L'éducation d'une femme concée 2

Lydia tente d'exciter son amie Mariette. Discrètement, elle fait un clin d'œil aux deux hommes, les deux sans dire un mot se lèvent et se rendent à la cuisine.

Proposée le 26/09/2022 par linsee

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Thème: Couple, passion
Personnages: Groupes
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Lydia, par tous les moyens, tente d'exciter son amie Mariette, elle s'agite sur son fauteuil en ouvrant le compas de ses longues jambes, pour que sa proie, voit bien sa chatte. Discrètement, elle fait un clin d'œil complice aux deux hommes qui se lèvent est, sans dire un mot, disparaissent à la cuisine.

Mariette ravale sa salive, ses yeux hagards ne quittent pas le triangle charnel de Lydia. La coquine passe doucement sa main sur sa chatte imberbe, et insère deux doigts dans le sillon des grandes lèvres. Les intrus glissent sur la fente qui perle de plus en plus. Soudain avec elle pousse un petit gémissement, et se cabre, ses doigts ont pénétrés son vagin et le fouillent de plus en plus violemment. Mariette regarde le spectacle, sa chatte suinte depuis un bon moment déjà. Elle sert les cuisses si fort que son corps se raidit. Lydia s'avance son bassin sur le fauteuil. Mariette voit maintenant les deux orifices, sa respiration s'accélère. L'anus de son amie est secoué de frémissements, sous l'influence les demi-rotations de ses doigts dans sa chatte, son anus s'ouvre et se referme constamment. Mariette soupire fortement, son ventre se noue et se met à trembler.


Lydia sait que le but recherché, est pratiquement atteint. Son amie ne tient plus en place dans son siège. Elle pose ses mains sur le bas de son ventre, et à travers le fin tissu de sa jupe, elle presse très fort en grimaçant. Le regard des deux femmes s'accroche, Mariette et rouge de honte, elle ne cesse de presser son bas-ventre, pour faire cesser le flot de cyprine qui s'échappe de son temple en feu. Lydia se lève et se place face à Mariette, elle pose ses mains sur les cuisses de son amie, et les glissent sous la jupe. Mécaniquement la jupe remonte sur le haut de ses cuisses, Mariette est comme tétanisée. Lydia lui écarte doucement les cuisses, elle sourit, car la culotte de Mariette trempée. Le fin tissu s'insère entre les grandes lèvres et les font ressortir outrageusement.


Lydia ne peut s'empêcher de poser deux doigts sur la fente protégée que par ce petit rempart de dentelle. Les premières phalanges appuient sur sa fente et montent jusqu'à la proéminence que forme le clitoris. Quelques pressions des intrus sur lui font sursauter Mariette. Lydia la regarde en souriant et lui dit :

-C'est parfait ma chérie, ton corps réagit très bien, maintenant, il faut passer à l'étape suivante, je vais faire revenir Ludovic et Julian !

-Mariette fébrile répond en béguant :

-Non, non, pas encore Lydia, je ne suis pas encore prête !

Lydia la regarde et réplique avec douceur :

-Je vais commencer ma chérie, cela te mettra plus en confiance !

Lydia joint le geste à la parole, elle tire sur la culotte humide et la descend très lentement, il ne faut surtout pas brusquer Mariette que se refermerait immédiatement. Une fois la culotte sur le sol, avec délicatesse, elle lui déboutonne le corsage et ouvre largement les deux pans. D'un geste souple, elle lui dégrafe le soutient-gorge. Ses seins jaillissent comme deux ogives dressées vers le ciel. Mariette a des aréoles très foncées, ou sont plantés deux mamelons larges et épais. Lydia regarde avec intérêt le corps de son ami, il ne lui reste que la jupe corps. Remontée sur le haut de ses cuisses, la jupe ne cache rien de son intimité.

Les doigts agiles de Lydia s'activent avec une habileté incontestable sur les mamelons de Mariette qui geint faiblement. Lydia les fait dresser comme de petits mats de chair, en les roulant entre ses doigts fins. La coquine les étire pour entendre son amie gémir. Elle plaque sa bouche à tour de rôle sur mamelons et les suce de plus en plus fortement, Mariette, rejette sa tête en arrière, son souffle s'accélère. Les succions sont terribles, ils font couiner Mariette de plaisir. La chatte de la soumise laisse échapper un filet continu de cyprine. Une petite flaque s'étend sur le sol. Lydia, en même temps qu'elle suce les tétons qui ne cessent de prendre du volume, elle caresse la vulve en feu de son amie.

Ses doigts s'enfoncent dans le cratère en éruption, et le ramone en prenant de la vitesse. La chatte de Mariette n'est qu'une source intarissable. Soudain, elle se cambre en poussant un long râle, Lydia lui a saisi le clito et le branle comme une petite bite. Le bassin de Mariette s'agite au rythme du branlage. Ses cris, qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main, ressemblent à ceux d'une bête blessée, tombée dans un piège. Lydia cesse de téter et dit :

-Jouit ma chérie, jouit, ne te retiens pas, donne tout !

Mariette pousse un hurlement, se cabre en jouissant fortement. Lydia lui presse le clito, elle sait qu'avec ce traitement les femmes jouissent plus puissamment. Le corps de Mariette et secoué de spasmes violents, elle ne peut contrôler ses râles bruyants. Lydia, satisfaite de son élève, lui dit en souriant :

-Maintenant ma chérie, c'est Ludo et Julian qui vont s'occuper de te faire mourir de plaisir, tu es prête ?

Mariette, encore secouée par les spasmes innombrables, est encore en transe, elle ouvre la bouche, mais aucun son n'en sort.

à suivre

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