4 Solitaire en double

Je veux répéter l’expérience de la double pénétration. Mais en solitaire. Où j’aurai tout le contrôle et le temps d’attendre les sommets que j’espère obtenir.

Proposée le 16/04/2022 par Bisou 69

Thème: pratiques sexuelles
Personnages: Solo
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

J’ai aimé mon expérience avec mon ami santé. Aillant du temps libre et une belle collection de jouets sexuels, je décide de tenter l’expérience en solitaire. L’avantage des jouets, c’est que nous pouvons prendre le temps sans risque de perdre l’érection du partenaire. Et de grossir un peu. Je choisis donc deux sex-toys. Le premier est le modèle que j’utilise le plus souvent. Il a 20 cm insérable par 4 cm de diamètre. Le deuxième, celui que j’utiliserai analement, est de même longueur insérable. Mais je ne crois pas me l’insérer complètement. Il est plus petit en grosseur au départ que mon préféré, mais il grossie graduellement jusqu’à la base. Tous les deux ont une suce à la base pour le fixer.


J’installe donc les deux godemichets collés sur un coussin demi-lune utilisé pour les massages. J’ai dû travailler pour trouver la distance idéale pour l’expérience. Si vous en faite l’expérience, notez-la. Car elle n’est pas si simple à trouver et importante au succès. Et je les lubrifie. Positionné à genoux, au-dessus, je fais glisser le premier dans mon vagin. Je présente le deuxième à ma rosette. Je titille mon orifice avec le gland du gobe. Et pousse un peu sans trop forcer. Je profite des sensations qu’il peut me donner. Et laisse monter mon excitation. J’ajoute toujours un peu de pression pour forcer l’entrée. Sans passer le gland. Je le laisse m’ouvrir quelque peu. Il fait monter mon excitation et me donne le gout de m’empaler dessus. Mais je me retiens. J’aime faire durer le plaisir. Cependant, l’excitation m’oblige à aller plus loin. Je pousse plus fort pour essayer de gober le gland. Là la douleur vient faire partie du jeu. Plus je pousse, plus mon orifice s’ouvre. Mais plus la douleur s’intensifie. Je m’essaie à plusieurs reprises. Le bout s’infiltre de plus en plus à chaque essai. Je sens mon cul s’ouvrir mais se plaindre aussi. Mais je veux l’engloutir. Et je pousse. Je sens ma rondelle s’ouvrir et se refermer quelque peu par la suite. Signe que le gland a réussi son insertion. Je le maintiens ainsi. Il a un mélange de douleur, de soulagement et de chocs nerveux qui se sentent jusqu'à la colonne vertébrale. Doucement, les sensations diminuent. Je laisse mon anus se détendre. S’ajuster à l’étirement. L’autre n’a cependant aucune difficulté. Signe de mon excitation. Quand je me sens prête, je recommence le mouvement. Je laisse ressortir celui-ci pour recommencer le processus d’entrée. Le gland recommence à ouvrir mon bouton d’amour. La douleur laisse place peu à peu à une sensation de bonheur. Chaque insertion et retrait donne des vagues de plaisirs. Je continue jusqu'à que mon corps m’oblige à en vouloir plus. A aller plus loin. A laisser les verges nervurées pénétrer mon corps. A m’ouvrir à eux. Le gobe anal, étant graduel, ouvrira d’avantage tout au long de la progression. Je me risque à continuer. Plus il pénètre, plus il m’enivre avec un mélange de douleur. Un mélange spécial mais pas désagréable. Je m’élève pour retirer celui-ci sans laisser sortir le gland et redescend pour une plus grande insertion. Ça forme réaliste électrise mes parois lors du mouvement. Plus je l’insère, plus il a une chaleur dans mon bas ventre. J’ai le gout de m’empaler brusquement pour engloutir complètement ces verges de plaisirs. Mais, je me retiens. Je continue la progression graduelle, ce qui me rends folle. Je continu ces vas et viens lent ne ressentant aucune réticence physique. Le contact de mes fesses à la paroi froide du coussin en vinyle m’indique cette totale immersion. Surprise et excité de cette information. Je maintiens la position. La, vient une drôle de sensation. Le diamètre final ouvre mon anus pour me donner une douleur. Mais non désagréable. Mon excitation s’intensifie avec l’idée d’avoir engloutie ces 20 cm intrusifs. Après une minute d’abandons graduelle, je reprends mon mouvement. La douleur disparait de plus en plus pour laisser place à du plaisir. J’ai des bouffées de chaleur. Un feu brule dans mon bas ventre. Je resserre même mon anus pour bien pressentir le bel objet. J’imagine que ces deux godemichets sont en réalité des hommes. L’excitation prend des proportions affolantes. Je n’ai presque plus le contrôle. La vitesse s’intensifie. Je monte et redescend à une vitesse folle. Je glisse sur toute leur longueur. De la limite de sortie des glands jusqu’au contact du coussin. Mes fesses frappent cette surface avec ardeur. Je me sens sauvage. Je me sens chienne. Ma respiration augmente au point de l’entendre. J’ai un son d’essoufflement. J’ai une vibration indescriptible et un bouleversement dans tout mon être. Mon corps en vibre. Ça me rend folle. Tout part en dérape. Je n’arrive plus à penser. Je serre les draps. Les jambes me tremblent. J’ai des spasmes. Mon corps crispé voudrait arrêter. Se relâcher. Mais il continu, ça n’arrête pas. Je me mets à crier. Réaction qui m’est propre quand j’aime. Et de plus en plus fort. Un son de jouissance sans me soucier qu’on m’entendre. Comme une fille qui se fait prendre vigoureusement par une male plein de testostérone. Cette jouissance s’étire. J’ai l’impression qu’elle ne s’arrêtera jamais. Je deviens possédée. Oui, oui, ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii


Je me laisse m’écrouler sur le lit. Les jambes mortes. Exténué, mais en extase. Le cœur en émoi. Je ne pensais pas que je pourrais avoir autant de sensation. Tout mon corps a ressenti l’effet. Cette sensation de perte de contrôle a été euphorique. Les objets de jouissance sont toujours en place. Je les laisse lentement ressortir. Au dernier bout, j’ai un sursaut agrémenté d’un petit crie. Je reprends mon souffle. Dérouté d’avoir été la chienne de ces objets. De les avoir laissé prendre mon intimité. Je me retourne pour le regarder. Pour me demander s’il est possible d’avoir un deuxième orgasme…

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