Une nouvelle expérience pour Mathilde qui voulant provoquer quelques hommes pour me faire monter en pression, se retrouve prise à son propre au jeu. Pour le plus grand de son plaisir et celui des autres....
Proposée le 6/12/2022 par JMPR04
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: Groupes
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Avec Mathilde nous sommes en couple depuis quelques années et occupons tous les deux des postes à responsabilités. Mathilde est une femme de 37 ans, d’ 1m70 et 49 kg particulièrement séduisante avec des seins généreux et fermes, de longues jambes fines et une cambrure de reins mettant en valeur un joli petit cul.
Avant les vacances scolaires d’été, nous avons pris l’habitude de nous accorder 3 jours de congés dans une grande ville afin de nous noyer dans l’anonymat et de nous lâcher un peu avant de repartir pour une séquence professionnelle estivale rude.
En cette soirée d’été particulièrement radieuse et après un repas en terrasse déjà bien arrosé, nous sommes rentrées vers notre hôtel. Les premières chaleur de cette nuit d’été, l’alcool, la robe au profond décolleté que portrait Mathilde me laissait espérer une nuit torride dans cette chambre d'hôtel.
A notre arrivée dans la chambre, sans un mot Mathilde se dirigea vers la salle de bain et j’entendis l’eau de la douche. A ce moment je n'aspirais qu’à une bonne pipe avant de la baiser bien profondément .
Pourtant, Mathilde sortit de la salle de bain, vêtue de sa petite robe de plage au motif floral bleu et blanc. La robe courte associée à des chaussures à talons compensés mettaient en évidence la cambrure de ses reins et la rondeur de ses fesses que l’on pouvait deviner au regard de la courte longueur du tissu. En haut le col en V de la robe et les bretelles suggèraient une poitrine généreuse et des épaules sensuelles. Mathilde mis une petite veste en jean pour camoufler ses avantages naturels.
Le désir de passer ma main entre ses fesses fut vite stoppé par une petite tape sur les mains :
- Non, j’ai envie de sortir ce soir, de danser, de m’amuser toi tu peux bien attendre un peu. J’ai vu un club juste à côté j’ai envie d’aller boire et danser
- Ok, mais tu sais bien que je suis dyslexique des pieds alors à part être au comptoir je ne vois pas ce que je vais faire
- ça tombe bien, je n’avais pas du tout envie que tu danses avec moi
- Hein???
- Bon y va…
Effectivement, il y avait un club à trois ou quatre cents mètres de notre hôtel, et pourtant, ce trajet me sembla interminable. En sortant de l'hôtel, je m’approchais de Mathilde pour lui prendre la main, mais un petit geste d’écart me fit comprendre que je devais rester à une distance respectable.
- Puisque que tu ne danseras pas, à quoi bon me tenir
Je ne savais pas comment me positionner, à côté d’elle ? derrière? Brusquement, Mathilde s’arrete pour vérifier l’attache d’une de ses chaussures. Me retournant pour voir ce qu’elle fait, je la vois s’afférant sur sa chaussure plier en deux, les jambes bien droites et légèrement écartées. C’est à ce moment que je découvre ses fesses nues et sa petite chatte fraîchement rasée. Les quelques passants dans la rue contemplent presque religieusement cette apparition, certains hommes ralentissent, se retournent discrètement mais aucun ne fait de bruit ou de commentaires par peur de voir cette agréable vue disparaître aussi rapidement qu’elle est apparue.
Comme ces hommes, je reste médusé, je profite du spectacle et je trouve une certaine excitation à savoir que d’autres hommes en profitent aussi. Je commence à comprendre son jeu, elle veut me voir réagir à ses provocations qu'elle compte faire au public que nous allons croiser.
En entrant dans le club, Mathilde se décide à enlever sa petite veste de jean. Quelle excitation de la savoir nue sous ce léger tissu et quelles appréhensions de ne pas savoir ses réelles intentions. Je n’ai qu’une hâte : que son jeu s’arrête pour pouvoir profiter de son corps, je n’ai qu’une envie qu’elle continue ses provocations pour m’exciter aussi fort que je pourrai la prendre tout à l’heure.
