Sophie est heureuse, elle entre dans la vie active. Son papy l'aide à trouver un appartement et lui fait un gros chèque. Elle va lui montrer qu'elle n'est pas une ingrate.
Proposée le 7/04/2023 par esperluette
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Sophie et son papy
ça y est, Sophie est heureuse, elle a enfin fini ses études, elle a son diplôme et elle a trouvé un emploi, c’est une bonne nouvelle pour toute la famille qui lui prédisait des catastrophes.
Elle a la chance d’avoir trouvé un job dans la ville ou habite son grand-père, il l’héberge provisoirement et il l’aide à trouver un logement.
Il est trop content de s’occuper d’elle alors qu’il est en retraite et ils visitent les appartements disponibles dans les agences.
C’est pas facile, trop petit, trop moche, trop cher, trop sombre. Ça fait plusieurs jours déjà qu’ils cherchent. Enfin elle croit qu’il apprécie d’être à son bras et de se serrer contre elle tandis qu’ils déambulent dans la ville.
Enfin ils finissent par trouver le bon compromis, un appartement deux pièces refait dans un immeuble assez ancien. Ils visitent les pièces en détail en posant quelques questions puis ils reviennent au bureau de l’agence.
Après quelques négociations assez serrées son papy réussit à obtenir un loyer correct pour une travailleuse débutante.
Après avoir signé le bail elle lui saute au cou sous l’oeil amusé de l’agent immobilier.
Puis ils vont chez l’assureur pour garantir le logement. Enfin ils sortent.
- Tu viens à la maison ma chérie, on va arroser ça ?
- Oh oui, papy !
Qu’est ce qu’il est gentil son papy, elle a envie de l’embrasser tout du long du retour.
- Assieds toi sur le canapé, j’arrive.
Il prépare des verres et une bouteille de champagne, puis elle voit qu’il remplit un chèque.
Il pose le plateau et il lui tend le chèque.
- Tiens, ça va te permettre de commencer à t’équiper.
- Oh, papy, non, cinq mille euros, c’est beaucoup trop !
- Si si, tu verras que tu en auras besoin. Pour la peine tu me fais un bisou.
Il lui tend sa joue. Elle se lève et elle l’enlace.
- C’est plus qu’un bisou que tu mérites, mon papy !
Elle lui prend la tête et elle l’embrasse sur le joue puis d’autorité sur la bouche. Il essaie de se dégager mais elle le cramponne en appuyant son baiser et en poussant sa langue entre ses lèvres.
En même temps elle colle ses seins contre sa poitrine et son pubis contre le sien, elle le sent durcir dans son pantalon, donc elle ne le laisse pas indifférent.
Il finit par la repousser doucement.
- Calme toi, ma chérie ! Qu’est ce que tu fais ?
- Je veux te faire plaisir, mon papy !
- Pas comme ça, ma chérie, je suis ton grand-père.
- Papy, tu es un bel homme et ça fait longtemps que j’ai envie de toi.
- Mais je n’ai pas le droit, c’est interdit.
- Il n’y a que nous deux qui le saurons.
Et elle se colle de nouveau à lui en le serrant dans ses bras, en plus elle réussit à glisser sa cuisse entre ses jambes et elle lui masse doucement l’entrejambe.
Elle lui fait découvrir sa personnalité, elle a bien appris avec ses copains comment faire bander un homme, même si c’est son grand-père, elle lui masse de sa cuisse ses testicules en lui caressant les reins, puis elle repose ses lèvres sur les siennes, elle voit qu’il se rend, leurs lèvres s’ouvrent et leurs langues se rencontrent, ses mains se posent sur ses hanches puis descendent sur ses fesses qu’il lui pétrit à travers son jean. Enfin leurs lèvres se quittent lentement.
- Je ne sais pas comment tu as appris à embrasser comme ça mais jamais, même quand nous étions jeunes, ta grand mère ne m’avait jamais embrassé comme ça !
- Eh bien, embrasse moi encore, papy chéri !
