le bal du village 2

Sophie, allume Audrey, elle se frotte contre elle en dansant. Une fois à table, la coquine réussie à lui caresser la vulve et la faire jouir deux fois avant que son mari revienne à table.

Proposée le 17/12/2022 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme

La danse se termine, la fougue Adrien est telle que la robe de Sophie et froissée, quelques boutons ont sauté. Sa robe s'ouvre, et à chacun de ses pas, découvre ses cuisses. C'est péniblement qu'elle rejoint sa table, l'alcool n'y est pas pour rien. Elle regarde longuement Audrey, lui prend la main et l'entraine sur la piste. Elle l'enlace et entame avec elle un slow très langoureux.

Serrées, l'une contre l'autre, les deux femmes évoluent sur la piste. Sophie pose sa joue brulante contre celle d'Audrey, les bassins se frottent au rythme lent de la danse. Sophie prend Audrey par la taille, puis se met à onduler du bas-ventre, en la serrant très fort. Audrey sent sur sa joue le souffle chaud de sa cavalière qui s'enhardie. Elle fait monter sa main sur son le dos et tente de la passer sous le top. Audrey se raidit légèrement, mais cela ne dissuade pas Sophie qui réussi à glisser sa main sous le tissu, et monter jusqu'à l'épaule. Audrey pousse un gros soupir, elle est perturbée par l'audace de cette femme qu'elle connait à peine. Sophie appuie son bassin fortement sur celui d'Audrey en lui disant :

-Tu ne trouves pas qu'il fait chaud ici !

Audrey, ravale sa salive, mais ne répond pas, heureusement la dance se termine. Sophie ne lâche pas la main de sa cavalière, c'est main dans la main qu'elles rejoignent leur table. Les deux femmes ne se quittent pas des yeux, Sophie ne cesse de sourire à Audrey. Adrien revient avec une nouvelle bouteille de champagne. Il en verse une grande rasade dans chaque verre et lève son verre en disant un peu euphorique :

-Je lève mon verre à l'amour, et à l'amitié !

Les trois trinquent encore une fois. Adrien invite une autre femme, Audrey et Sophie restent à table. Sophie rapproche sa chaise de celle d'Audrey, les deux bavardent comme de vieilles amies. Soudain Audrey sursaute, une main de Sophie vient de se poser sur sa cuisse, les deux femmes se regardent intensément, la respiration d'Audrey s'accélère, elle ne dit pas un mot. La main caresse avec douceur la peau lisse d'Audrey, en montant doucement sous la jupe. En glissant à l'intérieur de la cuisse, la main frôle la culotte. Audrey se cabre un peu, en poussant un soupir. Audrey serre les cuisses, plusieurs fois, la main tente de caresser l'entrejambe, mais il n'y a que le bout des doigts qui parviennent à toucher la fente.

Sophie ne désarme pas, elle insiste tellement qu'Audrey inconsciemment desserre légèrement l'étau de ses cuisses. Les intrus, en embuscade, peuvent maintenant glisser sur la fente qui s'humidifie de plus en plus. Deux doigts s'insèrent entre les grandes lèvres en entrainant le tissu de la culotte dans le sillon. Ils montent lentement dans le sillon en se dirigeant vers la protubérance qui se trouve au-dessus de la fente. Sophie saisit entre son pouce et son index, à travers la culotte humide, la petite boule de chair. Délicatement, elle la branle, en regardant Audrey, qui rejette sa tête en arrière, en geignant doucement. Sophie cesse de manipuler la boule magique, et écarte le rempart de tissu qui gêne ses mouvements. De sa main libre, elle reprend possession du clito qui comme par enchantement a pris du volume.


Audrey se mord la main pour étouffer au maximum ses gémissements, heureusement que la musique est forte, donc nul ne peut entendre Audrey. Sophie lui murmure :

-Tu aimes ça ma chérie ?
Mon Dieu comme tu mouilles !

Les yeux d'Audrey sont brillants, elle ne veut pas répondre. Son abricot, trop mûr, laisse échapper son jus. Soudainement, elle pousse un râle et jouit fortement. Elle repousse violemment Sophie, son corps se met à trembler. Sophie replace sa main sur la chatte dégoulinante, et la presse de nombreuses fois en disant :

-Joui, joui, c'est si bon de jouir, ne te retiens pas ma chérie !

Audrey bègue :

-Oh mon Dieu, c'est atroce ce que tu me fais, cesse cette torture, je vais re-jouir !

Mais Sophie, en souriant, presse de plus en plus rapidement la vulve en feu, Audrey se cabre, serre les dents et, en grognant, jouit pour la seconde fois.

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