Un petit escalier nous descend vers une salle tamisée, quelques tables entourent une piste de danse et un bar au fond de la salle. La salle est remplie mais sans être bondée et nous pouvons observer l’ensemble de cette pièce. Une musique électronique et entraînante invite à la danse. Dans ses gestes, son regard, Mathilde observe et étudie l’espace, les gens qui vont lui servir à faire monter l’excitation. Elle trouve une petite table non loin de la piste et commande très rapidement des mojitos. Son excitation semble monter à voir comment elle enfile les cocktails pour mieux se lâcher. Ses mouvements sur la chaise laisse entrevoir une folle envie de rendre ce public fou. Elle croise et décroise ses jambes, laissant entrevoir son sexe, elle se penche en avant pour mieux faire deviner ses seins. Ses mots ne s’accordent pas avec les gestes qu’elle pose, elle me parle de l’ambiance, de la musique et à côté de cela elle scrute, observe les hommes qui commencent à remarquer cette sublime femme légèrement vêtue. Les sourires et les regards à l’égard de ces derniers deviennent de plus en plus provocateurs et entreprenants. Les hommes se donnent des coups de coudes, s'apostrophent pour pointer cette femme qui ne semble pas avoir froid aux yeux.
La musique electro semblant lui convenir, Mathilde se lève pour aller danser. Elle se positionne au milieu de la piste mais fait en sorte de rester dans mon champ de vision. Très rapidement, les déhanchés se font de plus en plus amples, Mathilde sait très bien faire pour attirer l’attention de tous. Les mains dans les cheveux et les mouvements de son fessier font décoller le tissu de sa robe et dévoilent ses fesses. Au rythme de la musique, elle s’accroupit en écartant de plus en plus les cuisses laissant apparaître un sexe lustrer par sa cyprine. Elle se retourne, elle virevolte, se baisse, se penche…comme beaucoup dans cette pièce je ne sais plus ou regarder son sexe, son cul ,ses seins…je n’ai qu’une envie l’attraper fermement par les hanches pour mieux lui montrer à quel point elle m’excite.
Un cercle d’homme commence à se former autour d’elle mais jusque-là personne n’a osé tenter sa chance. Un homme d’une petite trentaine tente sa chance et vient derrière elle pour danser, se frotter à elle. Tout en continuant à danser Mathilde commence à frotter son joli petit cul sur l’entrejambe de ce chanceux. Elle attrape sa robe de chaque coté de ses hanches pour soulever le tissu et venir frotter son cul nue et luisant sur le sexe de son compagnon de danse. Ce dernier n’hésite pas un instant et place ses mains sur l’avant des cuisses de Mathilde et tente de les remonter vers son sexe. Mais elle ne s’en laisse pas compter, elle se retourne pour lui signifier d’un geste du doigt qu’il n’a pas le droit de toucher juste profiter de ses initiatives à elle.
Toutefois, en recadrant cet homme, un autre s’approche d’elle par derrière pour également venir réclamer une petite stimulation de sa bite par ce cul qui s’offre à la vue de tout le monde. Mathilde continue ce jeu de séduction mais semble un peu dépassée par les événements…elle n’avait pas tant confiance dans le potentiel attractif de son corps.
Le cercle d’hommes qui admirait sa danse sensuelle et excitante se resserre et je ne vois pratiquement plus Mathilde. Bien que toujours dans son jeu, Mathilde commence à perdre le contrôle de la foule. Beaucoup aimerait un petit bonus.
C’est à ce moment qu’apparait dans ce cercle de testostérone une femme d’une trentaine d’année aussi blonde que Mathilde est brune et à la peau aussi bronzée que Mathilde à la peau blanche. Ses yeux perçants et sévères remettent les intrépides à leur place et le cercle à nouveau reprend sa distance initiale.
