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Une croisière inattendue

Je suis une jeune fille qui vit seule à Nantes. Un ami m''invite à une soirée sur une maison en bord de mer où je bois un peu trop. Nous nous retrouvons à dormir sur un bateau qui n'est pas à nous. Ce qui nous arrive le lendemain est incroyable.

Proposée le 4/01/2023 par Secret

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Thème: Chantage
Personnages: FFH
Lieu: Transport
Type: Roman


Bonjour à toutes et à tous, je m'appelle Julie, j'ai 23 ans, j'habite à Nantes et je suis en fac de Lettres. J'ai une vie tout ce qui a de plus normal, avec mes deux parents, un groupe d'amies mais pas de petit copain encore. J'ai eu un amoureux au collège, mais pas longtemps et nous ne nous étions qu'embrasser (que faire de plus à cet âge là ?). L'histoire que je vais vous raconter s'est déroulée il y a deux ans, en été 2020, juste après le confinement.

Je m'y suis rendu en voiture avec ma copine Alice, une nouvelle ami que je me suis faite à la fac cette année.. J'habite seule mais elle est très souvent chez moi car mon studio est plus grand que le sien. Nous nous somme donc tout naturellement retrouvées chez moi, nous nous sommes habillées, maquillées et préparées pour la soirée. La fête se déroulait chez un vieil ami à moi qui avait la maison de ses parents vacante avec une piscine et un grand jardin. Une fois arrivées sur le lieux des festivités, la soirée battait déjà son plein : la maison était déjà pas mal remplie, beaucoup de musique, d'alcool aussi, beaucoup de groupes discutaient de pleins de sujets différents. Nous ne connaissions personne, mise à part moi qui connaissait l'hôte. Donc Alice et moi ne nous sommes pas lâchées et afin de nous faciliter la sociabilité, nous avons bu "un peu" d'alcool fort tout au long de la soirée.

Vers 2 - 3h du matin, nous décidâmes de rentrer à la maison car nous étions fatiguées, mais comme nous l'a fait remarqué un des invités, nous étions un peu trop éméchées pour conduire en pleine nuit sur une route que nous ne connaissions pas beaucoup. Nos avions donc décidé de faire une petite balade afin de reprendre plus facilement le contrôle de nous-mêmes. Nous avons marché jusqu'au port de Pornic et une fois arrivées à l'endroit où sont garés tous les bateaux, Alice commença à se plaindre de son extrême fatigue. Je lui dis que j'étais aussi crevée qu'elle mais que nous ne pouvions rien faire pour le moment. C'est alors qu'Alice vit un assez gros bateau et me demanda à ce qu'on aille dormir dessus. Je lui dit que nous ne pouvions pas faire ça car ce n'était pas notre bateau et que je ne tenais pas à appeler mes parents pour me faire sortir de garde à vue. Alice me dit alors qu'elle ne voyait pas de policiers aux alentours. Avec mes neurones en bouillie, je lui accorda cet argument et nous sommes montées sur le bateau. La porte principale était fermée à clé : logique. Alice me montra alors une bâche sous laquelle se trouvait une très longue corde. Je lui dit que nous nous reposions seulement quelques instants puis nous revendrions à la maison. Elle fit oui de la tête et se jeta sous la bâche et s'endormit en un claquement de doigt. Suivie de moi quelques secondes plus tard.

Je me réveille et me rend compte que nous nous sommes assoupies plus que quelques heures : il fait super chaud sous la bâche et j'aperçois un ciel bleu clair sans nuage avec un grand soleil. Puis je me rends compte que le bateau tangue, le moteur tourne. J'entends des pas venir vers moi mais je ne bouge pas. Je secoue un peu Alice pour qu'elle se réveille et qu'elle prenne conscience de la situation. Après une courte discussion en chuchotant, nous décidons de sortir afin de prévenir le conducteur et qu'il puisse nous ramener sur le port. Je remarque alors que je n'ai pas du tout mal à la tête. Je ne vois personne sur le bateau. Nous allons de l'autre côté et nous surprenons l'homme qui était alors en train de lire. C'est un homme blanc, avec un gros ventre, la cinquantaine bien entamé avec un crâne à moitié dégarni, bref, l'archétype de l'homme vieux et riche en France. Nous lui expliquons la situation.

