C'est son ami. Pour elle l'amitié signifie beaucoup. Mais ce soir ils ont été danser et leurs corps se sont rapprochés. Mais ce soir, elle veut laisser son désir s'exprimer.
Proposée le 21/03/2025 par Pluie
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
u;Elle entra en premier dans l’appartement et alla directement enlever ses talons ainsi que sa veste.
- Fais comme chez toi ! Comme d’habitude, lui cria-t-elle alors qu’elle arrivait dans le salon.
Elle l’entendit acquiescer de la cuisine et ouvrir les placards tandis qu’elle allumait les lampes dans le salon. Elle alla ensuite se positionner devant le bureau qui donnait sur la fenêtre, ferma les yeux et respira profondément. Tout s’était passé dans un tourbillon : la boîte, les regards, le trajet, sa décision de le faire monter. Elle essayait de faire sens à tout cela mais au final elle ne pensait qu’à une chose : elle avait eu envie de l’embrasser toute la soirée et elle avait aimé sentir la tension monter en elle à chaque fois que leurs regards s’étaient croisés.
Il était maintenant dans sa cuisine. Elle respira encore une fois et remarqua qu’elle avait très chaud malgré le fait qu’elle ne portait plus que sa courte robe. Alors qu’elle se passait la main sur le cou pour se masser afin de se détendre, le bruit d’un gobelet que l’on pose sur une surface en bois la surpris. Elle ouvrit soudainement les yeux et réalisa qu’il était arrivé juste derrière elle. Elle vit son reflet dans la fenêtre et observa sa tête baissée sur elle. Ils se tenaient très proches. Elle sentait sa présence tout près d’elle, sa respiration et son odeur. Son odeur. Elle en avait presque été enivré dans la boîte quand ils avaient dansé ensemble.
Elle se retourna pour lui faire face en butant presque contre son torse tellement il était près d’elle.
- J’ai pensé que tu aurais peut-être soif aussi, lui dit-il pour expliquer son geste
Il la regardait tellement intensément qu’elle ne sut quoi faire d’autre que hocher la tête. Elle se sentait comme hypnotisée. Elle ne pouvait décrocher son regard du sien que pour regarder ses lèvres. Aucun d’eux ne bougeait et ils ne se rapprochaient pas non plus. On aurait dit qu’aucun des deux ne savait si l’autre avait envie.
- Est-ce que …, commença-t-il
Elle sentit en même temps qu’il avait posé le bout de ses doigts sur l’extérieur de sa cuisse gauche et qu’il remontait doucement vers le bas de sa robe à sequins. Instantanément, une bulle d’excitation gonfla dans son bas ventre et elle sut qu’elle mouillait. Elle était tellement excitée en vérité, et en le réalisant elle se rendit compte que l’excitation montait depuis le début de la soirée, qu’elle avait mal à l’entrée du vagin.
- … je peux faire ça ?, fini-t-il
Elle était incapable de parler. Elle ne pouvait que le regarder. Tandis que sa main passait sous la robe, elle agrippa le bord du bureau avec sa main droite. Elle sentit que sa respiration s'alourdissait et que ses lèvres s'étaient entrouvertes. Il penchait son corps sur elle tout en atteignant avec sa main le bas de sa culotte sur sa hanche. Elle bougea avec lui et posa sa fesse gauche sur le bureau. Cette position força ses jambes à s’écarter et il baissa son regard à l’endroit où la robe remontait assez pour découvrir le haut de ses cuisses. Le fait qu’il rompe le contact visuel donna un moment de répit à sa conscience. Cette dernière lui cria qu’elle était en train de faire n’importe quoi. L’homme qui avait ses doigts posés sur sa hanche et pour qui elle mouillait était son ami. Un ami depuis plus d’un an et demi. A ses yeux, l'amitié comptait tellement qu’elle se choqua d’avoir pu passer au-delà de ses valeurs pour satisfaire un désir purement sexuel.
Elle posa alors sa main à plat sur son torse et le repoussa assez pour pouvoir passer sur son côté droit. Elle marchait vers la table basse en se passant les mains dans les cheveux. Elle respirait profondément et tentait de se calmer. Elle essayait de se convaincre que ce n’était pas de la mouille qu’elle sentait couler entre ses grandes lèvres. Elle se répétait qu’elle était une mauvaise personne seulement motivée par ses propres désirs et qu’elle avait quelque part forcé son ami à accepter la situation.
- Je suis désolée, entendit-elle dans son dos, j’aurais dû attendre que tu me formules clairement ton consentement.
