Anniversaire de mariage, des parents de mon mari.

Invitée, pour les clinquantes années de mariage des parents de mon mari, une fête est prévue dans une salle. Plusieurs personnes sont là, j'en connais la plupart. Un grand type assit en face de moi necesse de me dévisager.

Proposée le 10/10/2022 par amandine1

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme

Mon mari est moi, nous sommes invités pour l'anniversaire de mariage de ses parents. Le voyage pour nous amener jusqu'à eux est très long, car nous habitons à l'autre bout de la France. La salle et déjà pleine d'invités, j'en connais la plupart. Les salutations sont rapides vu le monde présent.

Nous prenons place, face à moi, un homme, très élégant, ne cesse de me dévisager. Je me suis gênée par l'insistance de ses regards. Le repas est entre coupé de danse, mon mari, friand de danse, s'en donne à cœur joie. L'homme vient s'assoir à la place de mon mari, et entame la conversation. Je sens sa cuisse appuyer contre la mienne, je pousse un peu ma jambe pour qu'elle ne soit plus en contacte avec la sienne. L'homme me fait les gros yeux, et pose sa main sur ma cuisse en me regardant droit dans les yeux. Je suis comme tétanisée, je sursaute lorsqu'elle passe sous ma robe et me caresse la cuisse. Je pose ma main sur la sienne, il la repousse et plaque brutalement sa main sur mon intimité. Je n'ose pas crier, je ne veux pas faire de scandale.

Ses doigts agiles glissent dans ma culotte et caresse ma toison soyeuse, rapidement, je me mets à mouiller. La danse cesse, je souffle de soulagement, mais mon mari va s'assoir près de son frère et papote longuement. L'inconnu me regarde en souriant et me dit à l'oreille en pressant les grandes lèvres de ma chatte :

-Vas aux toilettes, retirer ta culotte et revient vite fait !

Avant que le me lève, il prend ma main et la pose sur l'énorme bosse qui déforme son pantalon et ajoute :

-Ne me fait pas attendre salope !

Comme un robot, je me lève, et me dirige au petit coin. Une force inconnue m'oblige à retirer ma culotte, j'essuie la cyprine qui s'échappe de ma chatte avec le tissu et range la culotte dans mon sac à main. Je rejoins ma place, mon mari n'est toujours pas là. l'homme me sourit et murmure :

-Tu l'as enlevée ?

Je fais un signe de tête pour dire oui. Il ajoute :

-J'aime les salopes obéissantes !

Il en profite pour me fouiller l'oreille avec sa langue, je sursaute lorsqu'il replace sa main contre ma chatte et avec son pouce, il agace mon clito pendant que les autres doigts me fouillent profondément. Je voudrais hurler, je ne sais si c'est de plaisir ou de soumission. Le bougre sait faire monter la pression dans mon corps, je m'agite le plus discrètement sur ma chaise en soufflant comme une bête. Je me raidis, me mords la main pour étouffer mon cri de jouissance. La cyprine s'écoule le long de mes cuisses, l'homme me sourit et me dit :

-C'est parfait, tu jouis bien, rejoins-moi dehors dans cinq minutes salope !

Sans savoir pourquoi, une fois que l'inconnu est sorti, je me lève et me dirige vers la sortie, je passe devant mon mari et je lui dis :

-Mon chéri, je sors un peu, car il fait trop chaud dans la salle !

Il acquiesce d'un mouvement de tête. Je sors enfin et cherche du regarde le type. Je l'aperçois à côté d'un gros 4/4. Je le rejoins, il m'enlace, se plaque contre mon corps, je sens son membre tendu qui appuie contre mon bas-ventre. Il m'embrasse fougueusement, automatiquement, je noue ma langue à la sienne. Il ouvre la portière, et me fait monter dans le véhicule, il met les sièges couchettes, me bascule sans douceur dessus, et me remonte la robe, il regarde ma chatte en souriant et me dit :

-Tu vas prendre grave salope !

Il sort sa queue, elle est monstrueuse, directement sans préliminaires, il enfonce son gourdin dans ma chatte. Il me remplit comme je ne l'ai jamais été, je m'accroche à lui et serre les dents. Ses coups de reins sont violents, je commence à prendre du plaisir sous les assauts monstrueux de l'inconnu. Sa bite, qui me distend le conduit vaginal, coulisse de plus en plus vite, dans mon ventre. Les muqueuses brulantes des parois sont continuellement en pressions, contre la bite énorme du baiseur. Je gémis de plus en plus fort, je deviens comme dingue, j'agite mon bassin en criant :

-Oui, oui, baise-moi bien à fond salaud, défonce-moi la chatte !

Pendant un bon moment, l'homme s'active dans mes entrailles, je pousse un hurlement et jouis comme une bête. Lui me bourre puissamment la chatte de coups de reins violents. Je suis une machine à jouir, je jouis plusieurs fois sous la fougue de mon amant. Enfin, il se cabre en rugissant comme un fauve, et me remplit le ventre de son sperme épais. Il me regarde puis me dit :

-Tu vas me sucer, après, je vais t'enculer et t'éclater le cul, je veux que tu jouisses du cul comme une grosse salope que je soupçonne que tu es !

Il m'offre son gland, je le suce en me déboitant presque la mâchoire, le salaud jouit très rapidement dans ma bouche, il hurle :

-Avale, avale salope !

Je déglutis difficilement la totalité de la décharge. Il me fait prendre la pose, tête sur mes avants bras et croupe bien relevée. Il place son mandrin contre mon anus, il pousse fortement, je grimace, je serre les dents. Mon cul n'a jamais été visité par un monstre pareil. Je subis la sodomie en geignant de douleur. Mais rapidement, elle change en plaisir, j'agite ma croupe en râlant, comme il l'avait prédit, je jouis du cul comme une grosse salope, en me tordant de plaisir. Il déverse enfin dans mon rectum plusieurs giclées de semence. Il se retire, me regarde et dit :

-On peut dire que tu es vachement bonne toi salope, aller vas retrouver ton cocu !

Une fois hors du véhicule, je me rajuste. J'essuie avec ma culotte le surplus de sperme qui s'échappe de mes orifices. Je n suis pas près d'oublier cet anniversaire. Je me garde de le dire à mon mari, car je redoute son courroux.

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