Je commence en lui demandant : "Pouvez vous nous ramener sur le port s'il vous plait monsieur. Nous sommes vraiment désolé d'avoir dormi su votre bateau."
- "Et pourquoi je vous amènerai sur le port tout de suite ? Qu'est ce que j'y gagne ?" dit-il.
- "Nous n'avons rien sur nous, dit Alice, mes parents pensent que je suis chez mon amie, je ne peux pas leur désobéir"
- "Oh mais ce n'est pas mon problème. Qu'est ce qui peut m'empêcher d'appeler la police pour vous dénoncer ? Dites moi jeunes filles..."
- "Mes parents habitent loin et nous ne pouvons as nous permettre cela." Dis-je
- "Et ?"
- "S'il vous plaît monsieur, nous sommes prêtes à faire ce que vous voulez pour que vous nous rameniez sur le port sans appeler la police."

Il sourit alors avec un regard vicieux. je compris tout de suite ce qu'il avait en tête, mais Alice non, elle n'avait jamais vraiment pensé à ça depuis son adolescence.

- "Si vous faites tout ce que je vous dit, au moment où je vous le dit, je vous promets de ne pas appeler la police."
- "Oh merci beaucoup, monsi..."
- "Enlevez votre haut." dit il en la coupant.
- "Pardon ?" disons nous d'un seul coup
- "Vous voulez vraiment que j'appelle la police ? Mon téléphone est juste là, dans ma poche…"

Alice et moi nous sommes regardés d'un air apeuré, mais nous nous exécutions. C'est la première fois que je me retrouvais sans haut depuis le début de ma puberté à part devant un miroir. Il commença à mater nos poitrines et étonnement, cela commença à m'exciter. J'avais une poitrine moyenne, un 85C, mais Alice avait vraiment une poitrine généreuse, à vue d'œil je dirais du F. Nous étions un peu honteuse de nous retrouver ainsi en plein air, à la vue de tous. Heureusement, il n'y avait personne dans les environs. Alice avait l'air très fâchée envers l'homme, ce que je comprends, mais mi j'étais plus abasourdie par l'étrangeté de la situation. Il se rinçait l'œil le salaud.


Nous étions donc sans haut, en soutien-gorge, devant cet homme dont nous ne connaissions même pas le prénom.

- "Comment vous appelez vous ?"
- "Elle c'est Alice et moi c'est Julie."
- "Vous avez de très jolis prénoms les miss, et pas que ça d'ailleurs…"

Il commença à me fixer et me dit : "Donne moi ton soutien-gorge"

En vue de la situation, j'obéis et le retira devant l'homme et Alice. Je tentais si bien que mal de cacher mes seins et lui donnant ce qui les cachés jusque là.

- "Mets tes bras bien le long du corps, ne sois pas timide"

Je commence alors à enlever mes mains et à les mettre sur mes hanches.

- "Voilà qui est mieux, dit-il, mais je préfère quand ils bougent un peu. Dandine toi devant moi pour que je puissent les voir remuer."

A ce moment là, un bateau passa par là et je recouvris mes seins.

- "Enlèves tes mains je t'ai dit ! Alice, dit-il en la regardant fermement, malaxe ses seins pour moi. Je veux voir ses têtons durcir. Et n'oublie pas de la regarder."

Nous étions déjà toute honteuse de nous retrouver dans cette situation, alors ça… Alice est devenue toute rouge quand elle a pris mes seins dans ses mains. Personne d'autre que moi n'avait encore touché ma poitrine et je dois avouer que, contexte mis à part, cela était assez agréable, très agréable même. Je commençais à me détendre petit à petit, quand j'entendis l'homme dire à Alice : "Enlève le aussi".

Elle le fit, lui donna son soutif, et je commençait à lui malaxer les seins. Ils étaient encore plus impressionnants lorsqu'ils étaient nus. Même si je voyais qu'elle ne voulait rien laisser paraître, je sentais ses têtons durcir et les miens aussi. L'homme se délectait de la vue qu'il avait. Ce ne fut pas assez pour lui alors il nous dit :

- "Enlevez votre pantalon"

Alice fit non de la tête mais il tapota la poche où était son téléphone. Il rajouta : "Et puis je vois que tu es excitée aussi ma coquine, regarde tes seins, ils pointent complètement. Ils sont super beaux tu sais"

Elle fit une grimace mais commença à déboutonner son pantalon. Il rectifia son envie et nous demanda d'enlever tout doucement chacune le pantalon de l'autre, en étant accoudé à la barrière du bateau devant lui.

