Douce séduction 05

La suite de l'amour fusionnel mère/fille. Laure raconte ses après midi chez sa grand-mère. Ce qui rappelle bien des souvenirs à sa mère qui a subie la même perversité.

Proposée le 22/08/2022 par vstorm

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FF
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Après ce charmant réveil avec Anne, nous avons passé la journée à trois. Une totale complicité nous unissait désormais. Nous parlions essentiellement de sexe. Laure raconta alors ses mercredis après-midi chez sa grand-mère, du temps où ,en première année de fac, elle résidait dans la même ville qu'elle. Je m'en doutais en partie mais j'eu la confirmation que ma mère avait reproduit sur ma fille les comportements qu'elle avait eue avec moi. 
Quand Laure se rendait chez sa grand-mère, elle en profitait pour faire son jogging. Donc, elle prenait une douche. en arrivant. Ma mère l'aidait à se laver et lui refaisait le coup chaque fois : "je vais te montrer comment une femme doit de laver".  
Comme si elle ne savait pas cela, passé 18 ans.
Elle insistait longuement entre les fesses, sur les lèvres et le clito. Lui savonnait les seins. Parfois même elle se déshabillait et venait dans la douche. Lui demandant de refaire sur elle les mêmes gestes. 'pour voir si tu as bien compris'. précisait-elle...  Après la douche, pas question de se rhabiller. Pourquoi donc s'habiller s'il faisait chaud et si on ne sortait pas ? Quelle logique d'ailleurs !! 
Laure , avec le temps, trouvait cela tout à fait normal, et même très agréable. Même si sa grand-mère était parfois très directrice. Avant que je ne lui fasse découvrir l'épilation définitive, ma mère se rasait. Et c'était le rôle de ma fille de lui raser les endroits les plus difficiles à atteindre seule ... 
Anne ne perdait rien du récit. Elle resta même un long moment bouche bée. Laure racontait comment sa grand-mère se mettait à quatre pattes, écartant les fesses pour que sa petite fille lui rase l'anus.  Et à la fin, après avoir essuyé les poils, l'habitude était de faire un bisous. 'juste au milieux ma chérie, ton grand père me faisait cela et j'adorais... '  
J'appris aussi, cette même après-midi, que ma mère avait acheté des vêtements à Laure, mais des vêtements " à porter uniquement le mercredi'. Jupe en cuir, bas, chemisier blanc transparent . Jamais de sous-vêtements.  Si la grand-mère n'en portait pas, pourquoi sa petite-fille en porterait ... 
Toujours logique. Mais aussi, jupe plissée de petite fille, bas blanc. Dans ces cas-là, Granny avait envie de lui donner le sein. 
Elles allaient ainsi vêtues (si peu) se promener au bois. Il arrivait tjrs un moment où l'une des deux devait faire pipi. Le jeu consistait alors à faire pipi debout, face à face.  A grand renfort d'attouchements, ma mère avait montré à ma fille comment on faisait pipi debout, jambes écartées, genoux un rien pliés, en écartant le haut des lèvres pour : " ne pas en mettre partout et avoir un joli jet'.  Chacune essuyant ensuite l'autre avec un kleenex. Un jour, Granny (c'est ainsi que Laure appelle sa grand-mère) avait oublié les kleenex. Laura était toute gênée de devoir rester mouillée. 'Ne t'en fais pas ma chérie, Granny va te nettoyer'. C'est ainsi que Laura se fit lécher intégralement par sa grand-mère. … 
Tout cela me rappela mon enfance. Ma mère justifiait ses attouchements  en disant qu'elle avait l'amour tactile ! 
Et le fait que le seul WC de la maison se trouvait à la salle de bain lui permettait d’épancher ses penchants pour l'uro.  
Parmi les vêtements du mercredi, il y avait aussi :  jupe plissée de petite fille, bas blanc. Dans ces cas là, Granny avait envie de lui donner le sein. Et en effet, je me souviens, ma mère m'avait allaitée très longtemps et elle adorait cela. Elle me caressait, m’appelait son bébé... 
Anne était sidérée par le récit de ma fille. D'ailleurs elle s'était discrètement caressée tout le long. 'Eh bien dis donc, quel personnage ta grand-mère !, c'est pas courant'.  Laure lui expliqua que tout cela lui avait plu, et faisait partie de ce qu'elle était devenue. Elle termina par : 'si tu veux à l'occasion, nous irons goûter chez  Granny? ' Je me fis la réflexion : 'Dieu sait ce qu'elles vont goûter ! ' 

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