Le Coach Sportif - 01

Comment je me suis lancé dans une activité de coach sportif. Moi, le quarantenaire quelque peu bedonnant. Bon je n’en ai pas fait un métier mais ça me prend quelques heures par semaine tout de même. Il y a bien sûr un aspect coquin quelque part

Proposée le 13/06/2022 par Libretin

Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Bonjour,
Je suis coach sportif pour femmes qui ont besoin de se remettre au sport.
Je propose une reprise en douceur agrémentée de motivations diverses et variées lors de sessions courtes et hebdomadaires.
L’idée m’est venue avec Véronique, une voisine de 41 ans et maman de 2 enfants. Elle est assistante maternelle. Nous nous parlions régulièrement faisant partie de l’association des parents d'élèves de l’école primaire de nos enfants. Mais nous avons fait plus ample connaissance lors d’une fête des voisins particulièrement arrosée.
Ce soir-là, ma compagne n'était pas présente : dans la famille avec nos deux enfants et Christophe, le mari de Véronique parlait foot avec d’autres voisins. Nous nous sommes donc retrouvés à deux à papoter. De tout, de rien. Se faisant, nous avons décidé de marcher un peu, d'abord autour du lotissement puis dans un chemin de campagne. Il était 22h mais il faisait encore assez jour et assez chaud.
Je lui disais que je m’empâtais. J’avais encore dû changer de taille de pantalon. De plus, je me sentais mal dans ma peau. C'était pareil pour elle. Effectivement, ses formes s’étaient également arrondies au fil des années. Je lui ai dit que ça lui allait très bien et que je prenais toujours autant de plaisir à la voir aller et venir dans son jardin. Elle a rougi je crois.
Elle se sentait malgré tout mal dans sa peau également. Et puis, elle attirait moins les regards qu’avant même si ça avait l’avantage d’être moins emmerdée par les gros lourds dragueurs. Je lui ai dit qu’elle attirait toujours autant mes regards. Elle a souris. C’était peut-être un peu lourd, en tout cas, loin d’être fin et discret.
C’était compliqué avec Christophe en ce moment. Ils s’aimaient toujours mais ils s’étaient laissés envahir par le quotidien et les enfants. C’est à peine si ils se trouvaient du temps pour eux une fois tous les deux ou trois mois. Elle rêvait de retrouver la fougue de leur début. Elle imaginait plein de petits scénarios pour raviver la flamme mais il y avait toujours quelque chose pour la démotiver. Elle avait même passé une soirée nue sous son peignoir à regarder Netflix juste parce qu’elle n’avait pas réussi à lancer le truc avec Christophe.
Nos mains se sont frôlées. Je lui ai attrapée. Elle s’est arrêtée. Je me suis tournée vers elle. Elle me regardait droit dans les yeux. Le visage sans expression. Sa main toujours dans la mienne. Elle semblait hésiter à la retirer. Je gardais mon sourire, sans rien dire. Finalement elle s’est remise à marcher, sa main toujours dans la mienne.
Nous nous approchions d’un bosquet. Il y faisait plus sombre et nous étions à l’abri des regards. Je me suis appuyé contre un arbre et ai tiré sa main pour la rapprocher de moi. Son visage était de nouveau vide de toute émotion. Je me suis rapproché pour l'embrasser. Elle s’est écartée mais sans lâcher ma main. Non, elle ne veut pas le tromper. Je lui ai dit que pour moi l’important est de ne pas faire de mal à l’autre. J’aime ma compagne, j’aime ma vie et ma famille et ne ferait rien qui pourrait les briser. Nous en avions déjà discuté et avons décidé de vivre en couple libre. Chacun pouvait avoir envie d’aventure mais n’en parlerions pas entre nous et cela ne devait pas avoir d’impact sur notre vie de famille. Je l’invitais donc à en parler avec Christophe et lui proposais juste un baiser pour la motiver à le faire.
Toujours ce visage sans expression mais j’imagine que ça devait mouliner derrière ce regard. Je me penchais pour l’embrasser à nouveau. Cette fois-ci, elle ne s'écarta pas. Mes lèvres ont touché les siennes. Sa bouche s’est entrouverte. J’ai aventuré un petit coup de langue sur sa lèvre du bas, elle s’est jetée contre moi. M’embrassant à pleine bouche. Son corps collé au mien. Elle devait sentir que mon corps espérait / voulait plus qu’un baiser. Sa main serrait fermement la mienne. Après quelques secondes, elle s’est écartée à nouveau. M’a lâché la main. Et m’a dit : “Ok, je vais lui parler"
Nous sommes repartis vers le lotissement. Sans nous tenir la main :(
Nous avons changé de sujet de conversation à son initiative. Vu que je ne travaille pas le jeudi après midi, et qu’elle n’a plus d’enfant à garder à partir de 15h30, je lui proposais de faire du sport ensemble pour se motiver à partir de cette heure là. Elle m’a répondu pourquoi pas.
Nous avons passé le reste de la soirée à discuter avec d’autres voisins, séparément mais sans que je ne puisse m’empêcher de jeter un coup d'œil, de temps à autre, à son petit cul que je trouve toujours petit, bien que certe peut-être un peu serré dans son jean.
Le lundi matin, j’ai reçu un sms : “Ok pour jeudi. Rendez-vous chez moi à 15h30”.
