Catherine rejoint Antoine pour le dîner qu'il lui a promis.
Proposée le 10/01/2016 par Patrick2toscane
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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
La dernière chevauchée.
Dans son bureau de l’agence « Echo Imm », Catherine tenta de composer son après-midi avec les ivresses que provoquaient ses contradictions.
Le défilé des jours l’éloignait trop doucement de l’œil du cyclone et ce n’est qu’au bout d’une semaine, que Madame La Motte Pernac comprit ce qu’Antoine Lopez avait planifié : toute peine mérite salaire et contre un chèque à six chiffres, sa peine serait de lui offrir une belle soirée.
Catherine demanda à Cyril de s’occuper de la vente de la maison et il fallait croire que son employé était doué puisque la vieille demeure se vendit en à peine deux semaines.
Un week-end, Catherine passa à faible allure devant la demeure du vieil homme : Antoine semblait être rentré de son voyage. Elle eut la surprise de voir un camion de déménagement devant la propriété. Elle s’arrêta à la hauteur du 17, mais ne voulait pas être reconnue par qui que ce soit et après un dernier regard vers la porte d‘entrée, elle poursuivit sa route.
Plusieurs jours plus tard, Catherine arriva à l’agence et découvrit une seule lettre sur son bureau. Elle identifia l’écriture d’Antoine. La date du dîner était enfin fixée : mercredi 23 à partir de 19h30. C’était déjà demain soir !
Mercredi 23 septembre
Après une journée fraîche et ensoleillée, le ciel de ce début de soirée s’était assombri. Une grosse voiture s’invita dans la rue des acacias et cérémonieusement, elle la remonta pour s’arrêter à la hauteur du 17.
Quelques longues minutes s’écoulèrent avant que la conductrice ne descende. Ses cheveux étaient attachés hauts derrière sa nuque. Sur son bras, recouvrant sa pochette, un petit gilet noir.
Catherine traversa fièrement la rue sur ses talons hauts… Elle portait une petite robe de lin noir sans manche qui s’arrêtait à la moitié de ses cuisses. Son soutien-gorge confinait exagérément sa poitrine pour en mettre le sillon en valeur.
Elle sonna brièvement au portail et entra, avant de remonter la petite allée jusqu’à l’escalier qui la menait au perron.
Alors que ses doigts allaient frapper à la vieille porte, celle-ci s’ouvrit sur le vieil homme en costume cravate.
- Catherine !
Rapidement, Antoine détailla la robe et surtout ses deux amis maintenus fermement l’un contre l’autre.
- Bonsoir Antoine ! Vous allez bien ?
- Entrez. Vous êtes magnifique ! Depuis quelque temps, mes douleurs m’abandonnent, alors je prie pour que cela continue.
Ils remontèrent le petit couloir en direction du salon. Quelque chose la perturba et elle ralentit le pas, alors qu’Antoine entrait dans le salon. Catherine fronça les sourcils et Antoine anticipa :
- Les choses se sont accélérées. Un type est passé pour vider la cave et le grenier. Emmaüs a embarqué quelques meubles de valeur !
- Non Antoine ! Je veux parler de vos cannes !?
En effet, le vieil homme se retourna et il ne put s’empêcher d’afficher un large sourire.
- Mon nouveau médicament à moins d’effet secondaire. Je me passe de canne depuis dix jours ! À la fin du dîner, on pourra même danser le Jerk si cela vous dit !?
Ils poussèrent un petit rire et l’appétit d’Antoine grandis en imaginant les effets de cette danse sur l’imposante poitrine.
La moitié des meubles du salon avaient pris leur envol. Il ne restait plus que la table du dîner et un vaisselier sur lequel Catherine posa sa pochette. Dans un coin contre le mur, un vieux tourne disque siégeait sur une vieille chaise.
Catherine frotta ses doigts les uns contre les autres.
- Vous avez eu beaucoup de papier à régler ces derniers temps.
- Ne m’en parlez pas. Entre la maison, les nouveaux propriétaires et le notaire, je ne touche plus terre !
- Et la maison de retraite !? Vous avez trouvé une place ?
Antoine s’empressa :
- N’ayez crainte, tout est réglé, on en parle plus. Passons !
Ils firent quelques pas dans la pièce vide.
- Vous êtes d’une fraîcheur bien agréable. Et je remarque quelques kilos en moins n’est-ce pas ?!
- Vos yeux voient bien. Oui, j’ai perdu cinq kilos !
Il évalua du regard les galbes de son invitée.
