femme délaissée 2

Isabelle achète l'objet de tous les plaisirs et bien décider de se venger, suit le couple. Pendant la marche, les présentations sont faites. Elle c'est Léa, le mari Hugo

Proposée le 27/05/2022 par valeriane

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Isabelle sourit au couple, bien décidée de se venger, elle le suit. Le chemin est long avant d'arriver. Enfin, c'est fait. Léa invite Isabelle de s'installer au salon pendant qu'Hugo sert les boissons. Les trois boivent beaucoup en papotant, c'est Léa qui propose une douche en commun. Isabelle est un peu inquiète, fait la moue, mais suit le duo.

Rapidement Léa et Hugo sont nus, Isabelle est hésitante, c'est avec l'aide des deux nouveaux amis qu'elle se retrouve nue également. Les trois se savonnent mutuellement sans omettre les parties intimes. Hugo et Léa sont charmés par les formes généreuses d'Isabelle, les deux coquins en profitent pour palper longuement ce corps de rêve.

Enfin le lavage prend fin, Léa entraine Isabelle dans le salon, Hugo sert encore un verre avant de passer aux choses sérieuses. Hugo, très entreprenante invite Isabelle à prendre place sur le canapé en prenant soin de bien ouvrir les jambes. Isabelle, un peu grisée par l'alcool, obtempère sans rechigner. C'est l'occasion idéale, pour rendre la pièce à son mari qui la cocufie à tour de bras, Hugo s'agenouille devant elle et, place sa tête entre les cuisses ouvertes. Il hume avec force les effluves odorantes que dégage la chatte garnie d'une fine toison soyeuse.

La bouche d'Hugo se pose sur la vulve d'Isabelle, qui se cabre au contacte de l'appendice lingual sur son intimité. La langue agile passe de nombreuses sur la fente avant de s'enfoncer brutalement dans l'antre de l'enfer pour en fouiller chaque recoin. Isabelle s'ouvre davantage, elle grogne de plaisir, Léa la regarde en souriant et passe à l'action. Elle presse fermement les seins d'Isabelle, qui rugit comme un fauve, elle roule entre ses longs doigts les mamelons qui rapidement prennent du volume. Soudain, Isabelle se cambre en poussant un râle rauque, Hugo vient de lui gober le clitoris et le suce comme un forcené.

La chatte suinte de plus en plus, Isabelle ondule du bassin, ses gémissements sont très bruyants. Léa aspire à tour de rôle les mamelons et les suce comme pour en extraire du lait. Isabelle serre les dents, la tension monte d'un cran dans son corps. Elle appuie avec force sur la tête d'Hugo, pour qu'il lui dévore la chatte encore plus violemment. Sa perle est devenue reconnaissable, elle est grosse comme une noix. Hugo s'acharne dessus comme un vorace. Léa s'active sur les tétons avec rage, les bouts sont devenus larges et épais, surtout très sensible. Chaque aspiration sur ses tétons et son clitoris la font couiner comme un animal en rut. Elle se cambre comme un pont et explose de jouissance.

Elle gicle comme un geyser, son jus remplit la bouche d'Hugo qui doit faire un effort pour tout avaler. Léa lui mord sauvagement les mamelons, cela a pour effet de faire jouir Isabelle plus intensément. Hugo se redresse, sa queue est raide comme un bout de bois, il la frotte sur la chatte dégoulinante puis, donne un violent coup de reins. Isabelle pousse un cri de bête blessée tellement la pénétration est brutale. Hugo s'accroche à elle comme une pieuvre sur sa proie. Ses coups de reins sont redoutables, ils font grimacer Isabelle à chaque enfoncement du pieu dans ses entrailles. Le pilonnage est sévère, les assauts répétés font jouir Isabelle encore une fois.

Hugo grince des dents, il se bloque au plus profond du corps d'Isabelle et lui envoie plusieurs décharges de semence épaisse. Le coquin donne encore quelques cous de bélier avant de retirer sa queue gluante, du puits d'amour. Léa regarde en souriant le corps d'Isabelle secoué par de nombreux spasmes. Elle saisit dans un tiroir le même gode qu'elle a conseillée à Isabelle. La soumise regard avec inquiétude le monstre s'approcher de sa cavité vaginale. Elle ravale sa salive, Léa place le gland monstrueux contre sa fente et pousse fortement. Isabelle se cabre, ses grandes lèvres s'écartent, l'engin hors norme s'engage avec difficulté dans sa gaine qui se distend au fur et à mesure que la bite factice avant en elle.

La soumise, à la bouche grande ouverte, une moue affreuse, déforme son visage. Le gode n'est enfoncé que de quelques centimètres dans son canal vaginal distendu. Léa appuie sur un bouton, Isabelle pousse un long râle, l'engin se met à onduler en vibrant bruyamment dans son corps. Léa regarde Isabelle qui tente d'ouvrir davantage ses cuisses, elle sourit et appuie sur l'autre bouton. Isabelle se cambre, le gland se met en rotation et, lui laboure fortement les parois de la chatte. Léa pour atténuer la douleur appuie sur les fausses couilles et envoie une bonne giclée de liquide dans le ventre d'isabelle qui grogne comme un animal piégé.
Léa appuie avec ses deux mains sur l'engin de silicone. Les ondulations de reptile que fait le mandrin, ne font que progresser le gode dans le corps d'Isabelle. Soudain Isabelle se cabre en soufflant comme un bœuf, la bite factice bute contre le col de son utérus et tente de le pénétrer, les rotations produisent un effet terrible.

Isabelle pousse un cri inhumain et jouit si fort qu'elle manque de s'évanouir, Léa envoie plusieurs décharges de produit visqueux dans le tréfonds des entrailles d'Isabelle, qui donne des coups de reins incontrôlables en rugissant comme un lion. La coquine jouit plusieurs fois, son visage est déformé par un rictus monstrueux, elle saisit les mains de Léa et tire dessus pour s'empaler encore plus profondément.

Elle agite son bassin comme une forcenée, en marmonnant des mots inaudibles. Elle jouit encore une fois en hurlant. Léa prend conscience qu'il est temps de ressortir l'engin avant qu'Isabelle ne fasse une syncope. Lentement, elle ôte le monstre dévastateur du corps tremblant de la soumise. Hugo regarde en écarquillant les yeux le trou béant qui laisse échapper un filet visqueux, blanchâtre, mêlé avec de la cyprine. Isabelle respire rapidement, son souffle est court. Ses yeux sont embrumés, elle sourit en regardant la queue pendant d'Hugo. Elle la saisit et, gobe le gland encore gluant et le suce, jusqu'à ce que le bougre lui jouisse dans la bouche. Elle avale jusqu'à la dernière goutte le nectar des dieux. Léa s'allonge sur la table et s'enfonce l'engin jusqu'aux couilles, habituée à lui, la coquine le manipule avec dextérité. Léa adore être dilatée, elle actionne les boutons et se met à grogner de plaisir, lorsque l'engin se met à œuvrer en elle. De temps en temps, elle appuie sur les couilles de silicones, pour se remplir la chatte du précieux liquide.

Rapidement, elle arrive au point de non-retour, elle jouit en couinant férocement sous les regards de son mari et d'Isabelle.

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