Dépucelé en douce soumission

Je me nomme Justin et vous raconte ma première fois avec un Homme : Alain. Véritable expert de sexe, il me soumet très progressivement à ses désirs. Ses gestes et ses paroles finiront par faire de moi une vraie chienne avide de sexe.

Proposée le 6/12/2022 par Justin B

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie

Je m’appelle Justin.
J’ai 45 ans. Je suis d’apparence masculine, assez grand, châtain aux yeux bleus. Évidemment je suis bi, mais j’ai très peu rencontré d’ hommes et je n’étais jamais allé très loin avant cette histoire…

j’ai rencontré Alain sur un site de rencontre éphémère pour hommes ; Nous avons échangé quelques messages toujours plus chauds avant d’organiser la rencontre que je vous décris ici… il a très vite compris que j’aspirais à être soumis, mais que je souhaitais l’être en douceur … j’allais être satisfait au delà de mes espérances !

Le rendez-vous était fixé à 15h, mais il était convenu que j’y sois un peu avant. Alain m’avait décrit ce que je devais faire avant qu’il n’arrive.
Je prenais donc une douche profonde et me rhabillais d’un simple jean sans rien en dessous et torse nu.


Je m’installais sur le lit, la braguette ouverte pour laisser entrevoir la base de mon sexe déjà gonflé.
Je posais à ma gauche un string en dentelle qu’Alain m’avait fait acheter ainsi que quelques capotes.


J’étais super excité et tendu en même temps.
J’attendais ainsi depuis une quinzaine de minutes quand j’entendis enfin le mécanisme de la porte.


Alain entrais alors.
Il était plus âgé que moi, et pour être honnête n’avait rien de franchement séduisant mais cela ne changeait rien à mon excitation. Il me sourit et s’approche de moi. Je reste figé osant à peine le regarder.
Il se penche alors vers moi et m’embrasse avec ferveur.
“Bonjour chéri”
Je suis tétanisé … ses mains déjà caressent mon torse et jouent de mes tétons pendant ce long baiser.
Il dessert alors son étreinte et descend mon pantalon, me laissant nu.
Il me regarde avec envie et pose alors un doux baiser sur ma queue qui finit de gonfler et se dresse fièrement.


“Lève toi chéri… viens…” me dit il pour me conduire vers les toilettes la queue tendue…
Y faisant face, il sort son sexe pas encore tout a fait raide et il conduit ma main pour que je le tienne pendant qu’il urine généreusement. Je sens que je rougis de ce geste mais je me prends au jeu. Quand le flot se tarit enfin, une dernière petite goute perle encore au bout de son gland.
Alain la récupère alors de son index et vient l’étaler délicatement sur mes lèvres. Fermant les yeux je sortais ma langue pour goûter à cette petite goutte dont le goût salée se fit sentir.
Une nouvelle fois Alain me roulait une pelle torride dans l’ambition de partager un peu de ce
ce jus.



Il me conduit alors de nouveau vers le lit.
Cette fois, une bosse sans ambiguïté bombait son pantalon et témoignait de son excitation.
Je restais allongé sur le lit.


Il s’empara du string que j’avais emporté, et m’aida a l’enfiler. Bien que de grande taille, la culotte ne pouvait contenir mon sexe en erection qui dépassait largement par le haut.
Je n’avais jamais porté de culotte de femme. Je me sentais au comble de l’excitation.
“Voilà, maintenant tu es bien la petite cochonne en chaleur que j’attendais.”
Il caressa ma joie puis mis son doigt dans me bouche pour que je le suce…
“C’est bien ma Cherie. Tu es très belle comme ça”
Je le laissais me parler comme à Une femme et j’aimais déjà ça.


Il baissa son pantalon, retira sa chemise, et finit par retirer son caleçon. Il bandait lui aussi comme un dingue.
Je restais encore immobile malgré mon envie irrésistible de me jeter sur son sexe pour le sucer. Il le savait mais retardait le moment.


Il prit alors son caleçon et entreprit de me caresser avec. Il le passa dans mon string et caressa ma bite turgescente avec. Je laissais déjà échapper un petit gémissement comme pour l’encourager.
Il remonta ensuite pour caresser mon visage avec. Le calecon exhalait une forte odeur de bite.
Puis il me montra une tache qui le maculait :
“Tu vois, je me suis branlé en pensant à toi ce matin et j’ai jouis dans ce slip ; ça va te faire un bon doudou ma petite chienne…”


Il le conduit alors vers ma bouche, et je suçais alors l’objet avec une gourmandise.
J’avais l’impression d’être intégralement couvert de l’odeur de sa bite et j’adorais ça.
Pendant ce temps, Alain embrassait mon torse ; il me couvrait de baisers, léchait mes tétons et descendait peu à peu.
Il prit enfin ma queue en bouche qui dépassait du string et me suçait avec entrain. Cette fois je me laissais aller à couiner bruyamment.


