Les conquêtes d'un Apollon - Catherine la MILF de boîte de nuit

Dans la séries des conquêtes d'un Apollon. Notre héro Paul est en dernière année d'école de commerce lorsqu'il rencontre en boîte de nuit une MILF Catherine avec qui il va connaitre une baise passionnée.

Proposée le 6/01/2023 par Rambaud007

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Roman

Durant ma dernière année d’école de commerce, alors que j’étais sorti en boîte de nuit avec des amis après un des nombreux After Work organisés par les Associations de mon école. On s’était rendu au fumoir avec mes potes car en boîte c’est le lieu idéal pour engager la conversation vue que c’est trop bruyant à l’intérieur.


C’est alors qu’une grande femme, mince, aux cheveux châtains et aux yeux verts, une clope entre les lèvres me tapota l’épaule. Avec un sourire de tombeur, j’ai sorti un briquet de ma poche et j’ai allumé sa cigarette puis la mienne. Nous nous sommes dévisagés durant de longues secondes tout en fumant, elle semblait avoir la quarantaine mais encore très excitante pour son âge. D’un seul regard cette crevure de Mathieu me fit comprendre que si je ne tentais pas quelque chose de lui laisser la place. Hors de question de lui laisser cette MILF donc :
- « Je peux me permettre de vous demander votre prénom ? » lançais-je pour débuter la conversation
- « Catherine »... me répondit-elle intimidée. Elle semblait réceptive à mon charme
- « Et vous dansez Catherine ? » lui demandai-je
- « Je ... » bredouillât-elle avant que je lui saisisse le bras pour l’entrainer sur la piste.


Sur la piste je me mis face à elle et j’ai empoigné ses hanches pour coller mon bassin au sien. Puis j’ai commencé à sensuellement onduler contre elle. Avec des mouvements très sensuels et suggestifs, j’ai tenté de lui faire comprendre mes envies. Bien qu’elle semble avoir 20 ans de plus que moi, elle était très bien conservée. Au début, je la sentais tirailler, mon coller serrer devait lui sembler totalement immorale, mais elle était complètement sous mon charme et elle s’est peu à peu laissée aller.


Quand je l’ai senti détendue et totalement sous mon emprise, je me suis rapproché et j’ai posé ma bouche sur la sienne. Elle a alors entrouvert ses lèvres donc j’en ai profité pour y glisser ma langue pour enserrer la sienne. J'ai entendu des rires et des sifflets, provenant d’un groupe de femmes qui sirotait des cocktails en nous observant, ce devait surement être son groupe de copines avec lesquels elle était venue. Elle a alors décollé la tête de mon visage et jeté un regard circulaire autour de nous. Je suivais son regard, elle semblait chercher un recoin où s'encanailler mais il n’y en avait pas. Puis son regard se posa sur les toilettes.


J’ai alors attrapé ma main, j’ai vérifié que personne ne nous observait, son groupe de copines ayant été accosté par d’autres mecs, je l’ai entraînée au fond de la discothèque. Les cabinets étaient mixtes, ce qui nous a facilité la tâche.
C'était tout sauf romantique, mais elle était terriblement excitée donc ça devait largement faire l’affaire. Une fois enfermés dans les WC, je l’ai plaqué contre la porte et nos bouches se sont retrouvées. C'était primaire, sauvage, sa cyprine dégoulinait le long de ses cuisses. Mes baisers sur sa nuque dans son cou semblaient l’exciter encore plus.
J’ai alors doucement glissé mes longs doigts sous sa jupe, ses collants et sa culotte pour explorer son intimité. Comme me le laissaient penser les étincelles dans ses yeux et la cyprine qui dégoulinait le long de ses cuisses. Elle mouillait abondamment et à peine eussé-je rentré mes doigts en elle que tous les muscles de son corps se sont tendus, se resserrant autour de mes doigts.
Je me suis donc mis à la caresser brutalement, mes deux doigts en elle étaient plié en crochet et mon pouce ondulait sur son clitoris. J’accompagnais ceci d’un mouvement de l’avant-bras pour bouger vite et fort. Elle semblait apprécier mais en vouloir plus.
- Baise-moi... me supplia-t-elle.
À cet instant, je savais que l’affaire était pliée. En quelques secondes son collant et sa culotte se sont retrouvés sur ses chevilles tout comme mon pantalon et mon boxer se sont retrouvés sur les miennes. J’ai baissé l'abattant de la cuvette et me suis assis dessus. Mon dard tendu la fit baver. J’ai empoigné ses hanches, je l'ai guidée sur moi et pour l’embrocher sur ma tige. Centimètre par centimètre mon instrument de plaisir s'est enfoncé dans son vagin brûlant de désir. C'était incroyable j’étais en maitrise totale de la situation. Mes mains la faisaient monter et descendre sur mon sexe, toujours de plus en plus vite, toujours de plus en plus fort. Elle en pleurait de plaisir. J’ai mis une main sur sa bouche car il ne m’a pas fallu longtemps pour lui faire atteindre l'orgasme au cours duquel tous ses muscles se crispèrent, ses yeux se révulsèrent de plaisir. Cette sensation de lui avoir procuré un orgasme aussi intense et le resserrement soudains de son vagin m’a fait éjaculer en gémissant son nom. J’ai relâché une importante décharge en elle. Mon sperme dégoulinait de son intimité.


Le plaisir a mis plusieurs minutes à se dissiper. Elle tremblait comme une feuille et semblait mettre du temps à récupérer du puissant orgasme qu’elle venait d’avoir.
Nous nous sommes rhabillés avant de nous quitter sans que l'un de nous n'ait pris le numéro de l'autre.

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