Cette inconnue porte une courte jupe plissée noire et un petit haut à bretelle faisant apparaître une poitrine tout aussi généreuse et ferme que celle de Mathilde. La blonde agrippe les mains de la brune et se rapproche pour lui susurrer quelques mots au creux de l’oreille. Un sourire entendu des deux femmes et très rapidement la danse reprend. Cette blonde venue de nul part, s’accroupit devant Mathilde et tout en se déhanchant et en remontant lui caresse l’arrière des jambes et en profite pour soulever sa robe jusqu’au milieu du dos, laissant apparaître un petit tatouage dans le creux des reins “Abuse Me”. Relevée, de sa main gauche elle attrape Mathilde par les cheveux et l’oblige à se pencher en avant mettant en évidence son cul et sa chatte qui n’attendent que se faire prendre. Sous les hourras de cette foule essentiellement masculine, cette inconnue lui claque les fesses entraînant un petit cri d’excitation chez Mathilde.
Tout en continuant leurs mouvements chaloupés en rythme, la blonde qui frotte son sexe au fesses de Mathilde et ses seins à son dos, donne de nouvelles consignes à Mathilde qui par son sourire adhère à la proposition. Mathilde maintenant, toujours sa robe au-dessus de ses reins se met face à cette blonde survoltée et tout en montrant sa croupe descend ses mains jusqu’aux chevilles de sa partenaire et les remonte en plantant ses ongles dans les cuisses. Leurs bouches se retrouvent face à face, leurs regards se toisent, se défient pour savoir laquelle sortira en premier sa langue sur les lèvres de l’autre.
Un sourire un clin d’oeil et brusquement Mathilde redescend au pied de cette inconnue en faisant tomber la jupe de cette dernière et offrant à tout le monde la vue de superbe jambe bronzées se terminant sur un string noir.
L’excitation monte d’un cran chez les spectateurs ainsi que les cris. Je ne sais pas comment réagir, ma queue se durcit, mon envie de la prendre et de la baiser monte de plus en plus et j’ai envie de voir la suite, j’ai envie d’être un voyeur profitant de ces jeux.
La jolie blonde au string noir prend les cheveux de Mathilde à deux mains et lui ordonne :
- LÈCHE !!
Mathilde hésite, la regarde, à ma connaissance elle n’a jamais eu d’expérience avec une autre femme. Le public qui a bien entendu, scande à tout va des “LECHE-LECHE…”
Elle me regarde, sourit, me lance un clin d'œil : “ça t’excite mon salaud” se dit-elle.
Alors sous l’impulsion de cette inconnue Mathilde remonte sa langue le long des cuisses et la frotte sur cette chatte camouflée par un petit carré de tissu. Ses mains ont agrippé les fesses de cette blonde et elle les malaxe du mieux qu’elle peut. Puis, sentant le plaisir monter chez l’une comme chez l’autre et face aux cris d’excitation de la foule, Mathilde décide d’enlever le string de sa partenaire et d'enfouir sa langue dans la chatte de cette inconnue. Les yeux fermés par le plaisir de l’excitation qu’elle génère, elle mordille le clito de cette femme qui devient sa maîtresse. Elle goûte à la cyprine de cette femme qui balance sa tête en arrière tout en maintenant la tête de Mathilde au fond de son sexe.
Cette jolie blonde devenue dominatrice enlève son haut et exhibe fièrement ses seins. Elle remonte Mathilde et la regarde :
- Tu as pris des risques avec moi, ma chérie je pense que tu ne vas pas être déçue. Bouffe-moi les seins espèce de salope, puisque tu veux jouer à cela.
Mathilde commence à lécher, à mordiller, elle salive sur cette poitrine.
Sa maîtresse lui prend les mains et les pose sur son sexe :
- Caresses-moi, doigtes-moi ma cochonne. Tu es à moi maintenant et pas à ton mec qui te regarde sans savoir quoi faire. Je vais te transformer en chienne
Mathilde s'exécute comme elle peut pour caresser, mordre, lécher, doigter….elle a du mal à respirer prise par l’excitation des cris du public, des commandes de sa dominatrice
La blonde lui donne une gifle :
- Fais moi jouir, fais bander ces mecs, rends fou ton mec !!!