Il suça Longuement avant de faire glisser délicatement mon string au niveau des genoux.
Puis il poussa mes jambes vers l’arrière pour dévoiler mon cul.
Le string m’empêchait encore d’écarter tout à fait les jambes mais renforçait l’excitation de me sentir traité comme une femme.


“Tu as un joli cul ma chérie… je vais bouffer ta rondelle. Tu veux ?”
“Oui” répondis Je timidement
“Oui quoi ?” Ajoute-t-il
“Oui, suce ma rondelle”
Il plaça alors son doit sur mon anus et ajouta
“Je comprends pas… c’est quoi ce trou pour une petite pute en chaleur comme toi”
Je me répondis pas
“C’est ta chatte mon cœur!
Alors tu veux quoi ma chérie ?”
Je n’en pouvais plus !
“Bouffe moi la chatte chéri ! Oui je suis ta pute, et je veux que tu me lèches la chatte”


Après m’avoir ôté mon string et écarté les jambes, il travailla mon cul longuement de sa langue. Comme l’aurait fait une femme Je prenais plus de plaisir encore à jouir bruyamment. C’était délicieux .


Je tenais mes jambes écartées bien tirées en arrière pendant qu’il se levait.
Debout à côté du lit il me présentait enfin sa bite sur laquelle je me précipitais pour la sucer.
Sa main droite caressait ma bite, puis descendaia pour travailler mon trou.
Tout glissait sans qu’il n’ait ajouté le moindre lubrifiant. L’idée que je mouillais naturellement renforçait mon excitation.


Mes mains toujours utilisées pour maintenir mes jambes en l’air je suçais sans leur aide ;Je suçais sans pouvoir m’arrêter ; j’accentuais les bruits de bouches. Je léchais sa tige, prenais ses couilles dans ma bouches et avalais son gland.
“Dis donc, si u es une vraie petite nympho toi dis donc”
“Oui.”
“Jamais vu une salope pareille ; Dis moi que tu aimes ma bite”
“Oui chéri j’aime ta bite, je la veux, je suis à toi, je veux ta bite encore chéri”
Je sentais son doigt pendant ce temps me pénétrer entièrement. Il me limait littéralement et sa main produisait des petits claps en frappant à chaque pénétration.


“Puisque tu es une chienne, je vais te prendre en levrette ; tu veux bien ma princesse ?”
Je n’hésitais pas à répondre un oui étouffé par son sexe qui remplissait dans ma Bouche.
Sans qu’il ait même besoin de m’y inviter, je me retournais alors sur le lit pour me mettre en levrette.


Il mis quelques instant à mettre la capote, mais je me surpris a 4 pattes à me doigter en l’attendant.
Il le vit et s’en amusa.
“Quelle pute tu fais dis donc”
Il retira mon doigt de l’orifice et me demanda de le sucer pendant qu’il se plaçait derrière moi.


Il fit longuement glisser sa queue le long de ma raie. Son gland parfois se cognais contre mon trou sans encore le pénétrer. A chaque fois un frissons de plaisir et d’impatience me parcourait.
Je sentais le moment fatidique arriver … il joua un petit moment encore de sa bite sur mon anus avant de me pénétrer doucement.


Je gémis fortement. Contrairement à mes craintes je ne ressentis aucune douleur comme je le craignais mais un réel plaisir.
« Tu es bien ouverte et bien mouillée ma belle. Tu es vraiment bonne » dit il.
Il entama alors son va et vient.
C’était bon ; vraiment bon …
Il caressait mon cul en même temps.


Toujours derrière moi il me releva en continuant de m’enculer. Il m’embrassait dans le cou, et branlait ma queue en me pénétrant. Son souffle s’accélérait, alors que je jouissais sans pouvoir m’arrêter
“C’est bon Cheri ! C’est bon “


Au bout d’un moment, il me fit basculer pour me prendre sur le dos .


Je plaçais mes jambes autour de lui pendant qu’il me baisait.
Nous nous embrassions avec passion.
Ses coups de reins devenaient plus fort à chaque instant.
Au bout d’un moment, il se retira… il transportait. Nous étions rouges de plaisir…
Il enleva la capote et plaça sa bite contre la mienne pour jouir dessus.. À peine eus-je senti son jus couler sur mon gland que je veins à mon tour d’un jet énorme
J’étais couvert de jute, qu’il étala partout sur moi, sur ma bite, mon torse et mon visage avant de porter une peu de ce jus dans sa bouche puis dans la mienne.

Janais je n’avais autant jouis… Alain est un dieu du sexe et moi je suis sa chienne …

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