- J’ai fait venir un traiteur et j’espère vous ravir. Prenez place.
Antoine tint le gilet contre lui et il le pendit dans le couloir de l’entrée, alors que Catherine se posait à la table du dîner.
- Puis-je me vous proposer un petit apéritif ou bien, désirez-vous directement un petit verre de rosé ?
Catherine hésita une seconde.
- Ce sera plutôt un apéritif, un Martini blanc s’il vous plaît.
Antoine disparut un instant, le temps pour Catherine de détailler la tristesse de la teinte des murs. Elle ajusta la bretelle de sa robe sur son épaule et s’inquiéta.
- Voulez-vous de mon aide ?
- Non.
Antoine revint les mains pleines. Il déposa les deux verres et la bouteille d’apéritif sur la table, ainsi qu’une petite canette de soda. Il s’approcha de son invitée et posa délicatement sa main gauche sur son épaule, avant de verser fébrilement le Martini dans le verre.
- Merci d’être venue !
Elle leva les yeux vers lui, afficha un sourire, avant de lui laisser tout le loisir de plonger ses yeux dans son décolleté.
- J’aimerais avoir votre âge, ma belle !
Antoine détailla les cuisses fermes et croisées. Il prit place en face de Catherine. Il se versa le soda dans un simple verre et ils trinquèrent aux jours meilleurs.
Antoine discourut sur la guerre d’Indochine. Il révéla ses traumatismes et ses souffrances pour un conflit qui le réveillait mille fois dans la nuit. Catherine témoigna sa fierté d’être quatre fois mère, mais avouant ne pas accepter d’avoir été balancée par un mari préférant les jeunes femmes.
À la fin de l’apéritif, Antoine se leva et revint avec une enveloppe : sans un mot, il la déposa sur l’assiette de Catherine. Cette dernière hésita… Elle croisa le regard de son généreux donateur et Catherine se leva en silence. Le bonheur quitta le visage d’Antoine. Il avala quelque gorgée de sa boisson tout en regardant son invitée marcher, onduler naturellement des fesses jusqu’à sa pochette.
- Maintenant, vous pourriez partir, Madame La Motte Pernac. Je n’en serais point surpris. Vous avez ce que vous voulez !
Catherine se tourna vers Antoine. Debout, elle resta silencieuse. Elle passa ses doigts dans ses cheveux et le visage impassible, elle redressa bien le menton.
- Mais vous m’avez promis un dîner !?
- Et Antoine tient toujours ses promesses n’est-ce pas ?
Un instant de silence meubla le salon. Leurs regards se conjuguèrent et Catherine opina de la tête.
- Et si vous remettiez cela ?
Antoine leva son verre de soda vide et Catherine retourna s’approvisionner dans la cuisine.
Pendant ce temps, Monsieur Lopez se leva pour déposer un antique vinyle sur sa platine et il lança le vieux tourne-disque, avant de revenir s’asseoir.
Catherine revint sur une mélodie jazzy. Debout à côté d’Antoine, elle commença à remplir le verre du vieil homme. Il leva les yeux vers sa « serveuse », esquissa un sourire et il posa sa main délicatement sur les fesses fermes. Antoine la caressa, apprécia le contact de ses doigts sur le lin, avant de descendre derrière la cuisse et remonter sa vieille main sur la peau douce et parfaite.
- Vous devriez vous trouver un homme pour vous honorer.
- Non !
- Catherine : vous êtes une orchidée, vous nécessitez attention et… arrosage pour nous ravir de vos offrandes.
- Je suis trop vieille pour être à nouveau déçue.
Il arrêta sa main sur le fessier frais. Ses doigts apprécièrent la fermeté de la sportive.
- Pendant mon absence, avez-vous sucé ?
Antoine braqua ses yeux pour la confondre, mais Catherine détourna les siens... Les doigts calleux glissèrent sur ce sillon renfermant tant de mystère.
- Vous êtes venue sans culotte…
- Je vous ai obéi !
Catherine tendit subtilement ses fesses et écarta légèrement les cuisses, avant de s’immobiliser. Elle ferma les yeux. Ses lèvres se décollèrent légèrement et elle poussa un léger soupir de culpabilité.
- Le contact de votre sexe au bout de mes doigts est… divin.
À son tour, Antoine ferma les yeux et sa main libre se posa sur la braguette de son pantalon. À travers la toile, il effleura sa vieille virilité.
Au milieu du dîner, Catherine posa sa serviette sur la table et se leva pour débarrasser :
- Vous avez une manière de vous déplacer qui n’appartient qu’à vous. Montrez-moi ! Mon petit-fils était subjugué par votre façon de vous mouvoir.
