Au vrai qui est Véronique, une femme d'affaire ayant réussi, une exhibitionniste fétichiste des pieds notoire ou peut-être encore et surtout une dangereuse criminelle sur le point de devoir répondre de ses crimes ?
Proposée le 11/04/2022 par Stegonosaur
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Thème: Fétichisme
Personnages: FF
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman
Certains jours il faudrait rester emmitouflé dans ses rêves et ne pas les sortir au grand jour. Aussi, quand Tracy, secrétaire de son état, força la porte du bureau de Véronique dont le travail s’était terminé quelques heures auparavant c’était avec l’espoir non seulement de mettre la main sur quelques documents compromettants mais plus encore de s’introduire un peu plus dans l’intimité de celle pour laquelle elle nourrissait un désir envahissant. D’entrer en quelque sorte par effraction dans sa vie. Véronique avait assis sa fortune en connaissant le succès en tant que modèle internationales pour pieds. Fort de ce succès elle avait investit dans une entreprise de chaussures dont elle était devenu le PDG non sans l’avoir redressée et qui depuis était très bien cotée en bourse.
Le grand bureau donnait sur un autre bureau, plus petit celui-là et qui était comme sa pièce secrète, interdite à tous et toutes en dehors de quelques intimes. Tracy ne comptant pas parmi ceux-ci avait du jouer de malice pour s’emparer de la clé sans que sa blonde patronne ne le voient.
Le petit bureau de Véronique ne montrait rien que de très banal en dehors d’une photo assez remarquable affichée au mur où elle s’affichait nue sur une plage qui ressemblait à celle voisinant la villa. Un poème n’aurait pas suffit pour louer une silhouette si remarquablement proportionnée et gentiment pulpeuse.
Tracy alla plus loin dans ses investigations,. Elle s’attendait à trouver de tout sauf une revue érotique, quoique que la photo sur le mur l’ait quelque peu avertit des dispositions exhibitionnistes de sa patronne. Et encore moins d’y trouver Véronique prenant des postures de papier glacé et s’exhibant à poil au côté d’une femme pulpeuse avec un masque de tête de mort. En Tracy se disputait le sentiment ambigu du désir et de la surprise. Véronique lui inspirait tant de désir qu’elle ne pouvait s’empêcher de la mâter et ce n’était pas la découverte de ces quelques clichés qui allait l’en dissuader que du contraire. Mais quand la police des mœurs l’avait approchée pour l’avertir des magouilles de sa patronne et lui demander de l’aider, elle en était demeurée toute surprise. Véronique était à la tête d’une mafia du sexe internationale aux méthodes sévères voire expéditives, se faisant appeler « La Belge » et s’apprêtant à augmenter ou à revoir ses compétences criminelles en se lançant dans le trafic d’armes. Si la police avait réuni des preuves suffisantes à son arrestation prochaine, elle ignorait cependant le nom de la personnalité politique qui couvrait ses agissements. Tout cela expliquait en partie la présence des revues dans son bureau ainsi que son manque de prudence. Tracy prit note du nom et du numéro de la revue, pensant la commander plus tard, s’enquit des positions de sa patronne qui d’une page à l’autre s’exhibait nue tantôt sur le dos tantôt sur le ventre, dévoilant à l’envi son postérieur rose, tantôt avec une chaussure-gode, tantôt accompagnée de la femme au masque qui ne laissait jamais paraître le moindre trait de son visage et jouait avec ses gros nibards qui étaient séparés par un joli grain de beauté. Tracy s’étonna de ce que Véronique ait les cheveux plus long de que d’ordinaire ce qui datait les photos de l’année passée, époque où elle avait adopté cette coiffure qu’elle avait quittée depuis pour une coiffure plus apprêtée à sa beauté et rendant grâce à son visage. Elle s’étonna encore de la grosseur des seins de Véronique, de l’originalité de ses poses et de combien facilement elle entrait dans ses rôles. Elle se souvint que Véronique était née sous le signe du gémeau connu pour être du Zodiaque le plus imaginatif de tous et un des plus vicieux. Si elle était un animal, elle serait sûrement une petite abeille, butinant, passant de fleur en fleur. Une autre revue lui donna à voir une Véronique dans une chaussure géante et puis s’enfonçant nue dans un parterre de chaussures toute plus belles les unes que les autres et simulant des sables mouvants, plus loin encore le visage plein d’effroi elle était en train de se faire écraser nue par une bote aussi géante qu’élégante. Toute émoustillée, elle continua sa visite du bureau et découvrit alors plusieurs lettres ou brouillons de lettres compromettants où Véronique se laissait aller à quelques phrases sans équivoque du style « Amenez les filles au débarcadère, Qiu les prendra. Si l’une d’entre elle résiste ou cause problème n’hésitez pas, abattez-là sur-le-champ. Ne courrez aucun risque, aucun » Deux noms revenaient constamment : celui d’une chinoise, Qiu mi, et celui d’une députée connue pour ses prises de positions sévères, l’âge précoce – tout juste quarante ans – de sa réussite politique et surtout pour ses jupes des plus courtes : Évelyne Dupras… Tracy photographia comme convenu le tout avec son gsm et l’envoya à la police qui dès lors ne devait pas tarder à arriver. Elle ne manqua pas de prendre aussi les superbes photos de Véronique et en particulier celles la mettant en scène avec les chaussures.