Elle ne répondit pas tout de suite. Évidemment qu’il pensait ça, elle l’avait repoussé et semblait très mal. Elle se sentait bête de le faire sentir comme ça.
- Je suis vraiment désolé, continua-t-il, je vais partir et si tu veux qu’on en parle demain, je serai là.
Elle se retourna vers lui et le regarda droit dans les yeux. Elle ne put s’empêcher de le trouver encore plus attirant après ce qu’il venait de dire. Elle décida d’être honnête; elle déclara alors :
- Non, ne pars pas.
Elle prit une grande inspiration et continua.
- C’est moi qui suis désolée de t’avoir fait penser ça. Tout était bien. Plus que bien. J’ai juste eu peur de t’avoir forcé dans cette situation alors que nous sommes amis.
Un sourire se dessina sur son visage. Il ne la laissa pas finir et lui dit :
- Clairement pas. Ça faisait tellement longtemps que je voulais que ça arrive.
Ils se sourirent en se regardant dans les yeux et, tout naturellement, la tension reprit sa place entre eux. Elle décida d’arrêter de réfléchir, franchit les trois pas qui la séparaient de lui et l’embrassa. Elle sut alors qu’il n’y aurait pas de retour en arrière. Ce baiser avait clairement embrasé le feu qui était monté entre eux pendant la soirée.
Il répondit à son baiser et posa ses mains dans le bas de son dos. En même temps, elle posait sa main sur sa joue et enfonçait le bout de ses doigts dans ses cheveux. Leurs corps cherchaient à combler le moindre millimètre entre eux. Elle savourait l’excitation qui partait de son bas ventre et qui se répandait délicieusement dans son corps. Elle sentit qu'ils se déplaçaient et qu’ils allaient se retrouver contre le mur à gauche de la table basse. Quand son dos heurta la surface dure, elle ne put s’empêcher de gémir contre ses lèvres. Surtout qu’il avait entrepris de placer sa jambe gauche entre ses jambes et qu’elle sentait sa cuisse contre son pubis. Elle chercha son regard alors qu’elle passait sa main droite sous son t-shirt. Rien n’indiquait qu’il y objectait. D’ailleurs, il rompit leur baiser pour pouvoir faire passer son haut au-dessus de sa tête. Il recolla ensuite son corps au sien et plaça sa main gauche au même endroit que lorsqu’ils étaient sur le bureau. A ce moment, elle eut un frisson de plaisir qui s’intensifia alors que sa main glissa sur sa fesse. Alors, presque naturellement, elle remonta sa jambe pliée et il s’insinua encore plus entre ses cuisses. Sa main passa sous sa fesse et frôla son sexe. Elle rejeta alors sa tête en arrière dans un gémissement et il en profita pour descendre sa bouche sur sa mâchoire puis sur son cou. Elle l'entendait aussi gémir près de son oreille alors qu’elle avait une main sur sa nuque et l’autre sur le bas de son torse, presque sur le haut de son pantalon. L’entendre verbaliser son plaisir au creux de son oreille fit encore monter son excitation d’un cran et elle décida de donner une autre saveur à ce qui était en train de se passer.
Elle posa ses deux mains sur son torse et le poussa jusqu’à ce qu’il y ait un mètre entre eux. Elle lu dans ses yeux l’incompréhension tandis qu’elle reposait son dos contre le mur. Elle plaça ses mains entre ses fesses et le mur et elle sentit la bretelle droite de sa robe tomber sur son épaule. Il suivit la chute de la bretelle des yeux alors qu’elle le regardait. Ses pupilles s’étaient dilatées, ses joues avaient rougies, ses lèvres s’étaient entrouvertes; il s’en échappait une respiration lourde.
- Va t'asseoir.
Sa bouche formula sa phrase avant même qu’elle puisse vraiment y avoir réfléchi. Elle vit passer dans ses yeux un éclair d’excitation et remarqua également que son corps se détendit mais il ne bougea pas. Elle choisit de montrer plus de confiance en elle qu’elle n’en avait réellement et répéta sa phrase en regardant le canapé.
- Va t’asseoir. S’il te plaît.
Elle avait essayé de se calmer mais elle savait pertinemment que son regard était lourd de désir pour lui. Elle savait qu’il l’avait vu car, avant d’aller s’asseoir, il lui avait souri de manière provocatrice. Il prit place dans le canapé, bien au fond, les jambes écartées et les mains posées sur ses cuisses. En ajoutant la manière dont il la regardait, le désir et la domination émanaient de lui. Elle ne sut subitement plus qui gérait la situation mais elle décida de mener son scénario jusqu'au bout.
