Histoire Erotique

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Frissons un Soir de Noce.

Ce soir-là, la narratrice a vécu un moment d’extase au milieu d’une assistance survoltée. Il vous sera difficile de croire que cela ait eu lieu, moi…., je la croit, car ses yeux ne mentaient pas, ni son attitude de femme amoureuse. Ce genre d’aventures se produisent plus qu’on ne le crois...........

Proposée le 18/01/2022 par maximilien7

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Thème: Couple, passion
Personnages: Groupes
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie


En tant que femme la correction aurait voulu que je me rebelle, que je réagisse immédiatement lorsque mon voisin de table s’est autorisé à prendre des libertés, des libertés défiant la morale. La morale ce soir-là, avait déjà été bousculée par des jeux très sensuels, pour ne pas dire plus, quand un soutien-gorge était retiré pour satisfaire un concurrent ou pour répondre à la sollicitation d’une meneuse de jeu très inspirée. Ces choses-là, vont toujours crescendo, et elles ont toujours le même but, attiser un appétit sexuel qui se révélera plus tard, quand la libido des uns et des autres aura atteint son apogée, l’alcool aidant à parvenir à une forme de désinhibition.

A force de voir circuler des pièces de vêtements de plus en plus intimes, j’avoue que je succombais moi aussi à une sorte de provocation érotique qui ne me déplaisait pas vraiment. J’avais fait don de mes chaussures à Jack, qui grâce à ce geste est resté dans le jeu. En récompense il plaqua un baiser sur ma bouche et aussitôt mon imagination se fit la malle, jusque-là, mon voisin de table était un parfait inconnu, oui, ‘’jusque-là’’, car après ce coup de langue impromptu, la méfiance qui d’habitude complète ma constitution féminine, avait bien fondue.
Quand le marié selon la tradition cherchait à retirer avec les dents la jarretière de sa jeune femme, la scène eu l’effet escompté, les voyeurs d’un côté prompt à mettre de l’huile sur le feu et les prudes de l’autre faisant mine de n’y trouver aucun intérêt particulier. Les cuisses de la mariée étaient belles, une paire de magnifiques fuseaux qui apparurent quand la superbe robe remonta bien haut jusqu’à exposer à la vue de chacun sa petite culotte de soie blanche.

Il fallait au moins ça, pour accéder à la sollicitation de l’assistance qui en demandait bien plus, alors sa tête disparut entre les cuisses de Valérie qui se teinta d’une couleur pivoine. Moi, je me sentais fondre par le bas, il faut dire que l’image était très subjective, j’imaginais le marié se saisissant du léger vêtement pour le retirer afin de gâter sa femme de la plus belle des façons au milieu de ces hérétiques dont quelques-uns se voulaient être de fervent moralisateurs. On n’alla pas jusque-là évidemment, alors la soirée se poursuivit, on dansa et ont bu plus que de raison. D’autres jeux à l’approche de minuit trouvèrent une consonance plus licencieuse encore, alors qu’on cherchait à deviner une pièce de lingerie qui pressait une participante à se débarrasser de ses vêtements pour se retrouver pratiquement à poil devant une assistance déchaînée.

Et elle était canon, la jolie Victoire, qui restait sans se démonter en petite culotte. Et ceci avec l’appui de son concubin, trop fier d’exhiber sa nana qu’il offrait aux yeux avides de l’assistance, qui profitait de l’occasion pour s’approprier ce corps, fouillant du regard l’entre-jambes de la jeune femme dont la petite culotte minimaliste était peu opaque. On y devinait parfaitement la petite raie humide, et en y regardant de plus près l’état émotionnel dans lequel elle se trouvait.
Le dessert fut servi très tard dans la soirée, puis on projeta un film retraçant la vie des jeunes mariés. Jack vint s'asseoir un côté de moi en m’enveloppant au passage d’une paire de bras fermes, un geste que je trouvais agréable, presque intime, il m'offrit un verre de vin doré, plongea ses yeux dans les miens et déclara en jouant le Roméo transit, - belle dame, je crois bien que je vous aime comment vous appelez-vous donc ?’’
- Je m’appelle Marianne, monseigneur le coureur de jupon, ne trouvez-vous pas que vous y allez un peu fort ?
- Comment, madame, je vous ai embrassée tout à l’heure et je vais le refaire tant j’ai apprécié cette douceur sucrée, vous êtes jolie, oui vraiment jolie.

