Le bal au village 4

Le trio arrive à destination, il décide de prendre un dernier verre, mais Sophie désir Audrey, et se met à la caresser, la jeune amie se laisse faire sans broncher, Adrien est aux premières loges, il regarde le duo en sirotant son verre.

Proposée le 21/12/2022 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Enfin la culotte est sur le sol, sans brusquerie, Sophie écarte les jambes de sa proie, avance sa tête entre ses cuisses et hume les effluves odorantes que l'abricot d'amour, laisse échapper. Délicatement, elle pose sa bouche sur le fruit juteux, et lèche tout ce qui s'échappe de la fente. Sa langue, fait merveille, Audrey geint comme une bête blessée, en soufflant fortement. Soudain, elle sursaute, la langue rappeuse vient de s'enfoncer dans son vagin en le fouillant profondément. Le corps d'Audrey est tendu comme un arc, la langue, très habile, taquine son bouton sensible, avec une adresse étonnante, Sophie se sert, de son appendice lingual comme une professionnelle.

Les ondulations et les gémissements d'Audrey mettent en effervescences les sens d'Adrien. Sa queue se dresse, pour calmer l'affut sanguin dans sa hampe épaisse, il la presse plusieurs fois. Ses yeux sont grands ouverts, ils ne perdent rien du spectacle que le duo donne. Audrey semble en transe, son visage est devenu livide, ses yeux sont presque retournés dans leurs orbites. Son souffle est court, sa poitrine se soulève à un rythme rapide, elle halète comme une sprinteuse en fin de course. Soudain, elle se cambre en poussant un cri monstrueux. Son corps, secoué par de nombreux spasmes, la font délirer, sa jouissance est terrible. Elle s'agrippe à Sophie en râlant comme une bête.

Adrien extirpe sa queue de son pantalon et la branle en serrant les dents, il grimace en observant le corps incontrôlable d'Audrey s'agiter. Sa queue horriblement veinée et au bord de l'explosion. Sophie plante trois doigts dans la gaine en effervescence de son amante et la ramone rageusement en répétant :

-Joui, joui, ma chérie, ne te retiens pas !

Audrey répète sans cesse, en serrant les dents :

-Mon Dieu, mon Dieu, je suis une catin !

Sophie accélère le rythme, de sa main libre, elle agace le clitoris qui est devenu énorme. Audrey ne résiste pas longtemps au traitement imposé. Elle jouit encore une fois en s'arc-boutant fortement. Sophie retire ses doigts du puits d'amour et gobe la perle gonflée, elle la suce comme une malade, puis en même temps enfonce à nouveau ses doigts dans la gaine vaginale et reprend le pilonnage monstrueux qui a déjà fait jouir sa proie. Audrey est méconnaissable, son front est en sueur, elle délire, ses paroles sont inaudibles. Sont corps sous pression, ne cesse de frissonner. Adrien n'en peut plus, il repousse sa femme et sans autre forme de procès, il plante sa verge dans le ventre d'Audrey, et comme un soudard excité, la pilonne rageusement. Audrey, surprise de l'assaut de son pourfendeur, se cabre, elle s'accroche à lui en gémissant terriblement.


La queue vigoureuse d'Adrien, voyage dans le ventre en ébullition d'Audrey. Le gland large et épais lui laboure les parois de la vulve avec rapidité. Adrien grogne comme un fauve en rut. Il se raidit et envoie dans le vagin de son amante, plusieurs jets de sperme. Le bougre infatigable continu de la défoncer avec une ardeur inouïe. Audrey sous les assauts répétitifs jouit en hurlant. Pendant que son mari démonte Audrey, Sophie lui relève le top et lui aspire les mamelons, jusqu'à ce que le corps de son amie, très sollicité, se cabre en jouissant encore une fois.

Sophie demande sa part de jouissance, son mari délaisse Audrey et lui enfonce sa queue dans la chatte et la démonte comme un sauvage, Sophie jouit, et sans quitter des yeux Audrey, elle saisit la verge de son mari et la place sur son anus. Adrien sait que sa femme affectionne ce genre de pratique, il l'encule en la faisant couiner de plaisir. Audrey a les yeux écarquillés, elle regarde son amie se faire profondément sodomiser, elle se demande comment une queue si grosse puisse entrer dans un si petit trou.

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