Housewives pas si desperate… (Partie 7)

Nouvelle soirée poker. Lors de cette soirée, c’est Romane qui posa la question. « Quelle est votre histoire de cul, la plus embarrassante, la plus trash ou en tout cas celle que vous ne voudriez pas raconter… mais que vous allez quand même nous dire !

Proposée le 21/07/2022 par Scribouilleur

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman

§ Les histoires inavouables §

Lors de cette soirée poker, c’est Romane qui posa la question. « Quelle est votre histoire de cul, la plus embarrassante, la plus trash ou en tout cas celle que vous ne voudriez pas raconter… mais que vous allez quand même nous dire ! »

Autour de la table, les filles se regardaient un peu gênée. Finalement, c’est Eva qui se jeta à l’eau la première.

« Un peu plus jeune, avec Pierre, on avait l’habitude dans les soirées, dans les réunions de famille ou n’importe quel évènement de ce genre, vous voyez… C’était comme un jeu, il fallait qu’on fasse un truc sexuel, comme un défi qu’on se lançait. On s’isolait, on trouvait un endroit à l’écart et je le suçais, il me léchait, on se masturbait mutuellement ou il me prenait vite-fait. »

« Vous avez fait ça chez moi à l’anniversaire de Basile l’autre soir ? » demanda Romane interloquée.

« Non, pas du tout, on a arrêté depuis une mésaventure. »

Elle avait désormais toute l’attention de son auditoire.

« C’était au mariage d’une cousine de Pierre. Il faut savoir que cette fille est très maniaque et méticuleuse. Elle avait préparé son mariage dans les moindres détails. Il y avait un code couleur pour tout le monde en accord avec la déco. Elle avait fait faire des robes identiques pour ses trois demoiselles d’honneur. Vous voyez le genre…

A un quart d’heure de partir pour l’église, nous étions dans sa maison où la mariée, le marié, les témoins et les demoiselles d’honneur étaient réunis pour s’habiller.

Avec Pierre, on a avisé une chambre vide et on y est entrés discrètement excités comme des gamins. Je lui ai descendu le pantalon, il s’est assis sur le lit et j’ai entrepris de lui tailler une pipe… J’étais certaine qu’il avait fermé la porte à clé… et lui pensait que je l’avais fait. Au moment où il allait venir dans ma bouche, la porte s’est ouverte à la volée.

Par réflexe j’ai saisis le tissu qui était sur le lit pour cacher sa bite que je tenais encore de mon autre main et rouge de honte je tournais la tête pour découvrir la mariée stupéfaite dans l’encadrement de la porte. Et alors que nos regards se croisaient, j’entendis Pierre qui gémissait alors que son sperme se déversait dans le tissu dans lequel j’enserrais sa bite.

Horrifiée, sa cousine s’avança et arrachant l’étoffe de mes mains elle poussa un cri. C’était une des robes de ses demoiselles d’honneur. »

Elles éclatèrent de rire. « La fille n’a pas pu la porter, et sur les photos on ne voyait qu’elle qui… faisait tâche vu qu’elle n’était pas assortie aux autres. » ajouta Eva au milieu de son fou-rire. « Sa cousine nous déteste encore et on ne l’a jamais revue. »

Une fois que le calme fut revenu, ce fut Romane qui raconta son histoire.

« J’étais à la fac. On avait fait une petite soirée dans mon appart. On était tous un peu bourrés et j’ai deux copains qui sont restés dormir. Bon, j’avais un lit double, je me suis retrouvée au milieu avec un gars de chaque côté. C’était des garçons avec qui je traînaient, mais il n’y avait aucune équivoque… Du moins au début.

Ils n’arrêtaient pas de se tourner et de s’agiter m’empêchant de dormir. Rapidement j’ai senti d’abord sur ma cuisse droite un sexe en érection et alors que j’allais bouler mon camarade, j’ai senti la même sur la cuisse gauche.

"Dites-donc les mecs, vous vous croyez où ? Branlez-vous une bonne fois de votre côté qu’on n’en parle plus et qu’on puisse dormir !". Ils s’excusèrent et dix secondes plus tard je sentis qu’ils étaient en train de s’astiquer. Et ça durait, et ça durait…

Je me suis levée et j’ai rallumé la lumière. "Laissez-moi faire, on va gagner du temps.". Ils s’assirent côte-côte sur le bord du lit, caleçons baissés et je vins à genoux devant eux les empoigner. Vu leurs tronches, ils étaient maintenant bien dégrisés tandis que j’étais encore un peu pompette même si je commençais à réaliser ce que j’étais en train de faire.

Alors les filles, ce n’est pas toujours évident de garder le rythme quand on branle... Sachez que de la main gauche c’est plus dure, et des deux mains en même temps, je ne vous raconte pas… Bon clairement, celui que je tenais dans ma main gauche était défavorisé. »

Rires général des filles.