Cette fois il pose franchement ses lèvres sur les siennes et ils font un duo de langues pendant qu’il lui caresse les fesses.
Elle sent se développer la bosse dans son pantalon, elle glisse sa main et elle le caresse. Il gémit en tendant son sexe contre sa main. Celui ci a pris un volume certain.
- Laisse toi faire, papy.
Il s’avoue vaincu, il la laisse déboucler sa ceinture et lui enlever pantalon et slip.
Elle lui prend la bite et elle commence à le masturber doucement, elle s’agenouille, il la regarde avec des yeux effarés quand elle ouvre la bouche et qu’elle lui gobe la queue !
- Ah, Sophie, c’est la première fois qu’on me suce, ta grand-mère avait toujours refusé de me sucer et là, c’est toi qui s’y met.
Et elle peut lui montrer ce que qu’elle a appris, elle lui aspire en lui massant le gland de sa langue tout en le branlant d’une main et en lui massant les bourses de l’autre.
Pendant qu’elle le suce, il a allongé ses mains pour lui caresser les seins, elle remonte son maillot pour les dégager, comme ils sont petits, elle n’a pas besoin de soutif.
Il est maintenant très excité, elle le branle plus vite, il donne des coups de reins pour enfoncer sa bite au fond de sa bouche, elle sent que ça monte, il essaie de la repousser.
- Ah ! Attention Sophie ! Je viens, ahhh !
Mais elle lui cramponne la queue et il éjacule plusieurs giclées dans sa bouche, il y en a beaucoup et elle a du mal à tout avaler.
Tandis qu’il commence à débander, elle lui racle le sperme entre ses lèvres et elle lui libère une bite toute propre. Elle remonte pour l’embrasser et partager un reste de sperme avec lui, il la serre dans ses bras en la caressant des épaules aux fesses.
Enfin ils se séparent.
- Alors, on le boit ce champagne ?
C’est incroyable comme elle passe à autre chose de façon aussi naturelle, comme s’il ne s’était rien passé.
- Bien sûr qu’on le boit, on ne va pas le laisser réchauffer.
Il débouche la bouteille et il leur sert une première flûte.
- A ta santé, ma chérie, et à ton avenir !
- Merci, papy, à ta santé aussi !
ils trinquent mais la situation est quand même scabreuse, il est sans pantalon tandis que Sophie est toujours habillée, avec toutefois son maillot à moitié remonté sur ses seins tandis qu’ils sirotent leur champ’.
Après avoir reposé son verre, son papy ne peut s’empécher de glisser sa main sous le maillot de sa petite fille et de caresser ses petits seins qui pointent sous ses doigts.
- Oui, c’est bon, continue de me caresser, papy.
- Tu sais que je ne devrais pas ?
- Laisse tomber ta morale, j’ai trop envie.
il continue en descendant sur son ventre, elle ronronne appuyée contre lui. il la caresse au ras de son jean, elle rentre le ventre pour l’inviter à s’y glisser. il ne se fait pas prier et sa main vient empaumer son entrecuisse par dessus sa culotte.
Elle est chaude et humide, Sophie gémit un peu tandis que son doigt parcourt sa fente puis elle décide de se débarrasser de son jean, puis de sa culotte de dentelle. Il s’aperçoit qu’elle est intégralement épilée.
Quand il pense que sa chère épouse gardait toute sa toison, quel changement !
Puis elle enlève aussi son maillot et se retrouve toute nue devant lui.
- Allez, papy, retire aussi ta chemise, viens dans la chambre, je n’en ai pas fini avec toi.
Elle le prend par la main et l’entraine vers sa chambre, elle s’allonge, les cuisses ouvertes ne cachant rien de ses petits trésors.
- Viens, papy.
Il s’allonge contre elle, elle l’enserre de ses bras, ils collent leurs lèvres les unes contre les autres et leurs langues commencent une danse fiévreuse.
Les mains de Sophie se promènent tout du long du corps de son papy qui parcourt aussi son dos, ses reins, ses fesses, sa main se glisse le long de ses cuisses et remonte entre elles, ses doigts se promènent le long de sa fente humide et son majeur pénètre enfin son vagin.
