Une maitresse femme.

Céline et une maitresse femme, qui utilise son mari soumit pour assouvir ses délires les plus pervers, parfois, elle fait intervenir ses amis pour qu'ils jouent aussi avec le corps de son homme

Proposée le 22/08/2022 par amandine1

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Céline est une maitresse femme, elle utilise Nicolas son mari soumit pour assouvir ses délires les plus pervers. Humilier comme jamais, c'est sans rechigner, qu'il accepte les avilissements que lui fait subir sa femme. C'est à croire que Nicolas aime ça, car jamais, il ne se rebiffe.

Nicolas, sous les ordres de Céline, s'agenouille, il fait face aux amies de sa femme qu'elle a prestement invitée, il est nu. Il attend le bon vouloir de sa maitresse sans broncher. Céline retire un à un ses vêtements en faisant onduler son corps comme une effeuilleuse professionnelle. Une fois nue, elle se place devant Nicolas, écarte les jambes et avance
lentement sa chatte, que la salope, n'a volontairement pas laver. Elle l'écarte avec ses doigts pour que son mari, voit bien le trou et dit en riant :

-Renifle comme elle pue, tu vas te régaler mon cochon, aller lèche !

Nicolas, habitué aux dérives de sa femme, commence à lécher la chatte qui rapidement se met à suinter, la coquine agite son bassin en appuyant sur la tête de son esclave et dit d'un ton menaçant :

-Surtout ne me fait pas jouir, sinon gare mon cochon !

Céline, lui ordonne d'enfoncer sa langue au plus profond de son vagin. Nicolas ne peut qu'obéir, il fouille la gaine qui ne cesse de débordée de cyprine. Le bougre avale par rasade le jus si généreusement offert pas sa femme. Elle se tortille de plaisir sous les coups de langue de l'expert. Soudain, comme prévu, elle se cabre et jouit fortement en grognant. Elle repousse son mari en e regardant méchamment et lui dit :

-Tu as des-obéis, tu dois être puni pour cela !

Elle regarde ses amies et leur dit en riant, il est à vous, vous savez ce que vous devez faire !

Les femmes saisissent Nicolas et l'allongent sur la table avec un coussin sous les reins. Ses bras et ses jambes bien écartées sont fixées par des menottes à chaque pied de la table. L'une des femmes saisit sa queue et commence à la branler, si fort que sa main, à chaque descente, frappe avec violence les couilles de Nicolas. Une autre place sur ses mamelons
des pinces qu'elle serre fortement. Nicolas grimace, il serre les dents en faisant une monstrueuse moue. Sa queue se durcit, la femme décalotte le gland et invite sa collègue à le sucer. La bouche vorace s'empare du gland et le suce rageusement pendant un court instant, car Nicolas jouit en remplissant la bouche de la suceuse, qui recrache le gland pour pouvoir avaler la giclée.

La masturbation continue de plus belle, Céline regarde Nicolas et lui crie :

-Décharge encore, vas-y envoie ton sperme salaud !

Le branlage devient terrible, les femmes, ce relais pour branler Nicolas. Il ne peut retenir longtemps son sperme. Il se cabre et gicle, le sperme retombe sur son ventre et sur les doigts de la branleuse, qui dit en riant :

-Oui, encore gicle, encore donne tout ce que tu as dans les couilles !

Nicolas jouit pour la troisième fois, son corps est secoué de spasmes violents. La masturbation reprend avec plus de violence, Céline s'approche avec un gode monstrueux, elle l'enfonce sans ménagement dans le cul de son mari qui se cabre de douleur. Elle l'enfonce à fond dans le rectum du supplicié qui semble au bord de la syncope. Elle met en fonction la vibration, Nicolas pousse un long râle, sa femme agite le gode dans les entrailles de son mari en criant :

-Mais tu vas jouir, mon salaud, vas-y décharge, bordel de merde?!

Nicolas envoie que quelques perles de semence en grimaçant. Mais cela est insuffisant pour Céline, elle saisit une badine toute fine en bambou, et demande à une intervenante de maintenir la queue relevée. Elle commence à donner de petit coup de baguettes sur les couilles de Nicolas. Il se cabre et hurle en regardant sa femme :

-Vas-y éclate-moi les couilles salope, je sais que cela te fait jouir !

Les coups redoublent, les couilles enflent terriblement, deviennent bleues. Les yeux de Céline sont presque exorbités, elle dévore des yeux les couilles qui sont devenues méconnaissables. Soudain, elle jette la badine, saisit son clito et le branle, comme une sauvage en grognant comme une bête. Elle pousse un cri et jouit affreusement fort.

Mais le clavaire de Nicolas n'est pas fini.

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