« Comme ça durait toujours plus longtemps, j’ai retiré mon t-shirt pour les stimuler. Du coup c’est comme s’ils avaient étaient hypnotisés par mes seins ».

Pas étonnant pensa Eva en jetant un œil à la généreuse poitrine de son amie.

« Enfin, celui que je branlais de ma main droite a éjaculé… principalement sur mon sein droit. J’ai donc pu le lâcher et finir l’autre avec ma bonne main pour qu’il éjacule à son tour… sur mon sein gauche. ».

Les filles réclamèrent la suite.

« Pas de suite, ces deux bâtards se sont couchés et endormis comme des masses. Moi j’ai remis mon t-shirt et je me suis retrouvée allongée entre eux deux qui pionçaient. Je n’étais plus saoule, je n’arrivais pas à dormir et j’étais excitée… J’ai dû me branler toute seule pour me calmer et finalement m’endormir ! »

Elles compatirent toutes avec elle. Eva lui lança « C’était quand même une partie à trois. Ce n’est pas courant de se taper deux hommes à la fois… Même si pour le coup, ce sont surtout eux qui en ont profité. »

Rose annonça que c’était son tour.

« Cela date de notre vie d’avant, peu de temps avant que nous déménagions. Nous étions invités à un mariage et vers cinq heures du matin au moment de partir, Paul et moi étions trop alcoolisés pour pouvoir prendre le volant. Un invité, un certain Alain, tiré à quatre épingles et que nous ne connaissions pas a proposé de nous ramener. Ce que nous avons accepté volontiers.

Au bout de quelques kilomètres de routes de campagne sinueuses, poisse, nous avons crevé. Nous sommes sortis de sa voiture, le temps était doux et l’aube naissante. Paul était trop saoul pour aider Alain, il se contenta de s’appuyer contre la voiture pour regarder notre chauffeur s’affairer pour changer la roue.

Il me prit l’envie de faire pipi. Toujours éméchée et sans gêne aucune, je remontais ma robe pour retirer ma culotte que je confiais à Paul. Alain me jeta un regard surpris. Je m’éloignais de quelques mètres pour me soulager. Suivant mon exemple, Paul fit quelques pas également pour faire la même chose.

Alain parut surpris de le voir jambes écartées et penché en avant. Il faut vous dire que Paul portait sa cage et que dans ces conditions uriner debout sans s’asperger les pieds n’est pas aisé. Je voyais bien que notre chauffeur nous aurait bien imités. Je lui ai dit de ne pas se gêner pour nous. Mais dépité, il leva ses deux mains couvertes de cambouis. Hors de question de tâcher ses beaux vêtements.

« Pas de chichi entre nous, je vais vous aider » et avant qu’il n’ait pu dire ouf, je lui avais descendu le pantalon sur les pieds et je lui avais saisis le pénis entre deux doigts afin de le tenir pour ne pas qu’il mouille ses vêtements.

Il était tellement surpris qu’il garda les mains en l’air. Il dût se concentrer pour parvenir à pisser en faisant abstraction de ma présence. Il poussa un soupir de soulagement quand son jet d’urine commença à couler.

J’avais l’impression que plus sa vessie se vidait, plus son pénis se gonflait. Quand il eut fini, il bandait dans ma main.

« Regardez, il tient tout seul maintenant » lançai-je à la cantonade avec un rire alcoolisé. Alain était extrêmement gêné, Paul était vaguement perturbé de me voir avec un autre pénis que le sien dans la main. Je le secouais "pour la dernière goutte" de manière exagérée. M’adressant à Paul, je dis : « Ça fait longtemps que je n’ai pas eu une bite bien dure comme celle-là dans la main, viens t’agenouiller par ici. »

Paul quelque peu dessaoulé s’exécuta et je suis sûre qu’un instant se retrouvant si proche de ce sexe en érection qu’il a eu crainte que je lui demande de le sucer. Mais au contraire, je lui ai dit de passer la tête sous ma robe et de me sucer l’abricot, ce qu’il fit… et très bien.

Puis me retournant vers Alain qui gardait toujours les mains en l’air "Cher Monsieur, si vous le permettez, je vais vous branler.". Je n’attendis pas sa réponse et je l’ai masturbé pendant que mon homme me léchait avec passion. J’assistais à un délicieux lever de soleil ! Quand j’eus fini Alain, j’ai délivré Paul de sa cage et il m’a sautée sur la banquette arrière. »

Applaudissements des copines, sidérées par cette histoire.

Sarah hésita vraiment à prendre la suite et rappela encore une fois que tout devait rester entre-elles. Une fois rassurée, elle commença...

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