Négociation professionnelle

Avec ma compagne, nous avons des postes a responsabilité au sein d'une même entreprise et ils nous arrivent fréquemment d'avoir à négocier pour l’intérêt de nos sites respectifs. Ce qui n'est pas toujour simple...

Proposée le 15/10/2022 par JMPR04

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie

Avec Mathilde nous sommes en couple depuis quelques années et occupons tous les deux des postes à responsabilités au sein d’une même entreprise. Nous avons chacun la responsabilité d’un site distant d’une trentaine de kilomètres. Mathilde est une femme d’ 1m70 et 49 kg particulièrement séduisante avec des seins généreux et fermes, de longues jambes fines et une cambrure de reins mettant en valeur un joli petit cul. De par ses fonctions, Mathilde peut se montrer intraitable dans ses positionnements et ses exigences. Cette attitude tant vis-à-vis de ses collègues que de ses collaborateurs viennent renforcer son attirance et son sex appeal.

L’un comme l’autre nous aimons que nos ébats soient particulièrement intenses et nous aimons tenter des “expériences” régulièrement. Toutefois, ce qu’affectionne tout particulièrement Mathilde c’est lorsque nous jouons un rôle et du moins dès lors qu’il y a une mise en scène. Moi, j’aime quand elle me surprend; Alors c’est petit jeux de rôles surprises je suis preneurs, sachant en général, comment cela va terminer.

Depuis quelque temps, nous n’avions plus eu l’occasion de nous amuser car nous avions chacun des échéances conséquentes sur nos deux sites respectifs. Notre relation évoluait tristement vers “bonjour-bonne journée” et “ça été ta journée - bonne nuit”.

Cette semaine ressemblait comme aux précédentes où une nouvelle fois, je devais rester tard au bureau pour rendre un nouveau rapport.

Alors que je n’étais plus que le seul dans les bureaux du dernier étage ce soir-là, j’entendis des bruits de pas qui me firent tendre l’oreille. C’étaient les pas d’une femme car je reconnaissais la sonorité des talons.

A la porte, je vois apparaître Mathilde dans son trench coat fermé. Elle me fixait avec un regard sévère et pourtant je devinais un certain amusement dans le fond de ses yeux et dans l’inclinaison de sa bouche.

En silence, elle enlève son manteau, faisant apparaître une tenue à la fois professionnel, stricte et terriblement sexy : des talons noirs, des collants noirs, une jupe crayon noir également complètement fermé par une fermeture éclair sur le coté, une blouse blanche avec un col en V plongeant, une chaîne de corps argent plongeait dans son décolleté.

Le petit sourire en coin face à ma réaction devant sa tenue sexy et la façon de jeter son manteau sur la chaise, me fit comprendre que ce soir Mathilde souhaitait que j’accepte de jouer à un de ses jeux de rôles qui se terminent par une partie de baise plus qu’intense. J’allais devoir m’adapter à ses sollicitations mais je savais pertinemment que son désir le plus profond était qu’à un moment ou à un autre je prenne le dessus sur elle physiquement pour la soumettre à une intensité sexuelle et physique très forte.

Très naturellement et spontanément, Mathilde remonta la fermeture éclair de sa jupe au-dessus de son genou pour s'asseoir sans croiser ses jambes mais en les maintenant serrées. Elle était devant moi, bien droite, les bras croisés devant son décolleté m'empêchant de voir ou même deviner si elle avait un soutien gorge.

J’allais devoir être bon si je voulais mériter un peu plus.

- Je crois que nous avons un sérieux problème M. B…
- Comment ça ?
- Ah ne fait pas l’innocent !!! c’est toujours la même chose avec toi

Mathilde commençait à bouger sur sa chaise, elle laissait maintenant deviner que sous sa blouse, elle n'avait rien et je pouvais entrevoir la forme adorable de ses seins. J'avais bien répondu, elle attendait que je me soumette à elle dans un premier temps

- Tu me piques ma plus proche collaboratrice et tu voudrais que je ne te dise rien ?
- Tu savais très bien que je cherchais une collaboratrice et Nath t’avait prévenue de son désir de postuler. C’est comme ça !! nous n’avons plus qu’à nous entendre pour une date d’arrivée chez moi.

Encore une bonne réponse de ma part; Mathilde remonta la fermeture éclair de sa jupe afin de croiser ses jambes et mettre en évidence des bas retenues par 4 jarretelles. Madame voulait se la jouer salope bourgeoise ce soir…

- Mathilde, tu sais que cela fait 4 mois que ma collaboratrice est partie et que je ne peux plus tenir comme cela

- Sauf que tu sais très bien que mon site a été fragilisé par la crise sanitaire et que j’ai encore des absences qui ne me permettent pas de tenir sans Nath. C’est vu avec le patron, il a bien dit que la priorité était de ne pas fragiliser mon site. Je suis épuisé par ce contexte, tu le sais bien…je suis vraiment trop stressée à penser de perdre Nath

La fermeture éclair de sa jupe est totalement remontée, Mathilde écarte les cuisses et fait apparaître un sexe totalement épilée à travers une culotte transparente. Les yeux fermés, les mains dans les cheveux, elle se penche en arrière sur sa chaise, les bouts de ses seins traversent le tissu de sa blouse.

