de pute.

Sur le chemin, je pense très fort à Samia. Je me dis alors que je vais l'imaginer toute la séance avec cette jeune putain. Ma Samia, ma salope rêvée...

Quel ne fut pas mon choc dévastateur, alors que j'ouvre la porte à ma pute, en bandant déjà, de voir Samia apparaître, voilée, vêtue d'une abaya rose, se figer en me voyant.

"-Monsieur Gasperic, je... dit-elle les larmes aux yeux.
- Rentre, Samia. Ne reste pas là sur le pas de la porte.Nous allons désamorcer cette situation au calme", lui dis-je en sentant mon coeur sortir de ma poitrine.

Je la fis rentrer en me liquéfiant. Je fermai la porte de la chambre avec le cerveau en ébullition, la queue plus dure que jamais.

En me retournant, Samia était sur le lit, tremblante, et les larmes coulaient sur ses joues. Je m'asseyai à côté d'elle.
"-Je fais cela pour payer mes études, Monsieur Gasperic... Et je n'offre pas mon sexe... que mon cul. Je n'offre que des services de sodomie, je vous le jure. Vous avez bien vu l'annonce de toute façon... commença-t-elle en pleurant.
- Oui j'ai vu Samia... J'ai vu... Je suis surpris que tu proposes de finir sur ton hijab cependant... Il ne compte pas pour toi?
- Si, bien sûr. Mais finir sur mon voile, on me le demande beaucoup... Je ne comprends pas pourquoi... vous comprenez vous?"
Je ne répondis pas mais hochai la tête avec un rictus qui disait ma gêne.
-... Je me suis toujours demandé par exemple ce qu'il y avait sous ta ayaba, Samia... Donc j'imagine que beaucoup d'hommes fantasment sur ce voile... Et d'autres veulent le soumettre et le souiller...
Elle rit, sans que je m'y attende.
- Vous souhaitez voir ce qu'il y a sous mon voile? Je vous montre si vous le souhaitez."
Mon coeur se mit à battre la chamade de nouveau. Je risquais l'infarctus.
Sans que je réponde, Samia enleva son ayaba. Je ne sus quoi dire lorsque je découvris qu'en dessous, elle n'avait rien. Pas de sous-vêtements, rien.

Ses gros seins étaient d'une rondeur parfaite, fermes, levés, sublimés par des gros mamelons de pute bruns, brillants, dressés. Son corps était la perfection incarnée. Son pubis était tout épilé comme les femmes arabes, à la cire au sucre, à l'exception faite de quelques poils qui semblaient très doux à l'entrée de sa petite chatte.
Tout était parfait, tout méritait d'être puni. Je tremblais en la regardant, et sentais que mes couilles allaient exploser...

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