De son côté, elle lui prend le sexe et le caresse en le branlant doucement, il recommence à bander et son désir de la prendre se fait plus impérieux. il lui branle la chatte de plus en plus fort tandis qu’elle le masturbe de plus en plus énergiquement.
Soudain elle le repousse, se redresse, l’enjambe et s’empale sur sa queue dressée, elle gémit en commençant ses va et vient, de son côté il grogne de plaisir. Ca fait si longtemps qu’il n’a pas baisé !
il lui pétrit les nichons pendant qu’elle le chevauche, par moments elle se penche sur lui et ils s’embrassent encore.
Elle se retire de lui et se met à quatre pattes, il se met à genoux derrière elle et il la pénètre, il commence à la besogner en levrette.
- Vas y fort, papy !
il bande d’autant plus qu’il a la pleine vue sur sa bite qui coulisse dans son vagin, ses fesses, sa raie et son petit trou tout rose, il remarque qu’il est bien étoilé comme si il avait déjà bien servi, il ne peut s’empêcher d’y poser son doigt.
- Oui, papy, mets ton doigt, j’aime bien !
Tout en la limant vigoureusement, il arrive à lui mettre un doigt dans l’anus et il lui branle le cul.
- Oui ! Vas y ! c’est bon, papy, continue !
Il n’avait jamais baisé sa femme dans cette position, elle qui ne voulait que du « missionnaire », il voit qu’il en a loupé, des choses.
- tu peux m’enculer, si tu veux.
- Attends un peu, chérie, pas tout à la fois.
Il la besogne plus vite, il sent que ça monte !
- Oui papy, jouis bien dans moi, vas y !
il lui donne encore quelques coups de reins et il s’enfonce au fond de son vagin qu’il inonde en plusieurs giclées de son sperme incestueux.
- Ahhh ! Je sens ton jus, tu me fais jouir papy chéri !
Il n’en peut plus, il s’écroule sur elle pour reprendre mon souffle.
Puis ils se retrouvent l’un contre l’autre comme au début, se bécotant et se caressant doucement.
- Ah, ma chérie, tu sais que je n’en ai jamais fait autant avec ta grand-mère.
- vous faisiez l’amour, quand même ?
- Oui, au début puis de moins en moins. Et puis elle n’avait aucune imagination et elle n’aimait pas beaucoup ça.
Tu sais, quand on était jeunes, on était naïfs, il n’y avait pas d’éducation sexuelle, ni de pilule, c’est arrivé après, alors pour éviter une grossesse, on ‘sautait du train en marche’, pour vous, la jeunesse, vous ne pouvez pas vous rendre compte.
- Mon pauvre papy. On va rattraper ça, je te promets.
- Et toi, comment as tu appris tout ça ? Tu es si jeune.
- Ah, c’est une longue histoire, je vais t’en dire quelques mots.
- Quand j’ai eu mon bac, il m’a fallu un logement, comme papa n’est pas très riche, j’ai pris une coloc avec une autre fille, Muriel.
On a commencé à sympathiser toutes les deux, il valait mieux. J’ai remarqué qu’elle s’absentait plusieurs fois par semaine le soir et qu’elle rentrait très tard, mais elle ne m’en parlait pas.
De mon côté, je n’avais pas assez de fric pour sortir et je restait enfermée.
Par la suite on est devenues plus proches, et finalement si on regardait la télé le soir, on s’asseyait côte à côte. Finalement on a commencé à se caresser l’une l’autre, Muriel était plus délurée que moi et m’a fait découvrir certains plaisirs du sexe entre filles.
De temps en temps son copain Kamel venait lui rendre visite, et quand ils s’enfermaient dans sa chambre, je n’en pouvais plus de les entendre baiser, étant donné le bruit et les cris qui en sortaient.
Un jour, quand Kamel est arrivé, Muriel m’a invitée à venir dans sa chambre et ça a été ma première expérience sexuelle masculine avec lui. Par la suite quand il venait on baisait tous les trois.