- J’ai vraiment besoin de me détendre avant de pouvoir envisager une date de départ

- Je décide de ne pas bouger, je me cale dans mon fauteuil et je patiente.

- Tu vois, il va falloir que je me débrouille toute seule maintenant, même pour me détendre

Mathilde se redresse sur sa chaise, les cuisses toujours écartées elle me fixe, me provoque du regard, ses mains descendent à l’intérieur de ses cuisses puis remontent vers son sexe. Sa main gauche écarte sa culotte pendant que sa main droite fait de petits mouvements circulaires sur sa vulve. Son regard est un mélange d’excitation, de jouissance et de provocation.

- Tu la veux rapidement ta nouvelle collaboratrice ?? Alors va falloir que tu m’aides à me détendre. Et je peux te dire que je suis vraiment tendue

Elle n’est pas la seule à être tendue, ma queue est dure, mon envie de la retourner sur le bureau ne fait que de grandir mais je dois continuer son jeu

Doucement, je me lève et m’approche d’elle. Brusquement, elle place le talon de sa chaussure entre mes cuisses.

- Mets toi à genoux !! Si tu la veux vraiment, tu dois me supplier par tes caresses et ta langue pour la mériter. Si tu me fais jouir alors je verrai…

Je m’exécute en me postant à genoux devant elle. Son regard me fixe avec impatience et autorité. Je pose mes mains sur ses genoux et commence à lécher sa chatte à travers le tissu de sa culotte. Elle mouille déjà… la fraîcheur, la douceur de sa chatte et le goût de la cyprine me font encore plus bander. Je n’en peux plus, il faut que je sorte ma bite. Je tente de faire glisser mes mains vers mon pantalon mais Mathilde a anticipé, elle me donne un coût dans le dos avec la règle plate qu’elle avait récupéré de son cartable.

- Je t’ai dit de t’occuper de moi !!! rien à foutre de ta bite !! Tu me bouffes la chatte et tu me doigtes !! j’ai envie de jouir !! Magnes toi !!!

J’écarte le tissu de sa culotte et commence à lui donner des grands coups de langue sur les lèvres, ma langue s’introduit dans son sexe.

- hmm, c’est un peu mieux continue !!!

Brusquement, je glisse mes mains sous ses fesses. Tout en plantant mes doigts dans ses fesses et les écartant je la soulève. Elle se retrouve debout devant moi, ma bouche et mon nez toujours dans sa chatte, je descends violemment ses bas et lui arrache sa culotte.

- ça y est tu commences à comprendre ce que j’aime…vas y doigtes moi bien a fond.

- J’introduis deux doigts dans sa chatte et les fait tourner à l’intérieur en poussant le plus loin possible

- Oui vas y, continue bien à fond

Elle commence à lâcher prise et à ne plus être dans le contrôle. J'accélère le mouvement, puis brusquement je m’arrête pour écarter ses lèvres et recommencer à la lécher. Je mordille son clito. Les soupirs se transforment en petits cris et les mouvements du bassin deviennent de plus en plus amples.

Je retire ma tête et posant mes mains sur ses hanches je la fais se retourner pour avoir son petit cul devant moi. Un petit mouvement de ma main droite au creux de ses reins lui fait comprendre de se pencher en avant en appuyant ses mains sur le dossier de sa chaise.

Je mordille délicatement ses fesses, tout en continuant de stimuler son sexe déjà plus qu’humide.

Une petite claque sur les fesses lui fait comprendre d’écarter les cuisses.

- oh ! ouh ! oui encore !

Une seconde claque un peu plus forte et Mathilde se penche un peu plus en cambrant bien son dos. Toujours à genoux je commence à lui bouffer le cul.

- oh !! ouah!! N'oublies ma chatte…oh vas-y continue

Tout en m’affairant sur sa petite rondelle, j’enfonce violemment trois doigts dans sa chatte qui ne demandait que cela.

Un cri jouissif sort de sa bouche alors que ses jambes se tendent…Je continue ainsi, adaptant mon rythme de langue et de doigts aux gémissements et cris de Mathilde.

Sentant que Mathilde commence à chanceler de plaisir, je me relève et l’attrape par les cheveux pour mettre son visage face à moi et l’embrasser le plus goulument possible. Le regard de Mathilde n’est plus autoritaire ni vicieux. Les yeux à demi-ouvert son regard ne dit qu’une chose “vas-y baise moi !!! traite moi comme une chienne!!”

- Et maintenant, je suppose que tu veux que je te baise, que je te défonce ??? c’est ça ?? car c’est ça que tu aimes te faire baiser comme une salope ?