La correction encore une fois aurait voulu que je m’en défende, mais la lumière s’est éteinte car le film venait d’être lancé, alors Jack a plaqué ses lèvres sur ma bouche, et il n’était plus temps de m’en émouvoir. Je fermais les yeux, tandis qu’une main curieuse cajolait mon genou gauche. Mon cœur battait la chamade, cette main était experte et l’homme rusé relevait aussitôt les frissonnements des chairs qui lui étaient soumises, car je suis femme et comme pour tout être, l’exigence du sexe ne relève pas que de la seule volonté, elle est aussi affaire de sentiments, des sentiments très arbitraires.

Jack se perdait doucement entre mes cuisses plus loin et plus haut que je n’aurais dû l’accepter, il faut se rendre compte que la volonté est bien peu de chose, on fait alors ce qu’on vous demande sans restriction. Un autre baiser sur ma bouche, quelques mots doux à mon oreille me firent grelotter, ma jupe se souleva une main se saisit de ma petite culotte qui glissa vers mes genoux. Le reste me revient comme le pitch d’un film X, je me soulève, elle s’en va et tombe au sol. Jack la ramasse et me la donne en main, elle est humectée de cyprine, je perds le peu de pureté qui me restait encore, alors j’aimerais qu’on me pénètre, qu’on me baise jusqu’ à en perdre conscience. D’ailleurs, je n’ai plus de conscience, tant Jack a pris l’ascendant sur ma personnalité. Il s’approche de moi, m’embrasse encore dans le cou, d’une main il dégrafe mon corsage et mes seins deviennent les fruits de sa passion, mon Dieu que c’est bon, que c’est doux et voluptueux !

- Ouvre tes cuisses Marianne, je sais où se trouve l’endroit le plus précieux de ton corps, je sais comment te rendre heureuse comme jamais tu ne l’as été…
J’obéis aussitôt, en desserrant mes jambes et doucement, prudemment il cherche le clito qu’il manipule avec un soin particulier, c’est une petite masturbation qui me projette dans un délire sensoriel que je n’avais jamais connue, alors je m’offre sans pudeur aux attouchements m’efforçant de ne pas gémir. La voisine d’en face semble avoir remarquée le manège, son petit sourire confirme son intérêt et elle attend visiblement l’instant ou je vais perdre le contrôle de mes sens. On n’en est pas loin, je me cramponne à son bras pendant qu’il entre en moi, loin, très loin dans mon vagin qui adopte les doigts qui coulissent entre mes lèvres, alors je fixe les yeux de la fille d’en face qui se mord les lèvres.

Ne pas gémir, ne pas crier pendant qu’on tourmente mon bas ventre ceci m’oblige à une concentration de tous les instants, alors je serre les dents et tente d’échapper par tous les moyens à l’astreinte qui tantôt cesse pour jouer avec les poils du pubis. Puis elle revient à l’ouverture génitale, me faisant attendre l’instant d’une nouvelle intrusion, la jouissance arriva soudain, suprême, fantastique, je me rejette en arrière le corps persécuté par un stress post orgasmique, je ne pus m’empêcher de mugir et je crois qu’en face la belle avait trouvé autant de plaisir à me regarder sombrer. Peut-être même qu’elle avait laissé ses doigts la satisfaire sous la nappe. Ce sont de longues minutes qui se suivent par vagues remontent du ventre à la poitrine, et percutent mon cerveau, je me liquéfie dans sa main et puis les tremblements cessent.

Jack lâche enfin sa proie, dans sa main la preuve de ma défaite est évidente, il l’essuie avec une serviette, et en face ça cogite, je baisse ma jupe et la lumière revient. Ce fut un bouleversement qui dura l’heure suivante, mais l’envie de faire l’amour subsista, mon cavalier me fit danser et je me collais à lui comme un aimant espérant une suite avant que la soirée ne finisse.
Le jour ne fut pas loin de se lever, Jack m'entraîna en direction du jardin français tracé au cordeau. Il y avait là, nombre de bosquets et de massifs de fleurs, de haies savamment taillées, alors on s’arrêtât au milieu de cette nature. J’ai toujours pensé que de se mettre à nue face à une personne qui vous observe, était une forme de soumission, une subordination qui vous instrumentalise et décuple le plaisir sexuel pour le multiplier par dix. Et je ne me trompais pas, je défis ma robe puis ce fut au tour du soutient gorges, j’enlevais mes chaussures retirais mes bas et il ne me restait plus rien à enlever, Jack me regardais faire, l’œil intéressé puis il me fit tourner sur moi-même en insistant pour que je fasse quelques pas dans l’allée.