Je commença m'accrochant à la barrière et en enlevant juste un bouton. Mes seins à l'air, l'air chaud dans les cheveux et un soleil agréable sur la peau, j'en oubliais la situation dans laquelle nous étions. Pendant que mon pantalon couvrait de moins en moins ma peau, je commençais à me cambrer, pour faire plaisir à celui qui nous faisais chanter. J'entendis un sifflement de ce dernier lorsque j'étais juste en culotte. Au tour d'Alice. Elle s'accrocha à la barrière et je lui enleva son pantalon. Elle a avait une petite culotte rose, avec quelques poils ici et là qui dépassaient. Celui fit manifestement plus d'effets à l'homme que ma culotte noire classique, puisqu'il la complimenta directement. Me voici donc en petite culotte, torse nu, devant une amie assez récente dans la même tenue, alors qu'aucune de nous deux n'avions ce genre de choses avant, devant un homme que nous ne connaissions pas, en plein milieu de l'océan Atlantique.

Nous nous sommes regardées et nous sommes devenues encore plus rouge qu'une tomate. Le spectacle avait l'air de lui plaire puisque je discernais une bosse au niveau de son entrejambe. Je l'imaginais en train de se faire des films, en train de bander en pensant à nous 2, nues sur son bateau, à sa merci. Il nous a demandé de bouger un petit peu de manière sensuelle. Il nous dévorait des yeux ce porc. Même si je préférais qu'il nous dévore des yeux plutôt que nous dévorer tout court. Au bout de quelques minutes, il nous a dit :
- "Retournez vous et enlevez votre petite culotte. Cambrez vous bien en le faisant, je veux tout voir..."
Alice eu un instant d'hésitation mais il nous fit vite comprendre de nous dépêcher. Nous le faisons et je me complètement nue devant une amie et un inconu alors que je n'avais jamais fait ça avant. Je n'ose regarder que mes pieds mais l'homme nous oblige à le regarder bien dans les yeux, alors qu'il ne regarde que notre pubis.

- "Alors comme ça on s'est épilé la chatte ma coquine ?" dit il en la pointant du doigt.
Je ne répondis rien, bien que je sache qu'il parlait de moi.
- "J'ai pas entendu..."
- "Oui monsieur" dis-je timidement, me sentant plus humiliée que jamais
- "J'ai pas entendu"
- "Oui monsieur"
- "Je veux t'entendre le hurler, comme si tu voulais le dire au monde entier"
- Alors, pour ne pas avoir à le refaire, je me mis à crier : "OUI MONSIEUR, JE ME SUIS EPILE LA CHATTE !!!"
- "Ah voilà qui est mieux. En revanche, ta copine, elle, ne s'est pas épilée du tout, et depuis longtemps. Mets toi à genoux et regarde là de près. Alice, montre bien ta chatte à ton amie."
Alice qui essayait de cacher sa partie intime, à ce moment-là, n'eut pas d'autres choix que d'enlever la main et de laisser paraître sa touffe de poil. C'était la première fois de ma vie que je voyais une femme nue devant moi d'aussi près. Vue d'en bas, elle était sublime. Mais les choses commençaient à se corser lorsqu'il nous ordonna de se mettre toutes les deux sur le lit sur lequel il était couché.

- "Maintenant, embrassez vous, avec la langue, et touchez vous les nichons pendant que vous y êtes. Ca ça me ferait beaucoup de bien de vous voir faire ça..." Dit il avec un petit rire pervers.
Même si aucune de nous deux ne voulions le faire, nous n'avions pas trop le choix. Elle s'approcha alors de mes lèvres et commença à m'embrasser tendrement, puis elle mit la lèvre. Dans le feu de l'action, ma main remontait le long de son dos jusqu'à glisser sur ses deux énormes seins. Je les malaxais comme si j'étais une lesbienne expérimentée alors que c'était ma première fois. Finalement cela me plaisait alors j'ai continué de plus belle, en prenant la main d'Alice et en la posant sur mon sein. Ca a beaucoup plu à l'homme qui commençait à se toucher avec la main dans sa poche. Il n'avait plus besoin de parler pour que nous continuions à nous donner en spectacle. Alice me mit sur le dos et me fit des bisous entre les seins, puis descendit de plus en bas, en ne lâchant jamais mais seins de ses mains. Lorsqu'elle arriva à la hauteur de mon jardin secret, elle sorti de nouveau la langue et me fit l'effet d'une décharge électrique.

