Après l'épiphanie de la dernière fois, le Docteur Balai-dans-le-cul revient sur sa décision et notre relation, décidée à tout arrêter. Il ne tient qu'à votre serviteur de la ramener sur le droit chemin.
Proposée le 3/03/2020 par Korn
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Durant les jours suivants, je n'eus aucune nouvelle de Valentine, en dehors bien entendu de raisons professionnelles. Le vendredi soir, ma femme m'annonça qu'elle avait ses règles, ce qui signifie chez elle que sa libido entre en hibernation pour une semaine. Autant vous dire que le lundi venu, j'étais en rut, que les blouses de mes collègues, laissant voir leur soutien-gorge et poitrine lorsqu'elles se penchaient sur un patient, n'aidaient pas et que DBC agitant son gros cul et son chemisier avec un bouton ouvert me rendait fou.
A la pause de midi, je fonçai dans le bureau de Valentine. Elle allait m'envoyer chier ou me vider les couilles, mais au moins je serais fixé.
- Je me demandais quand tu finirais par venir, lança-t-elle lorsque j'ouvris la porte.
- Tu m'as demandé quelques jours pour réfléchir, ça fait presque une semaine.
- C'est vrai... J'ai largement pu réfléchir, on va tout arrêter Ludovic.
Fait chier ! fut ma seule pensée.
- Ok. Je peux te demander pourquoi ?
- Parce que tu as raison, j'ai appris à me lâcher, c'était le but. Et parce que je n'aime pas être une femme infidèle.
-Je vois... Pourtant ça n'avait pas l'air de te déranger quand tu m'as demandé de gicler sur ta chatte ou quand tu m'as supplié de te baiser.
- Non, mais... C'était un moment d'égarement...
- Bien sûr... C'est pour ça que tu mouilles rien que d'y repenser.
- Non ! Enfin... Si, mais je sais me contrôler.
- Donc si je me lève et que je mets ma main dans ton soutif, tu m'envoies chier ?
- Oui, fit-elle sans aucune conviction.
Quelque secondes après, j'étais à côté de Valentine, mes doigts en train de malaxer son sein droit. Ses joues rougissaient en même temps que mon entrejambe grandissait, elle affichait un air de plénitude.
- Allez, finis les faux semblants, docteur. Vous allez ouvrir grand la bouche et me sucer la bite comme vous rêvez de le faire.
Je baissai juste assez mon pantalon et mon boxer pour libérer mon engin, qui fut happé instantanément par des mandibules voraces. Une main derrière la nuque de Valentine, je ne pouvais m'empêcher de commenter.
- Eh ben voilà, c'était pas si compliqué. Ça c'est une bonne petite suceuse qui aime sentir une queue entre ses lèvres, pas vrai ?
Elle approuva d'un « hum hum ».
- Mets-toi à genoux ma belle. Voilà, comme ça, je te préfère soumise.
Valentine commença à jouer de la langue, je sentis une décharge de plaisir remonter le long de ma colonne vertébrale.
- Han oui, c'est bon ça ma belle. T'es une vraie petite salope de suceuse, tu aimes être à genoux à sucer des bites.
Elle redoubla d'efforts, elle aimait ce que je lui disais.
- Je parie que t'es toute mouillée dans ton string tellement ça t'excite.
Elle hocha la tête tout en continuant son œuvre.
- Rah putain, j'en peux plus, j'ai trop envie de ta chatte. Et toi, t'as envie que je te ramone ?
Elle acquiesça vigoureusement.
- Mets-toi à quatre pattes alors.
Valentine obtempéra aussitôt, campée sur ses avants-bras, croupe tendue. Je lui baissai jean et string à mi-cuisses d'un seul geste et assénai une violente fessée sur son postérieur.
- Je vais te baiser, Val', fis-je, je vais te baiser plus fort que tu l'as jamais été et je vais gicler ta gueule de petite salope.
Je m'agrippai à ses hanches et la pénétrai facilement. Je ne mentis pas, j'y allai comme un bourrin, je matraquai son abricot juteux de mon gourdin. Le rythme était si soutenu, l'excitation si intense, que je jouis en à peine une ou deux minutes.
- A genoux ! ordonnai-je en me relevant.
Je me libérai sitôt que Valentine fut en position, lui aspergeant littéralement le visage de foutre chaud, en puissants jets qui éclaboussaient sa peau, ses cheveux, son chemisier. Cela faisait longtemps que je n'avais pas eu pareille éjaculation, mais 3 jours avec la trique avaient grandement aidé... La doctoresse était couverte de sperme qui ruisselait sur son haut et gouttait au sol.
Bon prince, je l'essuyai et l'aidai à se relever.
- Adieu la discrétion, fit-elle en retirant son chemisier. Heureusement que j'ai du rechange dans l'armoire.
- Et donc, tu veux toujours qu'on arrête ?
- Oui... Mais je n'y arriverai pas, je perds le contrôle à chaque fois, alors...
- Alors ?