Etre nue dans ces conditions est une sensation extraordinaire, un peu plus loin, apparut la silhouette de notre voyeuse enchantée, elle s’assit sur un banc et sur ordre je défilais devant elle avec l’impression d’être la petite ingénue asservie aux instructions d’un couple immoral. Elle ne voulait pas rester passive dans ce jeu alors elle fit tomber le pantalon de Jack, dégagea prestement son slip et sans autre préavis avala d’un trait son phallus, Jack eut un mouvement de recul qu’elle bloqua aussitôt. Moi, orpheline désemparée, j’attendais là, sentant monter une nouvelle fois cette incroyable tension sexuelle, je mouillais à profusion, puis, me laissant aller à genoux sur le gazon humide je fis ce que je savais faire, laissant mes mains apaiser mon sexe en révolution. Je regardais l’homme se faire sucer par cette fille, comme un agneau qui tête le pis de sa mère, lui, les yeux fermés cherchait à respirer le bouche grande ouverte, puis elle se retira, le laissant sur sa faim, sans lui offrir le plaisir de l’orgasme salvateur.
Elle s’approcha de moi, me fit basculer sur le sol, en quelques mouvements elle fut nue puis elle se colla contre moi, happant au passage tout ce qui lui parut attrayant.

Les mots qu’elle me jetât à la figure ures l’effet d’une paire de claques dans la figure et mirent à bas ma conscience de fille de bonne famille, reléguant aux calendes grecques cette prestance que je m’efforçais de garder depuis mon adolescence. Jamais on n’avait usé de paroles aussi brutes à mon égard. Ainsi je devenais la petite pute sommée de se laisser faire, et sans plus de manière je me trouvais écartelée, et fouillée au sein même de mes entrailles, elle mordait mes seins et mes cuisses, pinçait mes mamelons pour me faire hurler de douleur, et…., j’aimais ça.
- Oui, ma salope, gueule autant que tu veux…., oui, c’est ça ma chérie, écarte…., encore ou tu prends une raclée, voilà, regarde Jack comme elle gicle, prépare toi à la baiser elle sera à point quand je la lâcherais…..
Jack assiste à ma soumission sans intervenir et dans sa main il maltraite un gourdin flamboyant. Ma torture dura sans que je ne puisse dire combien de temps je fus sous l’emprise de la folle guêpe dont j’étais devenue un objet sexuel. Mais j’étais payée en retour, tant de fois elle m’emmena au 7ème ciel. Quand j'ai repris conscience, d’autres s’étaient joint à nous et ce fut un moment de panique que je subissais par la surprise de me voir observée et filmée, alors Jack me pénétra de toute ses forces. J’en tressaille encore en me souvenant de l’impression de ces sentiments mêlés de honte et de volupté libertine, l’émotion du spectacle que je donnais en gémissant comme une gosse, la jouissance de ces femmes cherchant à trouver mon clito, et leurs plaisirs quand elles l’avaient trouvée, me renvoyant encore à un orgasme totalement démesuré.
Quand enfin je restais là, épuisée, des mains précieuses prolongèrent leurs attouchements sur tout le corps. Je fus massée, léchée comme une friandise, goûté aux endroits les plus improbables, avec l’impression d’être vénérée par les soins qu’on apportait à me rendre vierge de toutes traces de cette nuit de folie. Le matin pointait son nez je me rhabillais un peu rêveuse, sur ma poitrine on avait inscrit un n° de téléphone, ce qui faisait rire Jack, et…, sa copine, dont je ne m’étais pas douté qu’ils se connaissaient. Ils avaient fait de moi, leurs complices et je ne regrettais rien…

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Commentaires de l'histoire :

Guépiere
Bravo Marianne superbe salope comme moi. je raconte mes aventures sous le pseudo "Guépiere". pense à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 14/11/2022


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