Catherine se retint de rire : deux assiettes dans une main et un plat dans l’autre, elle marcha de gauche à droite, d’avant en arrière, avec plus ou moins de naturel… Antoine recula sa chaise pour s’éloigner de la table et il savoura le show, avant que la séduisante mature ne disparaisse.
Catherine revint dans le salon les mains vides. Elle avança vers Antoine sur une musique discrète et elle s’arrêta quand ses jambes touchèrent les genoux écartés du vieil homme. Antoine regarda ce ventre qui avait abrité la vie, il leva la main et le caressa du bout des doigts…
- Mérite ton salaire !
Catherine fit un pas en arrière. Antoine la saisit fermement par le poignet en tentant de lui faire mettre un genou à terre. Elle résista et sur une grimace, elle se libéra.
- Vous me faites mal !
Elle lui tourna le dos et s’éloigna.
- Salope !
Catherine s’immobilisa à deux mètres… Elle se pencha en avant et cambra son fessier vers Antoine. Elle remonta légèrement l’arrière de sa robe pour dévoiler le haut de ses cuisses, puis l’intégralité de ses fesses. Son abricot gonflé, lisse et humide était déjà mûr.
Antoine leva sa main libre, mais le trésor était trop loin pour ses vieux doigts.
- Alors Antoine : qui est la salope ?
- Non… Je ne voulais pas dire cela…Pardonnez-moi Catherine !
Dans cette position indécente, insolente, elle recula vers lui, lentement… Le visage du vieil homme s’illumina.
- Mon dieu !!!
Catherine écarta ses deux pêches pour dévoiler ses accès confidentiels… Antoine grimaça, il mit une main sur son cœur et il dirigea l’autre vers les fesses qu’il caressa du bout des doigts. Craignant que le rêve ne s’achève trop vite, il dirigea son index vers le fruit mûr qu’il pénétra lentement pour étayer sa curiosité… Sa conseillère de charme se contracta, sa chatte devint plus juteuse sur le doigt bandé qui acheva sa course en entier dans le con brûlant.
- Votre croupe mériterait d’être saillie par un vrai mâle !
Le regard de Catherine se perdit de toutes parts et soudain, Antoine poussa un râle de désespoir… Discrètement, il avait sorti son sexe pâle, il le tenait fermement serré entre ses doigts : le gland fatigué dépassait de sa main…
- J’ai pris deux comprimés de viagra et rien ne marche ! Putain !!!
Catherine se redressa face à Antoine. Elle baissa les bretelles de sa robe pour exposer au regard son imposant soutien-gorge. Elle faufila ses doigts dans son dos et dégrafa ce sous-vêtement qui était sa prison : ses seins libres fléchirent, avant de ballotter. Elle s’agenouilla devant la tige malade, déposa sa lourde poitrine sur les cuisses du vieillard, avant de caler le sexe ensommeillé entre ses obus guérisseurs.
Antoine posa lui-même ses mains sur les doigts bagués de Catherine pour être plus près des anges.
- Rien ne me résiste, Antoine.
Elle prit l’initiative et peu à peu Antoine ôta ses mains pour renverser sa tête en arrière.
- Merci Catherine.
Catherine choyait subtilement le membre de son généreux donateur. De temps à autre, Antoine se crispait nerveusement… La quinquagénaire s’appliqua à entretenir sa réputation, elle souleva alternativement les jumeaux de son buste autour du membre. Le poids de chacun contraignait la tige maladive qui réussissait toutefois à se frayer un passage entre les chaires pour oxygéner la tête boursouflée du compétiteur. Antoine glissa sa main dans sa poche droite et sortit une petite culotte : la petite culotte de Catherine. Il la porta aux narines et huma son oxygène.
Antoine se crispa une dernière fois :
- Arrêtez Catherine !!! (Il eut un petit fou rire) La jouissance pourrait être plus rapide que la mécanique ! Je veux vous honorer !
Catherine s’interrompit sur un sourire victorieux.
- Quand je vous dis que rien ne me résiste !?
- Je crois que je peux concurrencer le champagne ! Buvons une coupe, avant de…
Catherine se releva. Elle apparut immense sur ses talons hauts. Elle remonta sa robe sur ses épaules nues et cacha sa poitrine.
La brune aux gros seins le regarda droit dans les yeux et elle agita son index droit en faisant les gros yeux.
- Antoine, je ne partirai pas tant que vous n’aurez pas joui.