Elle se décolla lentement du mur et, tout en scellant ses yeux aux siens, elle se déplaça en face de lui en gardant deux à trois mètres de distance. Alors qu’il la regardait évoluer puis s’arrêter, elle ferma les yeux en poussant ses cheveux derrière ses épaules; ces quelques secondes lui permirent de savourer le désir qui vibrait dans tous ses membres. Puis elle rouvrit les yeux et les planta droit dans les siens et prononça ces mots :
- Déboutonne ton pantalon et enlève le. Lentement.
Elle vit d'abord la surprise dans son regard puis son visage s’ouvrit dans un sourire emplit de désir. Enfait son sourire était presque espiègle. Elle sut alors qu’elle n’avait déjà plus le dessus sur le rapport de séduction qui s’était établi entre eux. Le plus calmement du monde il répondit :
- D’accord. Seulement si tu enlèves ta culotte d’abord.
Elle se sentit rougir instantanément. Elle fit un rapide calcul et réalisa que si elle faisait ça, elle n’aurait vraiment plus que sa robe sur le corps. Cette pensée, et le jeu qui s’installait entre eux, lui plurent beaucoup. Elle sentit la mouille couler de ses lèvres encore une fois et l’entrée de son vagin se contracter. Putain vraiment elle ne savait pas si elle avait plus hâte qu’il la pénètre ou si elle préférait ce qui était en train de se passer.
Elle fit mine d'hésiter et répondit, d’une manière qui se voulait innocente :
- D’accord, d’accord … Mais tu sais qu’après je n’aurais plus rien d’autre que ma robe ?
- Oui, répondit-il du tac au tac, c’est exactement pour ça que je veux que tu l’enlèves.
Elle dû se mordre la lèvre inférieure tant sa réponse l’excita. Elle lui sourit et lentement elle remonta ses mains sous sa robe jusqu’en haut de ses hanches. Elle prit entre ses doigts sa culotte qu’elle descendit sur ses jambes. Elle sentit que le tissu était trempé quand il passa entre ses cuisses. Pour l’enlever, elle la fit passer par un pied puis par l’autre tout en le regardant dans les yeux. Elle réalisa qu’il avait lui suivi ses doigts puis sa culotte du regard. Quand elle laissa tomber le sous-vêtement par terre à côté d’elle, il afficha un visage satisfait. Il replaça ensuite ses yeux dans les siens et elle lui lança un regard qui voulait dire “à ton tour”.
Il sourit de manière provocante et, sans la quitter des yeux, il desserra la boucle de sa ceinture. Il déboutonna son pantalon et baissa sa braguette. Elle ne pouvait faire autrement que de regarder ses mains s’affairer. Il se leva quelques secondes pour pouvoir baisser le pantalon jusqu’à ses chevilles puis il le prit et le posa sur l'accoudoir. Elle frissonna de désir. Elle se demandait aussi ce qui allait suivre.
Pour le moment ils ne faisaient que se regarder. Intensément. Clairement ils étaient tous les deux en train de savourer la tension. Mais peut-être aussi ne savaient-ils pas comment aborder la suite des événements. Alors qu’elle commençait à douter d’elle et à se demander si elle n’avait pas été ridicule d’avoir instiguer tout cela, il lui dit :
- Viens. Approche toi de moi.
Sans répondre, comme si son corps n’avait attendu que cet ordre, elle avança vers lui et vint se placer entre ses genoux. Il posa ses mains sur ses l’extérieur de ses cuisses tout en la regardant. Alors que sa main gauche montait vers sa hanche, sa main droite se dirigeait doucement mais inévitablement vers l’intérieur de sa jambe. Elle ferma ses yeux et sentit qu’il s’approchait de sa vulve car le bas de sa robe s’était soulevé. Elle était tellement excitée qu’elle tremblait. Elle savait qu’il l’avait remarqué.
Elle ne tenait plus et, avant qu’il puisse toucher son sexe, elle posa son genou gauche à côté du sien et sa main droite en appui à droite de sa tête. Elle laissa son visage tomber vers le sien. Ses cheveux tombèrent en cascade tout autour d’eux et elle posa avec fougue ses lèvres sur les siennes. Alors qu’elle ajoutais sa langue au baiser, il s’aida de sa main gauche pour lui faire poser son deuxième genou sur le canapé. Aussi naturellement que cela, elle s’était retrouvée à califourchon sur lui.
