Miriam et Gilles. 1

Depuis que son mari est décédé, Miriam vit avec son fils Gilles, qui est encore étudiant. Elle, femme de ménage, trime du matin au soir pour un salaire de misère, Gilles l'aide du mieux qu'il peut en faisant quelques petits boulots çà et là. Malgré les difficultés, Miriam et très souriante.

Proposée le 19/11/2022 par valeriane

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Miriam, femme de soixante-cinq ans, est encore désirable, depuis la mort de son mari il y a quelques années, elle vit avec sont fils Gilles, encore étudiant. Miriam, femme de ménage, trime du matin au soir pour un salaire de misère. Ajouté, La pension de veuve
à son maigre salaire, elle arrive difficilement à joindre les deux bouts. Son fils l'aide comme il peut en faisant quelques petits boulots çà et là. Pourtant, Miriam garde le sourire, elle fait le maximum pour que son fils chéri ne manque de rien.

Chaque soir avant de se coucher, Gilles entre dans la chambre de sa maman pour l'embrasser, elle attend ce moment avec bonheur, son fils est la seule chose qui lui donne encore gout de vivre. Après un petit câlin, il rejoint sa chambre, Miriam s'endort le cœur joyeux. Chaque jour, c'est le même rituel. Demain, c'est samedi, pas de travail, ni de cours. La maman, fatiguée, prend sa douche et monte dans sa chambre. Gilles lui tarde un peu, il zappe de nombreuses fois la télé, puis décide de prendre sa douche aussi.

Il enfile le pantalon de son pyjama et monte à l'étage. Comme à l'accoutumée, il ouvre la chambre de sa maman pour lui souhaiter une bonne nuit. La lumière est allumée, mais sa maman semble dormir, il fait une moue et s'approche du lit. La chaleur est étouffante, Miriam est étendue sur le lit, les draps sont repoussés à ses pieds. La nuisette qu'elle porte, est remontée à mi-cuisses et les découvre largement.
Gilles se rend-compte que sa maman a de magnifiques jambes. Il s'approche plus près et s'assoit sur le bord du lit. Il contemple sa maman qui dort comme un ange, il remarque que pour dormir, elle ne porte pas de sous-vêtements, il aperçoit la fine toison qui dépasse de la nuisette, vicieusement, il se penche et admire pour la première fois la vulve de sa maman, son cœur se serre, il déglutit bruyamment. Le bougre désir sa maman depuis longtemps, mais il sait que c'est un amour impossible. Sa maman, tout en somnolant, bouge et dévoile entièrement son intimité.


Gilles écarquille les yeux, et sans penser à mal, pose sur la cuisse épaisse de sa maman sa main. Miriam ouvre lentement les yeux, elle regarde son fils et lui sourit. Elle lui dit tendrement :

-Excuse-moi mon chéri, je me suis endormi, cela fait longtemps que tu es là !

Gilles répond en béguant un peu :

-Hum, non, non, je viens d'entrer !

Il se penche et lui donne un gros baiser sur le front, elle le prend par le cou et lui dit avec une certaine émotion dans la voix :

-Heureusement que tu es là mon chéri, je ne sais pas ce que je ferai sans toi !

Gilles lui sourit, il a toujours sa main sur la cuisse de sa maman, et se met à la caresser doucement. Il la regarde droit dans les yeux et lui dit :

Ma petite maman, je sais que tu trimes pour moi, mais dès que j'aurai mon diplôme, ta vie va changer, je te le promets, je veux que tu sois heureuse !

Elle le serre très fort, et répond :

-Mais mon chéri, je suis heureuse avec toi, écoute comme mon cœur bat !

Machinalement, il pose sa tête sur la poitrine de sa maman et écoute les battements réguliers du cœur. Il redresse la tête en souriant et dit :

-Tu es vivante, c'est le principal mon petit bout de femme !

En souriant, il pose sa bouche sur un mamelon et à travers le fin tissu, lui fait quelques petites succions. Miriam se cabre en poussant un gros soupir, elle pose sa main sur la tête de son fils en lui caressant les cheveux, la main qui s'enfonce dans la chevelure tremble. Gilles aspire plus fort le mamelon, Miriam se tend comme un arc. L'amour platonique qu'ils avaient, change petit à petit. Gilles s'enhardit, sa main monte le long de la cuisse de sa maman et bute contre l'aine. La maman semble être dans un autre monde, elle soupire, l'approche des doigts vers son temple, la rendent fébrile. Les intrus hésitants s'enfoncent dans sa toison et la triturent maladroitement. Gilles délaisse le mamelon, et redresse la tête, les regards se cherchent, et s'accrochent. Miriam et rouge de honte, elle ne sait pas, pour quelle raison, qu'elle n'a pas la force de repousser son fils.

Les visages sont si près que les lèvres se frôlent, les souffles chauds se mêlent, les yeux brillent. Les bras de Miriam enlacent son fils, elle le tire fortement contre elle et murmure :

-Gilles, oh Gilles mon chéri !

Sans chercher à comprendre, leurs lèvres s'unissent, les langues se nouent comme deux reptiles qui cherchent à s'accoupler. Les respirations sont rapides, les cœurs battent la chamade. Les doigts de Gilles pressent plusieurs fois les grandes lèvres vaginales de Miriam qui se cabre légèrement. Le baiser cesse, les deux amoureux se regardent un long moment, c'est Miriam qui parle la première :

- Mon Dieu, mon chéri, je dois être folle, que Dieu me pardonne !

Gilles lui répond en souriant :

-Maman, si tu savais depuis combien de temps, je te désire, laisse-moi t'aimer !

Miriam lui tend ses lèvres sans répondre, elle aussi aime son fils d'amour, mais n'ose l'avouer. . Le baiser qu'ils échangent est un vrai baiser d'amour. Ils échangent un flot de salive avant de cesser le baiser. Gilles se met à genoux sur le lit. Sa maman regarde la bosse énorme qui déforme son pyjama. Elle plaque sa tête contre le ventre de son fils en soupirant fortement. Le bougre lui saisit la tête et la frotte doucement contre son sexe tendu. À chaque passage de sa tête sur le membre dur, Miriam donne un petit baiser dessus. Gilles lâche la tête de sa maman et baisse son pyjama, sa queue se dresse d'un coup et oscille sur son bas ventre avant de se stabiliser. La maman regarde, comme tétanisée, la verge de son enfant. Elle déglutit, sa poitrine se soulève en prenant de la vitesse, sa réparation devient courte. Timidement, elle tend la main, saisit la queue, et la décalotte tendrement. Elle regarde un bon moment le gland marbré et inconsciemment, se met à le branler lentement.

Gilles serre les dents, ferme les yeux, Sa maman hésite un instant avant de gober le champignon royal et, de le sucer avec de plus en plus de vigueur. Gilles souffle comme un bœuf. Malgré son l'abstinence forcée, la maman sait toujours faire une fellation. Miriam, privée depuis un bon moment de sexe, s'enhardit, elle déguste le cèpe comme une affamée. Son fils geint de bonheur, il répète sans cesse :

-Oh maman, maman !

Il se raidit, et c'est en grognant, qu'il remplit de son sperme brulant, la bouche avide de sa maman, qui tète encore un moment la verge, avant de faire l'effort d'avaler le nectar dont elle en avait oubliée le goût



À suivre

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