Mathilde enfouit deux doigts dans la chatte de sa maîtresse et lui donne de grands coups tout en malaxant son clito avec la paume de la main. Avec son autre main, elle s'emploie à lui écarter la rondelle. Les coups de dents sur les seins sont de plus en plus incisifs. L’inconnue passe des soupirements aux petits cris. La jouissance monte, le rythme des coups accélère, la jouissance est là, les cris, les souffles sont de plus en plus forts, de plus en rapides. Le public cri “Jouis; Jouis….”.
Le corps de sa maîtresse d’un soir se raidit, se cambre, les jambes se tendent, les mains tentent de contenir les coups de butoir de Mathilde qui rit de donner du plaisir, de contrôler sa partenaire.
La blonde approche de l’oreille de dit quelques mots à Mathilde qui semble approuver.
- Vous voulez que je la dresse cette chienne ?
- Oui, dresses-là; dresses-là scande la foule
Elle prend Mathilde par les cheveux et l’emmène auprès du bar pour lui poser les mains dessus et l’obliger une nouvelle fois à nous présenter son cul et sa chatte recouvert de cyprine par l’excitation. Elle prend une bouteille de Téquila qu’elle s’amuse à passer le long des cuisses de Mathilde puis pose le goulot au bord de la vulve. Partagée entre envie et crainte, l’abricot de Mathilde s’ouvre et se ferme presque naturellement.
- Retournes toi chienne !!
- RETOURNES-TOI; RETOURNES-TOI reprend le public
Mathilde se retourne les yeux à demi fermé par le plaisir, l’excitation, l’envie. Je suppose que cela fait bien longtemps qu’elle a oublié sa stratégie d’affoler deux ou trois hommes sur la piste pour m’exciter.
Pourtant, je suis excité comme un fou, ma bite ne demande qu’à sortir, j’hésite à la sortir pour me caresser tellement je suis à bout. D’ailleurs certains l’ont fait, d'autres venus avec une femme les caressent allégrement, un peu plus loin dans un coin un peu plus sombre l’un se fait sucer pendant qu’une autre se fait prendre par derrière à grand coup de bite. Apparemment Mathilde sait donner des idées.
La blonde, la bouteille de téquila à la main, s'approche doucement de Mathilde qui appuie son dos et ses coudes sur le bar.
- ouvre la bouche ma salope
- Mathilde s'exécute et sa maîtresse lui verse de la téquila. Elle avale.
- N'avale pas pouffiasse, c’est moi qui te dis ce que tu dois faire !!
Mathilde ouvre grand la bouche en penchant sa tête en arrière, la téquila roule le long de ses joues et glisse entre ses seins. La blonde lui attrape la tête et l’approche de sa bouche pour mieux boire la Téquila qui passe d’une bouche à l’autre dans un baiser des plus passionné.
Je cherche du regard Mathilde, mais elle est concentrée que sur son propre plaisir. Après une telle séance, je pense que je n’aurais qu’à me caresser seul dans mon coin car ma femme sera à bout de force.
La dominatrice d’un soir regarde Mathilde, elle met ses mains sur les épaules et fait tomber la robe. Mathilde est nue, ivre de plaisir, de crainte, d’envie, d’excitation..Elle ne maîtrise plus rien et pourtant elle souhaite que cela continue. Continuer mais jusqu’où…
La blonde lui verse la bouteille de téquila sur le corps et lui demande de se caresser pour étaler le liquide. Mathilde s'exécute ses mains passe sur ses seins, son ventre, ses cuisses, ses fesses….une hésitation son sexe ?
- Caresse toi la chatte !!! mets en partout petite salope, tu as vu comment tu les excites !!
Elle s'exécute et étale l’alcool sur sa chatte déjà bien humide. Le plaisir est à son paroxysme Mathilde n'attend qu’une chose se faire prendre.