Evidemment, à cause de cette position, sa robe cachait maintenant à peine ses fesses et avait bien remonté sur ses cuisses. Lui avait passé ses deux mains sur ses fesses, sous la robe. Elle prenait appui sur sa main gauche et avait pris sa mâchoire dans sa main droite alors qu’elle descendait avec ses lèvres sur son cou. Elle reculait de plus en plus le bas de son corps et elle se retrouva assise sur son genou droit tout en traçant une ligne sur son torse avec sa bouche. Son corps bougeait de manière incontrôlée d’avant en arrière et elle se rendit compte qu’elle se frottait littéralement à sa cuisse. Mon dieu ce qu’elle mouillait. Sans trop s’en rendre compte elle s’était redressée, avait posé ses mains sur son torse et se laissait franchement aller à cette nouvelle sensation. Elle réalisa vraiment ce qui était en train de se passer lorsqu’il remonta ses mains sur ses hanches pour accompagner son bassin. Elle vit dans son regard rivé sur son bas-ventre que cela l’excitait. Cela débloqua quelque chose en elle et commença à manifester son plaisir plus fort.
- Putain …, l’entendit-elle murmurer
Elle ferma les yeux et sourit. Puis elle dit :
- Tu aimes ce que tu vois ?
Il laissa échapper quelques lourdes respirations puis il répondit :
- Tu es vraiment magnifique … Et je crois que ça commence à me rendre fou de te voir te faire plaisir comme ça tout en sentant ta mouille sur moi
Elle rougit subitement mais ne ralentit pas la cadence. C’était trop bon. Elle sentit alors une de ses mains approcher de la partie fine et sensible de l’intérieur de sa cuisse droite. Elle ressentit le besoin qu’il la pénètre avec un ou plusieurs de ses doigts. Comme un réflexe, son bassin se souleva et sa vulve n’était alors plus en contact avec sa cuisse. Comme si son corps voulait lui laisser l’espace qu’il puisse passer. Alors que le bout de ses doigts était presque en train de toucher ses grandes lèvres, il planta son regard dans le sien et lui demanda :
- Est-ce que je peux ?
Elle lui répondit par un hochement de tête en souriant. Elle était incapable de dire quoi que ce soit. Si elle avait fait marcher ses cordes vocales, seuls des gémissements en seraient sortis. Elle retint son souffle lorsque le bout de son annulaire et de son majeur effleurèrent son clitoris. Ses doigts allèrent jusqu’à l’entrée de son vagin.
- Tu es vraiment trempée, lâcha-t-il la voix rauque
Elle gémit alors. D’un même mouvement elle baissa son bassin et il entra son majeur en elle. Putain c’était vraiment trop bon de sentir ce doigt en elle. Il le courba vers son ventre et se cambra. Quasiment aussitôt il ajouta un deuxième doigt et il réitéra le geste. Elle était tellement excitée. Putain vraiment c’était exquis. Le désir était tellement monté pendant longtemps que ça ne pouvait être qu’une explosion.
Alors qu’une de ses mains bougeait en elle, de l’autre il baissa la bretelle gauche de sa robe. Il la baissa assez pour que la gravité découvre son sein droit. Elle le regarda l’observer pendant quelques secondes puis il avança son visage et prit son téton entre ses lèvres. L’action des deux stimulations la firent encore monter un cran au-dessus. C’est pourquoi, tout naturellement, sa propre main gauche vient se placer sur son clitoris. Elle n’en revenait pas qu’elle était en train de se masturber alors qu’il avait deux de ses doigts dans son vagin et sa bouche sur son sein.
Tout s’intensifia. Il aspirait ses tétons en les mordillant. Les va et vient de ses doigts étaient plus forts, presque brutaux. Elle frottait et appuyait aussi fort sur son clitoris. Et, depuis peu, il avait agrippé avec sa main valide sa fesse droite. Assez soudainement en fait elle sentit ses cuisses se gainer et son vagin tellement se contracter que ses doigts ne pouvaient plus bouger. Elle ferma très fort les yeux et plus aucun son ne sortit de sa gorge. Elle continua l’action de sa main jusqu’à ce que son bassin tressaute sans qu’elle puisse le contrôler et que la vague de plaisir explose. Elle pensa alors que c’était l’un des meilleurs orgasmes qu’elle ai jamais eu. Tandis que les gestes de sa main se firent plus légers sur son clitoris, tout son corps se décontracta. Elle sentit que les doigts à l’intérieur de son vagin pouvaient à nouveau se mouvoir. Il les enleva tout doucement en la regardant. Elle était encore tout détendue et grisée par l’orgasme qu’elle venait de ressentir. Elle avait besoin de quelques secondes pour reprendre son souffle. Mais elle savait déjà qu’elle en voulait plus. Et elle voulait son corps, comme elle espérait qu’il voulait le sien.