Le jeudi donc, à 15h30 pétante, je toque à sa porte. Elle m’ouvre vêtue d’un haut fluo, d’un cycliste agréablement moulant et d’une paire de basket. Elle me propose un truc à boire. J’accepte un verre d’eau. Alors qu’elle remplit le verre, me tournant le dos, elle me dit avoir parlé à Christophe. Moi j’avais les yeux rivés sur son fessier. M’imaginant y enfouir mon visage. Cela faisait justement un moment qu’il voulait lui aussi en parler. Ils sont donc aussi en couple libre.
Je m’étais approché pendant qu’elle parlait. Elle se retourne. Je n’ai plus qu’un pas à faire pour être contre elle. Je met une main sur chacune de ses oreilles et l’embrasse goulument. Elle recule contre l’évier et ses mains se posent sur mon ventre et descendent sur mon short et caresse mon érection à travers le tissu. Après quelques secondes à me masturber, l’une de ses mains glisse dans mon short et m’attrape le sexe. Je manque de partir à ce moment là tellement mon excitation est à son comble. Elle a dû le sentir car elle cesse de me masturber et se contente de tenir mon vit d'une main ferme. Mes mains descendent sur sa poitrine et je lui caresse les seins à travers le tissu. Nous ne cessons pas de nous embrasser.
Mes mains descendent finalement sur son cycliste que je parcours de toute part. Je suis les contours de sa culotte que je sens à travers le tissu, m'aventure sur ses fesses pour finalement me glisser dessous en suivant le bas du ventre. Mes doigts glissent sous l’élastique de sa culotte et s'immiscent entre les poils frisés de sa toison. Je sens le début de ses grandes lèvres. Elle est toute offerte à moi, les jambes suffisamment écartées pour que je puisse farfouiller à mon aise son entrejambe. La main sur sa chatte est déjà toute mouillée. Ses baisés toujours passionnés deviennent plus frénétiques. Du bout des doigts j’effectue des va et vient entre ses lèvres. Je sens son clitoris à chaque fois que mes doigts remontent vers le haut. Sa main me sert toujours le sexe, de plus en plus fort, presque douloureusement. Sa langue fouille ma bouche avec avidité. Je titille de plus en plus longuement son clito pour finir par m’attardé dessus. Elle se tend d’un coup, crie et jouit entre mes doigts. Sa culotte est trempée, j’y continue tout de même mes mouvements de main et introduit mon majeur dans son vagin. Elle arrête de m’embrasser et j’entend sa voix un peu rauque dans mon oreille : “prend moi là, maintenant”
Ma main quitte sa culotte et je saisis les élastiques de son cycliste et de sa culotte pour les baisser d’un coup. Je vous épargne le détail de la galère pour lui enlever complètement, sa basket gauche s’étant coincée dans le tissu. J’avais surtout du mal à me concentrer ayant sa chatte poilue pile sous les yeux. Je pouvais sentir son excitation rien qu’à l’odeur. Bon, je retire cycliste et chaussure en même temps. Tant pis pour le pied gauche, je suis trop pressé. Je me redresse et la soulève pour l'asseoir sur le bord de l’évier. Il est pile à la bonne hauteur. Je baisse short et caleçon. Mon sexe est collée à sa chatte, prêt à entrer dans son vagin, le gland disparaissant dans ses poils pubiens. Je quitte difficilement la vue de cette splendide chatte offerte à mon regard pour regarder Véronique dans les yeux alors que je la pénètre doucement. Les va-et-vient d’abord lent s'accélèrent de plus en plus. Elle jouit avant moi. Je m'interromps et l'entraîne vers la table du salon.
Je l’aide à s’allonger dessus et rapproche une chaise. Elle pose ses pieds de chaque côté de la ma tête sur le dossier de la chaise et se dandine pour approcher ses fesses du bord. Je rêve de faire ce genre de position avec ma compagne depuis des années mais ce n’est pas son genre. Elle reste très classique dans le sexe.
Je suis donc assis là avec la chatte poilue de ma voisine sous les yeux. Je promène une main sur son ventre tout en savourant le moment où je vais plonger mon visage entre ses cuisses. Mes deux mains remontent vers ses seins, et se glissent sous le tissu fluo pour les malaxer. J’ai le museau à moins d’un centimètre de son sexe ouvert. Elle doit sentir ma respiration dessus. Je place mes mains sur ses hanches et me prépare à la dégustation.
Après quelques minutes nous nous entraînons jusqu’au canapé. Toujours nue en bas mais traînant culotte, cycliste et basket à son pied gauche, nous nous y asseyons. Pendant que nos mains continuent de se balader sur le sexe de l’autre, nous nous mettons d’accord sur les règles et la manière dont les choses vont se dérouler à partir de maintenant.
Petit détail qui aura son importance plus tard : le rideau était mal fermé et il devait être possible de voir ce qui se passait dans la pièce depuis la maison voisine. En étant plutôt curieux bien entendu.
Bon, la première séance, ça a plutôt été du sport en intérieur malgré le temps ensoleillé.
Voilà, la suite plus tard et je vous raconterai également les sessions avec quelques-unes de mes clientes.
N’hésitez d’ailleurs pas à me contacter si vous voulez en faire partie. Et vous pourriez même, si vous le souhaitez, faire partie de ces histoires.

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