Juste sentir ma bite au fond d’elle. Juste se faire défoncer comme elle aime après des jeux comme celui-ci. Sauf que là, elle n’a plus la maîtrise. D’habitude, elle a un minimum de contrôle : elle joue, elle excite, elle se soumet et après, nous nous retrouvons tous les deux pour une baise intense et pour se faire empaler par ma bite; Bref c’est elle qui le décide. Là non, elle ne décide plus grand chose, alors se faire sauter oui, prendre des grands coups de bite surement mais quand comment par qui…??? Et pourtant le plaisir d’une bite se fait de plus en plus urgent.
- Monte sur le bar, que tout le monde admire comment je te dresse, chienne !!
Mathilde est debout sur le bar, nue, sa peau humidifiée par l’alcool. Je ne sais plus si c’est nous qui l’admirons ou si c’est elle qui admire le spectacle de l’excitation qu’elle génère.
- Danses!!!
Mathilde recommence à danser, à se caresser. Le rythme de la musique, les sons de basse donne le rythme non pas de la danse mais des coups de doigts qui entre dans son sexe. Sa maîtresse lui tend la bouteille vide :
- Enfonces-toi ça !!! Vu comment t’es trempée cela devrait aller loin.
Mathilde au rythme de la musique se tourne sur le bar, son cul nous fait face, elle se penche et nous montre son sexe prêt à recevoir le présent de la blonde. En se déhanchant, elle enfonce le goulot de la bouteille, avec un cri de plaisir qui déchire les hourras du public.
L’autre main dans les cheveux, les yeux fermés, elle bascule la tête en arrière de plaisir. Le miroir derrière le bar nous montre ses seins qui oscillent de droite à gauche.
Tant d’hommes, à ce moment, voudraient être le goulot de cette bouteille. Moi le premier , j’ai dégrafé ma ceinture et tiens ma bite fermement, ne sachant pas si je dois me caresser ou si je dois la serrer pour ne pas jouir comme un puceau devant son premier porno.
Mathilde ne voit plus personne, n’entend plus personne, elle ne ressent que son plaisir. Ses jambes ne la portent plus, elle tombe à 4 pattes sur le bar et continue les vas et vients avec la bouteille. Elle se retourne, s’allonge sur le bar, écarte les cuisses, se caresse le clito de la main droite pendant que la main gauche pousse et retire la bouteille de plus en plus rapidement et de plus en plus profondément.
Le public est à quelques centimètres d’elle, il la regarde, les queues des hommes sont tendues, certaines sont sorties fièrement dressées, fortement luisantes. Certains ont déjà jouit, d’autres poussent leurs copines à les branler, à les sucer, à se faire prendre…Des femmes se caressent, s’embrassent…un public dans un état de plaisir primaire qui ne pense qu’à jouir face à ce qu’il vient de se passer.
Mathilde jouit, son corps se crispe de plaisir sur le bar, elle crie, se mord les lèvres, se cambre…le public jouit avec elle. Je n’ose toujours pas jouir, toujours cet ado en moi qui ne sait pas quoi faire devant une telle débauche de plaisir, de soumission, d'excitation…
Mathilde est nue sur le bar, à bout de souffle…Pendant qu’elle reprend sa respiration, beaucoup finissent de jouir. Telle Hédonée (la déesse du plaisir et de la sensualité), tout le monde la regarde nue et épuisée mais personne ne s’autorise à la toucher. Mathilde se relève, descend du bar, un sourire de satisfaction, d’extase, elle traverse la piste, elle ne cherche même pas ses vêtements, elle en à rien à faire de ses vêtements…elle a jouit, elle a fait jouir.
Y a t’il de la musique à ce moment, je ne sais pas, je ne sais plus….Elle s’approche, elle me fixe :
est ce que tu as jouies ? me demande t’elle
Quand à la blonde inconnue, elle a disparu comme les vêtements de Mathilde
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Commentaires de l'histoire :
Ael
Merci pour cette histoire bien bandante... Une suite le lendemain à la plage avec la dominatrice ?
Posté le 24/03/2023
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