C’est lui qui m’a appris à sucer et à donner du plaisir.
Un jour il me demande ‘Tu n’as pas beaucoup de fric, hein ? Ça te dirait d’en gagner un peu ?’
Je lui dis ‘Dis toujours, si ça m’intéresse.’
‘Tu pourrais faire comme Muriel’
‘Qu’est que tu fais, Muriel ? C’est vrai tu ne m’en as jamais parlé’
- Je fais escort girl, quand j’ai besoin de fric.
- C’est quoi, ça ?
- Il s’agit d’accompagner des hommes, généralement des hommes d’affaires, dans leurs déplacements et leurs réunions.
- C’est sexuel ?
- Oui souvent, mais pas toujours.
- je peux toujours essayer, si ça rapporte.
- Alors Kamel m’a préparé un book avec des photos et je me suis lancée. La première fois j’étais angoissée mais je suis tombée sur un mec gentil qui voulait juste passer la soirée avec moi, il m’a emmenée au restaurant, un étoilé, puis dans son hôtel et on a fait l’amour, il m’a même fait jouir.
Puis j’en ai eu d’autres, un vieux qui bandait pas, ils me faisait me branler devant lui pendant qu’il s’astiquait, puis une fois j’ai eu deux africains qui ont voulu me baiser en double mais ils avaient une trop grosse bite tous les deux et j’ai refusé alors ils m’ont baisée chacun leur tour, mais j’ai touché un paquet de fric. Et enfin, quelques autres qui ne me laissent pas de souvenir particulier.
- Voilà, papy chéri, tu sais tout.
- Eh bien, si je me doutais que ma petite fille est une grosse cochonne, tu me fais encore bander avec ton histoire, j’ai envie de toi.
- Alors viens, mon papy.
Elle s’allonge et elle écarte les cuisses, il s’installe et il présente sa queue, il n’a aucun mal à pénétrer le vagin gluant et il la besogne aussitôt à grands coups de reins.
- Oui, papy chéri, vas y fort, ahhh ! C’est bon, j’aime ta bite, vas bien au fond ! Oui !!!
Elle jouit presque aussitôt, arrosant le bas ventre de son grand père de mouille brûlante. Elle a remonté ses jambes jusqu’à sa poitrine.
Il la pistonne encore un moment avant de se retirer, il prend sa bite et il la pointe vers l’anus qui palpite.
- Mets la moi dan le cul, papy, je vois que tu en as envie.
- Oh oui, j’ai envie de t’enculer, petite salope !
- Oui papy, je suis ta salope, mon cul est à toi !
Il pousse, l’oeillet recule un peu avant de céder et de s’ouvrir sous la pression du gland violacé. La queue pénètre doucement le sphincter qui s’adapte à la taille respectable du mandrin. Bientôt, le pubis du vieux est en contact avec la chatte ouverte.
- Va doucement, papy, ahhh ! Oui ! Vas y maintenant.
Il la lime en accélérant, elle gémit en faisant onduler son cul à la rencontre de la bite qui la défonce.
- Tu l’aimes, ma bite, ma salope ?
- Oh oui, vas y, encule moi fort, ta bite me rend folle !
Il cogne son pubis contre elle de plus en plus fort, la queue pistonne le rectum sur toute sa longueur, Sophie pousse des cris inarticulés tandis que son grand-père grogne comme un ours.
Il lui cramponne les cuisses en s’enfonçant au plus profond de son intestin avant de lui injecter son foutre en plusieurs giclées tandis qu’elle jouit les yeux révulsés et la bouche grande ouverte.
Sa bite commence à ramollir et il se retire de l’anus qui se referme lentement en laissant suinter un filet blanc.
- Ah papy, tu es le meilleur amant que je connaisse, j’espère que tu viendras me voir souvent chez moi et que tu resteras coucher.
- Tu sais, ma chérie, je ne serai pas toujours aussi performant.
- Il ne tient qu’à toi, vas voir le médecin et fait toi prescrire des pilules magiques, on pourra baiser toute la nuit.
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