Julien, étudiant en école de médecine, entretient une relation très particulière avec Meg, la première élève de sa promo. Cette relation secrète, leur permet de pimenter leur quotidien répétitif.
Proposée le 31/08/2022 par herossWriter
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Julien a une vingtaine d’années, et suit depuis plusieurs années un cursus médical dans une grande école Parisienne.
Les journées s’enchaînent sur le rythme bien connu, métro, fac, métro.
Sa promotion est composée d’une cinquantaine d’élèves, dont environ soixante dix pour cent de femmes. Julien a donc l’habitude de passer une bonne partie de ses journées entouré de son groupe d’amis qui, à l’image de sa classe, reste majoritairement composé de femmes.
Au sein de sa classe, certains élèves survolent allégrement le cursus pourtant difficile du parcours médical. Parmis eux Meg, 21 ans, 18.3 de moyenne l’année passée.
Meg donne le sentiment d’être concentrée sur son seul et unique but, devenir médecin, et ce huit heures par jours, 365 jours par an.
Elle est de taille moyenne, brune, de grands yeux marrons, porte de grosses lunettes noires, et s’habille plutôt discrètement. La majeure partie de l’année on peut l’apercevoir traverser les couloirs de la fac en jean et T-shirt ample, son sac à dos sur l’épaule, et en route vers son prochain cours.
Meg a peu d’échanges avec ses camarades de promo, et logiquement, elle passe la majeure partie de sa journée seule, sans que cela ne semble la déranger le moins du monde. Parmis la poignée d’élèves qui ont son numéro de téléphone, se trouve Julien.
Son groupe d’amis aime à l’embêter de temps à autre sur le sujet, rigolant du fait que lui, élève moyen, ait le numéro de téléphone de la leader incontestée de la promo. « Avoue que tu lui passe commande des réponses aux travaux théoriques de M. Kersky? », lui demandent régulièrement le groupe. Julien rigole, et esquive le sujet en relançant une blague à l’envoyeur, et en évitant bien soigneusement de répondre à la question.
Ce lundi, au détour d’un couloir, le téléphone de Julien vibre légèrement dans sa poche. Il est 13h50, tout le monde s’apprête à retourner en cours pour la reprise à 14h. Julien sort son téléphone de sa poche, l’oriente vers lui, et vois la notification en provenance de Meg. Vérifiant autour de lui que personne ne jète un regard indiscret dans sa direction, il ouvre le message et constate avec délice, que Meg vient de lui envoyer une photo d’elle depuis les toilettes de la faculté. Sur la photo, Meg a fait tombé son épais pull d’hiver et son T-shirt ample, pour dévoiler sa poitrine, étriquée dans un soutient-gorge transparent en dentelle.
Depuis plusieurs mois, en secret, Julien et Meg entretiennent une relation uniquement tourné autour du sexe.
Quelques minutes plus tard, il reçoit un nouveau message en provenance de Meg :
- « A toi. »
Surveillant l’heure, Julien prend le couloir situé sur sa droite, pour se diriger vers les toilettes des hommes. Il s’enferme dans l’un des box, pose son sac, et commence à enlever son T-shirt. Julien n’est pas un bodybuilder, mais il reste un adepte du sport. Il a une silouhette longiligne tout en muscles.
Il passe quelques secondes à trouver une bon angle, et finit par envoyer à Meg une photo de lui torse nu, mettant en valeur ses abdominaux.
Presque instantanément, Meg lui répond :
- « J’en veux plus. »
13h57.
- « Il ne me reste que 3 minutes, avant de me faire allumer par Kersky », pensa t’il.
Il entreprit de commencer à déboutonner son pantalon, et le baissa légèrement. Sa main gauche maintient l’élastique de son caleçon vers le bas, et dévoile le haut de sa toison pubienne. Clic clac. Il envoie la photo.
Meg lui répond en moins de 3 secondes.
- « Plus.».
Julien commençait à être très excité par la situation. Il réfléchis à comment satisfaire sa demande, sans se mettre trop en retard. 14H02. Le cours a déjà commencé.
Un autre message arrive.
- « Imagine que je te branle. »
Julien baisse complètement son pantalon, désormais sur ses chevilles. Il prend à pleine main son sexe en érection, ajuste l’angle de la caméra et déclenche la photo qui part aussitôt.
Quelques secondes d’attente. Julien avait commencé à se rhabiller. 14H06.
*ding*. Une notification de Meg.
- « Bravo, je suis trempée ».
Julien finit de se rhabiller, le sourire aux lèvres. Il se précipite vers l’amphithéâtre B, et essaye de rentrer aussi discrètement que possible. Il s’installe au dernier rang, et jète un coup d’oeil rapide à Meg installée tout devant. Elle est en train de ranger son téléphone. Ses joues légèrement rosée.
La relation de Julien avec Meg était comme ça. Plusieurs jours de silence, puis une fulgurance érotique, avant de retomber dans le silence.
Quelques jours plus tard, le Jeudi, le téléphone de Julien vibre à nouveau. C’était Meg, qui lui envoyait une vidéo cette fois. Il s’isole, baisse la luminosité de l’écran de son téléphone, et ouvre le message.
Dans la vidéo Julien pense reconnaître en fond la librairie de la fac. Meg semble y être, assise à l’un des bureaux les plus isolés de l’espace commun. Sa main est plongée dans son jean, et la vidéo la montre très clairement en train de se caresser.
