Une femme mariée, deux enfants, une bonne situation. Derrière cette image de réussite, des fantasmes totalement inassouvis voir abandonnés. Mais la vie est loin d’être une fatalité.
Proposée le 13/09/2022 par Marcialus
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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nous sommes le mardi 23 août 2022, une journée des plus banales. Il fait beau et chaud. Le ciel est d’un bleu azur et aucune tempête ne semble menacer ce prochain nycthemère.
J’ai rendez vous avec une prospect. Je l’ai eu au téléphone la semaine dernière. Un de ses amis lui avait parlé de moi, elle a quelques projets et a besoin de mes conseils. Je suis gestionnaire de patrimoine et je suis habilité à orienter les gens à gérer au mieux leur argent.
Il est 10h du matin et me voilà devant la porte de ma prospect prêt à sonner quand soudain la porte d’entrée s’ouvre. Elle a du entendre les voiture rouler sur les graviers qui recouvrent l’allée devant la maison. Je découvre alors et femme élégante, blonde, plutôt fine, élancée même, aux portes de la quarantaine, de beaux yeux verts, les cheveux longs et presque ondulés. Elle est vêtue d’une robe longue verte au décolleté discret.
Elle me demande de la suivre au salon et nous nous installons autour d’une vaste table faite d’une immense et magnifique planche de bois montée sur d’imposants pieds en métal. La pièce principale est plutôt classe, tout est très bien rangé. J’aperçois des photos encadrées accrochées aux murs dont une plus massive sur laquelle la même femme pose fièrement aux côtés de son mari et de ses deux jeunes garçons.
Je commence à réaliser mon travail, je lui pose énormément de questions. On passe en revu sa famille, son travail, son épargne. L’échange se fait dans une traditionnelle bonne humeur. Au bout de quarante cinq minutes, je reviens sur deux trois points essentiels pour moi. Madame a pas mal d’argent de côté mais ne sait pas quoi en faire. Je lui demande si ses enfants et sont maris sont très importants pour elle. Elle me répond que les enfants sont ce qu’il y a de plus cher dans sa vie. Quant à l’évocation de son mari, un blanc commence à s’installer. Je lui demande de me dire à quoi elle pense. Elle me répond qu’elle aime son mari. Elle n’a aucun doute à ce sujet avant de s’égarer dans ses propos. Elle ne parle plus de lui en qualité de mari mais en qualité de père de ses enfants comme si elle l’aimait pour ce qu’il fait pour leurs enfants plus que pour elle.
Son visage se décompose peu à peu. Je lui demande d’en se délivrer encore un peu plus en lui rappelant que tout ce qu’elle me dira restera confidentiel. C’est alors qu’elle commence à se lâcher.
-J’aime énormément mon mari. Il est doux, attentionné, il est formidable avec les enfants mais il manque quelque chose.
-Quelque chose?
-Oui, je ne saurai pas comment vous dire… A vrai dire, je ne sais plus si je l’aime encore ou si je me suis habitué à sa présence et pour honnête c’est sur un autre plan que ça pêche… mais vraiment…
-De quel plan vous parlez?
-Vous savez bien… dit-elle d’un ton sibyllin en esquissant un léger sourire narquois
-J’imagine mais je préfère que vous le précisiez, lui dis-je en lui renvoyant le même sourire taquin.
-Le seul gros problème de mon mari, c’est qu’il ne m’a jamais réellement faite vibrer. Ça fait presque 20 ans que nous sommes ensemble. On s’est connus à la fac. Et depuis tout ce temps, il m’a toujours fait l’amour de la même manière.
-De la même manière? Lui lâche-t-elle avec stupéfaction.
-Le même début, le même milieu, la même fin.
-Et vous n’avez jamais osé lui demander qu’il s’y prenne autrement?
-C’est devenu tellement automatique, répond-elle en soupirant. Je pense que ça le rassure.
-Excusez moi mais comment est-ce possible?
-Je ne sais pas. Et j’avoue avoir peur de proposer autre chose. J’ai peur de l’effrayer ou pour qu’il me prenne pour ce que je ne suis pas.
-Vous parlez de pratique dont vous auriez envie et vous avez peur de sa réaction?
-Oui!
-…
-C’est étrange cette sensation où on a l’impression qu’on peut tout vous dire…
-Je n’ai aucun tabou!
-C’est ce que je ressens, vous êtes le genre de personne à qui on peut dire ce qu’on pense sans que vous soyez choqués…
-Et surtout sans jugement.
