Retrouvailles magnifiques 2

Emma invite Mylène à venir déjeuner chez eux, elle lui propose aussi de passer la nuit. Mylène accepte. Le repas se passe merveilleusement bien, l'heure avance, Éric monte se coucher en laissant les femmes entre elles.

Proposée le 1/07/2022 par linsee

Thème: Couple, passion
Personnages: FF
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Une fois qu'Éric est couché, les deux femmes que l'on peut considérer comme deux amies restent encore un long moment à discuter. Enfin, elles décident de prendre une douche avant de monter se coucher. Emma prend Mylène par la main et, l'emmène à la salle de bain. Les deux femmes discutent encore, pendant que Mylène retire son top et sa jupe, le regard doux comme du velours d'Emma, se pose sur le corps sublime de Mylène. Leurs yeux se croisent, elles se sourient. Emma lui prend les deux mains et les presse doucement en la complimentant sur ses formes.

Mylène la remercie un peu gênée par les compliments puis, fait tomber son dernier rempart. Emma retire aussi ses vêtements, ses yeux luisent, elle l'enlace tendrement et plaque délicatement son bassin contre les fesses de son invitée. Les respirations s'accélèrent, Emma ne peut s'empêcher de lui murmurer en béguant un peu :

-Comme, comme tu es belle Mylène !

Elle sent le souffle chaud d'Emma sur son cou, son corps devient fébrile, elle soupire fortement, en rejetant la tête en arrière. Elle ne sait pas ce qui se passe, mais elle ne peut repousser cette femme qui l'attire de plus en plus. Les mains moites d'Emma glissent doucement sur les flancs de Mylène, passent sur ses hanches et longent ses cuisses. Elles passent très lentement devant et lui caressent le ventre. Les longs doigts frôlent sa toison. Mylène commence à trembler. La bouche d'Emma se pose sur son cou en lui donnant plusieurs petits baisers. Mylène fond comme neige au soleil, son souffle devient court, sa respiration s'accélère encore.


Les doigts d'Emma s'enfoncent dans la fine toison soyeuse, Mylène se cabre légèrement, elle pose sa main sur celle de L'intrépide Emma et l'empêche de poursuivre. Elle se retourne et lui fait face. Leurs yeux ne se quittent pas, Emma l'enlace et approche ses lèvres des siennes. Mylène pose sa main sur la bouche d'Emma et lui dit avec des trémolos dans la voix :

-Nous ne devons pas faire ça Emma, tu es mariée !

Emma lui retire doucement la main et lui répond en frémissant :

-Je ne sais pas ce qui m'arrive, tu me troubles, tu m'attires comme un aimant, aimons-nous je t'en supplie !

Mylène reste sans voix, les lèvres d'Emma se posent sur les siennes, Mylène soupire profondément et accepte le baiser. Les langues se nouent comme deux reptiles qui s'accouplent, les gémissements étouffés que poussent les deux femmes, semblent être du bonheur. Les corps se mettent à onduler, les bas-ventres appuyés l'un contre l'autre, font que les chattes se frottent au rythme des ondulations. La tension monte d'un cran dans les corps. Les deux femmes glissent doucement sur le sol. Emma pose sa bouche sur les seins de son amie, qui se met geindre fortement. La coquine sait s'y prendre pour faire gonfler les mamelons. Elle suce et tète avec une certaine gloutonnerie, les mats de chair dressés au centre des aréoles grenelées.


La bouche avide descend sur le ventre de Mylène, sa langue taquine un instant le nombril avant de reprendre sa progression. Comme un automate, Mylène, ouvre les jambes, la langue habile glisse sur sa fente trempée, s'insère entre les grandes lèvres et s'enfonce dans la gaine brulante. Mylène rugit comme un fauve, la langue qui lui fouille le vagin la fait défaillir. Son corps se met à frissonner, son front se met à perler. Elle se cabre en poussant un hurlement terrible de jouissance. Emma ne désarme pas, elle lui gobe le clito qui a pris de proportions anormales. Elle le suce, le tète, férocement elle veut faire encore jouir son amante.

C'est en giclant que Mylène jouit pour la seconde fois. Emma se place tête bêche sur son amie. Les deux femmes se dévorent comme des affamées, les râles qu'elles poussent sont très bruyants. Leurs jouissances simultanées sont presque inhumaines. Les deux amantes se vident de leur cyprine, en grognant comme des bêtes blessées.

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Commentaires de l'histoire :

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