Antoine poussa un petit rire.
Catherine s’en alla dans la cuisine. Antoine détailla une nouvelle fois les courbes de son invitée. Il ne réalisait toujours pas qu’elle était encore présente et pas que pour l’argent.
- La suite du menu est sur la micro-onde !
Antoine lâcha son sexe qui dépassait de sa braguette. Sa main mal habile fouilla sa poche gauche et il détailla deux comprimés bleus.
Antoine resta seul cinq minutes. Profitant de la préparation du dessert, il branlait quelquefois son sexe pour ne pas perdre cette longueur si chèrement acquise.
Depuis la cuisine, Catherine s’interrogea :
- Pour le dessert, vous êtes certain de vouloir cela ?
- C’est jour de fête, Catherine ! Champagne, dessert et vous très chère : vous savez, c’est ma dernière danse.
Catherine revint avec deux assiettes d’un dessert lacté.
- Alors d’après ce que j’ai lu, il s’agit d’une crème glacée vanille caramel sur un nuage de chantilly.
En voyant la densité du nuage, Antoine s’exclama :
- Mon dieu ! Le traiteur n’a pas été économe !
Catherine déposa les deux assiettes et elle se régala de la jubilation du vieil homme.
- Allez Catherine. Le champagne ! Le champagne !
Elle entendit comme un air d’accordéon et esquissa un sourire, avant de se presser vers la cuisine. Elle revint avec la bouteille de champagne et un torchon de vaisselle.
Elle fit sauter le bouchon et elle remplit les deux coupes. Catherine revint s’asseoir à la table. Tous les deux hésitèrent avant de trinquer… Ils tendirent leur coupe par-dessus la table et ils allièrent leurs regards.
Antoine racla sa gorge :
- Si je n’ai plus l’occasion de vous le dire, je vous dirai très simplement : Merci !
La bouche de Catherine se fit nerveuse, elle soutint son regard, avant que le sien ne devienne humide. Elle baissa les yeux et s’empêcha de relever la tête pour esquiver ce trouble irrationnel.
- Allez Antoine, goûtons ce dessert riche en acides gras saturés !
Antoine étendit sa serviette sur les cuisses et il put enfin goûter son dessert favori. Quelques cuillerées plus tard, il marqua un instant d’hésitation au regard de Catherine.
- Antoine !?
Il la rassura et inspira profondément, avant de revenir à lui.
- Ne vous inquiétez pas ! Les cachets et les effets secondaires…
- Mais !... Combien en avez-vous pris ?!
Le vieil homme ne répondit pas. Il garda la cuillerée dans la bouche et ferma les yeux en ronronnant…
Il rouvrit les paupières et désirant plus de plaisir, il s’empressa de prendre une nouvelle cuillerée de chantilly.
Alors qu’un instant de silence durait trop longtemps, Catherine leva le regard vers Antoine : son visage s’était figé et ses yeux divaguaient dans la pièce… Subitement, ses doigts laissèrent échapper la vieille cuillère. Catherine bondit de sa chaise et Antoine se recula de la table : la serviette sur ses cuisses s’animait et un mât ne tarda pas à se dresser.
- Oh mon dieu ! Regardez !
Antoine était essoufflé par l’émotion, son cœur cognait dans sa poitrine et ses mains tremblaient… Sauvagement, il retira sa serviette et tendit ses doigts infirmes vers sa verge livide hargneusement dressée. Solitaire, il se branla quelques secondes, avant de lever les yeux vers Catherine. Il se calma, tourna sa chaise face à cette déesse incarnée et il referma les cuisses.
Elle soutint son regard, avança de quelques centimètres pour se mettre « en selle » juste au-dessus du sexe d’Antoine. Perchée sur ses talons hauts, Catherine souleva sa robe et la retint sur son ventre.
La vieille tige heurta la cuisse de Catherine, puis ses grandes lèvres, avant que le gland ne s’enduise du plaisir de la déesse.
- Vous n’êtes vraiment pas obligée, Catherine…
Elle contracta tour à tour ses cuisses et ses fesses, pour frotter sa chatte sur ce gland gonflé et volontaire. Catherine saisit le membre entre ses cinq doigts et elle bourra l’ogive contre son petit bourgeon qu’elle aguicha quelques secondes en serrant les dents...
Elle baissa les yeux sur Antoine qui semblait parti dans un autre monde... Le vieil homme grimaça et saisit un sein à travers la robe. Il le pressa, le malaxa en cherchant un second souffle. Il grogna, plaqua son visage sur le décolleté, avant de soupirer… Les doigts de Catherine calèrent le gland sur sa source humide et lentement, délicatement, elle se l’inséra... Le sexe disparut en elle. Antoine expira, triomphant et écarlate.