Ils collèrent leurs fronts pendant que sa respiration se calmait et qu’elle repassait ses genoux de part et d’autre de son corps. Il rompit le silence et demanda :
- Tu as jouis ?
- Évidemment, répondit-elle en riant doucement, tu n’as pas senti ?
- Si, rigola-t-il, mais je voulais être sur
Elle recula son visage et le regarda en plissant des yeux
- Tout pour l’égo, c’est ça ? dit-elle en souriant
- Exactement, ria-t-il
Alors qu’ils laissaient quelque peu redescendre la tension, elle réalisa qu’elle était assise sur son caleçon. Elle pensa tout d’abord au fait que sa mouille allait tremper le tissu. Puis son cerveau divergea vers ce qu’il y avait sous le caleçon. Sa tête suivit ses pensées car elle baissa ses yeux vers son entrejambe. Aussitôt son désir remonta en flèche. Putain elle avait envie qu’il la baise. Elle avait envie que là, tout de suite, il baisse juste assez son caleçon pour que son pénis soit accessible et qu’il la pénètre. Mais elle ne savait pas comment amener cette situation. Elle le regardait juste, ses yeux puis ses lèvres. Elle savait bien que beaucoup de choses indiquaient qu’elle avait envie de lui : son regard, sa respiration, sa mouille qui inondait son caleçon et ses mouvements de bassin presque imperceptibles. De son côté, il ne semblait pas perturbé. On aurait presque dit qu’il la trouvait amusante. Elle se dit qu’il devait savoir ce qu’elle voulait mais qu’il n’allait pas l’aider à faire avancer la situation. Elle commença alors à faire glisser ses mains de ses pectoraux à son ventre, tout en le regardant intensément. Son regard perdait en amusement et s’alourdissait plus les paumes de ses mains s’approchaient de sa bite. Elle décida qu’elle avait repris un peu de pouvoir et s’arma de courage pour demander :
- Est-ce que je peux te toucher ?
Il acquiesça. Elle posa alors ses doigts sur son caleçon. Elle sentit qu’il était dur et la bulle d’excitation dans son bas-ventre explosa. Elle commença à le caresser au-dessus du tissu en le regardant. Il rentra encore plus son corps dans le canapé tout en prenant une grande inspiration. Elle baissa son regard sur ce qu’elle était en train de faire et se mordit la lèvre. Non vraiment il fallait qu’à un moment cette bite entre en elle et qu’il la fasse crier. Elle entreprit de faire passer ses doigts sous le tissu. Elle vu qu’il se cambra. Elle leva quelques secondes son propre bassin pour faire coulisser son caleçon au bas de ses cuisses. Avant de s'asseoir comme elle était positionnée avant, elle regarda ce pénis bandé. Puis elle leva les yeux sur son visage. Il était vraiment trop sexy comme ça. Nu, sous elle. Avec sa bite dressée et son regard lourd de désir.
Elle approcha alors la main vers son pénis. Soudainement il lui prit la main et la ramena derrière son dos à elle. Se faisant, il redressa son buste et colla sa bite à son clitoris.
- Il y a un problème ?, demanda-t-elle soucieuse
- Non, juste, j’ai envie de prendre un peu le contrôle, répondit-il avec assurance
Elle ne sut que répondre. Par contre elle comprit que ce genre de comportement l'excitait au plus au point. Elle du se retenir de jouir sur l’instant. Elle lâcha un grognement d’accord qui ressemblait quand même beaucoup à un gémissement. En plus, elle avait l’impression que son clitoris allait exploser tellement il s’était gonflé. Elle savait qu’elle était en train de mouiller indécemment sur la base son pénis et ses testicules. Ne voulant pas trop lui donner d’importance, elle ne le lâchait pas des yeux. Elle les écarquilla quand même quand il lui demanda avec sa voix rauque :
- Dis-moi ce que tu veux.
Il y eu un petit silence durant lequel on entendit que leurs respiration; puis il ajouta :
- Je crois comprendre mais j’ai besoin et envie que tu le formules.
Pendant qu’il parlait, elle prenait vraiment conscience de leur position. Elle était presque assise sur le haut de ses cuisses, sa vulve dégoulinante collée à son pénis, pendant qu’il lui tenait la main dans le dos. Elle comprit alors qu’elle pouvait se livrer à lui en ce qui concernait ses désirs. Ils étaient de toute façon trop loin maintenant pour ne pas aller jusqu’au bout. Elle prit sa mâchoire entre ses doigts de sa main libre, planta son regard dans le sien et déclama :
- Baise-moi.
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