- Alors autant continuer et être une salope jusqu'au bout...
- C'est ton choix.
- Je sais... J'ai envie d'être fidèle, mais j'aime trop nos séances pour arrêter...
- Alors continuons.
- Oui... Mais avec quelques règles si tu veux bien.
- Tu n'arrives pas à lâcher le contrôle, hein ?
- C'est pour distinguer la maison de ce que je fais avec toi.
- Très bien, qu'est-ce que tu veux ?
Elle prit une grande inspiration et, rhabillée, retourna s'asseoir à son bureau.
- Je... J'ai bien réfléchi ce week-end. Enfin j'ai... j'ai beaucoup fantasmé.
- Oui, et... ?
- Tu sais, quand tu as parlé de chienne, de maître, tout ça ?
- Oui ?
Je commençais à m'impatienter devant tant d'hésitation.
- C'est ce que je veux. Je ne veux pas de douceur. Je veux être la chienne de mon maître. Je veux le sucer quand il me le demande, je veux qu'il me prenne chaque fois qu'il a envie.
- Pas de souci...
- Et euh... Je veux qu'il m'insulte, qu'il me traite de salope, de pute. Qu'il me fasse mal.
- Sans problème.
- Qu'il gère ma vie sexuelle. Me dise quoi porter, quand faire quoi. Je veux être son esclave, son jouet.
- Très volontiers.
- Alors on a un accord.
- Parfait. Je retourne bosser, reste un peu ce soir.
- D'accord.
J'eus beaucoup de mal à me concentrer sur le travail cet après-midi là. L'excitation n'était pas complètement retombée et en moins d'une heure j'étais à nouveau en chaleur. Maria, la kiné espagnole qui bossait avec nous, me surprit deux fois à reluquer ses seins et m'adressa autant de moues de reproche.
C'était une très belle femme, quarante-et-un ans, les pommettes saillantes, le cheveux noir coupé court et parsemé de quelques mèches argentées, grande et musclée, avec des hanches très larges et un bon 95C qui semblait plus que rebondi. Un vrai fantasme sur pattes. Et si je vous dis tout ça, c'est pour vous partager ma frustration de n'avoir jamais pu réaliser ce fantasme-ci.
La nouvelle de mon trouble fit rapidement le tour du service et Diane passa le reste de la journée à m'agiter sa poitrine et ses fesses sous le nez en s'esclaffant à chaque fois.
Diane était une antillaise de 26 ans, la peau sombre, un joli minois surmonté de tresses afro. Elle devait mesurer 1m55 à tout casser, mais était très fine et super athlétique, possédait un petit cul rond à faire se réveiller un mort, des jambes fuselées et une superbe poitrine ni trop grosse, ni trop petite pour ne rien gâcher. On pourrait l'appeler « fantasme sur pattes n°2 ». Et si je vous dis tout ça, c'est pour servir de bande-annonce à un spin-off de cette série.
Sitôt changé après le travail, je fonçai au bureau de Valentine. Il n'y a rien de particulier à raconter, je la pris contre son bureau en lui assénant fessée sur fessée tout en l'abreuvant d'injures et lui couvrit les fesses de sperme. Non, ce qu'il y a d'intéressant à raconter, c'est ce qui se passa ensuite...
Vers 20 heures, juste après avoir mis mes enfants au lit, je pris mon téléphone et appelai la doctoresse.
- Salut Val', c'est Ludovic. Tu peux parler librement ?
- Pas vraiment, mais je t'écoute.
- Parfait. Tu as une heure pour tailler une pipe à ton mari et m'envoyer un sms pour me dire où il a fini. Interdiction d'avaler.
- D'accord, je vais voir ce que je peux faire.
- Gentille fille.
- Merci. Bonne soirée.
Elle raccrocha, j'en déduisis que son mari devait être à proximité. Environ trois quarts d'heure plus tard, je reçus un sms de sa part :
« Rebonsoir Ludovic. Comme tu me l'as demandé, voici la liste des patients avec lesquels nous avons fini aujourd'hui : ... »
Suivi d'une liste de noms totalement inventés dont les initiales formaient S.E.I.N.S. Je répondis rapidement :
« Merci. Tu sais s'ils ont apprécié la prise en charge ? »
« Je pense, les retours étaient très bons. »
« Super, merci de ta réponse. Bonne soirée. »
« De même, merci. »
Dans le canapé, la tête posée sur mon épaule, ma femme n'en avait pas perdu une miette.
- Tu t'amuses quand j'ai mes règles, dis donc.
- Il faut bien que je me vide... l'esprit.
Elle rit. Sa main passa de la mienne à ma hanche, puis à mon entrejambe, qu'elle malaxa avec autant de délicatesse que de fermeté.
- Je ne sais pas, ma chérie. Trois fois dans la même journée, j'ai passé l'âge...
Mon aimée releva la tête, me susurra à l'oreille :
- Même par derrière ?
La suite, désolé pour vous, n'appartient qu'à nous.
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