Que c'était bon. Je commençais à gémir, et oubliant l'homme qui s'était rapproché de nous, je gémissais de plus en plus fort, me foutant du reste du monde. Si d'autres personnes voyait ça, si elles assistaient à la scène, tant mieux pour elles, mais Alice et moi étions si bien. J'allais jouir quand elle s'arrêta net et mis sa chatte au dessus de mon visage. J'ai tout de suite compris et ai commencé à la lécher. Elle avait très bon goût. Comme si mes coups de langue ne suffisaient pas, elle faisait des mouvements avec son bassin et se touchait les seins, au grand bonheur de notre maitre chanteur. Mais il y a un mais, c'était trop beau pour être vrai.

L'homme très excité nous dit alors : "Alors mes cochonnes, ça vous plait finalement ? Mais moi je n'ai toujours rien eu et ça va changer...


Partie 3:
Récap : suite à une soirée un peu trop arrosée, mon amie Alice et moi nous sommes retrouvées en pleine mer sur un bateau que tenait un homme qui n'a pas hésité à nous faire chanter. Pour le moment, il s'est juste rincé l'œil et m'a permis de découvrir que j'aimais faire l'amour avec une autre femme. Mais cela ne lui suffisait pas...

- "Comment ça ?" s'exclama Alice, "Nous avons fait tout ce que vous vouliez, vous aviez promis..."
- "Mais vous n'avez pas encore fait tout ce que je veux. Regardez, je suis encore habillé..."
Je vis de l'appréhension dans le regard d'Alice, moi, je ne savais juste pas ce qu'il allait nous réserver
- "Toi, chatte épilée, viens me sucer. Exécution !"
- "Mais je n'ai jamais fait ça, je ne sais pas comment faire !"
- "Oh tu es vierge ? Toi aussi gros nichons ?" dit il en regardant Alice. Un petit oui sorti de sa bouche, ce qui le fit sourire. "Alors, Alice, viens par là et baisse mon pantalon"

Je me mets de telle façon à ce que l'homme soit entre mon amie et moi. Je commence par enlever le bouton de son pantalon puis le tire vers le bas. Je vois alors apparaître son pénis d'au moins une vingtaine de centimètres, encore flasque.
- "Tu n'en as jamais vu des comme ça hein ? Voire tout court d'ailleurs..." en me regardant. Il me fit un signe de la main pour que je m'approche de lui, au niveau de son entrejambe. "Ouvre la bouche et essaye la mettre la plus au fond de la bouche."
Ne sachant pas par où commencer, il me pinça le nez, souleva son pénis et me l'a mis sur le bout des lèvres. Il ne sentait pas mauvais mais pas spécialement bon non plus. La petite peau rose, je ne me souviens jamais du nom, qui cache tout le reste, me dégoûte mais je dois le faire. Alors je fais comme je le sens et enfonce son pénis dans ma bouche.
- "Roooh oui tu commences bien ma cochonne. Ca te plait ? Continues comme ça c'est très bien" dit-il entre plusieurs râles très masculins. "Tu veux peut être en profiter aussi gros nibards ? Allez fais comme elle, elle ne me fais pas bander. Avale bien ma queue."
Sans regarder personne, elle s'exécuta. L'homme laissa échapper encore quelques râles puis après quelques allers-retours, pinça le nez d'Alice et poussa sa tête jusqu'au bout. Elle commençait à devenir toute rouge alors il s'arrêta. Sa bite était alors recouverte de la salive d'Alice. Il me regarda et me fit signe de continuer. De peur de recevoir le même sort, je commença doucement mais rapidement à essayer de toucher le bout. Il gémissait encore, puis au bout d'un moment, bloqua pendant quelques secondes ma tête lorsque j'avais sa queue bien au fond de ma bouche et je la sentis s'agiter. N'ayant jamais fait ça avant, je ne savais pas ce que c'était. Un jet puissant d'un liquide chaud, visqueux et collant inonda mes joues et je laissais tout ressortir. A ce moment là, alors que l'homme n'avait pas parlé, Alice nettoya tout ce liquide puant avec sa langue.
- "C'est bien les filles, vous êtes de bonnes salopes".
Etonnement, cette phrase a continué d'un peu m'exciter et, au contraire d'Alice, je décida de continuer de rester nue pour plaire enocre à l'homme.
Une demi-heure plus tard, nous étions tous les 3 de retour sur le port, saines et sauves. Je ne l'ai jamais ?revu depuis et n'a jamais rien dit à la police.

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