Nos regards se figent l’un dans l’autre. Une tension est quasi palpable et le temps semble s’être arrêté. Dans cette bulle, je ressens comme une envie folle. Une pulsion à laquelle je n’ai d’autre issue que d’y répondre…
C’est alors que je me lève et d’un pas décidé, je me dirige vers elle. Elle ne me quitte pas des yeux. Arrivé à côté d’elle, je lui saisis le bras, recule sa chaise et la fais se lever. Je sens qu’elle veut se tourner vers moi mais j’exerce une pression pour qu’elle reste face à la table. Je pose ma main sur son dos et la penche en avant. Elle ne sait pas ce qu’il va se passer mais se laisse faire. Et toujours sans comprendre cette pulsion qui m’anime, je soulève l’arrière de sa robe verte que je dépose sur son bas du dos. Je découvre une jolie culotte en dentelle qui a l’air coordonnée avec le soutien gorge. Je tire son bras pour le mette derrière elle. Je la sens trembloter. Elle est entre la peur, l’effroi, et l’excitation. J’entends sa respiration qui se veut plus longue et plus profonde. Je dépose pour autre main sur sa fesse gauche que je caresse délicatement avant de la lever bien haut et de l’abattre d’un coup sec.
-ouch! Susurre-t-elle. Son sang ne fait qu’un tour. La fessée faisait partie de ses fantasmes.
Je la caresse de nouveau tendrement avant d’une nouvelle fois abattre ma main sur sa fesse.
Elle s’effondre sur la table en lâchant un petit cri. Cette sensation brûlante du claquement puis l’autre enveloppante de la caresse la perturbe quelque peu. Elle est incapable de se dire laquelle des deux elle préfère. Le combo lui sied très bien pour le moment.
Je lui caresse une nouvelle fois la fesse tout en lui lâchant le bras. Je saisis ses cheveux en en faisant une queue. Je lui tire la tête en arrière et la frappe à nouveau.
-Encore! Soupire-t-elle. Sa respiration est de plus en plus forte. Le fait que je lui tire les cheveux et qu’elle devienne un objet pour l’autre la rend complètement dingue. Elle qui a peur que son mari la voit comme une salope. Elle qui n’aurait jamais demandé à son marie qu’il la traite de cette façon. Et cet homme qui entre chez elle et la traîne dans cette décadence.
Je la frappe encore.
-Encore! Soupire-t-elle un peu plus fort en se mordillant la lèvre inférieure.
Splaf!
-Encore! Lâche-t-elle.
-Je n’ai rien entendu, lui dis-je en la caressant et en laissant glisser mes doigts entre ses fesses.
Splaf! Il ne manquerait plus qu’il m’insulte et ça serait parfait! Pense-t-elle!
-Crie le que tu en veux encore, Salope!
-Oh mon Dieu! ENCOOORE!
Splaf! Splaf!
Je glisse ma main sous sa culotte pour la lui retirer et la faire glisser en haut des cuisses tout en passant mon majeur entre ses lèvres bien humide puis remonte en faisant pression sur l’entrée de son son sexe, de son périnée et de son anus. Je la vois se lécher la lèvre. Je saisis l’agrafe de son soutien gorge, est d’un geste simple du pouce et de l’index, le détache. Je lui tire un peu plus la tête en arrière, plonge ma main dans son décolleté pour extraire de son haut intime ses deux globes. Ainsi, ses tétons frotteront au tissus.
Splaf! Splaf!
Elle n’en peux plus, je le sens à sa respiration. Le temps est venu d’arrêter la fessée, du moins pour le moment. C’est alors que je m’agenouille devant le ce spectacle saisissant de ce cul qui m’est offert. Je plaque une dernière mes mains deux mains sur chacune de ses parties les plus charnues de son corps avant de déposer ma langue sur son clitoris et mon nez à l’entrée. Je la sens frémir et gigoter. Soit je la chatouille ou soit elle profite un maximum de ce que je lui offrir avec ma bouche. Je lui lèche le clitoris, l’aspire et joue avec. Ma langue remonte peu à peu pour jouer avec ses lèvres. Je fais des mouvements de va et viens à l’intérieur. Je la sens se relever. Elle saisit mes mains et les colle sur ses seins. Elle a enlevé le haut de sa robe et ôté son soutif, c’est pour ça qu’elle gigotait. Je l’entends pousser des petits cris. Ma langue monte sur son périnée et maintenant sur son anus.
-Oh mon Dieu! Dit-elle d’un ton très aigu.
Je la sens s’écrouler littéralement sur la table en lâchant un cri intense suivi de rires évoquant du soulagement, de la libération.
Elle peine à reprendre son souffle et reste quelques minutes la tête collée à la table, la robe toujours relevée et les fesses encore à l’air. Le haut du corps semble ondulé avec sa respiration. Je la contemple. Se relève doucement me regarde droit dans les yeux. Elle se met à genoux face à moi…
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