Dans un soupir Mathilde dit “oui”

- Non, tu me le demandes
- oui
- Non je veux que tu me supplies; Dis le “Vas y défonce moi”
- Non je ne peux pas

Je la mets face au bureau et la pousse en avant afin qu’elle se penche dessus. Elle se retrouve la tête sur le clavier de mon PC les mains agrippées au rebord du bureau. J’admire son cul et sa chatte qui s'offrent à moi. Je lui donne un coup de règle sur chaque fesse. Elle se raidit.

- Vas y !! dis le !!
- Je veux que tu me baises comme une chienne, j’ai envie d’être ta salope.

Je la retourne à nouveau face à moi, son envie de sexe a envahi l’ensemble de son corps, elle frissonne, bouge. Mes mains attrapent et arrachent ses vêtements. Elle est complètement nue face à moi, j'attrape ses seins, je les malaxe, mordille ses tétons.


Mathilde gêmit, gesticule, ses jambes ont du mal à la soutenir, elle recule afin de pouvoir poser son cul sur le bureau le temps que je lui lèche, bouffe les seins tout en caressant son sexe complètement trempée par l’excitation.

J’ouvre ma braguette et sort ma queue comme une friandise. Avant de l’enfourner et la croquer, elle lèche mes couilles, mon gland. Elle mouille bien ma bite, puis la met entre ses lèvres et enfin la suce avec avidité. Je tiens sa tête et accompagne ses mouvements, puis j’enfonce ma bite de plus en plus loin. Elle ne me suce plus, je baise sa bouche. Mathilde aime de plus en plus, elle aime quand elle perd le contrôle quand on la domine.

Je recule un peu. Mathilde doit s’éloigner du bureau.

- Mets tes mains dans le dos et écarte un peu plus les jambes.

- Mathilde s'exécute.

- Pas le droit de bouger les jambes

Je prends Mathilde par les cheveux et amène au niveau de mon sexe dur. Je lui enfonce dans la bouche. En total déséquilibre, Mathilde s'empale littéralement sur ma bite. Elle est piégée et sa tête ne peut que suivre les mouvements que je lui impose par mes mains qui tiennent ses cheveux ou mes coups de bite. Ne pouvant retirer sa bouche, sa salive coule sur mon sexe complètement trempé.

Je redresse Mathilde. Tout en reprenant sa respiration, elle affiche un grand sourire avec un rire envoûté et envoûtant.

- T’en peux plus ?
- Non
- J'arrête ?
-Non encore

Précipitamment mes mains tirent ses cheveux et emmènent le fond de sa bouche à rencontrer ma bite.

Mon excitation est de plus en plus incontrôlable, mes coups de bite vont de plus en plus loin. Mathilde salive de plus en plus. Je la relève une dernière fois, un sourire jouissif à la bouche, elle a atteint ses limites.

Notre excitation mutuelle me fait comprendre que je dois aller plus loin, je la retourne sur le bureau, elle pose ses mains pour se pencher et me montrer son joli cul . Je caresse à nouveau sa fente. Elle se mord les lèvres pour arrêter de gémir mais ce n’est plus possible, les gémissements sont devenus des cris. A nouveau mes doigts vont et viennent dans sa chatte pendant que de l’autre main un doigt s’introduit et bouge dans son cul.

Mathilde se penche encore plus, écarte encore plus les cuisses.

- Plus loin !! Plus fort !! souffle t’elle

J’empoigne ses hanches

- Tu as envie de grand coup de queues ?
- Encore plus loin !!! plus fort répond elle

D’un grand coup de rein, j’enfonce ma bite au fond de sa chatte. Je ne fais pas l’amour, je la baise sauvagement. Son bassin cogne contre le bureau sous mes coups de bite. Elle se cramponne comme elle peut pour ne pas tomber. Son sexe reçoit des coups de plus en plus effrénés.

Dans une crispation aussi intense que le cri qui sort de sa bouche, Mathilde jouit. Elle tente de redresser sa tête pour mieux expirer son plaisir.

Je la retourne face à moi et la pose sur le bureau. Tenant chacune de ses chevilles, je lui écarte les cuisses et lui donne des coups de reins encore plus violents et profonds. Chaque coup de bite de ma part s’accompagne d’un cri de plus en plus bestiale de sa part.
Mathilde jouit à nouveau.

Je suis sur le point de jouir. Je sens les jambes tremblantes de Mathilde, son corps qui fourmille. Je me retire et Mathilde tombe à genoux. Elle est à bout. Moi aussi, je lui éjacule en pleine face. Mon sperme glisse sur sa joue. Mathilde me toise de son regard épuisé et plein de malice et tout en me souriant elle ramène le sperme de sur sa joue à sa langue et l’avale goulument.

Tout en me regardant dans les yeux, elle avance sa bouche vers moi et nettoie tendrement ma bite en accompagnant ses gestes d’un délicat gémissement de contentement.

Mathilde mit ses vêtements dans son cartable et enfila son manteau. Avant de partir, elle se tourna vers moi.

- On reparle tout à l’heure à la maison de la date d’arrivée de Nath ?

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