Un bruit de portes qui claquent la tira de sa rêverie. C’était celle d’une voiture. Tracy regarda par la fenêtre et vit une personne descendre du véhicule, courtement vêtue et qui ressemblait à la fameuse députée Évelyne Dupras. Évelyne, car c’était bien elle, marcha en direction du bâtiment mais bientôt un bruit de moteur se fit entendre de plus en plus prononcé. C’était le hors-bord de Véronique, qui avait osé prendre la mer malgré les recommandations de la police maritime qui invitait à la prudence car une mine flottante de la dernière guerre avait été vue au abord des côtes. Que venaient-ils donc tous faire là en cette heure censément dédiée à la dilettante plutôt qu’au travail. Le bateau accosta et Véronique en descendit. Sa longue robe noire fendue lui permettait d’allègres enjambées et montrait ses belles jambes au rose tendus tel un arc de triomphe sous lequel brûle, éternelle, la flamme d’un désir à jamais refoulé, repoussé.Elle était accompagnée d’une asiatique. Véronique vint à la rencontre d’Évelyne, le visage enjoué. Les deux femmes semblaient s’amuser à celle qui avait la robe la plus sexy gagne. Évelyne avait des bas transparents tandis que Véronique arborait comme dit plus haut, une robe noire provocatrice tout autant qu’élégante.
Tracy se cacha comme elle pouvait dans une armoire exiguë tandis que les trois femmes entrèrent.
Véronique demanda à Évelyne si elle avait apporté l’argent qu’elle lui avait promis, à quoi la députée répondit en ouvrant sous son nez une valise pleine de liasses :« ça te convient ! ?!».
Véronique adorait l’argent. Elle avait tout fait pour lui, sans exclure le meurtre, et n’en avait jamais assez. Ses yeux firent un bon en dehors de son visage à la vue des liasses qui s’entassaient comme autant de promesse de dépenses à venir : les plus belles chaussures, les plus beaux sex-toys et une villa dans les caraïbes...
Très vite remise de son émotion financière, Véronique acheva d’exposer son plan machiavélique à Évelyne tandis que Qiu se postait à l’entrée. Les armes avaient été livrées, y compris une bombe. La bombe était destinée à faire exploser l’avion du vice-premier Ministre de façon à offrir le poste à Évelyne, lassée d’attendre. On montrerait du doigt les extrémistes. Véronique espérait bien être aux premières loges pour assister à l’explosion de l’appareil. « J’adore quand ça explose ! », ajouta-t-elle. Qiu se chargera de la mettre à bord de l’appareil en la mélangeant aux bagages.
Au fur et à mesure qu’elle déroulait son plan Les seins de Véronique prenaient de l’ampleur… Qiu fit remarquer que le vice-premier voyageait souvent avec sa femme et ses enfants ce qui ne fit pas vaciller ni Véronique ni Évelyne.
- On ne fait pas d’omelette sans casser des œufs , crut bon de rajouter la pulpeuse blonde en contenant à peine un rire relayé par Évelyne. « Ces femmes sont décidément aussi belles qu’épouvantables » soliloqua Tracy entreprise dans sa cachette et exhortant la police à arriver rapidement. C’est ce moment qu’un des seins de Véronique épris de liberté et de grosseur s’évada de sa gangue de tissu… Se sentant de trop Qiu sortit de la pièce.
- Quels gros nibards tu as Véro !! Je l’avais oublié …, s’écria Évelyne admirative qui entreprit de se mettre à l’aise et de comparer ses seins à ceux de sa complice.
