Voyagé de noce en Corse (suite)

Rencontre dans le désert des Agriates suivi d'une soirée un peu spéciale avec des gens peu recommandables. Qui sème le vent, récolte la tempête... Claire va en faire la douloureuse expérience. Ce qui ne sera pas sans conséquences.

Proposée le 26/10/2022 par Sucette

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Thème: Couple, passion
Personnages: FHH
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Histoire vraie

Sur les conseils de papi, nous partons pour deux jours avec de l'eau et une glacière bien garnie dans le désert des Agriates en empruntant une piste à peine carossable. Sitôt arrivés sur la plage de Saleccia, nous plongeons en tenue d'Eve dans l'eau turquoise. Nous faisons connaissance avec un autre couple de robinsons et partageons notre repas du soir. Puis allongés sur une grande natte, nous admirons un ciel magnifique. Nous fumons un mélange de tabac et d'herbe illicite et savourons ces instants magiques puis nos mains ségarent sur nos partenaires et le désir nous envahit, suivent des embrassades passionnés et faisons l'amour cote à côte. Au bruit de nos respirations et nos soupirs s'entendent celui des vagues. Claire me chevauche la main dans celle de sa voisine couchée à côté de moi. J'admire la musculature de mon voisin en pleine action.
Ensuite, nous prenons un bain de minuit puis les filles vont se coucher dans le même sac de couchage avant de tomber dans les bras de Morphée. Nous les regardons s'embrasser puis nous nous éloignons pour deviser sur nos projets.
Le lendemain, ils partent pour la montagne tandis que nous rentrons rejoindre papi.
Il est très fier de nous montrer ses travaux et son matériel. Ses photos de paysages et de la faune sauvage et la flore endémique de son île sont magnifiques, il nous montre les ouvrages auxquels il a contribué puis nous ouvre des albums plus intimes. Il nous montre les derniers clichés en contre jour, en contre plonger, en lumière rasante de nos corps nus et nous propose d'en faire de plus érotiques en nous rétribuant. Claire a un peu peur et demande un délai de réflexion. Sur ce il nous invite au restaurant pour la soirée.
Pour l'occasion ma chérie a revêtu une robe blanche en coton ajourée ajourée, un gros collier africain, des bracelets aux bras et à la cheville. Un léger maquillage la magnifie. Le cadre est idyllique, les mets délicieux le service impeccable. A la fin du repas, après le café, le patron vient à notre table et nous offre les alcools forts de son crus. Il nous raconte plein d'anecdotes et nous incite à fréquenter une boîte à la montagne. Le commis nous y emmène. C'est une ancienne bergerie qui retrouve une nouvelle jeunesse en devenant un lieu à la mode.
Nous sommes très bien accueilli et l'ambiance était festive.
N'étant pas un bon danseur, je m'installe au bar tandis que Claire investit la piste. Elle s'étourdit à danser. L'ambiance change avec le temps passé, l'éclairage diminue, la clientèle, elle s'éclaicit. Pour ma part, je crroule de sommeil et m'endors. C'est Claire qui va vous raconter la suite.

Le témoignage de Claire :
L'ambiance se dégrade, des frollements, on passe aux attouchements, aux compliments se substitue des propos graveleux accompagnés de frottements appuyés. Trois hommes sont particulièrement collants. J'ai l'impression d'un concours, d'être une génisse au milieu de l'arêne.
Alors que je m'assoie pour récupérer et retrouver mon souffle, ils m'abordent. Celui en face de moi me fit comprendre que je les avais bien chauffé et maintenant je devais les accompagner à l'étage, qu'ils étaient de vrais hommes pas une lavette comme mon mari et que j'allais le découvrir.
La fatigue, l'alcool, et queque chose d' indéfinissable au creux des reins, me fît les suivre comme une automate.
Parvenue dans la chambre ils me déshabillerent puis me demandèrent quel était ma préférence. Je choisis le chef pensant être débarrassé dès deux autres qui quittèrent la pièce. Il commença par s'emparer de ma bouche me galochant de sa langue épaisse et baveuse. Le baiser dura longtemps puis de ses bras puissants, il me fît agenouiller, il déboucla son ceinturon et un mandrin surgit sous mon nez. Il me saisit la nuque et me forçait à le prendre en bouche. Il s'introduisit jusqu'à la gorge me provoquant un haut le coeurpuis il se recula, j'essuyais mes larmes et entreprit de bien le caresser, frottant ma langue sur son frein, le meat, suçant son gland, aspirant sa verge. Mes mains caressait ses fesses, ses testicules. Moi qui répugnais à cette pratique la jugeant dégradante pour la femme, je m'appliquais . Il avait enlevé ses vêtements et j'avais devant moi un buste large et puissants couvert de poils bruns et fournis.
Puis il me jeta sur le lit, cracha sur mon sexe, frotta sa verge et me pénétra directement. Je sentis comme une défloraison, une brûlure, il ressortit et recommença puis imprima un lent va et vient. Je lubrifiais de plus plus, il accélèra la cadence avant de se réprendre sur mon ventre.
Sans un mot il se rhabilla et sortit en me tapotant la cuisse.
Je croyais mon calvaire terminé mais à peine je m'étais essuyée avec ma robe froissée que son frère rentra.

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