Catherine entama une mélodie verticale, lente et amoureuse pour le plus grand bonheur d’Antoine.
Le vieil homme posait, tantôt ses mains le long des hanches, tantôt autour des obus que la pression des doigts faisait émerger par-dessus le décolleté. Cette femme inaccessible allait, venait sur lui et pendant un instant, il se dit que c’était le plus beau moment de toute sa longue vie.
Il s’enivra de la gaine bouillante autour de son sexe, jusqu’au moment où il décida de repousser Catherine.
- Je veux te baiser comme tu devrais être baisée !
Sa fierté de mâle lui donna la force de se lever. Il tassa Catherine contre la table et la retourna. Antoine glissa sa main droite vers la poitrine qui se dérobait du décolleté et avec sa main gauche, il releva le bas de la robe.
L’avant des cuisses de Catherine heurta le bord de la table, elle s’inclina en avant vers les couverts et particulièrement vers les restes de caramel et chantilly.
Par habitude, elle tenta de résister… Sa vulve gonflée et trempée sur laquelle se posa le gland fut pénétrée avec la vigueur d’un jeune homme. Les vieilles mains se posèrent sur les hanches et Antoine entama sa dernière chevauchée… Catherine geignait, sa poitrine s’agitait hors de son décolleté et une imposante masse sortie du décolleté pour « dégager » bruyamment un dessert. La conseillère de charme se cramponnait à la table, ses coudes jonglant avec les couverts… Elle tenta de tourner la tête, mais la vigueur de l’étreinte l’en dissuada.
Antoine grogna fort et encore, quand soudain, un râle victorieux résonna dans la pièce. Le vieil homme s’immobilisa en Catherine et déchargea au fond de sa matrice… Il beugla quand la gaine brûlante se resserra autour de son bélier, juste avant la seconde décharge… Antoine reprit quelques assauts, mais épuisé, les muscles du corps et les poumons en feux, il s’immobilisa dans l’orifice. Catherine ondula du bassin pour le ressentir.
Antoine se retira en chancelant, alors que son invitée restait quelques secondes le corps affalé dans les restes du dîner.
Finalement, Catherine se redressa. Elle abaissa la robe sur ses fesses et se tourna face à l’homme de sa soirée. Elle remballa vulgairement sa poitrine dans la robe.
Le sexe d’Antoine restait en érection, mais son regard était vide. Il soufflait fort, alors que Catherine sentait une liqueur couler de sa chatte ensemencée.
- Antoine : dites quelque chose !
- Laissez-moi…
Catherine baissa les yeux. Elle ajusta sa poitrine dans sa robe en ôtant quelques restes de crème et constata les tâches.
Antoine se dirigea vers le mur, il s’y adossa pour reprendre son souffle. Il ferma les yeux plusieurs fois.
Catherine saisit le torchon de vaisselle sur la table pour tenter d’essuyer sa robe et surtout, la débarrasser du caramel.
- Dois-je vraiment vous laisser ?
- Partez, vous dis-je !
Elle déposa le torchon sur la table, prit sa pochette sur le vaisselier et s’éloigna en direction du porte manteau. Elle enfila son gilet qui allait lui donner plus de dignité. Étrangement, elle revint traverser le salon pour s’éloigner vers la porte donnant derrière la maison.
- Que faites-vous Catherine ?
- C’est par cette porte que tout a commencé !
Antoine se rappela que c’était par là, qu’un matin, elle avait « forcé » la porte de sa demeure. Il expira énergiquement.
- Merci de m’avoir redonné ma fierté.
Silencieuse, le regard humide d’alcool ou d’émotion, Catherine se retourna une dernière fois sur Antoine, avant de sortir. Elle traversa le jardinet, ouvrit le portillon et s’éloigna d’un pas rapide.
Dans le salon de la vieille demeure, un soutien-gorge était posé sur le sol. Dans le couloir de la cuisine, Antoine vit Catherine s’éloigner comme un fantôme.
Antoine revint dans le salon, il ramassa le soutien-gorge de Catherine et alla s’asseoir sur le sol, le dos calé contre le mur. Il serra les deux énormes bonnets contre son torse et renversa la tête en arrière : sa respiration devenait souffrance.
Cette nuit-là, au 17 de la rue des acacias, la lumière du salon resta allumée toute la nuit.
FIN
Patrick de Toscane
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