Très vite les deux femmes se retrouvèrent côte à côte, Véronique nue et Évelyne se contentant d’être seins nus. Un grain de beauté séparait l’un de l’autre identifiait Évelyne comme étant la femme au masque sur les photos. Le petit corps pulpeux de Véronique au rose accentué par la blondeur de ses cheveux sortait du lot.
Évelyne ne put s’empêcher de regarder les pieds de Véronique…
« Tu aimes mes pieds ? » demanda alors la machiavélique petite blonde ; elle colla son pied sous le nez d’Évelyne qui le prit à deux mains et le colla sur son visage. Elle le frotta sur son nez, humant encore et encore sa plante sublime. « Tu peux lécher si tu veux », Évelyne n’attendait que ça… elle prit son pied et le lécha lentement d’abords la plante puis en remontant sur les orteils. Elle insinuait sa langue entre chacun de ses doigts, puis les avalait un par un. Elle sentait le pied de Véronique se crisper puis se relâcher doucement, bientôt quelques petits couinements lui parvinrent aux oreilles. Elle entreprit de lui malaxer la plante des pieds tout en lui bouffant littéralement les orteils, Véronique frôlait l’épectase…. Tout à leur délire les deux femmes n’entendirent que trop tard l’arrivée de la police, pourtant toutes sirènes hurlantes.
Véronique complètement nue et ses complices se postèrent chacun à une fenêtre et déchargèrent leur flingue sur les policiers. Véronique fut la première à comprendre que la situation n’avait d’autre issue que la fuite. Sans prévenir ses acolytes, elle sortit toute nue le cul à l’air par la petite porte donnant sur le petit port, sans oublier d’emporter avec elle la valise remplie d’argent. Ses lourds seins dansaient une rumba frénétique.
Évelyne la suivit très vite mais fut stoppée nette par une balle qui n’eut pour effet que de la blesser.. Quand Qiu voulu y aller à son tour, Tracy sorti une jambe de sa cache et lui fit un sérieux croc-en-jambe qui l’envoya balader tête la première sur une commode pas très commode qui l’assomma.
La police pénétra le repère des criminelles dans un grand fracas de porte, passèrent les menottes à une Qiu encore inconsciente et a une Évelyne encore grimaçante de douleur, c’est dans toute sa splendeur véreuse et obscène que la députée s’affichera le lendemain en première page des journaux, honnie par tout un peuple.
Pendant ce temps la pulpeuse belge avait pris de la distance. La police se mit à tirer à l’envi sur la fuyarde en veillant à ne pas la tuer. « Il me la faut vivante » avait tonné l’inspecteur. Véronique se retournait plus que de raison pour balancer quelques tirs en réponse aux tirs assaillants et volontairement maladroits des policiers. Ses gros nichons bondissaient à chaque décharge. Au loin Tracy ne ratait rien des tumultueux échanges et s’inquiétait de l’épilogue.
Une fois arrivé au bateau, Véronique y posa la valise et s’installa debout aux commandes.
« Essayer donc un peu de m’attraper ! » soliloqua la petite blonde qui fit vrombir le moteur et démarra rageusement. La police arriva juste assez en retard que pour ne pouvoir, impuissante, qu’assister à la fuite triomphante de l’impudique criminelle.
« Quel cul « s’exclama un policier en proie à une érection tandis que son supérieur le rappelait à l’ordre. « Cette garce nous échappe ! protesta » un autre policer.
- Vite prenons l’autre bateau ! Elle ne peut pas s’en tirer ainsi !
Négligeant de regarder devant elle plus que nécessaire, nue, la jolie et perfide belge pourfendait les flots, debout aux commandes de son rapide hors-bord.
- Hé hé Les flics ne m’auront jamais toute nue ! Je dois aller plus vite !!…, s’exclama-t-elle avant de reprendre du regard le chemin sa fuite. Elle eu juste le temps d’apercevoir une mine sur son trajet.
Ne pouvant éviter l’engin explosif qui s’imposait à elle comme la promesse de l’enfer, elle hurla d’effroi et serra les fesses dans une ultime grimace de la peau :
« AAAAH !!»
Tout se finit comme il se doit dans une grande explosion sous le regard médusé de la police qui venait à peine d’entamer la poursuite.
- Bon sang elle a trouvé la mine ! Quelle fin horrible et toute nue en plus ! Merde je bande ! s’exclama le policer tandis que le bateau de Véronique continuait d’exploser à l’envi et signait la fin de la pulpeuse et nue criminelle. Tout s’était terminé comme dans un film . Justice était faite, une fois encore. La Belge avait trouvé une fin à la mesure de ses crimes futurs et passés.
FIN
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