Son téléphone semble être coincé entre ses cuisses et tourné vers elle. Il est dissimulé sous la table d’étude, et bien qu’elle semble être dans une position normale avec son bras gauche, alors son bras droit lui, est plongé sous les couches de vêtements, dans sa culotte, et effectue des petits mouvements circulaires. Julien l’entend soupirer, et il est capable de deviner quand elle se retourne de temps à autre pour surveiller les alentours.
Après quelques dizaines de secondes comme ça, Meg attrape le téléphone, et le fait remonter sur le bureau cette fois, pour le poser en face d’elle, appuyé contre le mur.
Nous sommes en hiver, elle porte un épais pull en laine blanche.
Une fois la caméra bien calée en face d’elle, Meg entreprend de soulever d’une main son pull. Elle révèle à l’objectif, qu’elle ne porte rien d’autre en dessous, et fais profiter Julien d’une vue imprenable sur sa généreuse poitrine. D’une main elle maintient ses vêtements au niveau de son cou, et d’une autre elle malaxe son sein gauche dans toutes les directions. Elle le presse, le caresse, fais passer un doigt au niveau de son téton, puis amène son doigt à sa bouche pour l’humidifier, avant de retourner sur son téton. Sa poitrine ferme, dévoile maintenant deux tétons rigides et rose pâle.
Meg baisse soudainement son pull, et la vidéo s’arrête.
- « Bonne journée ! », dit le message reçu dans la foulée par Julien.
La journée fut effectivement excellente, même si Julien eut du mal à se concentrer pendant les deux heures qui ont suivi.
Il ne pouvait s’empêcher de lancer son regard vers elle à la première occasion, et d’imaginer ses seins, parfaitement libre, sous cet épais pull de laine.
La semaine suivante, Julien pensait beaucoup à Meg, à son corps. Il tente de lui envoyer un message :
- « J’ai envie de toi ».
Plusieurs heures passent … Aucune réponse. Pourtant il sait qu’elle est là, puisqu’il la voit assise quelques rangées devant lui.
Deux jours plus tard, elle lui répond enfin :
- « Je suis dans l’escalier de secours, à côté de l’amphi B2 ».
Julien était en plein cours, mais il laisse ses affaires dans l’amphi, et se dirige dans les couloirs de l’école.
Arrivé à la cage d’escalier, il monte les étages, et sur le dernier pallier se retrouve nez à nez avec Meg, seins nus, et un grand sourire sur le visage.
Julien avance droit vers elle, et plonge la tête vers son buste. Il attrape son sein droit, et le guide directement vers sa bouche. Il émet quelques soupirs de satisfaction au contact de sa langue sur sa peau, mais Meg l’arrête déjà et le fait reculer.
Elle le pousse contre le mur adjacent, glisse une main vers sa braguette pour la faire délicatement glisser vers le bas, et se met à genoux devant lui.
Elle plonge habilement ses doigts dans l’ouverture, et en extrait le sexe de Julien, qu’elle prend à pleine bouche.
La réaction ne se fait pas attendre, Julien sent la langue de Meg faire des petits cercles autour de son sexe. En quelques secondes, il a une érection qui force Meg à reculer légèrement.
Meg lève un regard rieur vers Julien, puis reprend sa tâche. De la main gauche elle tient fermement le sexe en érection de Julien. De la main droite, elle vient lui caresser les bourses. Et avec sa bouche, elle opère des mouvements de va et vient dynamiques.
L’opération n’a pas pour but de l’exciter, ou de le préparer à la suite. Julien sent qu’elle est là pour le faire jouir, et pour le faire jouir vite.
Julien entend quelques étages plus bas, des élèves qui accèdent à la cage d’escalier. Il est aux aguets pour essayer de détecter la direction dans laquelle ils se dirigent. Il a l’impression qu’ils montent.
Meg est imperturbable. A moitié nue, à genoux devant lui, elle continue de le sucer énergiquement, comme si ils étaient seuls au monde.
Une porte claque, les élèves en question sont sortis de la cage d’escalier deux étages plus bas. Soulagé, il se concentre à nouveau sur la petite brune, seins nue devant lui.
Meg redouble de vigueur sur les mouvements de masturbation qu’elle fait de sa main gauche. Elle prend le sexe de Julien de plus en plus profondément dans sa bouche. Julien passe une main dans ses cheveux, comme pour la guider. Mais en réalité sa main reste posée là. Il n’a aucunement besoin de la guider, elle sait parfaitement ce qu’elle fait.
Julien sent l’orgasme monter en lui. Son pénis se durcit encore un peu plus. Il attrape les cheveux de Meg, et lui fait comprendre de retirer sa bouche.
Elle s’exécute, recule de quelques centimètres, et le regarde droit dans les yeux. Toujours en position accroupie, elle redouble d’effort sur sa masturbation. Sa main droite est désormais en train de se caresser les seins. Elle le sent de plus en plus dur et lâche un petit gémissement de plaisir anticipé.
Julien se crispe, lève les yeux au plafond, et enfin, jouit.
Son sperme est projeté en avant, et attérit sur le torse de Meg, qui gémit à nouveau. Le liquide chaud dégouline le long de sa poitrine, et dévale ses deux seins tendus en avant.
Julien a des spasmes, entretenus par le fait que Meg ne s’est toujours pas arrêté de le masturber. Elle continue, en regardant son sperme couler le long de son corps. Avec sa main libre, elle joue avec le liquide collant, lui faisant parcourir une surface encore plus grande de sa peau.
Julien se détend enfin, et Meg s’arrête.
Sans un mot vers lui, elle se redresse, sort un mouchoir de son sac, et s’essuie. Ils se rhabillent tous les deux, et descendent la cage d’escalier.
Les cours vont reprendre.
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