Miriam et Gilles 2

Miriam et son fils cèdent à leurs pulsions amoureuses, ils se donnent l'un à l'autre avec fougue. Miriam veut rattraper le temps sexuellement perdu, les amants ne retiennent pas leurs envies de sexe, ils ébatent comme jamais.

Proposée le 21/11/2022 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Miriam s'essuie les lèvres d'un revers de la main, elle regarde son fils, un peu déboussolée parce qu'elle vient de faire, elle dit :

-Mon chéri, je te demande pardon, je suis une maman indigne, je regrette sincèrement, ce que je viens de faire !

Gilles lui sourit et répond :

-Mais maman, nous, nous aimons, tu n'as pas à regretter ton acte, moi, je ne vais sûrement pas regretter les miens !

Il lui remonte la nuisette par-dessus la tête et la jette sur le plancher, il la bascule sur le lit et s'allonge sur elle, il l'embrasse comme un malade. Sa bouche descend et s'accroche aux mamelons, il les tète à tour de rôle avec une voracité monstrueuse. Miriam geint à chaque aspiration sur ses tétons. Les bouts plantés au centre des aréoles brunes deviennent énormes. Gilles ne leur laisse aucun répit, il s'acharne tellement dessus que les mats de chair deviennent douloureux.
Sa maman, geint en s'accrochant à lui comme une pieuvre à son rocher. La bouche délaisse les mamelons et continue sa progression. La langue agile taquine le nombril. Miriam pousse des grognements en agitant lentement son bassin. La langue passe le point de non-retour, et glisse sur la fente trempée. Miriam se cabre, la langue du fiston et habile, elle trouve la boule magique et la titille.

La maman serre les dents, elle pousse des gémissements qui prouvent qu'elle prend du plaisir. Les assauts de la langue sur son clitoris la font frissonner. Soudain, elle sursaute, la visiteuse vient de s'enfoncer profondément dans son vagin et le fouille à l'en rendre fébrile. La maman ondule du bassin, la langue qui lui fouille les entrailles la rend dingue de bonheur. Son clito est devenu méconnaissable, il ressemble à une petite bite dure. Gilles ne cesse de le sucer, il s'acharne même dessus, il sent que sa maman va exploser. Effectivement, Miriam se cabre et jouit forment.

Le fils gourmand avale tout ce que sa maman lui offre, il se gave comme un affamé. Enfin, il se redresse, place sa verge contre le temple en feu et l'enfonce d'un seul coup jusqu'aux couilles dans le ventre de sa maman. Miriam se souvient, brusquement, que le bonheur, c'est d'avoir une bonne queue bien enfoncée dans son ventre. Gilles la pilonne comme un dieu, sa queue entre et ressort en faisant gémir sa maman de plaisir. Le mandrin voyage avec puissance dans la gaine brulante, qui enveloppe parfaitement bien la verge. Le gland généreux qui frotte contre les parois de la gaine provoque à la maman des spasmes monstrueux. Elle pousse des gémissements rauques qu'elle ne peu incontrôlée.

La bite vigoureuse de son fils lui laboure les entrailles en la faisant couiner comme une bête blessée. La tension est au maximum, Miriam se cabre et jouit en hurlant de plaisir. Gilles la défonce un long moment, ses coups de reins sont violents. Enfin, il se bloque, pousse un rugissement de fauve, et remplit le ventre de sa maman avec sa semence épaisse. Il retire sa verge visqueuse et offre aux lèvres charnues de sa maman son gland gluant. Sans se poser de question, la maman gobe l'engin et le nettoie du liquide qui la recouvre. Elle s'évertue à sucer comme une professionnelle du sexe, sa langue tille, le frein tourne sur le gland et le suce voracement jusqu'à ce que son fils et amant jouisse dans sa bouche.

Après la fellation terrible, Gilles replace sa tête entre les cuisses de sa maman, il s'acharne encore sur le clito hors norme et s'attaque à l'anus de la maman qui se cabre. La langue glisse sur son anneau ridé, le taquine un bon moment. L'effet produit est terrible, Miriam se cabre en gémissant comme un animal. Elle avait oublié comment qu'une feuille de rose puisse être aussi monstrueux. Elle agite sa croupe en soufflant fortement entre deux souffles, elle dit faiblement :

-Oh mon chéri, tu me fais mourir !

La langue appuie sur la petite porte anale et finie par la forcer. Elle s'enfonce dans l'étroit conduit et le fouille le mieux possible. La maman est prise de frénésie, elle agite sa croupe comme une forcenée. Elle se cambre fortement et jouit du cul comme jamais, elle ne l'avait fait. Miriam subit les assauts de son fils une bonne partie de la nuit, ses jouissances furent phénoménales. épuisés, les deux amants s'endorment enlacés tendrement.

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